Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-12-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 décembre 1857 10 décembre 1857
Description : 1857/12/10 (A2,N36). 1857/12/10 (A2,N36).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6530635h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
522 L'ISTHME DE SUEZ,
devant l'île Périm à 4 heures du Soir, devant le groupe des
îles Harnish à 11 heures. Le 19 à 6 heures du matin, les îles
Téléager étaient en vue, et à Dit 15' Djibel Feïr se trouvait à
l'est à une distance de 4 milles; à midi la position du navire
était 16° 2' lat. nord, 41° 33' longitude est, vent du nord et
variable. Le 20 à midi, lat. 19° 5', long. 38° 56', distance
parcourue 240 milles; légères brises du nord et calme. La
marche du bâtiment l'aurait porté à environ 20 milles à l'est
du Ras Roway, que nous espérions passer le 21 à 2b 30' du
matin. Ail heures après midi, la direction changea d'un
demi-point vers le nord, belle nuit, mais sombre et assez
brumeuse ; mer tranquille. A minuit 15', le navire faisant
10 nœuds 1/2, s'arrêta tout à coup, bien que les locks fussent
continuellement en fonction; notre position était lat. 20° 4',
long. 37° 50'. Le capitaine, le second et le pilote arabe étaient
sur le pont, et deux vigies sur le devant. Le bâtiment ne
bougea pas. Rien ne fut d'abord découvert, mais en allant
vers le devant on trouva un bas-fond et des fragments de ro-
ches au-dessus de la surface de l'eau. La sonde donna 2 pieds
d'eau sous l'avant, 51 brasses vers le milieu, et avec 240
brasses on ne touchait pas le fond sous la poupe. Les machines
furent immédiatement arrêtées, et on les fit travailler en sens
opposé ; les canons, chaînes, câbles, etc., furent portés en
arrière, mais sans résultat, l'étrave étant entré sur une lon-
gueur de 15 pieds dans le rocher de corail et s'étant élevé
d'environ 5 pieds. En quelques minutes le compartiment
du devant s'est rempli d'eau jusqu'au niveau de la mer. Il
n'y avait aucun désordre à bord et les passagers étaient par-
faitement tranquilles. Au commencement du jour, on trouva
que ce récif était le Guttal-el-bunna , petit banc de corail
situé immédiatement au-dessous de l'eau. La tète du navire
était tournée N.-O. par N. 1/2 N., l'île de Mugetta se trouvait
sur le devant du navire; et la terre ferme, à 10 milles de dis-
tance. Le navire devait avoir été poussé par le courant à 22
milles vers l'est depuis midi du jour précédent. Tous les ef-
forts des officiers, de l'équipage et des passagers furent d'abord
infructueux; mais le 23 à 5 heures du matin on réussit à dé-
gager le bâtiment après avoir passé 53 heures sur le récif;
les avaries étaient graves, une large voie d'eau s'étant déclarée
dans la partie antérieure du navire. On voulut gagner la côte
de Nubie, distante de 45 milles, mais le navire faisant trop
d'eau nous fûmes obligés de nous diriger vers Duberdubb à
douze milles de distance où nous fîmes échouer le devant du
navire sur le fond vaseux. Une partie de la malle fut trans-
portée à Djeddah par une embarcation indigène. D'autres em-
barcations indigènes furent louées pour croiser afin de pou-
voir avertir les steamers passant par là. Après de grands
efforts, en allégeant le navire et en faisant travailler les pom-
pes, nous réussîmes à nous maintenir sur l'eau, et nous arri-
vâmes à Suez à 8 heures du soir. Dans notre route à Suez
nous rencontrâmes l'Hindoustan, qui allait chercher les malles
à Djeddah."
— Un habitant de l'Australie adresse au Daily-News du 21
novembre une lettre dans laquelle il se plaint de la manière
insouciante dont se fait généralement le service postal entre
l'Australie et l'Angleterre. Les deux chefs d'accusation qu'il
reproche surtout à la Compagnie, sont les accidents arrivés à
l'Onéida et dernièrement à l'Emeu. En effet dès son départ
de Southampton on avait reconnu que le plafond sur lequel
reposaient les machines de YOnéida avait cédé, et sir Charles
Wood avait dit dans la Chambre des communes, que l'inspec-
teur de l'Amirauté avait déclaré ce navire impropre à faire le
service postal. Néanmoins le navire fut expédié, et dès son
premier voyage il arriva l'accident qui a été la cause d'un
retard d'un mois pour les correspondances de l'Australie.
