Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-07-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 10 juillet 1857 10 juillet 1857
Description : 1857/07/10 (A2,N26). 1857/07/10 (A2,N26).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65306254
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
236 L'ISTHME DE SUEZ,
même temps, je pense que a discussion de ces divers points a
pris assez de temps pour démontrer combien il est important
que l'on fasse de tels projets un objet de discussion publique.
(Écoulez, écoulez!) M. Fowler, certainement, a envisagé la
chose d'un point de vue nouveau; mais si toute la question ne
dépendait que de cette considération , il me semble que la ré-
ponse ne serait pas difficile à trouver. Car j'en suis persuadé,
l'honorable gentleman admettra que rien n'est plus propre à
introduire la civilisation et la prospérité chez un peuple comme
celui des Égyptiens que de grands travaux de la nature du
canal et des chemins de fer. (Écoutez! écoutez!) Il a été dit
par une haute autorité que le commerce était le grand civi-
lisateur du monde. Et pourquoi l'Egypte ne participerait-elle
pas à ces avantages? (Écoutez, écoutez!) En ce qui concerne
l'argument du « travail forcé » , je vous demande quelle quan-
tité de « travail forcé n a-t-il été nécessaire d'employer aux
chemins de fer actuellement en construction dans l'Égypte et
dans l'Inde? (Écoutez, écoutez!) Et cependant il n'y a pas
encore si longtemps que de pareilles entreprises, dans ces
pays, étaient considérées comme purement chimériques
comme, par exemple, le grand télégraphe à travers l'océan'
Atlantique, qui offrira les plus grands avantages non-seule-
ment à toute l'Europe, mais au monde civilisé entier. (Écou-
tez, écoutez!) Je maintiens que ce canal ne sera pas moins
avantageux, non-seulement pour le monde commercial de
Londres, mais aussi pour toute l'Europe; et je suis heureux
de dire que ce n'est pas une entreprise qui réclame l'assistance
du gouvernement de ce pays; car dans ce pays, toute grande
entreprise commerciale est l'œuvre de quelques hommes de
commerce, entièrement indépendants des secours du gouver-
nement, quand même il serait désirable que le gouvernement
accordât son appui à une œuvre d'une telle grandeur; mais
nous pouvons marcher sans lui, comme nous l'avons vu dans
le cas du chemin de fer de l'Euphrate, qui sera une œuvre de
la plus grande importance, n
M. LAXGE. CI M. de Lesseps vient d'expliquer la manière dont
les travailleurs seront employés, et je puis affirmer que la
crainte de M. Fowler, que le travail ne doive être du travail
forcé, est tout à fait dénuée de fondement. (Écoutez, écoutez!)
Je crois qu'autrefois, il y a déjà longtemps, on a dû avoir re-
cours au travail forcé; mais ces temps sont passés, et il n'est
plus nécessaire. (Écoutez, écoutez!) — M. Fowler a dit en-
core que ce canal sera moins avantageux pour l'Égypte qu'un
chemin de fer; mais ce n'est pas le profit qui doit échoir à ce
pays que nous discutons aujourd'hui; il s'agit @ des avantages
que cette entreprise donnera à l'Angleterre (Écoutez, écou-
tez!) Cet argument que les avantages résultant du canal pour
l'Egypte ne sont pas grands, je le considère même comme
très-favorable au projet; car il fait voir au moins que le plan
n'a pas été engendré par une politique égoïste, tandis que
d'un autre côté on admet que le canal sera d'un avantage
presque incalculable pour ce pays. (Écoutez, écoutez!) Qu'il
soit ou non avantageux pour l'Égypte, c'est une question qui
regarde le Vice-roi, et il sait mieux que personne comment
traiter ses propres affaires. (Écoutez, écoutez!) M. Arbuthnot
a dit qu'il y a un côté politique du projet; mais comme il a
très-bien observé, il ne s'agit pas dans ce moment de cette
question; tout ce que nous demandons à ce meeting est d'ex-
primer une opinion sur l'utilité de l'entreprise et sur son im-
portance pour les intérêts commerciaux de ce grand pays.
