Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-07-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juillet 1857 10 juillet 1857
Description : 1857/07/10 (A2,N26). 1857/07/10 (A2,N26).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65306254
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
234 L'ISTHME DE SUEZ,
au commerce, l'orateur a appelé l'attention sur les richesses
inépuisables de la mer Rouge et des côtes d'Arabie et d'Abys.
sinie (sur lesquelles nous avons donné dans notre dernier
numéro un excellent article du Commercial record).
A la fin de son discours, M. Lange rappelle encore le mode
de répartition du capital déjà souscrit presque en entier dans
les différents pays de l'Europe, et les résolutions prises par
les différentes villes du nord dans les derniers meetings.
Après avoir ajouté quelques observations sur les circon-
stances actuelles , M. Lange reprend sa place au milieu des
vifs applaudissements de l'assemblée.
LE PRÉSIDENT dit que M. de Lesseps désirerait savoir si quel-
qu'un demandait encore des explications.
Un gentleman dit en français qu'au lieu du canal il propo-
serait un chemin de fer d'Alexandrie à Suez.
M. DE LESSEPS a répondu qu'un tel chemin de fer existait
déjà ou qu'il était en construction, et M. LAXGE a ajouté :
« Le gentleman qui vient de parler a posé une question en
français; peut-être serait-il plus agréable au meeting que j'y
réponde en anglais; c'est ce que je vais faire. (Hear, hear!)
Il admet qu'un canal comme celui que propose M. de Lesseps
est d'un grand avantage pour le pays qu'il traverse; mais il a
demandé si des chemins de fer n'offriraient pas plus d'avan-
tages, et comme il y a des chemins de fer actuellement en
construction dans ce pays, il craint qu'il ne résulte de l'exé-
cution du canal quelque rivalité et que le résultat ne soit de
faire tort aux deux entreprises. Or, ma réponse à cette objec-
tion est très claire et tres-simple, et la voici : Le trafic pro-
duit le trafic, et le canal apportera du trafic au chemin de fer,
comme celui-ci en apportera au canal. Je dois aussi rappeler
à l'honorable gentleman qu'il y a à présent un chemin de fer
presque terminé d'Alexandrie à Suez; ce qui est une distance
d'environ 260 milles, et il ne peut y avoir de doute que le
canal ne porte de grands avantages au chemin de fer par l'im-
mense quantité du trafic qu'il y attirera (Ecoutez, écoutez !), et
le chemin de fer ne sera pas moins avantageux pour le canal;
ce qui ne peut être mieux prouvé que par le fait que le Vice-
roi est le promoteur des deux entreprises. (Hear, hear!) »
UN GENTLEMAN se lève et dit : u Je présume que des estimations
ont été faites relativement aux avantages que ce pays tirera
de l'entreprise, comparés à ceux qu'un grand nombre de ports
de la Méditerranée sont sûrs d'en tirer. Or je sais qu'une pu-
blication a paru, dans le but de démontrer que ce pays, et
particulièrement le port de Londres, prendrait une part de
beaucoup inférieure à celle des villes maritimes de la Médi-
terranée aux bénéfices qui résulteraient pour le commerce
de l'exécution de ce canal. Je pense qu'il serait à désirer que
M. Lange fût assez bon pour nous donner quelques explica-
tions à ce sujet. Il
M. LAGE. « Je suis très-heureux que l'honorable gentleman
m'ait donné l'occasion de dire quelques mots à ce sujet. S'il
a paru un mémoire à l'effet de démontrer que les ports de la
Méditerranée profiteront davantage de cette entreprise que les
ports plus éloignés, tout ce que je puis dire, c'est que la meil-
leure preuve du contraire est fournie par ce fait, que dans le
mois de mars dernier le nom bre des bâtiments anglais sortis
d'Alexandrie s'est élevé à quarante-deux, tandis que le nombre
des navires toscans, ottomans et grecs, partis d'Alexandrie
dans le même mois, n'a pas dépassé neuf; ainsi donc, on n'a
pas à craindre qu'aucun des ports de la Méditerranée jouisse
jamais d'un profit plus considérable que les ports d'Angle-
terre. » (Écoutez, écoutez.)
