Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-08-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 août 1858 25 août 1858
Description : 1858/08/25 (A3,N53). 1858/08/25 (A3,N53).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203099r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
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MERCREDI 25 AOUT. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. -415
obèrent un refuge dehors, où aveuglés par le soleil, ils
furent abattus par des gourdins faits de paille, et provisoire-
ment déposés dans des sacs. Les procédés de la Chambre des
Communes pendant quelques-uns des débats sur le canal de
Suez nous rappellent involontairement ces dénicheurs d'oi-
seaux de nuit. Ni lord Palmerston, ni M. Disraëli n'avaient
quelque chose de pratique ou d'intelligent à dire contre cette
entreprise ; et ils se virent réduits dans le débat à se prononcer
comme des oracles, d'une manière profondément inintelli-
gible. Mais ils eurent soin de nous informer que, si M. Ro-
bert Stéphenson se trouvait présent, il serait capable de
nous démontrer aisément l'impossibilité pratique du projet.
Faisant rejaillir ce feu follet devant les yeux des membres,
l'intelligence de ces derniers en fut, à la longue, tellement
éblouie, que leurs votes purent être ramassés, comme les
corps des infortunés hiboux, sans qu'on leur ait donné le
temps de considérer qu'il ne s'agissait point de la possibilité
pratique du projet, et que la solution de cette question n'avait
rien à faire avec le fond de la discussion, laquelle devait
établir si le gouvernement s'opposait ou ne s'opposait pas
à l'entreprise, et si la conduite de la Chambre dans cette
affaire était raisonnable et politique.
» Nous n'avons pas l'intention de discuter sur des points
ayant rapport à l'art de l'ingénieur avec un homme d'une
réputation aussi bien méritée que celle de M. Stéphenson;
mais nous étions extrêmement curieux d'apprendre quels
étaierit ces faits admirables qu'il a à sa disposition et les-
quels, si la Chambre des Communes avait seulement pu
les èhtèndre, auraient terminé la question et l'auraient ren-
voyés pour toujours aux limbes des projets avortés. Il était
d'un intérêt peu ordinaire d'apprendre comment la connais-
sance de ces faits avait été acquise et quel était le caractère
de ces faits curieux; car quoique M. Stéphenson pût prouver
que le projet était impraticable, d'un autre côté MM. Rendel,
Mac Clean, le chevalier Négrelli, MM. Paléocapa , Conrad,
Lentze, Renaud, Lieussou, Linant et Mougel, ceux qui
avaient fait le projet de l'entreprise, tous avaient décidé
qu'elle était parfaitement faisable. Assurément il était inté-
ressant d'apprendre comment ces hommes, représentant
l'Autriche, la Sardaigne, la Hollande, la Prusse, la France,
l'Égypte et l'Angleterre avaient pu commettre une aussi grave
erreur. Enfin nous avons le secret de M. Stéphenson, et nous
apprenons par lui-même l'étendue exacte des connaissances et
des observations personnelles qui ont induit deux ministères
successifs à imposer M. Stéphenson à la Chambre des Com-
munes comme un homme dont le verdict est décisif et sans
appel. M. Stéphenson a eu le malheur de publier une longue
lettre à la Gazette autrichienne dans les colonnes d'un de nos
confrères du matin (Morning-Contemporary), et il a de cette
manière démoli la respectueuse superstition avec laquelle on
nous avait appris à le regarder comme un oraclo dans la
question du canal de Suez. En tout cas, il a prouvé par sa
lettre qu'il n'était pas complice de la mystification du minis-
tère, qu'il n'avait pas la prétention de s'attribuer des con-
.naissances exclusives et particulières sur le sujet en question,
et qu'après tout, il ne professait d'autre opinion que celle
qui est d'accord avec la manière dont les faits lui avaient été
présentés par M. Talabot.
