Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-09-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 septembre 1857 10 septembre 1857
Description : 1857/09/10 (A2,N30). 1857/09/10 (A2,N30).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6530629s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
362 L'ISTHME DE SUEZ,
d'une ligne mensuelle de paquebots de Southampton, route
de l'Overland,. Bengale, ou à telle Présidence qui demanderait
le plus promptement des renforts. La flotte que possède la
Compagnie se compose de huit steamers à hélice, déjà très-
favorablement connus durant la dernière guerre, et grande-
ment capables, ainsi qu'il est à notre connaissance, de satis-
faire au service proposé. Quatre de ces navires ont déjà été
affrétés par la Compagnie des Indes orientales. Ce sont : -
la Toison d'or, de 2,700 tonneaux; le Lady Jocelyn, de
2,250 tonneaux; la Reine du Midi, de 2,250 tonneaux, et
VHydaspe, de 2,250 tonneaux. Les quatre autres employés
aujourd'hui au commerce entre Brême et New-York, d'une
grandeur pareille ef d'aménagements semblables, seraient,
dit-on, retirés de ce service, et mis à la disposition du Bureau
des Indes orientales pour le voyage des mois d'octobre et de
novembre, afin de former une ligne parfaite de communica-
tion à vapeur pour l'Inde. Le premier de ces navires, déjà
expédié aux Indes, pourrait décharger ses troupes et toucher à
Suez en temps opportun pour recevoir les régiments embar-
qués de Southampton dans le mois d'octobre, soit des réserves,
soit des milices, tandis qu'il pourrait encore remettre à Suez les
troupes malades pour l'Angleterre, puisqu'il aurait touché à
Calcutta ou tout autre Présidence vers la fin de septembre ou
d'octobre. L'exécution de ces arrangements, rapportés ici en
quelques mots, aurait pour résultat une communication directe
et régulière par mois avec l'Inde, ou plus souvent, s'il était
nécessaire, au moyen de navires placés sous le contrôle absolu
du Bureau. Ce qui donnerait la faculté de transporter jusqu'à
Bombay, dans l'espace de quarante-cinq ou cinquante jours
de l'Angleterre, les réserves ou les renforts qui pourraient
être demandés, et avec une promptitude et une certitude
d'expédition qui jusqu'ici n'ont pas encore été obtenues. Un
des points particuliers de ce service c'est que les quatre navires
du côté de l'Inde au delà de l'isthme étant précisément les
mêmes sous le rapport de la grandeur et de l'armement que
ceux du côté de l'Europe, les troupes embarquées en Angle-
terre, partis d'Alexandrie et arrivant à Suez, trouveraient là
les mêmes aménagements qu'ils avaient, il y avait quelques
heures, avant d'être débarqués, avantages qui ne peuvent être
entièrement appréciés que par ceux qui sont familiers avec
les transports des grands corps d'armée. Nous annonçons ce
projet simplement comme il nous a été communiqué; mais
nous devons dire que nous nous associons avec beaucoup d'in-
térêt à son succès, et peut-être nous devrions ajouter aveo
anxiété, sous le point de vue du service public, quant à la
manière dont il sera accueilli par les autorités de Leadenhall.
