Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-09-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 septembre 1857 25 septembre 1857
Description : 1857/09/25 (A2,N31). 1857/09/25 (A2,N31).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6530630f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
39Q L'ISTHME DE SUEZ,
organes, les a popularisés, et les a portés à la connaissance
sympathique du monde entier. Mais je vous dirai, puisque
vous m'accordez quelques instants de votre attention, quels
progrès immenses a faits depuis un an cette question à laquelle
tous les peu ples s'intéressent avec une ardeur et une passion
qui chaque jour vont croissant.
D'abord le projet définitif et si vivement attendu de la Com-
mission internationale a paru vers la fin de l'année dernière;
et ce projet, fruit de trois années d'études et de recherches
consciencieuses et complètes, a reçu la sanction de tous les
corps savants de l'Europe. L'Institut impérial de France lui-
même a cru devoir y porter son examen; et par l'organe de
M. le baron Charles Dupin, ce tribunal suprême a donné sa
pleine approbation. Une foule de sociétés distinguées moins
illustres si l'on veut, mais très-compétentes aussi, ont imité
l'Institut de France; ou même elles l'avaient quelquefois de-
vancé par leur adhésion spontanée.
Ainsi, sous le rapport de la science rien ne malfque au projet.
Discuté et arrêté par les plus habiles ingénieurs de l'Europe,
il est sorti de leurs mains pour être soumis à la critique de
tous les hommes qui peuvent avoir une voix autorisée dans
ces débats. L'approbation a été universelle. Mais je me trompe :
tout récemment M. Stephenson, le fils de l'illustre ingénieur,
a tenté dans le Parlement anglais, et sous la pression de la po-
litique, d'élever quelques objections contre le projet de la
Commission internationale. Il s'est attiré de la part de M. Pa-
léocapa, mon illustre compatrio'e et mon ami, une réponse
écrasante; et il a été prouvé que, si M. Stephenson était docile
aux suggestions du Premier Ministre, lord Palmerston, il
n'avait pas été assez attentif aux détails du projet qu'il essayait
de critiquer. Ou plutôt les ingénieurs de la Commission inter-
nationale, M. Paléocapa en tête, ont démontré à M. Stephen-
son qu'il n'avait pas même lu le docurpent dont il hasardait
de parler, et qu'il entassait méprises sur méprises, erreurs
sur erreurs.
En un mot, Messieurs, la science a prononcé sur le projet
du canal de Suez son verdict définitif; et ce verdict est désor-
mais sans appel pour tous les esprits éclairés et de bonne foi.
Mais, vous le savez aussi, Messieurs, la question du canal
de Suez n'est pas seulement scientifique et industrielle. La po-
litique s'en est emparée; et sans entrer ici sur ce domaine re-
doutable, je puis bien vous dire quelques mots de ce que tout
le monde sait et de ce qu'ont répété tous les journaux de
l'Europe, de l'Amérique et de l'Asie.
Tous leq peuples, tous les gouvernements, un seul excepté,
ont donné les mains à un prqjet qui dqjt être utile à tout le
monde sans pouvoir jamais nQir 3, personne.
Cette exception déplorable, c'est celle, je ne dois pas dire
du gouvernement anglais, mais de lord Palmerston et de lord
Strattrord de Redrliffe. Cette opposition sourde qu'pn faisait au
projet depuis deux ans passés, les promoteurs du canal s'en
étaient plaints à voix basse, espérant toujours l'adoucir et la
ramenpr. Mais M, de Lesseps, après avoir consulté toute l'Eu..
