Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-07-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juillet 1857 10 juillet 1857
Description : 1857/07/10 (A2,N26). 1857/07/10 (A2,N26).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65306254
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 235
somme, et que l'œuvre ne peut être achevée en 7 ou 8 ans.
J'ai la conviction qu'il est impossible de l'achever avant 20 ou
30 ans.
» Nous avons entendu parler d'une œuvre semblable, entre-
prise sur les bords du Nil par Méhémet-Ali ; cet ouvrage au-
rait sans doute offert des avantages nombreux pour l'Egypte,
et on y a travaillé avec énergie lorsque j'habitai l'Egypte pen-
dant le règne de Méhémet-Ali. Mais après sa mort le travail
fut abandonné, et la même chose pourrait bien arriver pour
l'entreprise dont il s'agit aujourd'hui; elle peut être commen-
cée sous le règne de Saïd-Pacha et avancer tant qu'il est
vivant; mais il peut mourir dans deux ou trois ans, car ces
Vice-rois n'ont pas la vie bien longue; et s'il meurt dans ce
temps, alors permettez-moi de demander ce que deviendra
l'entreprise? Il se peut bien que son successeur ne permette
pas à un seul homme d'être employé aux travaux. Je dis donc
qu'en considérant ce projet d'un point de vue philanthropique,
je pense que c'est une entreprise à laquelle le monde com-
mercial de Londres ne doit jamais donner sa sanction , attendu
que c'est une entreprise proposée pour être exécutée au moyen
du travail d'esclaves. »
CI M. LAXGE. L'honorable gentleman qui vient d'adresser la
parole à l'assemblée a exprimé ses doutes sur la possibilité
d'exécuter cette entreprise ; il a de plus avancé des argu-
ments contre le projet en priant l'assemblée de le considérer
du « point de vue philanthropique, » et il a prétendu qu'il ne
peut être accompli qu'au moyen de corvées forcées ou de tra-
vail d'esclaves. Je tâcherai de répondre à ces objections par
un petit nombre de faits. D'abord l'honorable gentleman pa-
raît ignorer ce fait, que pendant les deux dernières années
toutes les démarches possibles ont été faites pour s'assurer que
le projet est exécutable. Rien n'a été négligé quant aux moyens
que la plus mûre délibération pouvait conseiller pour arriver
à cette conclusion. (Ecoutez, écoutez !) Le projet a été soumis
à quelques-uns des plus éminents et des plus habiles ingé-
nieurs de l'Europe, et ces messieurs se sont rendus sur les
lieux pour examiner tout le terrain traversé par le canal, le
Vice-roi étant décidé à ne négliger rien pour dissiper toute
espèce de doutes sur la possibilité de l'entreprise ; et à pré-
sent, pour que le meeting ne conserve plus aucun doute à ce
sujet, je citerai les noms des ingénieurs auteurs du rapport
sur le projet, et ce rapport parle par lui-même. Voici les
noms de ces messieurs. »
M. Lange donne ici les noms de tous les membres de la
Commission internationale, que nos lecteurs connaissent par-
faitement. Puis il continue :
Il Or, je pense que les noms de ces messieurs sont une ga-
rantie suffisante de leur honorabilité, et ils ont été de l'avis
unanime que l'entreprise est parfaitement praticable. (Ecoutez,
écoutez!) Au meeting de Bristol, M. Slaughter a dit que feu
M. Rendel lui a assuré qu'il considérait l'entreprise non-seu-
lement comme une œuvre d'une grande importance nationale,
mais aussi comme une œuvre ne présentant aucune espèce
de difficultés qui ne pourraient être surmontées. (Ecoutez,
écoutez!) Voilà ce que je dirai relativement à la possibilité
de l'entreprise. J'ajouterai à présent un mot ou deux sur l'en-
treprise du Il point de vue philanthropique, » sur lequel l'ho-
norable gentleman a insisté si longtemps. Je le prie ainsi que
le meeting de se rappeler que l'Egypte, sous les anciennes
dynasties , était un pays très-différent de ce qu'elle est aujour-
d'hui, et qu'elle a fait dans les dernières années de grands
pas vers la civilisation et l'amélioration de la situation des
populations. C'est précisément à l'égard du Vice-roi actuel