Dans tous les cas nous pensons qu'il est juste pour toutes les
parties que le public doive être informé de ce qui a trait au
progrès concernant la question si pleine d'un intérêt pénible
pour chacun, et d'une importance si grave pour nous tous. »
On lit dans le Daily News du 25 août :
« Bien des mois s'écouleront encore pendant lesquels la
poignée de héros qui défendent les Indes seront exposés aux
attaques réitérées d'un ennemi très-supérieur en nombre, et
aux attaques plus insidieuses encore mais également fatales
de la maladie. Quelque indomptable que soit leur courage, ils
disparaîtront, l'un après l'autre, comme les fragments d'un
rQc que bat saps cesse le flot de la marée. Une telle perspec-
livè est bien faite pour émouvoir les plus in d o l ents, et les plus
mes ; mais il sem b le qu'e l le n'a pas d'effet sur
)PaJni?B^o^. Lorsque l'autre jour M. Grifflth lui a demandé
? gypte avait consenti au passa g e des trou p es
~a~r~ de^Suez, lord Pa l merston a ré p on d u qu'il n'avait
j ~t a aucune communication avec le Pacha; puis
lord Palmerston a ajouté comme observation additionnelle
que le passage par l'isthme, durant la guerre de Crimée, avait
entraîné beaucoup d'embarras et de dépenses, et Sa Seigneurie
a semblé croire que tout était dit. Chaque jour que se pro-
longe l'insurrection dans l'Inde tend à rendre l'anarchie d'au-
tant plus vaste, et à lui donner des racines d'autant plus pro-
fondes. Chaque jour perdu sans nécessité pour l'envoi des
troupes dans l'Inde ajoute au péril de 15 ou 20,000 soldats
anglais et d'un nombre égal de citoyens, de femmes et d'en-
fants. Cependant le Premier Ministre de l'Angleterre, « l'enfant
gâté du peuple anglais 11 , quand on lui demande d'accélérer
l'envoi des renforts dans l'Inde, pense que c'est une excuse suffi-
sante à son inactivité de dire que s'il se donnait un peu plus de
mal à cette occasion ce serait provoquer des em barras et de la
dépense ; et un nombre de gentlemen qui s'appellent les re-
présentants du peuple anglais ont écouté un pareil discours
sans exprimer ni de surprise, ni d'indignation. Si le public et
la presse ne s'en mêlent pas, on verra recommencer pour
l'Inde ces scandaleux désordres de la Crimée, avec une honte
plus grande encore pour le caractère du gouvernement an-
glais, et des dommages bien plus considérables pour les
intérêts de la nation anglaise. Nous ne croyons pas qu'il y ait
dans ce pays une famille qui soit sans parents, sans amis dans
les Indes. Peut-on se tenir tranquille et voir avec indifférence
les morts rester sans vengeance, et les survivants exposés à
périr, parce qu'on n'aura pas su les secourir à temps, et parce
qu'un ministre craindra la dépense et les embarras pour sau-
ver la vie de quelques-uns des meilleurs et des plus braves
enfants de l'Angleterre? »
Le Sheffield Free Press du 15 août rendait compte
d'une séance du Comité pour les affaires étrangères, et
il ajoutait que M. Maxfield avait écrit la lettre suivante à
ce comité :
« Permettez-moi d'exprimer mes remercîments à l'As-
semblée pour la bonté qu'elle a eue de m'adresser ces remar-
quables ouvrages sur le canal de Suez dont la lecture m'a
tant instruit. J'ai dévoré chaque mot avec avidité. Avant de
les lire, mon esprit était, sur ce sujet, presque aussi barré que
l'isthme de Suez lui-même faute d'instruction. Mon seul désir
aujourd'hui est que ces livres puissent être placés entre les
mains de tout le monde. En les lisant, ainsi que d'autres do-
cuments sur la même matière, je me sens de plus en plus
convaincu que « l'homme juste ne se tient point dans sa juste
» place » je veux parler de lord Palmerston, ou autrement il
ne devrait pas arrêter la marche d'une entreprise aussi noble;
alors que l'on voit que la France, l'Autriche, la Hollande, le
Piémont, l'Italie, la Prusse, l'Espagne, le Portugal, l'Empire
Ottoman et les États-Unis sont tous directement intéressés à
cette entreprise.
» Il est clairement démontré sous maints rapports que
l'Angleterre serait la nation qui gagnerait le plus au point
de vue commercial à l'ouverture du canal de Suez : et c'est
elle qui empêche cette route nouvelle ! Jamais une plus grande
monstruosité n'a frappé le peuple anglais, que cette désap-
probation de lord Palmerston. Le pouvoir de résoudre et
d'agir est en dehors du Parlement; et si la responsabilité est
grande, l'honneur d'agir doit l'être aussi. Il
M. MAX FJELD.
LE « MORNING-HERALD » ET LE CANAL DE SUEZ.
