Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-05-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 mai 1857 10 mai 1857
Description : 1857/05/10 (A2,N22). 1857/05/10 (A2,N22).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6530621g
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 159
reuse influence. J'ai prié ce haut fonctionnaire du Vice-roi
d'Egypte de vouloir bien établir dans sa résidence, capitale
du Soudan, et d'après les questions posées par l'Académie
des sciences, une enquête permanente parmi les voyageurs
touristes, savants, commerçants ou pèlerins, soit indigènes,
soit européens.
Les circonstances étaient favorables pour me permettre de
commencer moi-même cette enquête. J'ai eu plusieurs fois
l'occasion, pendant un séjour de trois semaines à Kartoum,
d'interroger ensemble ou séparément MM. de Malzac, Thibaut
et Vayssières, voyageurs français; un autre de nos compa-
triotes, le docteur Peney, résidant depuis douze ans au Sen-
naar; M. Heuglin, consul d'Autriche, savant géographe et
naturaliste, et don Ignacio Knoblecher, le digne et courageux
chef de la mission apostolique de l'Afrique -orientale.
J'ai l'honneur de faire connaître à l'Académie le résultat de
mes investigations ; je serai heureux si mes renseignements
peuvent lui offrir quelque intérêt.
« Depuis l'expédition de M. d'Arnaud, qui s'était arrêté
à 4° 42' 42", personne n'a été plus loin que don Ignacio Kno-
blecher, don Angelo Vinco et don Bartholomeo Mosgan. Ces
hardis missionnaires ont navigué pendant quinze jours au
delà du terme de l'expédition d'Arnaud, jusque vers le
3e degré. Ils ont formé à Gondpkoro, chez les Barrys, par
4° 35' latitude nord et 28° 47' longitude orientale (M. P.),
un établissement qui prospère malgré la mort regrettable de
son premier fondateur, don Angelo Vinco, et qui est aujour-
d'hui presque aussi important que l'établissement principal
de Kartoum.
Le personnel de 14 m i ss ion a vu périr depuis huit ans douze
Le personnel de la mission a vu périr depuis huit ans douze
de ses membres sur trente-six. C'est surtout à Kartoum que
le climat sévit sur les étrangers, par suite de fièvres perni-
cieuses. En J839, Mohammed-Ali y perdit dans une semaine
treize personnes sur soixante qui l'accompagnaient ; et à la fin
de notre séjour, sur soixante-cinq Albanais qui formaient
l'escorle du Vice-roi, trente furent atteints au milieu de notre
campement, à une lieue de la ville, dans les journées des 25,
26 et 27 janvier, pendant lesquelles le soleil avait été fort
brûlant.
Les environs de la ville de Kartoum doivent être assainis;
les eaux qui séjournent sur des terrains bas à la suite des
inondations et des pluies sont la principale cause des maladies
qui attaquent surtout les Européens. La ville, fondée par
Mohammed-Ali il y a moins de quarante ans , a aujourd'hui
de 35 à 40 mille habitants. Elle est le centre d'un commerce
important; et des dispositions très-sages, ordonnées en der-
nier lieu par le Vice-roi Mohammed-Saïd, contribueront cer-
tainement à sa prospérité et à sa salubrité.
M. Heqglin a mesuré sa hauteur au-dessus du niveau de
la mer ; cette hauteur n'avait jamais été vérifiée : elle est de
1,060 pieds frapçais. La latitude est connue.
Kartpum, en arabe, veut dire trompe d'éléphant. La ville
a reçu ce nom parce qu'elle est placée an confluent du Nil
Blanc et du Nil Bleu, et que les deux fleuves ont été comparés
aux deux cartilages ou doigts qui terminent la trompa de
l'éléphant.
Les eaux des deux Nils ne se confondent pas immédiatement
lorsqulelles se rencontrent à la pointe de Kartoum; e lles se
distinguent très-nettement claires et bleues à l'est, limoneuses
et blanchâtres à l'ouest.