M. FOULER (d'Alexandrie). « Il y a une question d'une très-
grande importance, qui se présente à mon esprit au sujet de
cette entreprise; c'est une question qu'à mon avis les négo-
ciants de Londres devraient bien se rappeler avant d'accorder
leur appui au projet. J'ai résidé de longues années à Alexan-
drie, et je connais bien le pays et le peuple; ainsi, les observa-
tions que je vais vous présenter sont le fruit de mon expé-
rience personnelle. J'ai suivi avec la plus grande attention le
discours de M. de Lesseps, ainsi que les explications lucides et
habiles de M. Lange, et je suis parfaitement d'accord avec ces
deux messieurs sur l'importance commerciale de l'entreprise;
je ne doute pas qu'à ce point de vue elle ne soit éminemment
avantageuse pour ce grand pays commercial. Mais il y a
d'autres considérations qu'il ne faut pas perdre de vue, et une
d'elles est le mode d'exécution de cette œuvre colossale et son
influence sur le peuple d'Egypte. Il est dit dans un des rap-
ports publiés par M. de Lesseps que, dans le cas où ce grand
travail s'exécutera, le Vice-roi d'Egypte fournira les ouvriers
nécessaires, et que ces travailleurs seront pris parmi les fel-
lahs d'Egypte. Or, il me semble que le grand desideratum
dans ce projet, c'est le travail, et on nous dit qu'il sera fourni
par l'Egypte. On nous dit également que Saïd-Pacha a fait
une concession à M. de Lesseps, pour l'exécution de cette en-
treprise immense et colossale.
n Mais comment doit-elle être exécutée? Si je me place au
même point de vue que M. de Lesseps , je dirai qu'il ne faut
pas moins de cent mille travailleurs. Et où trou vera-t-on ce nom-
bre immense de travailleurs de bonne volonté pour se laisser en-
gager ? Naturellement, il faut les trouver en Egypte. On a dit qu'il
s'agit d'une œuvre de grande utilité et d'une vaste importance
nationale; qu'il en soit ainsi, mais je dis qu'elle ne peut être
accomplie par le travail libre, mais qu'il faut du travail forcé;
et que, s'il doit être fait par les fellahs d'Egypte, le Vice-roi
les fera enlever à leurs paisibles demeures, et les forcera, contre
leur gré, à abandonner leurs familles, à travailler dans le
désert, et à devenir, sous tous les rapports, des esclaves, juste
autant que les esclaves des Indes occidentales. Ces pauvres
gens sont maintenant occupés à leurs travaux domestiques et
à cultiver leur petite ferme le long des bords du Nil; il n'y a
pas même encore un nombre suffisant de travailleurs pour
cette fin; et, cependant, on propose de forcer cent mille
d'entre eux à devenir des travailleurs pour un ouvrage qui,
en réalité, n'a aucun rapport avec l'Egypte! Tel est le point
de vue où je voud rais placer l'entreprise aux yeux de la so-
ciété commerciale de Londres et de l'Europe civilisée. La pro-
spérité commerciale de ce grand pays a été la merveille du
monde, mais elle n'a pas été conquise par le travail d'esclaves;
au contraire, ce pays a été le premier pour délivrer les esclaves
des Indes occidentales au prix de millions. Voilà pourquoi je
pose cette question : L'Angleterre donnera-t-elle sa sanction à
l'introduction du travail d'esclaves en Egypte, après avoir payé
50 millions de livres sterl. pour la libération des esclaves
dans les Indes occidentales? Je le répète, si cette entreprise
doit être menée à bout, conformément au projet actuel, elle
ne peut être accomplie que si les Anglais devenaient les pro-
moteurs du travail des esclaves en Egypte pendant vingt ans
à venir. Ces pauvres créatures vont être forcées de travailler
dans le désert et de mener une existence misérable à 80 ou
100 milles de distance de toute habitation humaine. Tel est
le point de vue d'où je désirerais envisager l'entreprise devant
une réunion de négociants anglais, et leur démontrer qu'il
s'agit d'un projet plus digne du temps des Pharaons que des
Anglais du dix-neuvième siècle. Cette entreprise me paraît être
une œuvre aussi faisable que la construction d'une pyramide;
et, quant aux frais de construction, je suis persuadé qu'au
lieu de 8 millions de livres, il faudra au moins trois fois cette
au commerce, l'orateur a appelé l'attention sur les richesses
inépuisables de la mer Rouge et des côtes d'Arabie et d'Abys.
sinie (sur lesquelles nous avons donné dans notre dernier
numéro un excellent article du Commercial record).