(Écoutez, écoutez!) Si vous prêtez votre concours à ce point
de vue, vous ne ferez que ce qui a déjà été fait par les villes
de commerce les plus importantes de ce pays, ainsi que de
l'Ecosse et de l'Irlande, par exemple, Liverpool, Manchester,
Dublin, Cork, Belfast, Glasgow, Édinburg, Aberdeen, New-
castle, Hull, Bristol et Birmingham. Partout des résolutions
favorables ont été adoptées, et dans beaucoup de ces villes la
nécessité de soumettre les résolutions à leurs représentants au
Parlement a été fortement mise en avant pour vaincre toute
opposition de la part du gouvernement de ce pays. Jusqu'au-
jourd'hui le gouvernement anglais s'est tenu à l'écart, et n'a
exprimé publiquement aucune opinion; mais si quelque oppo-
sition existe, tout ce que nous demandons, c'est que les rai-
sons en soient franchement et ouvertement expliquées ; alors
il restera à voir si l'on permettra que les craintes de fantômes
politiques empêchent la construction d'un projet admis par la
voix générale de ce pays comme étant d'un avantage immense
pour ses intérêts commerciaux. Aujourd'hui nous venons au
inilieu de vous, Messieurs, représentants de la plus grande
cité commerciale du monde, vous demander de prononcer
votre verdict et de couronner nos efforts de votre sanction et
de votre approbation. n (M. Lange reprend sa place, accompa-
gné de vifs applaudissements).
M. FOWLER. « Me sera-t-il permis de dire quelques mots en
réponse ? Je n'ai pas mis en doute les avantages que l'Égypte
retirerait de l'introduction de chemins de fer ou de canaux
dans ce pays; mais ce que je dis, c'est que le canal projeté
ne traversera aucune partie de @ l'Egypte; qu'il sera au con-
traire à 70 ou 80 milles de l'Egypte, du moins des parties
cultivées de ce pays. Il ne peut donc pas être si avantageux
pour ce pays qu'un chemin de fer traversant directement le
centre de l'Egypte ; mais ce canal doit passer en vérité à tra-
vers un désert, et il ne sera de nul avantage pour aucun en-
droit. Il a été dit que le Vice-roi avancera de ses propres reve-
nus la somme de 1,200,000 livres sterl. pour la construction
de ce canal, et qu'il se chargera d'approvisionner les travail-
leurs au prix de 10 deniers par jour. Or, je dis que le Vice-roi
se remboursera de ses avances sur les salaires des fellahs, et
que bien loin de recevoir 10 deniers par jour, ils ne recevront
en réalité qu'un penny. Quant au mode d'employer ces tra-
vailleurs, j'en appelle à tout gentleman dans cette salle qui
connaît un peu l'Égypte, et je lui demande si ce n'est point
un fait que ces pauvres misérables créatures sont enlevées de
leurs terres et forcées de travailler comme des esclaves en me-
nant une existence des plus misérables. J'ai connu plus d'un
de ces malheureux qui étaient forcés de passer toute une
journée pour ne recevoir aucune espèce de nourriture. Je
parle avec une expérience de dix ans que j'ai passés en Egypte ;
et quoique pendant ce temps je n'aie pas eu le bonheur d'avoir
des relations avec les personnages élevés et puissants, comme
M. de Lesseps en a eu, cependant mes occupations dans ce
pays m'ont mis en état d'avoir quelque connaissance du
peuple, de ses mœurs et habitudes, et particulièrement des
fellahs; et je dis, qu'après ce que j'ai vu, si cette entre-
prise doit être exécutée par le travail des fellahs, leur con-
dition sera pire que celle des esclaves des Indes occidentales
n'a jamais été. Je sais que lorsque le canal de Mahmoudieh
était en voie de construction, les fellahs y ont été traînés
par force, et qu'ils ont été laissés souvent toute une journée
sans un morceau de nourriture, et qu'ils ont été payés non
pas 10 deniers par jour, mais 30 paras, ce qui fait à peu
près 1 denier 1/2 de notre monnaie. Je sais aussi que le che-
min de fer du Caire a été construit à l'aide de travail forcé,
et les travailleurs n'ont pas été payés plus de 2 deniers par
jour. »
M. DE LESSEPS. (Voir ce second discours plus haut).
M. ARBUTHXOT. « J'ai l'honneur de proposer au meeting une
résolution que j'ai entie les mains, et qui, je l'espère, trouvera
même temps, je pense que a discussion de ces divers points a
pris assez de temps pour démontrer combien il est important
que l'on fasse de tels projets un objet de discussion publique.
