Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1862-06-01
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 01 juin 1862 01 juin 1862
Description : 1862/06/01 (A7,N143). 1862/06/01 (A7,N143).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203297m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/06/2012
JOUHNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 181
mais, même avec cette heureuse modification, le prix
de location des terres de la Compagnie atteint à peine
le tiers de celui des bonnes terres de l'Egypte. Si donc
on y ajoute le revenu des 4,000 hectares dont nous
avons vu la terre desséchée et inculte seulement à
cause du mauvais état des canaux d'irrigation, on
comprendra facilement que cette propriété, confiée à
des mains habiles comme elle l'est aujourd'hui, rap-
portera dans six à sept ans au moins 300,000 francs.
Le lendemain de notre arrivée , nous accompa-
gnâmes M. Guichard dans les visites qu'il rendit à
trois des principaux cheiks fellahs ou bédouins. Par-
tout nous fûmes recus avec une franche cordialité :
le cheik bédouin BouBeddah, que nous vîmes en der-
nier lien, n'avait pas sa tente plantée sur les domaines
de la Compagnie, mais, confiant en l'intelligence des
nouveaux propriétaires, il n'avait pas hésité à louer
une grande partie de terre appartenant à la Compa-
gnie et se disposait à venir s'y livrer à l'agriculture
avec toute sa tribu. Cependant, malgré ces beaux ré-
sultats, on pourrait encore reprocher à qui de droit
l'emploi de ce capital considérable à autre chose qu'au
percement de l'isthme, si l'on n'était pas bien au cou-
rant de ce qui se passait l'année dernière à pareille
époque. El Ilamy Pacha avait alors cette propriété, et,
opposé sans motif plausible à la Compagnie, il comp-
tait arrêter à lui seul la marche des travaux. — Il
s'agissait d'abord de contrarier l'exécution du canal
d'eau douce et d'empêcher qu'on en retirât aucun
bénéfice en prétendant que l'écoulement des eaux du
Nil par cette issue allait priver des bienfaits de l'irri-
gation une étendue considérable de terre dans l'Ouady
comme aussi que, par une vieille convention, ce do-
maine avait obtenu du gouvernement la concession
des terres qui borderaient le prolongement ultérieur
du canal de l'Ouady. Il en résultait que la concession
faite à la Compagnie était sujette à des contestations.
El Ilamy Pacha avait une grande influence à Constan-
tinople et il poursuivait très-chaudement l'affaire,
quand il mourut tout à coup : ses biens furent vendus,
le vice-roi acheta le domaine, et c'est alors que la
Compagnie, pour éviter le retour de faits semblables,
en fit l'acquisition. Je n'ai pas craint d'entrer dans
quelques détails à ce sujet, parce que moi-même en
France, loin des lieux de l'action, j'avais fortement
désapprouvé cette affaire en principe, non point
que je la regardasse comme mauvaise pécuniaire-
ment parlant, mais parce que je trouvais que toute
complication inutile était très-dangereuse pour notre
vaste organisation et que nous devions nous avancer
tout droit vers notre but, l'union de la mer Rouge
à la Méditerranée. c
Le matin de notre départ nous allons visiter une
magnanerie sur laquelle on fonde un grand espoir, et
ce n'est pas sans raison selon moi. L'idée principale
de M. Guichard est de rappeler dans le domaine de
l'Ouady les 15 ou 16,000 Syriens qui du temps de
Mehemet Ali s'y livraient à la production de la soie.
Les nombreuses plantations de mûriers faciliteront
à ceux qui retourneraient les moyens de se livrer à
cette industrie. On laisse à l'intelligence des Arabes,
secondée par quelques améliorations générales ,
comme l'irrigation des terres, par exemple, de
choisir les plantes et les modes de culture qu'ils
croiront les plus convenables. C'est du reste la seule
bonne marche à adopter dans un pays qui renverse
tous les principes d'agriculture des climats tempé-
rés, où le crédit est le souverain bien, où le cultiva-
teur s'estime heureux de pouvoir emprunter à 50 0/0.
