Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1861-07-01
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 01 juillet 1861 01 juillet 1861
Description : 1861/07/01 (A6,N121). 1861/07/01 (A6,N121).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203274m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/06/2012
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 223
de passage vers l'Orient. Ces idées vagues se sont dis-
sipées ici avec les dangers qui les ont fait naître, et la
route d'Egypte qui nous est assurée par les traités, et
qui nous est beaucoup moins précieuse au point de vue
militaire que pour entretenir des communications pa-
cifiques, est notre seul privilège en Egypte. Si un ca.
nal était ouvert, il serait fermé par convention, sinon
par sa nature même, aux vaisseaux de guerre de toute
nation, et rien ne pourrait nous empêcher d'en recueil-
lir le principal avantage si ce n'est un système de
péage différentiel ou quelque autre violation de la
neutralité égyptienne en faveur de la France. Ce n'est
donc pas le succès de l'entreprise que nous avons à re-
douter. Si c'était tout, nous serions très-disposés à
ne pas nous en occuper comme question technique, et à
accepter sous réserve de notre opinion, la décision de la
majorité. Dans tous les cas, nous aurions soin de ca-
cher une opinion qui ne pourrait qu'exciter la jalousie
de nos rivaux, et lord Palmerston aurait été le dernier
à commettre l'indiscrétion qui lui est attribuée par
M. Griffith.
» Quel est donc le danger réel que redoutent les
hommes d'État anglais et que s'étudie à tenir dans
l'ombre le corps de diplomates et d'ingénieurs dont M. de
Lesseps est le chef? Il consiste simplement en ceci que,
sous le couvert du canal, que son sort soit le succès ou
l'insuccès, la France peut être tentée de s'agrandir en
Égypte aux dépens de la bourse du pacha et de la sou-
veraineté du sultan, ainsi qu'au préjudice de ces grands
intérêts européens engagés à conserver les portes de
l'Orient aux mains d'une puissance constamment
neutre. Nous ne voulons pas que le gouvernement
égyptien soit placé dans de telles obligations envers un
allié ambitieux, qu'il ne puisse s'en dégager sans faire
de fâcheuses concessions à son créancier. Nous ne vou-
lons pas que l'Égypte soit traitée par la France comme
les juifs l'ont été par les princes chrétiens du moyen
âge, jusqu'à ce qu'elle soit tellement appauvrie par ces
procédés que la Compagnie, qui tient déjà une grande
étendue de terrain, ou quelque autre corps plus puis-
sant prétendant la représenter, prenne l'attitude d'un
créancier hypothécaire en possession. Nous ne voulons
pas qu'une dépendance de la Porte devienne un foyer
d'intrigue française et l'instrument de l'arbitraire fran-
çais. Ces dangers et d'autres semblables, qu'on le re-
marque, sont attachés non à l'achèvement mais au com-
mencement et à la poursuite de l'entreprise ; ils ne sont
pas futurs, ils sont présents.
» L'attitude de l'Angleterre dans cette affaire est
analogue à celle d'une opposition parlementaire. Le
projet a été entrepris, contrairement à l'avis de nos in-
génieurs, presque avec une ostentation d'hostilité contre
nos intérêts, et la position d'antagonistes où nous nous
trouvons jetés est fortifiée et justifiée par les artifices
qui ont été employés pour en étayer la faiblesse finan-
cière. Tout ce qui a transpiré jusqu'ici confirme les ob-
jections que nous avons fait valoir dès le commence-
ment. Ces objections étaient fondées sur les frais
énormes de construction, la difficulté presque insurmon-
table de former et d'entretenir les ports aux deux ex-
trémités, le désavantage pour des navires u'un tirant
comparativement faible de lutter contre les grands va-
peurs de l'Océan; considérant spécialement les dangers de
la navigation dans la mer Rouge, les droits exorbitants
de transit qui seuls permettraient d'entretenir le canal,
et l'impossibilité d'obtenir des garanties suffisantes de
son existence dans la condition politique actuelle de
l'Orient. M. de Lesseps ne peut pas supprimer ces vi-
lains faits en nous vilipendant, tandis qu'il ignore com-
plètement la question de dépense. ZD
» Quand même nos objections contre le projet seraient
aussi égoïstes qu'il entre dans la politique de M. de
Lesseps de les faire paraître, il est absurde de faire
remonter la liaison de la France avec l'Égypte à quel-
que événement du siècle actuel. Un projet d'occupation
de l'Egypte fut offert au gouvernement français par
Leibniz, et Napoléon Ier a prédit qu'un jour ou l'autre
elle devrait appartenir à la France.
