Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-08-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 août 1858 25 août 1858
Description : 1858/08/25 (A3,N53). 1858/08/25 (A3,N53).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203099r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
412 06 L'ISTHME DE SUEZ, MERCREDI 25 AOUT.
M. Talabot. Après mon retour en Angleterre, je rendis compte
de mon expédition le 20 mai 1851, à l'occasion d'une discus-
sion sur un mémoire lu à l'Institution des ingénieurs civils ,
énonçant publiquement l'opinion à laquelle j'étais arrivé, à sa-
voir, qu'il était impossible d'entretenir une tranchée de niveau
sans quelque courant entre les deux mers, et que le projet
était abandonné.
,) On trouvera un compte rendu de mon discours dans les
Minutes of the proceedings of the Institution of civil Engi-
necrs, vol. X, p. 10-13, ouvrage que M. de Négrelli pourra
avoir dans les bibliothèques publiques de Vienne. Les circon-
stances de mon expédition, quoique faites sans aucune osten-
tation, sont bien connues en Angleterre aussi bien qu'en
Egypte. Je suis donc étonné de ce que je dois appeler l'auda-
cieuse assurance avec laquelle M. de Négrelli prétend, dans sa
lettre: 1° que je ne suis jamais allé sur les lieux; 2° ensuite,
que si j'y ai été, je « ne puis avoir vu que la partie de l'isthme
près de Suez ,. « Notre honorable ami, écrit-il, prétend avoir
traversé à pied tout l'isthme entre les deux mers ; mais en
Egypte, où les préparatifs d'un voyage dans le désert atti-
rent toujours l'attention, personne n'a entendu parler de ce
voyage de M. Stéphenson. » Il me sera permis de dire à
M. de Négrelli que le sentiment d'honneur qui règne en An-
gleterre nous défend de douter de la parole d'un gentleman,
à moins d'avoir quelque raison de le suspecter; et que s'il
affirme sans aucune raison que j'ai été assez vil pour dire
devant l'Institution dont j'ai été le président, et sept ans après
devant la Chambre des Communes, des choses si faussement
inventées, sans aucun but, il m'attribue une conduite com-
plètement inconnue « à son honorable ami. »
» Il arrive même assez extraordinairement que mon voyage
dans cette contrée, en 1850, n'a pas été ma seule expédition.
En 1851, mon yacht fut dévoré parle feu à Cowes, avec tous
les spécimens et objets que j'avais rapportés des lacs Amers,
du lac Timsah et de l'élévation du terrain au nord. Dans l'hi-
ver de 1854, étant au Caire, j'eus le désir de remplacer ces
spécimens, et je partis pour ces lieux, escorté par un cavass
de Son Altesse le pacha d'Egypte, et accompagné jusqu'aux
lacs Amers par M. Ayrton, Anglais résidant au Caire. Dans
cette occasion, je suivis à peu près la même route, examinant
de nouveau la configuration physique du pays, et confirmant
ainsi de nouveau mon opinion sur le rapport de M. Talabot.
Tout ce que M. Talabot avait indiqué, je l'ai vu moi-même,
et jugeant par moi-même, son rapport et ses cartes en main,
je fus convaincu de la justesse de ses opinions relativement à
un canal direct à travers l'isthme de Suez.
» Ce fut, je crois, dans l'année après cette expédition que
quelques messieurs vinrent me trouver à Londres et me pro-
posèrent de reprendre le projet d'un canal à travers l'isthme
de Suez. Ils n'avaient aucun nouveau fait à me communi-
quer; et dans tout ce qu'ils me disaient, je ne trouvais rien
qui pût me donner de la confiance, ou changer mes opinions
sur le rapport de M. Talabot et la nature du projet. En m'oc-
cupant de la quantité de projets qui me sont soumis de
temps en temps, j'ai toujours refusé de laisser attacher mon
nom, lorsqu'il s'agit de souscriptions de mes compatriotes, à
des projets pour lesquels je n'entrevoyais pas un bon succès.