A la fin de son discours, M. Lange rappelle encore le mode
de répartition du capital déjà souscrit presque en entier dans
les différents pays de l'Europe, et les résolutions prises par
les différentes villes du nord dans les derniers meetings.
Après avoir ajouté quelques observations sur les circon-
stances actuelles , M. Lange reprend sa place au milieu des
vifs applaudissements de l'assemblée.
LE PRÉSIDENT dit que M. de Lesseps désirerait savoir si quel-
qu'un demandait encore des explications.
Un gentleman dit en français qu'au lieu du canal il propo-
serait un chemin de fer d'Alexandrie à Suez.
M. DE LESSEPS a répondu qu'un tel chemin de fer existait
déjà ou qu'il était en construction, et M. LAXGE a ajouté :
« Le gentleman qui vient de parler a posé une question en
français; peut-être serait-il plus agréable au meeting que j'y
réponde en anglais; c'est ce que je vais faire. (Hear, hear!)
Il admet qu'un canal comme celui que propose M. de Lesseps
est d'un grand avantage pour le pays qu'il traverse; mais il a
demandé si des chemins de fer n'offriraient pas plus d'avan-
tages, et comme il y a des chemins de fer actuellement en
construction dans ce pays, il craint qu'il ne résulte de l'exé-
cution du canal quelque rivalité et que le résultat ne soit de
faire tort aux deux entreprises. Or, ma réponse à cette objec-
tion est très claire et tres-simple, et la voici : Le trafic pro-
duit le trafic, et le canal apportera du trafic au chemin de fer,
comme celui-ci en apportera au canal. Je dois aussi rappeler
à l'honorable gentleman qu'il y a à présent un chemin de fer
presque terminé d'Alexandrie à Suez; ce qui est une distance
d'environ 260 milles, et il ne peut y avoir de doute que le
canal ne porte de grands avantages au chemin de fer par l'im-
mense quantité du trafic qu'il y attirera (Ecoutez, écoutez !), et
le chemin de fer ne sera pas moins avantageux pour le canal;
ce qui ne peut être mieux prouvé que par le fait que le Vice-
roi est le promoteur des deux entreprises. (Hear, hear!) »
UN GENTLEMAN se lève et dit : u Je présume que des estimations
ont été faites relativement aux avantages que ce pays tirera
de l'entreprise, comparés à ceux qu'un grand nombre de ports
de la Méditerranée sont sûrs d'en tirer. Or je sais qu'une pu-
blication a paru, dans le but de démontrer que ce pays, et
particulièrement le port de Londres, prendrait une part de
beaucoup inférieure à celle des villes maritimes de la Médi-
terranée aux bénéfices qui résulteraient pour le commerce
de l'exécution de ce canal. Je pense qu'il serait à désirer que
M. Lange fût assez bon pour nous donner quelques explica-
tions à ce sujet. Il
M. LAGE. « Je suis très-heureux que l'honorable gentleman
m'ait donné l'occasion de dire quelques mots à ce sujet. S'il
a paru un mémoire à l'effet de démontrer que les ports de la
Méditerranée profiteront davantage de cette entreprise que les
ports plus éloignés, tout ce que je puis dire, c'est que la meil-
leure preuve du contraire est fournie par ce fait, que dans le
mois de mars dernier le nom bre des bâtiments anglais sortis
d'Alexandrie s'est élevé à quarante-deux, tandis que le nombre
des navires toscans, ottomans et grecs, partis d'Alexandrie
dans le même mois, n'a pas dépassé neuf; ainsi donc, on n'a
pas à craindre qu'aucun des ports de la Méditerranée jouisse
jamais d'un profit plus considérable que les ports d'Angle-
terre. » (Écoutez, écoutez.)