» Malheureusement pour l'importance que l'on avait atta-
chée jusqu'à présent à l'opinion de M. Stéphenson, le savoir
personnel de cet ingénieur, quant à la principale difficulté,
aux yeux de ceux qui s'opposent à l'entreprise, n'est pas plus
grand que le savoir de tous ces messieurs que l'on avait
priés de se soumettre à la décision que M. Stéphenson aurait
bien voulu rendre devant la Chambre des Communes, s il y
avait été présent pour pouvoir la donner. Les bons moulons
du troupeau législatif ont tous cru sur parole et ont suivi
celui qui les précédait, la cloche au cou , avec autant d'intel-
ligence et de sentiment du devoir sous le ministère Disraëli
que sous celui de lord Palmerston. Il est bien connu que
M. Stéphenson et le chevalier Négrelli ont pris un intérêt
considérable dans le projet du canal de Suez rédigé, il y a
quelques années , par M. Talabot. Le plan était basé sur la
supposition qu'il y avait une différence de quelques mètres
entre les niveaux de la mer Rouge et de la Méditerranée, et
que par conséquent un courant constant s'établirait de l'une
à l'autre. Lorsque des recherches plus exactes vinrent dé-
montter que cette supposition était erronée, on laissa tomber
le projet en question. Plus tard deux autres ingénieurs, Li-
nant et Mougel, firent des levées sur la ligne entre Suez et la
baie de Tineh; et les ingénieurs de diverses nations cités plus
haut décidèrent que cette ligne, à quelques changements
près, pourrait parfaitement servir à l'établissement d'un
canal. M. Talabot, d'un autre côté, déclara que l'entretien
d'un canal et d'une entrée dans la baie de Tineh offre des
difficultés insurmontables provenant de la direction d'un
courant dirigé vers l'est, et ayant une tendance perpétuelle
à la remplir de vase et de bourbe. Jusqu'ici M. Talabot est
la seule autorité; mais M. Stéphenson s'avance pour nous
raconter que dans l'hiver de 1854 il fit un voyage avec les
rapports et calculs de M. Talabot sous les yeux. Ces travaux
donnaient la clef de tout. « Je vis de mes propres yeux, »
dit M. Stéphenson , et jugeant d'après ma propre expérience
je confirmai ma confiance dans la justesse des vues de M. Ta-
labot, » etc. Si M. Stéphenson avait été un charlatan, il se
serait arrêté là ; mais ayant la ferme intention de dire toute
la vérité et rien que la vérité, il poursuit en nous disant ce
qu'il a vu, d'où il résulte que de cette redoutable baie de
Tineh et de l'embouchure proposée du canal, de cette entrée
impossible selon M. Talabot, lui, M. Stéphenson, n'a littérale-
ment rien vu.
« M. Stéphenson nous informe qu'il a exploré la situation
des lacs Amers, qu'il a campé deux jours au lac Timsah et
que de là il s'est avancé par les hauteurs vers le lac Ballah.
Ceci paraît être le point le plus rapproché à la baie de Tineh
que M. Stéphenson ait vu, et, de ce point comparativement
élevé, dit-il, « il pouvait voir les pays qui se trouvent dans la
direction du lac Menzaleh. » Et naturellement, M. Stéphen-
son, vous pouviez alors voir le caractère du rivage de la
baie de Tineh et juger de quelle nature était le fond de la
mer à cet endroit et comment le courant se trouvait dirigé,
et s'il avait une tendance ou non à ensabler le canal projeté?
Si vous n'avez pas vu cela, vous n'avez rien vu qui vous
autorise à vous prononcer pour M. Talabot contre l'autorité
d'hommes au moins tous aussi capables que lui; car toute
la question tourne autour du point de savoir si l'issue du
canal dans la baie de Tineh est praticable ou non. Mais le
lac de Ballah se trouve à peu près aux deux tiers de la dis-
tance entre Suez et l'embouchure du canal; et « le point com-
parativement élevé » ne peut être très-haut, vu que les cou-
pures les plus profondes que le canal aura à faire, ne
dépassent pas vingt yards. Ainsi, même en accordant à
M. Stéphenson une force de vision très-supérieure, il doit
nous permettre de ne pas être convaincus, jusqu'au moment
où il aura assuré spécialement avoir vu l'embouchure pro-
jetée du canal.