En remontant le Nil Blanc de Kartoum au 10e degré, le
fleuve coule sur un lit fort large et peu incliné ; ce qui rend
son cours très-lent, et lui donne à peine une vitesse d'un
kilomètre à l'heure , quand les vents du nord ne rendent pas
le courant à peu près nul. Les bords sont très-peu élevés et
sont formés par une plage étroite séparant le Nil de plaines
immenses souvent plus basses que le niveau du fleuve. Les
terres sont très-bien cultivées près de l'eau , et plus loin elles
sont couvertes de plantes naturelles, de bois et de broussailles.
Au 148 degré commence l'archipel des Choulouks, jusqu'à
une journée de l'embouchure de la Saubat, affluent venant
de l'est, entre le 10e et le 9e degré.
Du 10e au 6e degré le Nil Blanc coule à travers des marais
où les voyageurs sont fort incommodés par les insectes. M. de
Malzac, intrépide chasseur d'éléphants, qui a tué l'année der-
nière de sa main dix-sept de ces animaux, a formé un établis-
sement dans la tribu des Djours, entre le 6e et le 9e degré, à
100 lieues du Nil à l'ouest. De lit il s'est mis en relation avec
plusieurs autres tribus qui parlent toutes des langues différentes.
Il a déjà cinq interprètes indigènes pour faire son commerce
d'échange de verroteries contre des dents d'éléphants ; et
comme chaque année ses relations s'étendent, il me disait que
dans ce moment il lui faudrait au moins cinq interprètes de
plus pour s'entendre avec les tribus dans le rayon desquelles il
fait ses excursions. Pour citer un exemple, l'éléphant se
nomme a/wu chez les Kilches , keddé chez les Djours, et aio
chez les Manga. Cependant le serpent est appelé dans la plu-
part des tribus python. La coïncidence: avec le mot grec est
assez singulière.
Dernièrement, cinq cents noirs ont accompagné M. de Mal-
zac en apportant sur leur dos, depuis son établissement jus-
qu'au bord du Nil, une cargaison de dents d'éléphants qu'il
allait vendre à Kartoum. Ce transport à dos d'hommes a duré
huit jours. On passait dans des terrains marécageux où l'on
n'aurait pas pu conduire des bêtes de somme. M. de Maizac
avait prévenu ses noirs, avant de les engager à son service,
qu'il avait épuisé ses verroteries et qu'il ne pourrait les payer
qu'à son retour. Malgré cette déclaration, tous le suivirent
jusqu'au fleuve avec leurs charges, et s'en retournèrent chez
eux, se confiant à sa parole.
Un pareil fait prouve que les peuplades de ces cpntrées ne
sont pas naturellement hostiles aux étrangers.
Il faut attribuer la plupart des malheurs que l'on a eu ré-
cemment à déplorer à l'imprudence, à l'avidité, et quelquefois
à la cruauté de certains traitants.
Le Niebor, appelé dans le Soudaq Bahr-eLGazal (fleuve
des Gazelles), n'est point, d'après MM. de Malzac et Vays-
sières, la principale branche du Nil, mais seulement un de
ses affluents, et probablement le plus considérable.
Chez les Dinkas et les Choulouks, le Nil Blanc s'appelle
Kyr, et chez les Barrys, Churifiry.
M. Knoblecher rapporte qu'en remontant au-dessus de Gon-
dokoro il a remarqué sur la rive gauche, à 4" 9', une mon-
tagne de grès appelée par les indigènes Logouat. J'en donne
ici (n° 1) le dessin, que j'ai copié d'après le carnet de route de
M. Knoblecher. Cette montagne a 500 pieds de hauteur. Pen-
dant qu'il y montait, il ressentit une forte secousse de trem-
blement de terre. Les nègres qui l'accompagnaient, s'étant
alors jetés la face contre terre, manifestèrent une grande
frayeur, et s'écrièrent que c'étaient les esprits des morts qui
revenaient.