M. FOULER (d'Alexandrie). « Il y a une question d'une très-
grande importance, qui se présente à mon esprit au sujet de
cette entreprise; c'est une question qu'à mon avis les négo-
ciants de Londres devraient bien se rappeler avant d'accorder
leur appui au projet. J'ai résidé de longues années à Alexan-
drie, et je connais bien le pays et le peuple; ainsi, les observa-
tions que je vais vous présenter sont le fruit de mon expé-
rience personnelle. J'ai suivi avec la plus grande attention le
discours de M. de Lesseps, ainsi que les explications lucides et
habiles de M. Lange, et je suis parfaitement d'accord avec ces
deux messieurs sur l'importance commerciale de l'entreprise;
je ne doute pas qu'à ce point de vue elle ne soit éminemment
avantageuse pour ce grand pays commercial. Mais il y a
d'autres considérations qu'il ne faut pas perdre de vue, et une
d'elles est le mode d'exécution de cette œuvre colossale et son
influence sur le peuple d'Egypte. Il est dit dans un des rap-
ports publiés par M. de Lesseps que, dans le cas où ce grand
travail s'exécutera, le Vice-roi d'Egypte fournira les ouvriers
nécessaires, et que ces travailleurs seront pris parmi les fel-
lahs d'Egypte. Or, il me semble que le grand desideratum
dans ce projet, c'est le travail, et on nous dit qu'il sera fourni
par l'Egypte. On nous dit également que Saïd-Pacha a fait
une concession à M. de Lesseps, pour l'exécution de cette en-
treprise immense et colossale.
n Mais comment doit-elle être exécutée? Si je me place au
même point de vue que M. de Lesseps , je dirai qu'il ne faut
pas moins de cent mille travailleurs. Et où trou vera-t-on ce nom-
bre immense de travailleurs de bonne volonté pour se laisser en-
gager ? Naturellement, il faut les trouver en Egypte. On a dit qu'il
s'agit d'une œuvre de grande utilité et d'une vaste importance
nationale; qu'il en soit ainsi, mais je dis qu'elle ne peut être
accomplie par le travail libre, mais qu'il faut du travail forcé;
et que, s'il doit être fait par les fellahs d'Egypte, le Vice-roi
les fera enlever à leurs paisibles demeures, et les forcera, contre
leur gré, à abandonner leurs familles, à travailler dans le
désert, et à devenir, sous tous les rapports, des esclaves, juste
autant que les esclaves des Indes occidentales. Ces pauvres
gens sont maintenant occupés à leurs travaux domestiques et
à cultiver leur petite ferme le long des bords du Nil; il n'y a
pas même encore un nombre suffisant de travailleurs pour
cette fin; et, cependant, on propose de forcer cent mille
d'entre eux à devenir des travailleurs pour un ouvrage qui,
en réalité, n'a aucun rapport avec l'Egypte! Tel est le point
de vue où je voud rais placer l'entreprise aux yeux de la so-
ciété commerciale de Londres et de l'Europe civilisée. La pro-
spérité commerciale de ce grand pays a été la merveille du
monde, mais elle n'a pas été conquise par le travail d'esclaves;
au contraire, ce pays a été le premier pour délivrer les esclaves
des Indes occidentales au prix de millions. Voilà pourquoi je
pose cette question : L'Angleterre donnera-t-elle sa sanction à
l'introduction du travail d'esclaves en Egypte, après avoir payé
50 millions de livres sterl. pour la libération des esclaves
dans les Indes occidentales? Je le répète, si cette entreprise
doit être menée à bout, conformément au projet actuel, elle
ne peut être accomplie que si les Anglais devenaient les pro-
moteurs du travail des esclaves en Egypte pendant vingt ans
à venir. Ces pauvres créatures vont être forcées de travailler
dans le désert et de mener une existence misérable à 80 ou
100 milles de distance de toute habitation humaine. Tel est
le point de vue d'où je désirerais envisager l'entreprise devant
une réunion de négociants anglais, et leur démontrer qu'il
s'agit d'un projet plus digne du temps des Pharaons que des
Anglais du dix-neuvième siècle. Cette entreprise me paraît être
une œuvre aussi faisable que la construction d'une pyramide;
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