rope et avoir recueilli partout les témoignages que vous savez,
prit le très-npble et très-sage parti de porter le débat devant
le peuple anglais et de le prendre pour juge des obstaç!es
le peuple anglais et de le prendre pour juge des o b staples
qu'on opposait au canal de Suez. Que pensent les armateurs,
les commerçants, les négociants, les manufacturiers, les ca-
pitalistes de l'Angleterre, d'un canal qui abrégerait la route de
trois mille lieues sur six mille vers les mers de l'Inde et de la
Chine? Unanimement, vingt meetings Londres, à Liverpool,
à Glasgow, à Manchester, à Birmingham, à Edimbourg, à
Newcastle, à Hull, à Bristol, ont répondu : « Le canal de Suez
est un des plus grands services qu'on puisse rendre au com-
merce anglais et au monde commercial en général. Oui, il
faut ouvrir au plus vite l'isthme de Suez, quand bien même
les marines de la Méditerranée gagneraieut relativement plus
que l'Angleterre à cette communication nouvelle. »
Ces sentiments étaient aussi honorables que sensés. Mais
lord Palmerston n'a pas voulu s'y associer, et il a tenu à res"
ter en dehors de l'opinion nationale et universelle, Interrogé
trois fois dans le Parlement par M. Berkeley, par M. Griffith,
par M. Estcourt, il a trois fois déclaré que depuis quinze ans
il s'opposait au canal de Suez et qu'il était résplu de toujours
s'y opposer. A ces déclarations déjà bien fâcheuses, il a joint
des formes de langage que la conscience publique a hautement
blâmées, et qui tendaient à présenter cette noble affaire de Suez
sous des couleurs aussi odieuses que fausses. Cependant on a
pu remarquer qu'à chaque fois que le ministre parlait, son
langage devenait moins péremploire et moins violent; et il a
fini par dire que ce n'était pas au nom de l'intérêt de l'Angle-
terre qu'il repoussait l'ouverture de l'isthme, mais que c'était
uniquement dans l'intérêt de la Turquie. Or vous savez, Mes-
sieurs,, que la Turquie a manifesté son acquiescement des
1855 dans une lettre du Grand Vizir; et elle eût donné dès co
temps sa ratification, sans les obstacles qui sont survenus.
Mais cette opposition obstinée de lord Palmerston * suscité
des défenseurs nouveaux et puissants, entre autres M. de Bruck ,
ministre des finances d'Autriche, et M. Gladstone, membre du
Parlement anglais et ancien Chancelier de l'chiquier, Dans
un banquet solennel, à l'puverture du chemin de fer de Trieste,
M. de Bruck a porté un toa-U au succès du canal de Suez; et
il a ajouté que cette magnifique entreprise ne serait pas arrêtée
par le mauvais vouloir d'un seul gouvernement, puisqu'il
était désormais constaté qu'elle était utile au monde'entier, et
au commerce anglais tout le premier. Quant à M. Gladstone,
il a qéploré, avec cette éloquence qui lui est propre, que
l'ambassadeur anglais à Constantinople fût en désaccord sur
ce point avec l'ambassadeur de France; et il a adjuré le Pre-
mier Ministre de ne pas commettre l'imprudence de se brouil-
ler, pour une question où il avait tort, avec l'Europe, avec la
France surtout. M. Gladstone est même allé jusqu'à dire que
cette mésintelligence du gouvernement anglais avec l'Europe
sur un intérêt de civilisation et d'humanité lui semblait plus
fâcheuse que dix insurrections militaires dans les Indes.
A ces deux témoignages si éclatants et si décisifs de MM. de
Bruck et Gladstone, il faut joindre les prptpstations des Chambres
de commerce de l'Angleterre. Bristol, Liverpool et Newcastle
ont déjà exprimé leur blâme énergique du langage et des
opinions du Premier Ministre, et d'autres corporations com-
merciales suivront certainement cet exemple.
Enfin, Messieurs, vous savez que les Conseils généraux de
l'Empire français et les Chambres de commerce de France,
saisis de la question par M. de Lesseps, viennen t de se pro-
noncer; et leur adhésion après tant d'adhésions diverses et
considérables ne peut que bâter la solutipn que tout le monde
désire et qui ne peut se faire longtemps attendre.
Telles sont, Messieurs, les considérations que je voulais
vous soumettre, et qui, je l'espère, décideront votre yotp cette
année, comme l'ont décidé l'année dernière dps considérations
analogues. Dans les entreprises du genre de celle-ci, il faut
s'attendre à beaucoup d'obstacles; et l'on doit se préparer à
une longue patience. Il s'agit aq fond de changer encore une
fois, et avec un immense profit pour tout le monde, la route
du commerce universel. C'est une grande modification dans
l'état actuel des choses; et par conséquent il doit y avoir en
ceci, comme en tout, des esprits arriérés et lents qui ne se
rendent pas aussitôt qu'on le voudrait, même quand chacun
organes, les a popularisés, et les a portés à la connaissance
sympathique du monde entier. Mais je vous dirai, puisque
vous m'accordez quelques instants de votre attention, quels
progrès immenses a faits depuis un an cette question à laquelle
tous les peu ples s'intéressent avec une ardeur et une passion
qui chaque jour vont croissant.