» Depuis le jour où il mit ses actes en harmonie
avec ses paroles en organisant l'expédition d'Égypte
avec son corps auxiliaire de savants pour explorer et
faire un rapport sur le cours du canal de Nechos, les
enthousiastes français n'ont jamais perdu de vue l'É-
gypte comme un champ d'ambition ; elle a un air si
attrayant et figurerait si bien sur la carte entre l'Al-
gérie et la Syrie, sur les populations desquelles le mar-
quis de la Rochejaquelein nous a récemment informés
que la France avait exercé un « protectorat direct »
depuis le temps de saint Louis ! Nous connaissonsiquelle
est cette tentation, car nous y avons résisté après
l'expulsion des Français, de même que nous avons re-
poussé les ouvertures de l'empereur Nicolas à sir Ha-
milton Seymour; et nous nous doutons bien qu'il y a
à Paris certains hommes à projets qui nous regardent
comme des imbéciles pour avoir agi de la sorte. Ces
messieurs appartiennent à un parti qui ne s'est guère
donné la peine de cacher ses tendances ultérieures.
Détacher l'Égypte de la Porte en traitant avec elle
comme avec une puissance indépendante, patronner sa
civilisation et établir un droit permanent d'intervention
dans ses affaires, telle était la politique de ce parti,
même sous Louis-Philippe, et, quand la France fut
contrainte de répudier ses engagements avec Méhémet-
Ali en 1840. M. Thiers laissa échapper ces paroles :
« Notre influence en Europe est perdue à jamais. »
Loin de nous de vouloir insinuer que de pareils des-
seins se trouvent sciemment dans l'esprit des promo-
teurs du canal de Suez, ou que l'on médite aucune
rectification de la frontière française dans cette direc-
tion. Nous ne faisons qu'indiquer les motifs qui nous
obligent à surveiller la marche de cette Compagnie
avec quelque inquiétude. »
■ ■ -. f
Nous n'avons pas à nous occuper des portions de
cet article qui ne sont que la répétition textuelle de
la lettre et des arguments du correspondant du Times,
Nous n'avons pas à nous occuper davantage des
objections de notre confrère sur la possibilité du
canal, sur les difficultés de son exécution, sur la
ruine qui attend ses actionnaires, et autres
terreurs de même force que nous avons vingt
fois réfutées sans qu'on ait jamais consenti à nous
répondre, parce que, pour nous répondre, il fallait
plus ou moins faire connaître nos arguments et
qu'il faut avant tout tenir le public anglais dans
l'ignorance et dans la sainte crédulité des fables dont
on le nourrit relativement à cette affaire. Il nous
suffit de dire encore une fois au Times : Que vous
importe notre succès? Vous n'y croyez pas et nous y
croyons? Pourquoi vous obstinez-vous à ne point
nous laisser nous ruiner à notre aise ? Que peut-il
vous en coûter et qu'en coûtera-t-il à votre pays?
L'entreprise ne vous demande pas un shilling et
vous n'y êtes intéressés vous-mêmes que par le grand
avantage que, de votre propre aveu, vous devez en
retirer si elle réussit. Pourquoi montrez-vous plus de
sollicitude pour les bourses françaises que vous n'en
avez montré pour les bourses anglaises? Vous avez
poussé de toutes vos forces à la souscription des ac-
tions du chemin de fer de l'Euphrate, et, dès leurs
premières tentatives, vos ingénieurs, malgré toutes
les assistances qu'ils ont reçues, la faveur toute
spéciale et non combattue dont ils ont été l'objet, ont
d'eux-mêmes renoncé à ce projet. Vous avez acclamé,
vanté, recommandé la construction du Great-Eastern,
et il a déjà trois fois absorbé son capital social et
déçu les espérances de trois successions d'actionnaires!