» Nous sommes fâchés après tout de trouver que M. Sté-
phenson, dont le nom avait été posé, par les adversaires du
MERCREDI 25 AOUT. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. -415
obèrent un refuge dehors, où aveuglés par le soleil, ils
furent abattus par des gourdins faits de paille, et provisoire-
ment déposés dans des sacs. Les procédés de la Chambre des
Communes pendant quelques-uns des débats sur le canal de
Suez nous rappellent involontairement ces dénicheurs d'oi-
seaux de nuit. Ni lord Palmerston, ni M. Disraëli n'avaient
quelque chose de pratique ou d'intelligent à dire contre cette
entreprise ; et ils se virent réduits dans le débat à se prononcer
comme des oracles, d'une manière profondément inintelli-
gible. Mais ils eurent soin de nous informer que, si M. Ro-
bert Stéphenson se trouvait présent, il serait capable de
nous démontrer aisément l'impossibilité pratique du projet.
Faisant rejaillir ce feu follet devant les yeux des membres,
l'intelligence de ces derniers en fut, à la longue, tellement
éblouie, que leurs votes purent être ramassés, comme les
corps des infortunés hiboux, sans qu'on leur ait donné le
temps de considérer qu'il ne s'agissait point de la possibilité
pratique du projet, et que la solution de cette question n'avait
rien à faire avec le fond de la discussion, laquelle devait
établir si le gouvernement s'opposait ou ne s'opposait pas
à l'entreprise, et si la conduite de la Chambre dans cette
affaire était raisonnable et politique.
» Nous n'avons pas l'intention de discuter sur des points
ayant rapport à l'art de l'ingénieur avec un homme d'une
réputation aussi bien méritée que celle de M. Stéphenson;
mais nous étions extrêmement curieux d'apprendre quels
étaierit ces faits admirables qu'il a à sa disposition et les-
quels, si la Chambre des Communes avait seulement pu
les èhtèndre, auraient terminé la question et l'auraient ren-
voyés pour toujours aux limbes des projets avortés. Il était
d'un intérêt peu ordinaire d'apprendre comment la connais-
sance de ces faits avait été acquise et quel était le caractère
de ces faits curieux; car quoique M. Stéphenson pût prouver
que le projet était impraticable, d'un autre côté MM. Rendel,
Mac Clean, le chevalier Négrelli, MM. Paléocapa , Conrad,
Lentze, Renaud, Lieussou, Linant et Mougel, ceux qui
avaient fait le projet de l'entreprise, tous avaient décidé
qu'elle était parfaitement faisable. Assurément il était inté-
ressant d'apprendre comment ces hommes, représentant
l'Autriche, la Sardaigne, la Hollande, la Prusse, la France,
l'Égypte et l'Angleterre avaient pu commettre une aussi grave
erreur. Enfin nous avons le secret de M. Stéphenson, et nous
apprenons par lui-même l'étendue exacte des connaissances et
des observations personnelles qui ont induit deux ministères
successifs à imposer M. Stéphenson à la Chambre des Com-
munes comme un homme dont le verdict est décisif et sans
appel. M. Stéphenson a eu le malheur de publier une longue
lettre à la Gazette autrichienne dans les colonnes d'un de nos
confrères du matin (Morning-Contemporary), et il a de cette
manière démoli la respectueuse superstition avec laquelle on
nous avait appris à le regarder comme un oraclo dans la
question du canal de Suez. En tout cas, il a prouvé par sa
lettre qu'il n'était pas complice de la mystification du minis-
tère, qu'il n'avait pas la prétention de s'attribuer des con-
.naissances exclusives et particulières sur le sujet en question,
et qu'après tout, il ne professait d'autre opinion que celle
qui est d'accord avec la manière dont les faits lui avaient été
présentés par M. Talabot.