que je puis dire que personne ne peut faire plus pour ses
sujets qu'il n'a fait depuis son avènement au pouvoir. (Ecou-
tez, écoutez!) Dernièrement il a fail un voyage dans ses pro-
vinces du Soudan, et s'est assuré par ses propres yeux de
leur état et de ce qu'il fallait surtout au peuple pour améliorer
sa position. (Écoutez, écoutez!) Il a nommé cinq nouveaux
gouverneurs; et quelque étrange que cela paraisse, il a
nommé un chrétien gouverneur d'une de ses plus vastes pro-
vinces, en dépit des représentations de ses conseillers. (Écou-
tez, écoutez ! ) Je dois encore ajouter que les impôts, qui sous
les anciens régimes pesaient lourdement sur le peuple, ont
subi une complète révision par le Vice- roi actuel, et qu'il les
a considérablement réduits. Il a donné ordre à ses scheiks de
veiller avec soin sur les besoins de ses sujets, de les traiter
avec douceur, de percevoir les impôts avec indulgence; et
afin d'empêcher les agents de montrer tiop de zèle pour les
intérêts de leurs maîtres, ils ont des instructions pour se
procurer le taux des fermages exigés par les propriétaires de
terre en cas qu'il existe des doutes, et de percevoir les taxes,
quand ils ne sont pas occupés à la moisson pour ne pas en-
traver les travaux. Il a pris également une foule de mesures
d'une grande utilité publique, qui démontrent toutes combien
il est préoccupé à faire le bien de ses sujets, et améliorer leur
condition sociale et morale. (Ecoutez, écoutez!) Ensuite, à
l'égard de ce qu'a dit l'honorable gentleman sur Il l'esclavage
et les pauvres gens enlevés à leurs paisibles demeures, 11 et tout
le reste, je puis dire seulement que ceux qui seront employés à
l'entreprise seront des travailleurs libres, et aucun d'eux ne
sera forcé. Au contraire, ils ne seront que trop heureux de
profiter de l'occasion d'être employés à ces travaux; et cela
pour la meilleure raison possible, savoir, parce qu'ils seront
payés un franc par jour, à peu près trois fois autant qu'ils
reçoivent aujourd'hui pour leur travail chez eux. (Ecoutez,
écoutez !) Ensuite c'est la seule classe de gens qui puisse être
employée aux travaux; car nos ouvriers ne pourraient jamais
travailler exposés aux rayons du soleil brûlant de ce climat,
auquel la population de ce pays est habituée dès la jeunesse,
de sorte que le travail n'épuise pas si vite leurs forces. (Ecou-
tez, écoutez! ) Puis à cause de la grandeur de l'entreprise, il
est très-important d'avoir un travail à bon marché, et nous
ne pourrions pas l'avoir si nous étions obligés d'employer nos
ouvriers; mais le meeting peut être sûr que ce sera du travail
libre et pas le travail d'esclaves , comme l'honorable gentle-
man le craint. (Écoutez, écoutez!) Je suis heureux de pouvoir
dire que le Vice-roi, qui est un très-ancien ami de M. de Les-
seps, est aussi un ami ardent du progrès et des améliorations,
et quant à ce qu'a dit M. Fowler sur le projet qu'il était plus
digne du temps des Pharaons et des pyramides, bon Dieu,
messieurs , je vous fais juges; est-ce là un argument qui peut
être avancé contre une grande œuvre nationale et publique,
dans cette époque de civilisation, de science et de progrès?
Sera-t-il dit au monde que dans un meeting représentant les
intérêts commerciaux de cette vaste métropole, de pareilles
manières de voiront trouvé un écho ou un seul appui? Je ne
puis le croire et je suis pleinement persuadé qu'elles ne seront
partagées par aucun gentleman présent à cette assemblée.
(Écoutez, écoutez!) Réellement je me perds à comprendre
sur quels fondements un pareil argument a été avancé. » (Vifs
applaudissements ).
M. GOODLIFF. C Monsieur le président, il me semble que nous
ne sommes pas venus ici pour discuter les détails sur lesquels a
insisté M. Fowler, ou les frais de l'entreprise ou la nature du
travail par lequel elle doit être exécutée; tout cela ce sont des
questions de considération future, en cas que nous admettions
aujourd'hui la possibilité du projet. (Écoutez, écoutez!) En
somme, et que l'œuvre ne peut être achevée en 7 ou 8 ans.