Laissez-nous faire à nos risques et périls; nous ne
de passage vers l'Orient. Ces idées vagues se sont dis-
sipées ici avec les dangers qui les ont fait naître, et la
route d'Egypte qui nous est assurée par les traités, et
qui nous est beaucoup moins précieuse au point de vue
militaire que pour entretenir des communications pa-
cifiques, est notre seul privilège en Egypte. Si un ca.
nal était ouvert, il serait fermé par convention, sinon
par sa nature même, aux vaisseaux de guerre de toute
nation, et rien ne pourrait nous empêcher d'en recueil-
lir le principal avantage si ce n'est un système de
péage différentiel ou quelque autre violation de la
neutralité égyptienne en faveur de la France. Ce n'est
donc pas le succès de l'entreprise que nous avons à re-
douter. Si c'était tout, nous serions très-disposés à
ne pas nous en occuper comme question technique, et à
accepter sous réserve de notre opinion, la décision de la
majorité. Dans tous les cas, nous aurions soin de ca-
cher une opinion qui ne pourrait qu'exciter la jalousie
de nos rivaux, et lord Palmerston aurait été le dernier
à commettre l'indiscrétion qui lui est attribuée par
M. Griffith.
» Quel est donc le danger réel que redoutent les
hommes d'État anglais et que s'étudie à tenir dans
l'ombre le corps de diplomates et d'ingénieurs dont M. de
Lesseps est le chef? Il consiste simplement en ceci que,
sous le couvert du canal, que son sort soit le succès ou
l'insuccès, la France peut être tentée de s'agrandir en
Égypte aux dépens de la bourse du pacha et de la sou-
veraineté du sultan, ainsi qu'au préjudice de ces grands
intérêts européens engagés à conserver les portes de
l'Orient aux mains d'une puissance constamment
neutre. Nous ne voulons pas que le gouvernement
égyptien soit placé dans de telles obligations envers un
allié ambitieux, qu'il ne puisse s'en dégager sans faire
de fâcheuses concessions à son créancier. Nous ne vou-
lons pas que l'Égypte soit traitée par la France comme
les juifs l'ont été par les princes chrétiens du moyen
âge, jusqu'à ce qu'elle soit tellement appauvrie par ces
procédés que la Compagnie, qui tient déjà une grande
étendue de terrain, ou quelque autre corps plus puis-
sant prétendant la représenter, prenne l'attitude d'un
créancier hypothécaire en possession. Nous ne voulons
pas qu'une dépendance de la Porte devienne un foyer
d'intrigue française et l'instrument de l'arbitraire fran-
çais. Ces dangers et d'autres semblables, qu'on le re-
marque, sont attachés non à l'achèvement mais au com-
mencement et à la poursuite de l'entreprise ; ils ne sont
pas futurs, ils sont présents.
» L'attitude de l'Angleterre dans cette affaire est
analogue à celle d'une opposition parlementaire. Le
projet a été entrepris, contrairement à l'avis de nos in-
génieurs, presque avec une ostentation d'hostilité contre
nos intérêts, et la position d'antagonistes où nous nous
trouvons jetés est fortifiée et justifiée par les artifices
qui ont été employés pour en étayer la faiblesse finan-
cière. Tout ce qui a transpiré jusqu'ici confirme les ob-
jections que nous avons fait valoir dès le commence-
ment. Ces objections étaient fondées sur les frais
énormes de construction, la difficulté presque insurmon-
table de former et d'entretenir les ports aux deux ex-
trémités, le désavantage pour des navires u'un tirant
comparativement faible de lutter contre les grands va-
peurs de l'Océan; considérant spécialement les dangers de
la navigation dans la mer Rouge, les droits exorbitants
de transit qui seuls permettraient d'entretenir le canal,
et l'impossibilité d'obtenir des garanties suffisantes de
son existence dans la condition politique actuelle de
l'Orient. M. de Lesseps ne peut pas supprimer ces vi-
lains faits en nous vilipendant, tandis qu'il ignore com-
plètement la question de dépense. ZD
» Quand même nos objections contre le projet seraient
aussi égoïstes qu'il entre dans la politique de M. de
Lesseps de les faire paraître, il est absurde de faire
remonter la liaison de la France avec l'Égypte à quel-
que événement du siècle actuel. Un projet d'occupation
de l'Egypte fut offert au gouvernement français par
Leibniz, et Napoléon Ier a prédit qu'un jour ou l'autre
elle devrait appartenir à la France.
