Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1862-06-01
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 01 juin 1862 01 juin 1862
Description : 1862/06/01 (A7,N143). 1862/06/01 (A7,N143).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203297m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/06/2012
182 L'ISTHME DE SUEZ,
par le vice-roi pour surveiller les travaux et au-
quel s'adressent les Européens lorsqu'ils ont à se
plaindre du travail de telle ou telle corvée, sait
maintenir à la fois la justice et la discipline.
C'est un puissant auxiliaire que le vice-roi est
venu donner à la Compagnie et, de l'aveu de tous
ceux qui le voient à l'œuvre, il n'aura pas peu con-
tribué à résoudre pratiquement le problème. Cette
simplicité dans la direction était indispensable, c'est
un gage certain de succès : ce n'est qu'à ce prix que
de telles masses deviennent dirigeables ; aussi la diffi-
culté se résume-t-elle aujourd'hui en une question de
bras : or personne n'ignore que pour le gouvernement
égyptien ce n'est point un obstacle. —C'est par ving-
taine de mille que se comptent les mètres cubes en-
levés chaque jour aux reins solides du seuil. On les
paye aux Arabes à raison de 40 à 50 centimes le
mètre cube, chiffre inférieur à celui du devis. Sur
3,600,000 mètres cubes composant le seuil, 1,200,000
mètres cubes étaient déjà extraits lorsque nous y
passâmes le 6 avril, de sorte qu'avec une précision
mathématique on peut assigner à la fin des travaux
sur ce point les premiers jours d'octobre, en admet-
tant que le nombre de 21,000 travailleurs ne soit
pas augmenté. Les ateliers d'El-Guisr, quoique encore
assez importants (on y trouve une scierie à vapeur),
n'ont pourtant été créés qu'en vue de pourvoir aux
réparations et constructions accessoires. Ils forment
une petite annexe des ateliers de Port-Saïd. Les ma-
gasins renfermaient lorsque je les visitai plusieurs
centaines de mille kilogrammes de biscuits, de fèves,
des oignons, des lentilles en abondance pour les
Arabes, enfin les mille objets de consommation indis-
pensables à une petite colonie européenne dans le
désert.
El - Guisr, grâce à cette nombreuse population
arabe qui l'entoure presque continuellement, grâce
aux 500 Européens qui l'habitent, ne permet déjà
plus au voyageur de s'y croire dans le désert. Les
rues principales, matin et soir, sont très-animées.
Une église catholique, une mosquée à coupole élé-
gante, un cercle que l'on construit et qui sera par-
faitement pourvu de journaux, un musée, plusieurs
cafés et billards, un pâtissier, en voilà déjà assez pour
faire du campement du seuil un village modèle, même
en Europe.
Je crois qu'il faut venir jusqu'ici pour se faire une
juste idée de l'état d'avancement du travail, car pour
moi j'avoue que depuis lors mon opinion a beaucoup
changé. Le canal a demandé cinq ans à se creuser
politiquement, et là était sans doute la principale
difficulté. On s'en aperçoit bien sur les lieux mêmes
lorsque l'on est témoin de la facilité avec laquelle le
génie de l'homme, libre d3 tout autre souci et mis
en présence de la matière, la dompte à son profit.
Cette partie de l'ouvrage est sérieusement commencée
depuis le mois de juillet dernier, alors que le vice-roi
envoya ses premiers 8,000 hommes sur les chantiers
de la Compagnie, et depuis ce temps, que de chan-
gements! le canal d'eau douce apportant jusqu'au
milieu du désert la vie et l'eau du Nil à une ville euro-
péenne et à cette masse de travailleurs qui attaquent
le seuil si vigoureusement, qu'au chantier no 6, par
exemple, nous avons vu l'eau stagnante au fond de
la tranchée.
Lundi 7 avril, à 8 heures du matin, nous quittons
El-Guisr. Nous gagnons par terre El-Ferdane, où
nous arrivons à 11 heures; 1,500 Arabes y creusent
la rigole maritime pour la faire parvenir au pied du
seuil proprement dit. Nous y prenons la barque que
M. Feinieux, entrepreneur délégué, a bien voulu
mettre à notre disposition, et nous arrivons à Kan-
tara à 3 heures, après avoir traversé les lacs Ballah,
où nous voyons des efflorescences salines remarqua-
bles.