J'ai la conviction qu'il est impossible de l'achever avant 20 ou
30 ans.
» Nous avons entendu parler d'une œuvre semblable, entre-
prise sur les bords du Nil par Méhémet-Ali ; cet ouvrage au-
rait sans doute offert des avantages nombreux pour l'Egypte,
et on y a travaillé avec énergie lorsque j'habitai l'Egypte pen-
dant le règne de Méhémet-Ali. Mais après sa mort le travail
fut abandonné, et la même chose pourrait bien arriver pour
l'entreprise dont il s'agit aujourd'hui; elle peut être commen-
cée sous le règne de Saïd-Pacha et avancer tant qu'il est
vivant; mais il peut mourir dans deux ou trois ans, car ces
Vice-rois n'ont pas la vie bien longue; et s'il meurt dans ce
temps, alors permettez-moi de demander ce que deviendra
l'entreprise? Il se peut bien que son successeur ne permette
pas à un seul homme d'être employé aux travaux. Je dis donc
qu'en considérant ce projet d'un point de vue philanthropique,
je pense que c'est une entreprise à laquelle le monde com-
mercial de Londres ne doit jamais donner sa sanction , attendu
que c'est une entreprise proposée pour être exécutée au moyen
du travail d'esclaves. »
CI M. LAXGE. L'honorable gentleman qui vient d'adresser la
parole à l'assemblée a exprimé ses doutes sur la possibilité
d'exécuter cette entreprise ; il a de plus avancé des argu-
ments contre le projet en priant l'assemblée de le considérer
du « point de vue philanthropique, » et il a prétendu qu'il ne
peut être accompli qu'au moyen de corvées forcées ou de tra-
vail d'esclaves. Je tâcherai de répondre à ces objections par
un petit nombre de faits. D'abord l'honorable gentleman pa-
raît ignorer ce fait, que pendant les deux dernières années
toutes les démarches possibles ont été faites pour s'assurer que
le projet est exécutable. Rien n'a été négligé quant aux moyens
que la plus mûre délibération pouvait conseiller pour arriver
à cette conclusion. (Ecoutez, écoutez !) Le projet a été soumis
à quelques-uns des plus éminents et des plus habiles ingé-
nieurs de l'Europe, et ces messieurs se sont rendus sur les
lieux pour examiner tout le terrain traversé par le canal, le
Vice-roi étant décidé à ne négliger rien pour dissiper toute
espèce de doutes sur la possibilité de l'entreprise ; et à pré-
sent, pour que le meeting ne conserve plus aucun doute à ce
sujet, je citerai les noms des ingénieurs auteurs du rapport
sur le projet, et ce rapport parle par lui-même. Voici les
noms de ces messieurs. »
M. Lange donne ici les noms de tous les membres de la
Commission internationale, que nos lecteurs connaissent par-
faitement. Puis il continue :
Il Or, je pense que les noms de ces messieurs sont une ga-
rantie suffisante de leur honorabilité, et ils ont été de l'avis
unanime que l'entreprise est parfaitement praticable. (Ecoutez,
écoutez!) Au meeting de Bristol, M. Slaughter a dit que feu
M. Rendel lui a assuré qu'il considérait l'entreprise non-seu-
lement comme une œuvre d'une grande importance nationale,
mais aussi comme une œuvre ne présentant aucune espèce
de difficultés qui ne pourraient être surmontées. (Ecoutez,
écoutez!) Voilà ce que je dirai relativement à la possibilité
de l'entreprise. J'ajouterai à présent un mot ou deux sur l'en-
treprise du Il point de vue philanthropique, » sur lequel l'ho-
norable gentleman a insisté si longtemps. Je le prie ainsi que
le meeting de se rappeler que l'Egypte, sous les anciennes
dynasties , était un pays très-différent de ce qu'elle est aujour-
d'hui, et qu'elle a fait dans les dernières années de grands
pas vers la civilisation et l'amélioration de la situation des
populations. C'est précisément à l'égard du Vice-roi actuel
que je puis dire que personne ne peut faire plus pour ses
sujets qu'il n'a fait depuis son avènement au pouvoir. (Ecou-