Jeudi 3 avril à midi, nous partons pour le campe-
ment du lac Maxama. Nous atteignons à trois
heures le commencement du canal d'eau douce et ce
n'est point sans un vif sentiment d'admiration qu'en
montant sur la rive nous apercevons jusqu'à perte
de vue des centaines de voiles latiues sillonnant ce qui
était le désert il y a six mois, où on ne pouvait péné-
trer et vivre qu'au prix de mille privations et que
nous parcourons maintenant doucement couchés dans
notre barque, tandis que d'autres portent jusqu'au
cœur du désert les vivres de 20,000 Arabes et de 500
Européens. Toute la journée, nous voyons se dé-
rouler devant nous la longue file des fellahs qui se
dirigent vers le seuil ou en reviennent. Vu à distance
on ne peut mieux se faire une idée de ce spectacle
qu'en observant près d'un nid de fourmis certaines
routes frayées sur le sable qu'elles semblent fré-
quenter de préférence. Une grande partie des terres
situées le long du canal sont cultivables. Des Bé-
douins viennent d'en louer 5,000 feddans ou 2,000 hec-
tares. Nous sondons en plusieurs endroits, nous trou-
vons généralement le fond à 2 mètres. L'état des ber-
ges, après trois mois de navigation active, estentière-
ment rassurant; dans quelques endroits elles sont
encore parfaitement intactes. Le but qu'on se propo-
sait tout d'abord étant de faire venir l'eau le plus
vite possible au pied du seuil, on n'a donné aux
berges que l'inclinaison strictement nécessaire pour
qu'elles ne retombassent pas d'elles-mêmes dans le
canal, avec l'intention d'y revenir au plus tôt. Nous
rencontrons en effet sur notre route 500 travailleurs
qui leur donnaient l'inclinaison définitive. Les déblais
suffisent partout pour préserver le canal des sables du
désert, et des plantations de tamarix judicieusement
distribuées complètent le système de protection.
— Il nous semblerait injuste d'omettre ici le nom
de M. Cazeaux qui non-seulement a fait les études
préparatoires du canal d'eau douce, mais qui, au mi-
lieu des chaleurs torrides de l'été en a conduit si ra-
pidement et à si bonne fin les travaux d'exécution
dont la main-d'œuvre proprement dite n'a pas dé-
passé 400,000 francs.
Nous arrivons à 6 heures à Maxama, placée dans
une situation charmante sur les bords du lac. Nous en
repartons le lendemain 4 avril à midi. Nous continuons
à rencontrer toute la journée de nombreux groupes
de travailleurs. Arrivés à Timsah à 5 heures du
soir, nous y passons la nuit et nous y laissons le canal
d'eau douce, qu'un ruisseau porte de là au pied du
seuil. Le 5 avril, à notre réveil, quoique encore éloignés
de 4 kilomètres des travaux, nous entendons un bruit
semblable au bourdonnement lointain d'une ruche
d'abeilles. Ce sont les chants et les cris des travail-
leurs arabes qui deviennent plus distincts à mesure
que nous avançons. Bientôt, des hauteurs sur les-
quelles est bâti l'élégant pavillon otfert par la Com-
pagnie au vice-roi, nous découvrons dans toute son
étendue le lac Timsah, qu'un rideau de dunes
nous avait jusqu'alors caché. Nous ne pouvons nous
lasser d'admirer cet immense port naturel creusé
presque partout à une profondeur de 4 à 5 mètres
au-dessous du niveau de la mer, sur le point d'être
bientôt envahi par les eaux trouvant un libre pas-
sage à travers l'énorme tranchée que nous voyons si
vigoureusement entamée devant nous.
Nous nous arrachons enfin à ce magnifique spec-
tacle, impatients de voir de près ces travaux dont
nous avons tant entendu parler. Nous les trouvons à
la hauteur de l'idée que nous nous en étions faite et
nous sommes frappés de l'ordre encore plus que de
la grandeur du travail. C'est en vain qu'au milieu
de cet immense va-et-vient nous cherchons des Eu-
ropéens; le mouvement nous apparaît dans toute son
intensité, mais nous n'en découvrons pas tout d'abord
le principe. — Il nous faut avoir recours aux
explications obligeantes de M. Larousse, l'un des
ingénieurs de la Compagnie. On constate ch ique
jour le nombre des mètres cubes extraits,, puis,
lorsque les corvées arrivent, on assigne aux cheiks
l'endroit où elles doivent travailler CI et la peute à
donner au talus. Ismaïl-bey, délégué spécialement
mais, même avec cette heureuse modification, le prix
de location des terres de la Compagnie atteint à peine
le tiers de celui des bonnes terres de l'Egypte. Si donc
on y ajoute le revenu des 4,000 hectares dont nous
avons vu la terre desséchée et inculte seulement à
cause du mauvais état des canaux d'irrigation, on
comprendra facilement que cette propriété, confiée à
des mains habiles comme elle l'est aujourd'hui, rap-
portera dans six à sept ans au moins 300,000 francs.