M. Knoblecher leur ayant demandé quels étaient, suivant
eux, ces esprits, ils répondirent qu'autrefois il y avait eu une
grande bataille dans les environs; qu'on avait enterré les mort
sous la montagne, et que depuis lors leurs âmes ébranlaient
de temps en temps la terre pour chercher à s'échapper. Le
missionnaire profila alors de cette occasion, tout en combat-
tant leurs préjugés, pour leur faire comprendre que les
reuse influence. J'ai prié ce haut fonctionnaire du Vice-roi
d'Egypte de vouloir bien établir dans sa résidence, capitale
du Soudan, et d'après les questions posées par l'Académie
des sciences, une enquête permanente parmi les voyageurs
touristes, savants, commerçants ou pèlerins, soit indigènes,
soit européens.
Les circonstances étaient favorables pour me permettre de
commencer moi-même cette enquête. J'ai eu plusieurs fois
l'occasion, pendant un séjour de trois semaines à Kartoum,
d'interroger ensemble ou séparément MM. de Malzac, Thibaut
et Vayssières, voyageurs français; un autre de nos compa-
triotes, le docteur Peney, résidant depuis douze ans au Sen-
naar; M. Heuglin, consul d'Autriche, savant géographe et
naturaliste, et don Ignacio Knoblecher, le digne et courageux
chef de la mission apostolique de l'Afrique -orientale.
J'ai l'honneur de faire connaître à l'Académie le résultat de
mes investigations ; je serai heureux si mes renseignements
peuvent lui offrir quelque intérêt.
« Depuis l'expédition de M. d'Arnaud, qui s'était arrêté
à 4° 42' 42", personne n'a été plus loin que don Ignacio Kno-
blecher, don Angelo Vinco et don Bartholomeo Mosgan. Ces
hardis missionnaires ont navigué pendant quinze jours au
delà du terme de l'expédition d'Arnaud, jusque vers le
3e degré. Ils ont formé à Gondpkoro, chez les Barrys, par
4° 35' latitude nord et 28° 47' longitude orientale (M. P.),
un établissement qui prospère malgré la mort regrettable de
son premier fondateur, don Angelo Vinco, et qui est aujour-
d'hui presque aussi important que l'établissement principal
de Kartoum.
Le personnel de 14 m i ss ion a vu périr depuis huit ans douze
Le personnel de la mission a vu périr depuis huit ans douze
de ses membres sur trente-six. C'est surtout à Kartoum que
le climat sévit sur les étrangers, par suite de fièvres perni-
cieuses. En J839, Mohammed-Ali y perdit dans une semaine
treize personnes sur soixante qui l'accompagnaient ; et à la fin
de notre séjour, sur soixante-cinq Albanais qui formaient
l'escorle du Vice-roi, trente furent atteints au milieu de notre
campement, à une lieue de la ville, dans les journées des 25,
26 et 27 janvier, pendant lesquelles le soleil avait été fort
brûlant.
Les environs de la ville de Kartoum doivent être assainis;
les eaux qui séjournent sur des terrains bas à la suite des
inondations et des pluies sont la principale cause des maladies
qui attaquent surtout les Européens. La ville, fondée par
Mohammed-Ali il y a moins de quarante ans , a aujourd'hui
de 35 à 40 mille habitants. Elle est le centre d'un commerce
important; et des dispositions très-sages, ordonnées en der-
nier lieu par le Vice-roi Mohammed-Saïd, contribueront cer-
tainement à sa prospérité et à sa salubrité.
M. Heqglin a mesuré sa hauteur au-dessus du niveau de
la mer ; cette hauteur n'avait jamais été vérifiée : elle est de
1,060 pieds frapçais. La latitude est connue.
Kartpum, en arabe, veut dire trompe d'éléphant. La ville
a reçu ce nom parce qu'elle est placée an confluent du Nil
Blanc et du Nil Bleu, et que les deux fleuves ont été comparés
aux deux cartilages ou doigts qui terminent la trompa de
l'éléphant.
Les eaux des deux Nils ne se confondent pas immédiatement
lorsqulelles se rencontrent à la pointe de Kartoum; e lles se
distinguent très-nettement claires et bleues à l'est, limoneuses
et blanchâtres à l'ouest.