Le Morning Herald traite la question de l'ouverture
d'une ligne mensuelle de paquebots de Southampton, route
de l'Overland,. Bengale, ou à telle Présidence qui demanderait
le plus promptement des renforts. La flotte que possède la
Compagnie se compose de huit steamers à hélice, déjà très-
favorablement connus durant la dernière guerre, et grande-
ment capables, ainsi qu'il est à notre connaissance, de satis-
faire au service proposé. Quatre de ces navires ont déjà été
affrétés par la Compagnie des Indes orientales. Ce sont : -
la Toison d'or, de 2,700 tonneaux; le Lady Jocelyn, de
2,250 tonneaux; la Reine du Midi, de 2,250 tonneaux, et
VHydaspe, de 2,250 tonneaux. Les quatre autres employés
aujourd'hui au commerce entre Brême et New-York, d'une
grandeur pareille ef d'aménagements semblables, seraient,
dit-on, retirés de ce service, et mis à la disposition du Bureau
des Indes orientales pour le voyage des mois d'octobre et de
novembre, afin de former une ligne parfaite de communica-
tion à vapeur pour l'Inde. Le premier de ces navires, déjà
expédié aux Indes, pourrait décharger ses troupes et toucher à
Suez en temps opportun pour recevoir les régiments embar-
qués de Southampton dans le mois d'octobre, soit des réserves,
soit des milices, tandis qu'il pourrait encore remettre à Suez les
troupes malades pour l'Angleterre, puisqu'il aurait touché à
Calcutta ou tout autre Présidence vers la fin de septembre ou
d'octobre. L'exécution de ces arrangements, rapportés ici en
quelques mots, aurait pour résultat une communication directe
et régulière par mois avec l'Inde, ou plus souvent, s'il était
nécessaire, au moyen de navires placés sous le contrôle absolu
du Bureau. Ce qui donnerait la faculté de transporter jusqu'à
Bombay, dans l'espace de quarante-cinq ou cinquante jours
de l'Angleterre, les réserves ou les renforts qui pourraient
être demandés, et avec une promptitude et une certitude
d'expédition qui jusqu'ici n'ont pas encore été obtenues. Un
des points particuliers de ce service c'est que les quatre navires
du côté de l'Inde au delà de l'isthme étant précisément les
mêmes sous le rapport de la grandeur et de l'armement que
ceux du côté de l'Europe, les troupes embarquées en Angle-
terre, partis d'Alexandrie et arrivant à Suez, trouveraient là
les mêmes aménagements qu'ils avaient, il y avait quelques
heures, avant d'être débarqués, avantages qui ne peuvent être
entièrement appréciés que par ceux qui sont familiers avec
les transports des grands corps d'armée. Nous annonçons ce
projet simplement comme il nous a été communiqué; mais
nous devons dire que nous nous associons avec beaucoup d'in-
térêt à son succès, et peut-être nous devrions ajouter aveo
anxiété, sous le point de vue du service public, quant à la
manière dont il sera accueilli par les autorités de Leadenhall.