Quant à l'Emeu, les reproches retombent sur un agent de la
Compagnie, le commandant du navire, qui a commis l'im-
prudence de le diriger au milieu des récifs de la côte de Nubie
et d'abandonner la route battue des autres bâtiments, c'est-
à-dire le chenal du milieu d'une mer qui, ainsi que le dit
l'auteur de la lettre, est considérée comme exempte de presque
toutes les difficultés qui embarrassent la navigation dans les
autres mers. Par suite de cet accident, une somme de 526,000
livres reste stérile entre les mains de la Compagnie pour quel-
ques semaines, et on comprend l'anxiété des négociants, qui
attendaient impatiemment les envois d'or. Pour éviter de fâ-
cheux accidents de cette espèce, la Compagnie ferait bien de
faire stationner à Suez un vapeur supplémentaire qui irait
chercher la malle en cas d'événements.
- On lit dans le Daily-News du 27 novembre :
« Le voyage remarquable du puissant steamer le Simla fait
beaucoup honneur au capitaine Cooper, son habile comman-
dant. Il est arrivé à Port-Philippe dans la nuit du mercredi
2 septembre, ayant fait le voyage de Suez en trente-sept jours,
apportant des nouvelles d'Angleterre du 17 juillet; vitesse
la plus grande que l'on ait jamais constatée. Voici les dates
de son départ et de son arrivée : parti de Suez le 26 juillet à
onze heures du soir, arrivé à Aden le 1er août à huit heures
du matin; parti le 2 à six heures du matin, arrivé à Galle le
10 à sept heures du matin; parti de nouveau le 12 à deux
heures du soir, arrivé à Melbourne le 2 septembre à onze
heures du soir. »
— On lit dans le Times du 23 novembre :
«( Il semble qu'une malheureuse fatalité poursuit le service
postal de l'Australie. Le funeste accident arrivé à l'Emeu
produit encore une irrégularité dans l'intercourse postale; car
ce vapeur ne parait pas pouvoir être prêt pour la malle d'oc-
tobre, qui sera nécessairement obligée d'attendre le Simla; de
sorte que les dépêches d'octobre et de novembre partiront en-
semble de Suez, tandis que les correspondances d'Australie du
mois de septembre n'arriveront probablement en Angleterre
qu'avec celles du mois d'octobre. Il est possible que nous re-
cevions jeudi prochain des nouvelles télégraphiques via Malte
et Cagliari. On se rappellera que YEmeu partit d'Angleterre
pour remplacer l'Oneida, et, chose singulière, il est égale-
ment mis hors de service dans son premier voyage entre
l'Australie et Suez. Toute la malle est expédiée par le paque-
bot arabe, y compris 11,000 lettres enregistrées; le retard
dans la réception de ces lettres, dans ce temps de crise finan-
cière, est une chose assez grave. n
— Les exportations de l'Angleterre pour l'Australie pendant
les neuf premiers mois de l'année se sont élevées à 5,630,729 £.
ou 145,000,000 fr.C'est un accroissement de 1,388,977 JE. sur
l'année précédente. L'exportation des fontes, des eaux-de-vie
anglaises, du savon et des machines a diminué; en revanche ,
la sellerie et les cuirs ont augmenté de 468,215 £. à l'ex-
portation, la confection de 231,178 £., la chapellerie de
155,796 JE. et la bière de 239,219 JE., et enfin le fer forgé et
en barre de 161,075 £.
— La quantité d'or expédiée d'Australie parles navires de-
puis le commencement de 1857, y compris celui des colonies
voisines, a été de 1,909,150 onces, ce qui, à 80 schellings par
once, donne une valeur de 7,636,600 £ ou 200,000,000 fr.