D'abord le projet définitif et si vivement attendu de la Com-
mission internationale a paru vers la fin de l'année dernière;
et ce projet, fruit de trois années d'études et de recherches
consciencieuses et complètes, a reçu la sanction de tous les
corps savants de l'Europe. L'Institut impérial de France lui-
même a cru devoir y porter son examen; et par l'organe de
M. le baron Charles Dupin, ce tribunal suprême a donné sa
pleine approbation. Une foule de sociétés distinguées moins
illustres si l'on veut, mais très-compétentes aussi, ont imité
l'Institut de France; ou même elles l'avaient quelquefois de-
vancé par leur adhésion spontanée.
Ainsi, sous le rapport de la science rien ne malfque au projet.
Discuté et arrêté par les plus habiles ingénieurs de l'Europe,
il est sorti de leurs mains pour être soumis à la critique de
tous les hommes qui peuvent avoir une voix autorisée dans
ces débats. L'approbation a été universelle. Mais je me trompe :
tout récemment M. Stephenson, le fils de l'illustre ingénieur,
a tenté dans le Parlement anglais, et sous la pression de la po-
litique, d'élever quelques objections contre le projet de la
Commission internationale. Il s'est attiré de la part de M. Pa-
léocapa, mon illustre compatrio'e et mon ami, une réponse
écrasante; et il a été prouvé que, si M. Stephenson était docile
aux suggestions du Premier Ministre, lord Palmerston, il
n'avait pas été assez attentif aux détails du projet qu'il essayait
de critiquer. Ou plutôt les ingénieurs de la Commission inter-
nationale, M. Paléocapa en tête, ont démontré à M. Stephen-
son qu'il n'avait pas même lu le docurpent dont il hasardait
de parler, et qu'il entassait méprises sur méprises, erreurs
sur erreurs.
En un mot, Messieurs, la science a prononcé sur le projet
du canal de Suez son verdict définitif; et ce verdict est désor-
mais sans appel pour tous les esprits éclairés et de bonne foi.
Mais, vous le savez aussi, Messieurs, la question du canal
de Suez n'est pas seulement scientifique et industrielle. La po-
litique s'en est emparée; et sans entrer ici sur ce domaine re-
doutable, je puis bien vous dire quelques mots de ce que tout
le monde sait et de ce qu'ont répété tous les journaux de
l'Europe, de l'Amérique et de l'Asie.
Tous leq peuples, tous les gouvernements, un seul excepté,
ont donné les mains à un prqjet qui dqjt être utile à tout le
monde sans pouvoir jamais nQir 3, personne.
Cette exception déplorable, c'est celle, je ne dois pas dire
du gouvernement anglais, mais de lord Palmerston et de lord
Strattrord de Redrliffe. Cette opposition sourde qu'pn faisait au
projet depuis deux ans passés, les promoteurs du canal s'en
étaient plaints à voix basse, espérant toujours l'adoucir et la
ramenpr. Mais M, de Lesseps, après avoir consulté toute l'Eu..