» Depuis le jour où il mit ses actes en harmonie
avec ses paroles en organisant l'expédition d'Égypte
avec son corps auxiliaire de savants pour explorer et
faire un rapport sur le cours du canal de Nechos, les
enthousiastes français n'ont jamais perdu de vue l'É-
gypte comme un champ d'ambition ; elle a un air si
attrayant et figurerait si bien sur la carte entre l'Al-
gérie et la Syrie, sur les populations desquelles le mar-
quis de la Rochejaquelein nous a récemment informés
que la France avait exercé un « protectorat direct »
depuis le temps de saint Louis ! Nous connaissonsiquelle
est cette tentation, car nous y avons résisté après
l'expulsion des Français, de même que nous avons re-
poussé les ouvertures de l'empereur Nicolas à sir Ha-
milton Seymour; et nous nous doutons bien qu'il y a
à Paris certains hommes à projets qui nous regardent
comme des imbéciles pour avoir agi de la sorte. Ces
messieurs appartiennent à un parti qui ne s'est guère
donné la peine de cacher ses tendances ultérieures.
Détacher l'Égypte de la Porte en traitant avec elle
comme avec une puissance indépendante, patronner sa
civilisation et établir un droit permanent d'intervention
dans ses affaires, telle était la politique de ce parti,
même sous Louis-Philippe, et, quand la France fut
contrainte de répudier ses engagements avec Méhémet-
Ali en 1840. M. Thiers laissa échapper ces paroles :
« Notre influence en Europe est perdue à jamais. »
Loin de nous de vouloir insinuer que de pareils des-
seins se trouvent sciemment dans l'esprit des promo-
teurs du canal de Suez, ou que l'on médite aucune
rectification de la frontière française dans cette direc-
tion. Nous ne faisons qu'indiquer les motifs qui nous
obligent à surveiller la marche de cette Compagnie
avec quelque inquiétude. »
■ ■ -. f
Nous n'avons pas à nous occuper des portions de
cet article qui ne sont que la répétition textuelle de
la lettre et des arguments du correspondant du Times,
Nous n'avons pas à nous occuper davantage des
objections de notre confrère sur la possibilité du
canal, sur les difficultés de son exécution, sur la
ruine qui attend ses actionnaires, et autres
terreurs de même force que nous avons vingt
fois réfutées sans qu'on ait jamais consenti à nous
répondre, parce que, pour nous répondre, il fallait
plus ou moins faire connaître nos arguments et
qu'il faut avant tout tenir le public anglais dans
l'ignorance et dans la sainte crédulité des fables dont
on le nourrit relativement à cette affaire. Il nous
suffit de dire encore une fois au Times : Que vous
importe notre succès? Vous n'y croyez pas et nous y
croyons? Pourquoi vous obstinez-vous à ne point
nous laisser nous ruiner à notre aise ? Que peut-il
vous en coûter et qu'en coûtera-t-il à votre pays?
L'entreprise ne vous demande pas un shilling et
vous n'y êtes intéressés vous-mêmes que par le grand
avantage que, de votre propre aveu, vous devez en
retirer si elle réussit. Pourquoi montrez-vous plus de
sollicitude pour les bourses françaises que vous n'en
avez montré pour les bourses anglaises? Vous avez
poussé de toutes vos forces à la souscription des ac-
tions du chemin de fer de l'Euphrate, et, dès leurs
premières tentatives, vos ingénieurs, malgré toutes
les assistances qu'ils ont reçues, la faveur toute
spéciale et non combattue dont ils ont été l'objet, ont
d'eux-mêmes renoncé à ce projet. Vous avez acclamé,
vanté, recommandé la construction du Great-Eastern,
et il a déjà trois fois absorbé son capital social et
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