En remontant le Nil Blanc de Kartoum au 10e degré, le
fleuve coule sur un lit fort large et peu incliné ; ce qui rend
son cours très-lent, et lui donne à peine une vitesse d'un
kilomètre à l'heure , quand les vents du nord ne rendent pas
le courant à peu près nul. Les bords sont très-peu élevés et
sont formés par une plage étroite séparant le Nil de plaines
immenses souvent plus basses que le niveau du fleuve. Les
terres sont très-bien cultivées près de l'eau , et plus loin elles
sont couvertes de plantes naturelles, de bois et de broussailles.
Au 148 degré commence l'archipel des Choulouks, jusqu'à
une journée de l'embouchure de la Saubat, affluent venant
de l'est, entre le 10e et le 9e degré.
Du 10e au 6e degré le Nil Blanc coule à travers des marais
où les voyageurs sont fort incommodés par les insectes. M. de
Malzac, intrépide chasseur d'éléphants, qui a tué l'année der-
nière de sa main dix-sept de ces animaux, a formé un établis-
sement dans la tribu des Djours, entre le 6e et le 9e degré, à
100 lieues du Nil à l'ouest. De lit il s'est mis en relation avec
plusieurs autres tribus qui parlent toutes des langues différentes.
Il a déjà cinq interprètes indigènes pour faire son commerce
d'échange de verroteries contre des dents d'éléphants ; et
comme chaque année ses relations s'étendent, il me disait que
dans ce moment il lui faudrait au moins cinq interprètes de
plus pour s'entendre avec les tribus dans le rayon desquelles il
fait ses excursions. Pour citer un exemple, l'éléphant se
nomme a/wu chez les Kilches , keddé chez les Djours, et aio
chez les Manga. Cependant le serpent est appelé dans la plu-
part des tribus python. La coïncidence: avec le mot grec est
assez singulière.
Dernièrement, cinq cents noirs ont accompagné M. de Mal-
zac en apportant sur leur dos, depuis son établissement jus-
qu'au bord du Nil, une cargaison de dents d'éléphants qu'il
allait vendre à Kartoum. Ce transport à dos d'hommes a duré
huit jours. On passait dans des terrains marécageux où l'on
n'aurait pas pu conduire des bêtes de somme. M. de Maizac
avait prévenu ses noirs, avant de les engager à son service,
qu'il avait épuisé ses verroteries et qu'il ne pourrait les payer
qu'à son retour. Malgré cette déclaration, tous le suivirent
jusqu'au fleuve avec leurs charges, et s'en retournèrent chez
eux, se confiant à sa parole.
Un pareil fait prouve que les peuplades de ces cpntrées ne
sont pas naturellement hostiles aux étrangers.
Il faut attribuer la plupart des malheurs que l'on a eu ré-
cemment à déplorer à l'imprudence, à l'avidité, et quelquefois
à la cruauté de certains traitants.
Le Niebor, appelé dans le Soudaq Bahr-eLGazal (fleuve
des Gazelles), n'est point, d'après MM. de Malzac et Vays-
sières, la principale branche du Nil, mais seulement un de
ses affluents, et probablement le plus considérable.
Chez les Dinkas et les Choulouks, le Nil Blanc s'appelle
Kyr, et chez les Barrys, Churifiry.
M. Knoblecher rapporte qu'en remontant au-dessus de Gon-
dokoro il a remarqué sur la rive gauche, à 4" 9', une mon-
tagne de grès appelée par les indigènes Logouat. J'en donne
ici (n° 1) le dessin, que j'ai copié d'après le carnet de route de
M. Knoblecher. Cette montagne a 500 pieds de hauteur. Pen-
dant qu'il y montait, il ressentit une forte secousse de trem-
blement de terre. Les nègres qui l'accompagnaient, s'étant
alors jetés la face contre terre, manifestèrent une grande
frayeur, et s'écrièrent que c'étaient les esprits des morts qui
revenaient.
M. Knoblecher leur ayant demandé quels étaient, suivant
eux, ces esprits, ils répondirent qu'autrefois il y avait eu une
grande bataille dans les environs; qu'on avait enterré les mort
sous la montagne, et que depuis lors leurs âmes ébranlaient
de temps en temps la terre pour chercher à s'échapper. Le
missionnaire profila alors de cette occasion, tout en combat-
tant leurs préjugés, pour leur faire comprendre que les
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