rope et avoir recueilli partout les témoignages que vous savez,
prit le très-npble et très-sage parti de porter le débat devant
le peuple anglais et de le prendre pour juge des obstaç!es
le peuple anglais et de le prendre pour juge des o b staples
qu'on opposait au canal de Suez. Que pensent les armateurs,
les commerçants, les négociants, les manufacturiers, les ca-
pitalistes de l'Angleterre, d'un canal qui abrégerait la route de
trois mille lieues sur six mille vers les mers de l'Inde et de la
Chine? Unanimement, vingt meetings Londres, à Liverpool,
à Glasgow, à Manchester, à Birmingham, à Edimbourg, à
Newcastle, à Hull, à Bristol, ont répondu : « Le canal de Suez
est un des plus grands services qu'on puisse rendre au com-
merce anglais et au monde commercial en général. Oui, il
faut ouvrir au plus vite l'isthme de Suez, quand bien même
les marines de la Méditerranée gagneraieut relativement plus
que l'Angleterre à cette communication nouvelle. »
Ces sentiments étaient aussi honorables que sensés. Mais
lord Palmerston n'a pas voulu s'y associer, et il a tenu à res"
ter en dehors de l'opinion nationale et universelle, Interrogé
trois fois dans le Parlement par M. Berkeley, par M. Griffith,
par M. Estcourt, il a trois fois déclaré que depuis quinze ans
il s'opposait au canal de Suez et qu'il était résplu de toujours
s'y opposer. A ces déclarations déjà bien fâcheuses, il a joint
des formes de langage que la conscience publique a hautement
blâmées, et qui tendaient à présenter cette noble affaire de Suez
sous des couleurs aussi odieuses que fausses. Cependant on a
pu remarquer qu'à chaque fois que le ministre parlait, son
langage devenait moins péremploire et moins violent; et il a
fini par dire que ce n'était pas au nom de l'intérêt de l'Angle-
terre qu'il repoussait l'ouverture de l'isthme, mais que c'était
uniquement dans l'intérêt de la Turquie. Or vous savez, Mes-
sieurs,, que la Turquie a manifesté son acquiescement des
1855 dans une lettre du Grand Vizir; et elle eût donné dès co
temps sa ratification, sans les obstacles qui sont survenus.
Mais cette opposition obstinée de lord Palmerston * suscité
des défenseurs nouveaux et puissants, entre autres M. de Bruck ,
ministre des finances d'Autriche, et M. Gladstone, membre du
Parlement anglais et ancien Chancelier de l'chiquier, Dans
un banquet solennel, à l'puverture du chemin de fer de Trieste,
M. de Bruck a porté un toa-U au succès du canal de Suez; et
il a ajouté que cette magnifique entreprise ne serait pas arrêtée
par le mauvais vouloir d'un seul gouvernement, puisqu'il
était désormais constaté qu'elle était utile au monde'entier, et
au commerce anglais tout le premier. Quant à M. Gladstone,
il a qéploré, avec cette éloquence qui lui est propre, que
l'ambassadeur anglais à Constantinople fût en désaccord sur
ce point avec l'ambassadeur de France; et il a adjuré le Pre-
mier Ministre de ne pas commettre l'imprudence de se brouil-
ler, pour une question où il avait tort, avec l'Europe, avec la
France surtout. M. Gladstone est même allé jusqu'à dire que
cette mésintelligence du gouvernement anglais avec l'Europe
sur un intérêt de civilisation et d'humanité lui semblait plus
fâcheuse que dix insurrections militaires dans les Indes.
A ces deux témoignages si éclatants et si décisifs de MM. de
Bruck et Gladstone, il faut joindre les prptpstations des Chambres
de commerce de l'Angleterre. Bristol, Liverpool et Newcastle
ont déjà exprimé leur blâme énergique du langage et des
opinions du Premier Ministre, et d'autres corporations com-
merciales suivront certainement cet exemple.
Enfin, Messieurs, vous savez que les Conseils généraux de
l'Empire français et les Chambres de commerce de France,
saisis de la question par M. de Lesseps, viennen t de se pro-
noncer; et leur adhésion après tant d'adhésions diverses et
considérables ne peut que bâter la solutipn que tout le monde
désire et qui ne peut se faire longtemps attendre.
Telles sont, Messieurs, les considérations que je voulais
vous soumettre, et qui, je l'espère, décideront votre yotp cette
année, comme l'ont décidé l'année dernière dps considérations
analogues. Dans les entreprises du genre de celle-ci, il faut
s'attendre à beaucoup d'obstacles; et l'on doit se préparer à
une longue patience. Il s'agit aq fond de changer encore une
fois, et avec un immense profit pour tout le monde, la route
du commerce universel. C'est une grande modification dans
l'état actuel des choses; et par conséquent il doit y avoir en
ceci, comme en tout, des esprits arriérés et lents qui ne se
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