à peu près. Les envois d'or continuent de dépasser de beau-
coup ceux de l'année correspondante 1856. L'or de Ballarat
se payait sur le terrain"même 80 schellings par once, et autre
part en proportion; mais on s'attendait à une réduction de
devant l'île Périm à 4 heures du Soir, devant le groupe des
îles Harnish à 11 heures. Le 19 à 6 heures du matin, les îles
Téléager étaient en vue, et à Dit 15' Djibel Feïr se trouvait à
l'est à une distance de 4 milles; à midi la position du navire
était 16° 2' lat. nord, 41° 33' longitude est, vent du nord et
variable. Le 20 à midi, lat. 19° 5', long. 38° 56', distance
parcourue 240 milles; légères brises du nord et calme. La
marche du bâtiment l'aurait porté à environ 20 milles à l'est
du Ras Roway, que nous espérions passer le 21 à 2b 30' du
matin. Ail heures après midi, la direction changea d'un
demi-point vers le nord, belle nuit, mais sombre et assez
brumeuse ; mer tranquille. A minuit 15', le navire faisant
10 nœuds 1/2, s'arrêta tout à coup, bien que les locks fussent
continuellement en fonction; notre position était lat. 20° 4',
long. 37° 50'. Le capitaine, le second et le pilote arabe étaient
sur le pont, et deux vigies sur le devant. Le bâtiment ne
bougea pas. Rien ne fut d'abord découvert, mais en allant
vers le devant on trouva un bas-fond et des fragments de ro-
ches au-dessus de la surface de l'eau. La sonde donna 2 pieds
d'eau sous l'avant, 51 brasses vers le milieu, et avec 240
brasses on ne touchait pas le fond sous la poupe. Les machines
furent immédiatement arrêtées, et on les fit travailler en sens
opposé ; les canons, chaînes, câbles, etc., furent portés en
arrière, mais sans résultat, l'étrave étant entré sur une lon-
gueur de 15 pieds dans le rocher de corail et s'étant élevé
d'environ 5 pieds. En quelques minutes le compartiment
du devant s'est rempli d'eau jusqu'au niveau de la mer. Il
n'y avait aucun désordre à bord et les passagers étaient par-
faitement tranquilles. Au commencement du jour, on trouva
que ce récif était le Guttal-el-bunna , petit banc de corail
situé immédiatement au-dessous de l'eau. La tète du navire
était tournée N.-O. par N. 1/2 N., l'île de Mugetta se trouvait
sur le devant du navire; et la terre ferme, à 10 milles de dis-
tance. Le navire devait avoir été poussé par le courant à 22
milles vers l'est depuis midi du jour précédent. Tous les ef-
forts des officiers, de l'équipage et des passagers furent d'abord
infructueux; mais le 23 à 5 heures du matin on réussit à dé-
gager le bâtiment après avoir passé 53 heures sur le récif;
les avaries étaient graves, une large voie d'eau s'étant déclarée
dans la partie antérieure du navire. On voulut gagner la côte
de Nubie, distante de 45 milles, mais le navire faisant trop
d'eau nous fûmes obligés de nous diriger vers Duberdubb à
douze milles de distance où nous fîmes échouer le devant du
navire sur le fond vaseux. Une partie de la malle fut trans-
portée à Djeddah par une embarcation indigène. D'autres em-
barcations indigènes furent louées pour croiser afin de pou-
voir avertir les steamers passant par là. Après de grands
efforts, en allégeant le navire et en faisant travailler les pom-
pes, nous réussîmes à nous maintenir sur l'eau, et nous arri-
vâmes à Suez à 8 heures du soir. Dans notre route à Suez
nous rencontrâmes l'Hindoustan, qui allait chercher les malles
à Djeddah."
— Un habitant de l'Australie adresse au Daily-News du 21
novembre une lettre dans laquelle il se plaint de la manière
insouciante dont se fait généralement le service postal entre
l'Australie et l'Angleterre. Les deux chefs d'accusation qu'il
reproche surtout à la Compagnie, sont les accidents arrivés à
l'Onéida et dernièrement à l'Emeu. En effet dès son départ
de Southampton on avait reconnu que le plafond sur lequel
reposaient les machines de YOnéida avait cédé, et sir Charles
Wood avait dit dans la Chambre des communes, que l'inspec-
teur de l'Amirauté avait déclaré ce navire impropre à faire le
service postal. Néanmoins le navire fut expédié, et dès son
premier voyage il arriva l'accident qui a été la cause d'un
retard d'un mois pour les correspondances de l'Australie.