» Malheureusement pour l'importance que l'on avait atta-
chée jusqu'à présent à l'opinion de M. Stéphenson, le savoir
personnel de cet ingénieur, quant à la principale difficulté,
aux yeux de ceux qui s'opposent à l'entreprise, n'est pas plus
grand que le savoir de tous ces messieurs que l'on avait
priés de se soumettre à la décision que M. Stéphenson aurait
bien voulu rendre devant la Chambre des Communes, s il y
avait été présent pour pouvoir la donner. Les bons moulons
du troupeau législatif ont tous cru sur parole et ont suivi
celui qui les précédait, la cloche au cou , avec autant d'intel-
ligence et de sentiment du devoir sous le ministère Disraëli
que sous celui de lord Palmerston. Il est bien connu que
M. Stéphenson et le chevalier Négrelli ont pris un intérêt
considérable dans le projet du canal de Suez rédigé, il y a
quelques années , par M. Talabot. Le plan était basé sur la
supposition qu'il y avait une différence de quelques mètres
entre les niveaux de la mer Rouge et de la Méditerranée, et
que par conséquent un courant constant s'établirait de l'une
à l'autre. Lorsque des recherches plus exactes vinrent dé-
montter que cette supposition était erronée, on laissa tomber
le projet en question. Plus tard deux autres ingénieurs, Li-
nant et Mougel, firent des levées sur la ligne entre Suez et la
baie de Tineh; et les ingénieurs de diverses nations cités plus
haut décidèrent que cette ligne, à quelques changements
près, pourrait parfaitement servir à l'établissement d'un
canal. M. Talabot, d'un autre côté, déclara que l'entretien
d'un canal et d'une entrée dans la baie de Tineh offre des
difficultés insurmontables provenant de la direction d'un
courant dirigé vers l'est, et ayant une tendance perpétuelle
à la remplir de vase et de bourbe. Jusqu'ici M. Talabot est
la seule autorité; mais M. Stéphenson s'avance pour nous
raconter que dans l'hiver de 1854 il fit un voyage avec les
rapports et calculs de M. Talabot sous les yeux. Ces travaux
donnaient la clef de tout. « Je vis de mes propres yeux, »
dit M. Stéphenson , et jugeant d'après ma propre expérience
je confirmai ma confiance dans la justesse des vues de M. Ta-
labot, » etc. Si M. Stéphenson avait été un charlatan, il se
serait arrêté là ; mais ayant la ferme intention de dire toute
la vérité et rien que la vérité, il poursuit en nous disant ce
qu'il a vu, d'où il résulte que de cette redoutable baie de
Tineh et de l'embouchure proposée du canal, de cette entrée
impossible selon M. Talabot, lui, M. Stéphenson, n'a littérale-
ment rien vu.
« M. Stéphenson nous informe qu'il a exploré la situation
des lacs Amers, qu'il a campé deux jours au lac Timsah et
que de là il s'est avancé par les hauteurs vers le lac Ballah.
Ceci paraît être le point le plus rapproché à la baie de Tineh
que M. Stéphenson ait vu, et, de ce point comparativement
élevé, dit-il, « il pouvait voir les pays qui se trouvent dans la
direction du lac Menzaleh. » Et naturellement, M. Stéphen-
son, vous pouviez alors voir le caractère du rivage de la
baie de Tineh et juger de quelle nature était le fond de la
mer à cet endroit et comment le courant se trouvait dirigé,
et s'il avait une tendance ou non à ensabler le canal projeté?
Si vous n'avez pas vu cela, vous n'avez rien vu qui vous
autorise à vous prononcer pour M. Talabot contre l'autorité
d'hommes au moins tous aussi capables que lui; car toute
la question tourne autour du point de savoir si l'issue du
canal dans la baie de Tineh est praticable ou non. Mais le
lac de Ballah se trouve à peu près aux deux tiers de la dis-
tance entre Suez et l'embouchure du canal; et « le point com-
parativement élevé » ne peut être très-haut, vu que les cou-
pures les plus profondes que le canal aura à faire, ne
dépassent pas vingt yards. Ainsi, même en accordant à
M. Stéphenson une force de vision très-supérieure, il doit
nous permettre de ne pas être convaincus, jusqu'au moment
où il aura assuré spécialement avoir vu l'embouchure pro-
jetée du canal.
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