(Écoulez, écoulez!) M. Fowler, certainement, a envisagé la
chose d'un point de vue nouveau; mais si toute la question ne
dépendait que de cette considération , il me semble que la ré-
ponse ne serait pas difficile à trouver. Car j'en suis persuadé,
l'honorable gentleman admettra que rien n'est plus propre à
introduire la civilisation et la prospérité chez un peuple comme
celui des Égyptiens que de grands travaux de la nature du
canal et des chemins de fer. (Écoutez! écoutez!) Il a été dit
par une haute autorité que le commerce était le grand civi-
lisateur du monde. Et pourquoi l'Egypte ne participerait-elle
pas à ces avantages? (Écoutez, écoutez!) En ce qui concerne
l'argument du « travail forcé » , je vous demande quelle quan-
tité de « travail forcé n a-t-il été nécessaire d'employer aux
chemins de fer actuellement en construction dans l'Égypte et
dans l'Inde? (Écoutez, écoutez!) Et cependant il n'y a pas
encore si longtemps que de pareilles entreprises, dans ces
pays, étaient considérées comme purement chimériques
comme, par exemple, le grand télégraphe à travers l'océan'
Atlantique, qui offrira les plus grands avantages non-seule-
ment à toute l'Europe, mais au monde civilisé entier. (Écou-
tez, écoutez!) Je maintiens que ce canal ne sera pas moins
avantageux, non-seulement pour le monde commercial de
Londres, mais aussi pour toute l'Europe; et je suis heureux
de dire que ce n'est pas une entreprise qui réclame l'assistance
du gouvernement de ce pays; car dans ce pays, toute grande
entreprise commerciale est l'œuvre de quelques hommes de
commerce, entièrement indépendants des secours du gouver-
nement, quand même il serait désirable que le gouvernement
accordât son appui à une œuvre d'une telle grandeur; mais
nous pouvons marcher sans lui, comme nous l'avons vu dans
le cas du chemin de fer de l'Euphrate, qui sera une œuvre de
la plus grande importance, n
M. LAXGE. CI M. de Lesseps vient d'expliquer la manière dont
les travailleurs seront employés, et je puis affirmer que la
crainte de M. Fowler, que le travail ne doive être du travail
forcé, est tout à fait dénuée de fondement. (Écoutez, écoutez!)
Je crois qu'autrefois, il y a déjà longtemps, on a dû avoir re-
cours au travail forcé; mais ces temps sont passés, et il n'est
plus nécessaire. (Écoutez, écoutez!) — M. Fowler a dit en-
core que ce canal sera moins avantageux pour l'Égypte qu'un
chemin de fer; mais ce n'est pas le profit qui doit échoir à ce
pays que nous discutons aujourd'hui; il s'agit @ des avantages
que cette entreprise donnera à l'Angleterre (Écoutez, écou-
tez!) Cet argument que les avantages résultant du canal pour
l'Egypte ne sont pas grands, je le considère même comme
très-favorable au projet; car il fait voir au moins que le plan
n'a pas été engendré par une politique égoïste, tandis que
d'un autre côté on admet que le canal sera d'un avantage
presque incalculable pour ce pays. (Écoutez, écoutez!) Qu'il
soit ou non avantageux pour l'Égypte, c'est une question qui
regarde le Vice-roi, et il sait mieux que personne comment
traiter ses propres affaires. (Écoutez, écoutez!) M. Arbuthnot
a dit qu'il y a un côté politique du projet; mais comme il a
très-bien observé, il ne s'agit pas dans ce moment de cette
question; tout ce que nous demandons à ce meeting est d'ex-
primer une opinion sur l'utilité de l'entreprise et sur son im-
portance pour les intérêts commerciaux de ce grand pays.