Quant à l'Emeu, les reproches retombent sur un agent de la
Compagnie, le commandant du navire, qui a commis l'im-
prudence de le diriger au milieu des récifs de la côte de Nubie
et d'abandonner la route battue des autres bâtiments, c'est-
à-dire le chenal du milieu d'une mer qui, ainsi que le dit
l'auteur de la lettre, est considérée comme exempte de presque
toutes les difficultés qui embarrassent la navigation dans les
autres mers. Par suite de cet accident, une somme de 526,000
livres reste stérile entre les mains de la Compagnie pour quel-
ques semaines, et on comprend l'anxiété des négociants, qui
attendaient impatiemment les envois d'or. Pour éviter de fâ-
cheux accidents de cette espèce, la Compagnie ferait bien de
faire stationner à Suez un vapeur supplémentaire qui irait
chercher la malle en cas d'événements.
- On lit dans le Daily-News du 27 novembre :
« Le voyage remarquable du puissant steamer le Simla fait
beaucoup honneur au capitaine Cooper, son habile comman-
dant. Il est arrivé à Port-Philippe dans la nuit du mercredi
2 septembre, ayant fait le voyage de Suez en trente-sept jours,
apportant des nouvelles d'Angleterre du 17 juillet; vitesse
la plus grande que l'on ait jamais constatée. Voici les dates
de son départ et de son arrivée : parti de Suez le 26 juillet à
onze heures du soir, arrivé à Aden le 1er août à huit heures
du matin; parti le 2 à six heures du matin, arrivé à Galle le
10 à sept heures du matin; parti de nouveau le 12 à deux
heures du soir, arrivé à Melbourne le 2 septembre à onze
heures du soir. »
— On lit dans le Times du 23 novembre :
«( Il semble qu'une malheureuse fatalité poursuit le service
postal de l'Australie. Le funeste accident arrivé à l'Emeu
produit encore une irrégularité dans l'intercourse postale; car
ce vapeur ne parait pas pouvoir être prêt pour la malle d'oc-
tobre, qui sera nécessairement obligée d'attendre le Simla; de
sorte que les dépêches d'octobre et de novembre partiront en-
semble de Suez, tandis que les correspondances d'Australie du
mois de septembre n'arriveront probablement en Angleterre
qu'avec celles du mois d'octobre. Il est possible que nous re-
cevions jeudi prochain des nouvelles télégraphiques via Malte
et Cagliari. On se rappellera que YEmeu partit d'Angleterre
pour remplacer l'Oneida, et, chose singulière, il est égale-
ment mis hors de service dans son premier voyage entre
l'Australie et Suez. Toute la malle est expédiée par le paque-
bot arabe, y compris 11,000 lettres enregistrées; le retard
dans la réception de ces lettres, dans ce temps de crise finan-
cière, est une chose assez grave. n
— Les exportations de l'Angleterre pour l'Australie pendant
les neuf premiers mois de l'année se sont élevées à 5,630,729 £.
ou 145,000,000 fr.C'est un accroissement de 1,388,977 JE. sur
l'année précédente. L'exportation des fontes, des eaux-de-vie
anglaises, du savon et des machines a diminué; en revanche ,
la sellerie et les cuirs ont augmenté de 468,215 £. à l'ex-
portation, la confection de 231,178 £., la chapellerie de
155,796 JE. et la bière de 239,219 JE., et enfin le fer forgé et
en barre de 161,075 £.
— La quantité d'or expédiée d'Australie parles navires de-
puis le commencement de 1857, y compris celui des colonies
voisines, a été de 1,909,150 onces, ce qui, à 80 schellings par
once, donne une valeur de 7,636,600 £ ou 200,000,000 fr.
à peu près. Les envois d'or continuent de dépasser de beau-
coup ceux de l'année correspondante 1856. L'or de Ballarat
se payait sur le terrain"même 80 schellings par once, et autre
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