Le lendemain de notre arrivée , nous accompa-
gnâmes M. Guichard dans les visites qu'il rendit à
trois des principaux cheiks fellahs ou bédouins. Par-
tout nous fûmes recus avec une franche cordialité :
le cheik bédouin BouBeddah, que nous vîmes en der-
nier lien, n'avait pas sa tente plantée sur les domaines
de la Compagnie, mais, confiant en l'intelligence des
nouveaux propriétaires, il n'avait pas hésité à louer
une grande partie de terre appartenant à la Compa-
gnie et se disposait à venir s'y livrer à l'agriculture
avec toute sa tribu. Cependant, malgré ces beaux ré-
sultats, on pourrait encore reprocher à qui de droit
l'emploi de ce capital considérable à autre chose qu'au
percement de l'isthme, si l'on n'était pas bien au cou-
rant de ce qui se passait l'année dernière à pareille
époque. El Ilamy Pacha avait alors cette propriété, et,
opposé sans motif plausible à la Compagnie, il comp-
tait arrêter à lui seul la marche des travaux. — Il
s'agissait d'abord de contrarier l'exécution du canal
d'eau douce et d'empêcher qu'on en retirât aucun
bénéfice en prétendant que l'écoulement des eaux du
Nil par cette issue allait priver des bienfaits de l'irri-
gation une étendue considérable de terre dans l'Ouady
comme aussi que, par une vieille convention, ce do-
maine avait obtenu du gouvernement la concession
des terres qui borderaient le prolongement ultérieur
du canal de l'Ouady. Il en résultait que la concession
faite à la Compagnie était sujette à des contestations.
El Ilamy Pacha avait une grande influence à Constan-
tinople et il poursuivait très-chaudement l'affaire,
quand il mourut tout à coup : ses biens furent vendus,
le vice-roi acheta le domaine, et c'est alors que la
Compagnie, pour éviter le retour de faits semblables,
en fit l'acquisition. Je n'ai pas craint d'entrer dans
quelques détails à ce sujet, parce que moi-même en
France, loin des lieux de l'action, j'avais fortement
désapprouvé cette affaire en principe, non point
que je la regardasse comme mauvaise pécuniaire-
ment parlant, mais parce que je trouvais que toute
complication inutile était très-dangereuse pour notre
vaste organisation et que nous devions nous avancer
tout droit vers notre but, l'union de la mer Rouge
à la Méditerranée. c
Le matin de notre départ nous allons visiter une
magnanerie sur laquelle on fonde un grand espoir, et
ce n'est pas sans raison selon moi. L'idée principale
de M. Guichard est de rappeler dans le domaine de
l'Ouady les 15 ou 16,000 Syriens qui du temps de
Mehemet Ali s'y livraient à la production de la soie.
Les nombreuses plantations de mûriers faciliteront
à ceux qui retourneraient les moyens de se livrer à
cette industrie. On laisse à l'intelligence des Arabes,
secondée par quelques améliorations générales ,
comme l'irrigation des terres, par exemple, de
choisir les plantes et les modes de culture qu'ils
croiront les plus convenables. C'est du reste la seule
bonne marche à adopter dans un pays qui renverse
tous les principes d'agriculture des climats tempé-
rés, où le crédit est le souverain bien, où le cultiva-
teur s'estime heureux de pouvoir emprunter à 50 0/0.