C'est près de Kantara que se trouve placée la pre-
mière drague, dont la marche a été beaucoup en-
travée par le sel contenu dans les eaux du lac, et
surtout par l'impossibilité d'obtenir promptement des
pièces réparées faute de moyens de transports et
d'ateliers suffisamment organisés ad hoc à Port-Saïd.
Nous partons le mardi 8, à 7 heures du matin. Les
eaux sont très-basses vu l'état avancé de la saison.
Nous rencontrons en entrant dans la partie encore
submergée du lac Menzaleh, une autre drague qui
marche bien depuis environ un an. Mais, c'est ici que
j'ai compris la grande utilité des toiles sans fin :
depuis leur suppression force est de se servir tant bien
que mal des couloirs, et nous leur avons découvert
des inconvénients qui sont complétement incompatibles
avec un travail courant.
Nous apercevons , échelonnés à distance trois
corps de drague qui ne sont point encore pourvus de
leurs machines à vapeur. Nous arrivons à Ras-el-
Eich à 5 heures du soir, et nous y trouvons deux
nouvelles dragues qui sont sur le point d'être mon-
tées, plus une qui se répare.
Nous quittons Ras-el-Eich le lendemain matin,
9 avril, à 11 heures, par le lac, et nous arrivons à
Port-Saïd à 5 heures du soir. Les berges du canal
sont poussées jusqu'à 2 kilomètres à l'intérieur du
lac; à leur tête nous longeons une drague en tra-
vail : un peu plus haut et creusant une rigole pa-
rallèle formant la limite du grand canal, nous ren-
controns une drague en réparation. A mesure que
nous nous approchons, le * spectacle devient plus
animé. Ici c'est l'industrie avec ses flots épais de
fumée, là c'est le commerce avec toute son activité.
Des barques arabes partant pour le seuil, les unes avec
un plein chargement de colis et ballots de toute es-
pèce, d'autres arrivant chargées jusqu'à mi-mât de
légumes, de viandes, de paniers pleins de poules, de
dindes, d'oies, de pigeons. Nous entrons enfin dans
le bassin creusé aux pieds des grands ateliers pour y
recevoir les dragues en réparation, et nous touchons
terre à deux pas de ces ateliers, élevés sur pilotis à
3 mètres au-dessus du lac et que nous apercevions
depuis le matin sans pouvoir y atteindre.
Nous nous dirigeons ensuite vers l'appontement,
et c'est là seulement qu'il nous est permis de juger
de la grandeur de la ville européenne dont nous
voyons les maisons s'étendre près du rivage sur une
longueur d'un kilomètre. Le village arabe semble
prolonger cette ligne jusqu'à perte de vue La nuit
nous force à regagner le chalet de l'ingénieur de la
Compagnie, où M. Laroche nous offre la plus aima-
ble hospitalité. Depuis notre départ d'Alexandrie nous
avions presque perdu de vue les notions les plus élé-
mentaires du confort. Nous nous croyons à notre ré-
veil transportés sur la plage d'une de nos villes de
bains de France. Nous nous rendons ensuite au dé-
barcadère que l'on construit à 1,8U0 mètres du rivage,
sur des pieux à vis; 80 sur 120 étaient déjà en-
foncés. Des navires tirant 14 pieds d'eau pourront y
venir aborder. Nous allons visiter les ateliers, qui se
composent de plusieurs grands bâtiments, forge, fon-
derie, tours et ajustage, scierie, atelier de menuise-
rie, tous munis d'une ou de deux machines de 20
chevaux. La scierie et l'atelier de menuiserie étaient
très-activement occupés pour le pavillon du vice-roi.
Les tours et l'ajustage s'organisent ; on fondait ce
jour-là même quantité de grosses et petites pièces
pour réparations de dragues et constructions nouvel-
les. La forge n'est établie qu'en camp volant; elle
n'en compte pas moins de nombreux ouvriers en par-
tie Arabes. Mais ce qui. je l'avoue, m'a plus satis-
fait que ces magnifiques apparences quelquefois
trompeuses, c'est l'assurance que je recevais de M.