Dans tous les cas nous pensons qu'il est juste pour toutes les
parties que le public doive être informé de ce qui a trait au
progrès concernant la question si pleine d'un intérêt pénible
pour chacun, et d'une importance si grave pour nous tous. »
On lit dans le Daily News du 25 août :
« Bien des mois s'écouleront encore pendant lesquels la
poignée de héros qui défendent les Indes seront exposés aux
attaques réitérées d'un ennemi très-supérieur en nombre, et
aux attaques plus insidieuses encore mais également fatales
de la maladie. Quelque indomptable que soit leur courage, ils
disparaîtront, l'un après l'autre, comme les fragments d'un
rQc que bat saps cesse le flot de la marée. Une telle perspec-
livè est bien faite pour émouvoir les plus in d o l ents, et les plus
mes ; mais il sem b le qu'e l le n'a pas d'effet sur
)PaJni?B^o^. Lorsque l'autre jour M. Grifflth lui a demandé
? gypte avait consenti au passa g e des trou p es
~a~r~ de^Suez, lord Pa l merston a ré p on d u qu'il n'avait
j ~t a aucune communication avec le Pacha; puis
lord Palmerston a ajouté comme observation additionnelle
que le passage par l'isthme, durant la guerre de Crimée, avait
entraîné beaucoup d'embarras et de dépenses, et Sa Seigneurie
a semblé croire que tout était dit. Chaque jour que se pro-
longe l'insurrection dans l'Inde tend à rendre l'anarchie d'au-
tant plus vaste, et à lui donner des racines d'autant plus pro-
fondes. Chaque jour perdu sans nécessité pour l'envoi des
troupes dans l'Inde ajoute au péril de 15 ou 20,000 soldats
anglais et d'un nombre égal de citoyens, de femmes et d'en-
fants. Cependant le Premier Ministre de l'Angleterre, « l'enfant
gâté du peuple anglais 11 , quand on lui demande d'accélérer
l'envoi des renforts dans l'Inde, pense que c'est une excuse suffi-
sante à son inactivité de dire que s'il se donnait un peu plus de
mal à cette occasion ce serait provoquer des em barras et de la
dépense ; et un nombre de gentlemen qui s'appellent les re-
présentants du peuple anglais ont écouté un pareil discours
sans exprimer ni de surprise, ni d'indignation. Si le public et
la presse ne s'en mêlent pas, on verra recommencer pour
l'Inde ces scandaleux désordres de la Crimée, avec une honte
plus grande encore pour le caractère du gouvernement an-
glais, et des dommages bien plus considérables pour les
intérêts de la nation anglaise. Nous ne croyons pas qu'il y ait
dans ce pays une famille qui soit sans parents, sans amis dans
les Indes. Peut-on se tenir tranquille et voir avec indifférence
les morts rester sans vengeance, et les survivants exposés à
périr, parce qu'on n'aura pas su les secourir à temps, et parce
qu'un ministre craindra la dépense et les embarras pour sau-
ver la vie de quelques-uns des meilleurs et des plus braves
enfants de l'Angleterre? »
Le Sheffield Free Press du 15 août rendait compte
d'une séance du Comité pour les affaires étrangères, et
il ajoutait que M. Maxfield avait écrit la lettre suivante à
ce comité :
« Permettez-moi d'exprimer mes remercîments à l'As-
semblée pour la bonté qu'elle a eue de m'adresser ces remar-
quables ouvrages sur le canal de Suez dont la lecture m'a
tant instruit. J'ai dévoré chaque mot avec avidité. Avant de
les lire, mon esprit était, sur ce sujet, presque aussi barré que
l'isthme de Suez lui-même faute d'instruction. Mon seul désir
aujourd'hui est que ces livres puissent être placés entre les
mains de tout le monde. En les lisant, ainsi que d'autres do-
cuments sur la même matière, je me sens de plus en plus
convaincu que « l'homme juste ne se tient point dans sa juste
» place » je veux parler de lord Palmerston, ou autrement il
ne devrait pas arrêter la marche d'une entreprise aussi noble;
alors que l'on voit que la France, l'Autriche, la Hollande, le
Piémont, l'Italie, la Prusse, l'Espagne, le Portugal, l'Empire
Ottoman et les États-Unis sont tous directement intéressés à
cette entreprise.
» Il est clairement démontré sous maints rapports que
l'Angleterre serait la nation qui gagnerait le plus au point
de vue commercial à l'ouverture du canal de Suez : et c'est
elle qui empêche cette route nouvelle ! Jamais une plus grande
monstruosité n'a frappé le peuple anglais, que cette désap-
probation de lord Palmerston. Le pouvoir de résoudre et
d'agir est en dehors du Parlement; et si la responsabilité est
grande, l'honneur d'agir doit l'être aussi. Il
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