Jeudi 3 avril à midi, nous partons pour le campe-
ment du lac Maxama. Nous atteignons à trois
heures le commencement du canal d'eau douce et ce
n'est point sans un vif sentiment d'admiration qu'en
montant sur la rive nous apercevons jusqu'à perte
de vue des centaines de voiles latiues sillonnant ce qui
était le désert il y a six mois, où on ne pouvait péné-
trer et vivre qu'au prix de mille privations et que
nous parcourons maintenant doucement couchés dans
notre barque, tandis que d'autres portent jusqu'au
cœur du désert les vivres de 20,000 Arabes et de 500
Européens. Toute la journée, nous voyons se dé-
rouler devant nous la longue file des fellahs qui se
dirigent vers le seuil ou en reviennent. Vu à distance
on ne peut mieux se faire une idée de ce spectacle
qu'en observant près d'un nid de fourmis certaines
routes frayées sur le sable qu'elles semblent fré-
quenter de préférence. Une grande partie des terres
situées le long du canal sont cultivables. Des Bé-
douins viennent d'en louer 5,000 feddans ou 2,000 hec-
tares. Nous sondons en plusieurs endroits, nous trou-
vons généralement le fond à 2 mètres. L'état des ber-
ges, après trois mois de navigation active, estentière-
ment rassurant; dans quelques endroits elles sont
encore parfaitement intactes. Le but qu'on se propo-
sait tout d'abord étant de faire venir l'eau le plus
vite possible au pied du seuil, on n'a donné aux
berges que l'inclinaison strictement nécessaire pour
qu'elles ne retombassent pas d'elles-mêmes dans le
canal, avec l'intention d'y revenir au plus tôt. Nous
rencontrons en effet sur notre route 500 travailleurs
qui leur donnaient l'inclinaison définitive. Les déblais
suffisent partout pour préserver le canal des sables du
désert, et des plantations de tamarix judicieusement
distribuées complètent le système de protection.
— Il nous semblerait injuste d'omettre ici le nom
de M. Cazeaux qui non-seulement a fait les études
préparatoires du canal d'eau douce, mais qui, au mi-
lieu des chaleurs torrides de l'été en a conduit si ra-
pidement et à si bonne fin les travaux d'exécution
dont la main-d'œuvre proprement dite n'a pas dé-
passé 400,000 francs.
Nous arrivons à 6 heures à Maxama, placée dans
une situation charmante sur les bords du lac. Nous en
repartons le lendemain 4 avril à midi. Nous continuons
à rencontrer toute la journée de nombreux groupes
de travailleurs. Arrivés à Timsah à 5 heures du
soir, nous y passons la nuit et nous y laissons le canal
d'eau douce, qu'un ruisseau porte de là au pied du
seuil. Le 5 avril, à notre réveil, quoique encore éloignés
de 4 kilomètres des travaux, nous entendons un bruit
semblable au bourdonnement lointain d'une ruche
d'abeilles. Ce sont les chants et les cris des travail-
leurs arabes qui deviennent plus distincts à mesure
que nous avançons. Bientôt, des hauteurs sur les-
quelles est bâti l'élégant pavillon otfert par la Com-
pagnie au vice-roi, nous découvrons dans toute son
étendue le lac Timsah, qu'un rideau de dunes
nous avait jusqu'alors caché. Nous ne pouvons nous
lasser d'admirer cet immense port naturel creusé
presque partout à une profondeur de 4 à 5 mètres
au-dessous du niveau de la mer, sur le point d'être
bientôt envahi par les eaux trouvant un libre pas-
sage à travers l'énorme tranchée que nous voyons si
vigoureusement entamée devant nous.
Nous nous arrachons enfin à ce magnifique spec-
tacle, impatients de voir de près ces travaux dont
nous avons tant entendu parler. Nous les trouvons à
la hauteur de l'idée que nous nous en étions faite et
nous sommes frappés de l'ordre encore plus que de
la grandeur du travail. C'est en vain qu'au milieu
de cet immense va-et-vient nous cherchons des Eu-
ropéens; le mouvement nous apparaît dans toute son
intensité, mais nous n'en découvrons pas tout d'abord
le principe. — Il nous faut avoir recours aux
explications obligeantes de M. Larousse, l'un des
ingénieurs de la Compagnie. On constate ch ique
jour le nombre des mètres cubes extraits,, puis,
lorsque les corvées arrivent, on assigne aux cheiks
l'endroit où elles doivent travailler CI et la peute à
donner au talus. Ismaïl-bey, délégué spécialement
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
- Collections numériques similaires Thématique : ingénierie, génie civil Thématique : ingénierie, génie civil /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCthèm02"Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp11" Corpus : ports et travaux maritimes Corpus : ports et travaux maritimes /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp16"
- Auteurs similaires Desplaces Ernest Desplaces Ernest /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Desplaces Ernest" or dc.contributor adj "Desplaces Ernest")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 13/16
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6203297m/f13.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6203297m/f13.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6203297m/f13.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6203297m
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6203297m
Facebook
Twitter