tez, écoutez!) Dernièrement il a fail un voyage dans ses pro-
vinces du Soudan, et s'est assuré par ses propres yeux de
leur état et de ce qu'il fallait surtout au peuple pour améliorer
sa position. (Écoutez, écoutez!) Il a nommé cinq nouveaux
gouverneurs; et quelque étrange que cela paraisse, il a
nommé un chrétien gouverneur d'une de ses plus vastes pro-
vinces, en dépit des représentations de ses conseillers. (Écou-
tez, écoutez ! ) Je dois encore ajouter que les impôts, qui sous
les anciens régimes pesaient lourdement sur le peuple, ont
subi une complète révision par le Vice- roi actuel, et qu'il les
a considérablement réduits. Il a donné ordre à ses scheiks de
veiller avec soin sur les besoins de ses sujets, de les traiter
avec douceur, de percevoir les impôts avec indulgence; et
afin d'empêcher les agents de montrer tiop de zèle pour les
intérêts de leurs maîtres, ils ont des instructions pour se
procurer le taux des fermages exigés par les propriétaires de
terre en cas qu'il existe des doutes, et de percevoir les taxes,
quand ils ne sont pas occupés à la moisson pour ne pas en-
traver les travaux. Il a pris également une foule de mesures
d'une grande utilité publique, qui démontrent toutes combien
il est préoccupé à faire le bien de ses sujets, et améliorer leur
condition sociale et morale. (Ecoutez, écoutez!) Ensuite, à
l'égard de ce qu'a dit l'honorable gentleman sur Il l'esclavage
et les pauvres gens enlevés à leurs paisibles demeures, 11 et tout
le reste, je puis dire seulement que ceux qui seront employés à
l'entreprise seront des travailleurs libres, et aucun d'eux ne
sera forcé. Au contraire, ils ne seront que trop heureux de
profiter de l'occasion d'être employés à ces travaux; et cela
pour la meilleure raison possible, savoir, parce qu'ils seront
payés un franc par jour, à peu près trois fois autant qu'ils
reçoivent aujourd'hui pour leur travail chez eux. (Ecoutez,
écoutez !) Ensuite c'est la seule classe de gens qui puisse être
employée aux travaux; car nos ouvriers ne pourraient jamais
travailler exposés aux rayons du soleil brûlant de ce climat,
auquel la population de ce pays est habituée dès la jeunesse,
de sorte que le travail n'épuise pas si vite leurs forces. (Ecou-
tez, écoutez! ) Puis à cause de la grandeur de l'entreprise, il
est très-important d'avoir un travail à bon marché, et nous
ne pourrions pas l'avoir si nous étions obligés d'employer nos
ouvriers; mais le meeting peut être sûr que ce sera du travail
libre et pas le travail d'esclaves , comme l'honorable gentle-
man le craint. (Écoutez, écoutez!) Je suis heureux de pouvoir
dire que le Vice-roi, qui est un très-ancien ami de M. de Les-
seps, est aussi un ami ardent du progrès et des améliorations,
et quant à ce qu'a dit M. Fowler sur le projet qu'il était plus
digne du temps des Pharaons et des pyramides, bon Dieu,
messieurs , je vous fais juges; est-ce là un argument qui peut
être avancé contre une grande œuvre nationale et publique,
dans cette époque de civilisation, de science et de progrès?
Sera-t-il dit au monde que dans un meeting représentant les
intérêts commerciaux de cette vaste métropole, de pareilles
manières de voiront trouvé un écho ou un seul appui? Je ne
puis le croire et je suis pleinement persuadé qu'elles ne seront
partagées par aucun gentleman présent à cette assemblée.
(Écoutez, écoutez!) Réellement je me perds à comprendre
sur quels fondements un pareil argument a été avancé. » (Vifs
applaudissements ).
M. GOODLIFF. C Monsieur le président, il me semble que nous
ne sommes pas venus ici pour discuter les détails sur lesquels a
insisté M. Fowler, ou les frais de l'entreprise ou la nature du
travail par lequel elle doit être exécutée; tout cela ce sont des
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