Schmidt, ingénieur, chef du service du matériel et
des ateliers, que le prix de revient des pièces ouvrées
par le vice-roi pour surveiller les travaux et au-
quel s'adressent les Européens lorsqu'ils ont à se
plaindre du travail de telle ou telle corvée, sait
maintenir à la fois la justice et la discipline.
C'est un puissant auxiliaire que le vice-roi est
venu donner à la Compagnie et, de l'aveu de tous
ceux qui le voient à l'œuvre, il n'aura pas peu con-
tribué à résoudre pratiquement le problème. Cette
simplicité dans la direction était indispensable, c'est
un gage certain de succès : ce n'est qu'à ce prix que
de telles masses deviennent dirigeables ; aussi la diffi-
culté se résume-t-elle aujourd'hui en une question de
bras : or personne n'ignore que pour le gouvernement
égyptien ce n'est point un obstacle. —C'est par ving-
taine de mille que se comptent les mètres cubes en-
levés chaque jour aux reins solides du seuil. On les
paye aux Arabes à raison de 40 à 50 centimes le
mètre cube, chiffre inférieur à celui du devis. Sur
3,600,000 mètres cubes composant le seuil, 1,200,000
mètres cubes étaient déjà extraits lorsque nous y
passâmes le 6 avril, de sorte qu'avec une précision
mathématique on peut assigner à la fin des travaux
sur ce point les premiers jours d'octobre, en admet-
tant que le nombre de 21,000 travailleurs ne soit
pas augmenté. Les ateliers d'El-Guisr, quoique encore
assez importants (on y trouve une scierie à vapeur),
n'ont pourtant été créés qu'en vue de pourvoir aux
réparations et constructions accessoires. Ils forment
une petite annexe des ateliers de Port-Saïd. Les ma-
gasins renfermaient lorsque je les visitai plusieurs
centaines de mille kilogrammes de biscuits, de fèves,
des oignons, des lentilles en abondance pour les
Arabes, enfin les mille objets de consommation indis-
pensables à une petite colonie européenne dans le
désert.
El - Guisr, grâce à cette nombreuse population
arabe qui l'entoure presque continuellement, grâce
aux 500 Européens qui l'habitent, ne permet déjà
plus au voyageur de s'y croire dans le désert. Les
rues principales, matin et soir, sont très-animées.
Une église catholique, une mosquée à coupole élé-
gante, un cercle que l'on construit et qui sera par-
faitement pourvu de journaux, un musée, plusieurs
cafés et billards, un pâtissier, en voilà déjà assez pour
faire du campement du seuil un village modèle, même
en Europe.
Je crois qu'il faut venir jusqu'ici pour se faire une
juste idée de l'état d'avancement du travail, car pour
moi j'avoue que depuis lors mon opinion a beaucoup
changé. Le canal a demandé cinq ans à se creuser
politiquement, et là était sans doute la principale
difficulté. On s'en aperçoit bien sur les lieux mêmes
lorsque l'on est témoin de la facilité avec laquelle le
génie de l'homme, libre d3 tout autre souci et mis
en présence de la matière, la dompte à son profit.
Cette partie de l'ouvrage est sérieusement commencée
depuis le mois de juillet dernier, alors que le vice-roi
envoya ses premiers 8,000 hommes sur les chantiers
de la Compagnie, et depuis ce temps, que de chan-
gements! le canal d'eau douce apportant jusqu'au
milieu du désert la vie et l'eau du Nil à une ville euro-
péenne et à cette masse de travailleurs qui attaquent
le seuil si vigoureusement, qu'au chantier no 6, par
exemple, nous avons vu l'eau stagnante au fond de
la tranchée.
Lundi 7 avril, à 8 heures du matin, nous quittons
El-Guisr. Nous gagnons par terre El-Ferdane, où
nous arrivons à 11 heures; 1,500 Arabes y creusent
la rigole maritime pour la faire parvenir au pied du
seuil proprement dit. Nous y prenons la barque que
M. Feinieux, entrepreneur délégué, a bien voulu
mettre à notre disposition, et nous arrivons à Kan-
tara à 3 heures, après avoir traversé les lacs Ballah,
où nous voyons des efflorescences salines remarqua-
bles.