(Écoutez, écoutez!) Si vous prêtez votre concours à ce point
de vue, vous ne ferez que ce qui a déjà été fait par les villes
de commerce les plus importantes de ce pays, ainsi que de
l'Ecosse et de l'Irlande, par exemple, Liverpool, Manchester,
Dublin, Cork, Belfast, Glasgow, Édinburg, Aberdeen, New-
castle, Hull, Bristol et Birmingham. Partout des résolutions
favorables ont été adoptées, et dans beaucoup de ces villes la
nécessité de soumettre les résolutions à leurs représentants au
Parlement a été fortement mise en avant pour vaincre toute
opposition de la part du gouvernement de ce pays. Jusqu'au-
jourd'hui le gouvernement anglais s'est tenu à l'écart, et n'a
exprimé publiquement aucune opinion; mais si quelque oppo-
sition existe, tout ce que nous demandons, c'est que les rai-
sons en soient franchement et ouvertement expliquées ; alors
il restera à voir si l'on permettra que les craintes de fantômes
politiques empêchent la construction d'un projet admis par la
voix générale de ce pays comme étant d'un avantage immense
pour ses intérêts commerciaux. Aujourd'hui nous venons au
inilieu de vous, Messieurs, représentants de la plus grande
cité commerciale du monde, vous demander de prononcer
votre verdict et de couronner nos efforts de votre sanction et
de votre approbation. n (M. Lange reprend sa place, accompa-
gné de vifs applaudissements).
M. FOWLER. « Me sera-t-il permis de dire quelques mots en
réponse ? Je n'ai pas mis en doute les avantages que l'Égypte
retirerait de l'introduction de chemins de fer ou de canaux
dans ce pays; mais ce que je dis, c'est que le canal projeté
ne traversera aucune partie de @ l'Egypte; qu'il sera au con-
traire à 70 ou 80 milles de l'Egypte, du moins des parties
cultivées de ce pays. Il ne peut donc pas être si avantageux
pour ce pays qu'un chemin de fer traversant directement le
centre de l'Egypte ; mais ce canal doit passer en vérité à tra-
vers un désert, et il ne sera de nul avantage pour aucun en-
droit. Il a été dit que le Vice-roi avancera de ses propres reve-
nus la somme de 1,200,000 livres sterl. pour la construction
de ce canal, et qu'il se chargera d'approvisionner les travail-
leurs au prix de 10 deniers par jour. Or, je dis que le Vice-roi
se remboursera de ses avances sur les salaires des fellahs, et
que bien loin de recevoir 10 deniers par jour, ils ne recevront
en réalité qu'un penny. Quant au mode d'employer ces tra-
vailleurs, j'en appelle à tout gentleman dans cette salle qui
connaît un peu l'Égypte, et je lui demande si ce n'est point
un fait que ces pauvres misérables créatures sont enlevées de
leurs terres et forcées de travailler comme des esclaves en me-
nant une existence des plus misérables. J'ai connu plus d'un
de ces malheureux qui étaient forcés de passer toute une
journée pour ne recevoir aucune espèce de nourriture. Je
parle avec une expérience de dix ans que j'ai passés en Egypte ;
et quoique pendant ce temps je n'aie pas eu le bonheur d'avoir
des relations avec les personnages élevés et puissants, comme
M. de Lesseps en a eu, cependant mes occupations dans ce
pays m'ont mis en état d'avoir quelque connaissance du
peuple, de ses mœurs et habitudes, et particulièrement des
fellahs; et je dis, qu'après ce que j'ai vu, si cette entre-
prise doit être exécutée par le travail des fellahs, leur con-
dition sera pire que celle des esclaves des Indes occidentales
n'a jamais été. Je sais que lorsque le canal de Mahmoudieh
était en voie de construction, les fellahs y ont été traînés
par force, et qu'ils ont été laissés souvent toute une journée
sans un morceau de nourriture, et qu'ils ont été payés non
pas 10 deniers par jour, mais 30 paras, ce qui fait à peu
près 1 denier 1/2 de notre monnaie. Je sais aussi que le che-
min de fer du Caire a été construit à l'aide de travail forcé,
et les travailleurs n'ont pas été payés plus de 2 deniers par
jour. »
M. DE LESSEPS. (Voir ce second discours plus haut).
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