C'est près de Kantara que se trouve placée la pre-
mière drague, dont la marche a été beaucoup en-
travée par le sel contenu dans les eaux du lac, et
surtout par l'impossibilité d'obtenir promptement des
pièces réparées faute de moyens de transports et
d'ateliers suffisamment organisés ad hoc à Port-Saïd.
Nous partons le mardi 8, à 7 heures du matin. Les
eaux sont très-basses vu l'état avancé de la saison.
Nous rencontrons en entrant dans la partie encore
submergée du lac Menzaleh, une autre drague qui
marche bien depuis environ un an. Mais, c'est ici que
j'ai compris la grande utilité des toiles sans fin :
depuis leur suppression force est de se servir tant bien
que mal des couloirs, et nous leur avons découvert
des inconvénients qui sont complétement incompatibles
avec un travail courant.
Nous apercevons , échelonnés à distance trois
corps de drague qui ne sont point encore pourvus de
leurs machines à vapeur. Nous arrivons à Ras-el-
Eich à 5 heures du soir, et nous y trouvons deux
nouvelles dragues qui sont sur le point d'être mon-
tées, plus une qui se répare.
Nous quittons Ras-el-Eich le lendemain matin,
9 avril, à 11 heures, par le lac, et nous arrivons à
Port-Saïd à 5 heures du soir. Les berges du canal
sont poussées jusqu'à 2 kilomètres à l'intérieur du
lac; à leur tête nous longeons une drague en tra-
vail : un peu plus haut et creusant une rigole pa-
rallèle formant la limite du grand canal, nous ren-
controns une drague en réparation. A mesure que
nous nous approchons, le * spectacle devient plus
animé. Ici c'est l'industrie avec ses flots épais de
fumée, là c'est le commerce avec toute son activité.
Des barques arabes partant pour le seuil, les unes avec
un plein chargement de colis et ballots de toute es-
pèce, d'autres arrivant chargées jusqu'à mi-mât de
légumes, de viandes, de paniers pleins de poules, de
dindes, d'oies, de pigeons. Nous entrons enfin dans
le bassin creusé aux pieds des grands ateliers pour y
recevoir les dragues en réparation, et nous touchons
terre à deux pas de ces ateliers, élevés sur pilotis à
3 mètres au-dessus du lac et que nous apercevions
depuis le matin sans pouvoir y atteindre.
Nous nous dirigeons ensuite vers l'appontement,
et c'est là seulement qu'il nous est permis de juger
de la grandeur de la ville européenne dont nous
voyons les maisons s'étendre près du rivage sur une
longueur d'un kilomètre. Le village arabe semble
prolonger cette ligne jusqu'à perte de vue La nuit
nous force à regagner le chalet de l'ingénieur de la
Compagnie, où M. Laroche nous offre la plus aima-
ble hospitalité. Depuis notre départ d'Alexandrie nous
avions presque perdu de vue les notions les plus élé-
mentaires du confort. Nous nous croyons à notre ré-
veil transportés sur la plage d'une de nos villes de
bains de France. Nous nous rendons ensuite au dé-
barcadère que l'on construit à 1,8U0 mètres du rivage,
sur des pieux à vis; 80 sur 120 étaient déjà en-
foncés. Des navires tirant 14 pieds d'eau pourront y
venir aborder. Nous allons visiter les ateliers, qui se
composent de plusieurs grands bâtiments, forge, fon-
derie, tours et ajustage, scierie, atelier de menuise-
rie, tous munis d'une ou de deux machines de 20
chevaux. La scierie et l'atelier de menuiserie étaient
très-activement occupés pour le pavillon du vice-roi.
Les tours et l'ajustage s'organisent ; on fondait ce
jour-là même quantité de grosses et petites pièces
pour réparations de dragues et constructions nouvel-
les. La forge n'est établie qu'en camp volant; elle
n'en compte pas moins de nombreux ouvriers en par-
tie Arabes. Mais ce qui. je l'avoue, m'a plus satis-
fait que ces magnifiques apparences quelquefois
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Schmidt, ingénieur, chef du service du matériel et
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