Agissant d'après ce principe, et persuadé que le projet du ca-
nal de Suez sur de telles bases n'était pas une bonne entre-
prise, je refusai de prendre aucune part à ce projet. Je fis
connaitre cette résolution aux promoteurs d'une manière
polie et courtoise. J'ignore pourquoi ma persistance les a
tant blessés; mais quelques années après je fus persécuté par
ces messieurs, dans leurs organes payés, par des attaques se
répétant chaque semaine, contre mon caractère personnel et
professionnel. Comme je l'ai dit, j'ai cru de ma dignité de ne
pas prendre connaissance de ces attaques, sachant d'où elles
partaient; en effet elles ne paraissaient pas dignes de quelque
attention. Dans aucun cas, elles n'attireront jamais la mienne,
et ce n'est que lorsque je trouve un ancien collègue lié avec
mes adversaires qu'il me semble nécessaire de rectifier ses
fausses assertions.
,) M. de Négrelli dit dans sa lettre : « Pour ma part, je
considère les résultats du nivellement de M. Talabot comme
favorables à l'union directe des deux mers, lesquelles, se
trouvant sur un même niveau, ne nécessitent pas que l'on
construise des écluses. Cependant, continue-t-il, j'attendais ,
pour fixer mon opinion, que mes idées pussent être confir-
mées, » ce qui n'eut lieu « qu'après le mois de décembre de
1855, » où M. de Négrelli déclarait qu'il se « prononçait lui-
même en faveur d'une union directe des deux mers par un
canal ouvert. » M. de Négrelli est parfaitement autorisé à
avoir cette opinion; je regrette seulement qu'il ne veuille pas
admettre que j'aie des raisons aussi pour avoir la mienne.
Mais à part toute question d'opinion, je ne puis m'empêcher
d'observer que les efforts assidus de M. de Négrelli de fixer
l'époque durant laquelle il « attendait n pour se prononcer,
et à laquelle « il se prononçait » enfin, paraissent remarqua-
bles. Depuis la fin des expériences de M. Talabot, en jan-
vier 1847, H jusqu'après le mois de décembre de 1855 (c'est-
à-dire jusqu'au mois de janvier 1856) ». pendant neuf
longues années, M. de Négrelli « attend pour déclarer son
opinion. » Pendant toute cette époque, et même jusqu'au
moment où il vous écrit sa lettre, il permet à ses anciens col-
lègues et au monde en général de croire qu'il approuve le
rapport de M. Talabot, et que, d'accord avec ce dernier et
avec moi, il a tout à fait renoncé au projet en question. Même
lorsque nous nous rencontrâmes tous à Paris, en août 1855,
à la veille de son cc pi-onunciamento, ) il ne communiqua ni
à M. Talabot, ni à moi, les doutes qu'il avait encore ou les
réserves qu'il faisait pour « fixer son opinion. ) Ce ne fut
« qu'après le mois de décembre de 1855 que ses idées purent
être confirmées; ) ce ne fut aussi qu'après le mois de dé-
cembre 1855 que la Compagnie à laquelle M. de Négrelli a
ouvertement prêté depuis l'appui de son nom et de son auto-
rité a pris un aspect commercial !
» Mais M. de Négrelli, je le répète, a de bonnes raisons
pour avoir son opinion particulière; s'il voulait seulement
admettre que j'ai des raisons aussi pour avoir la mienne!
« Je ne partage pas, dit-il, l'opinion de mon honorable ami
» d'Angleterre, que le canal, faute de courant, deviendra un
ii fossé vaseux et stagnant. Le canal ne peut être considéré
» que comme la continuation des deux mers qui mêlent leurs
„ eaux dans les deux bassins. Que mon honorable ami essaye
» d'observer par les fenêtres du Parlement, où il a développé
» de si singulières connaissances hydrauliques, il verra que le
» reflux de la Tamise, jusqu'au delà de Windsor, est causé
„ par la marée montante et par l'agitation communiquée au
a fleuve ; quoique Windsor soit à plusieurs lieues de la mer,
» néanmoins l'influence de la marée sur les eaux intérieures
» se fait sentir régulièrement. De même la Méditerranée et
» la mer Rouge agiteront les eaux du canal de Suez; les eaux
» iront et viendront; en un mot, elles prendront part à tous
» les mouvements de la mer. »
» Si « mon honorable ami" se place sur les remparts de la
ville à l'occasion de laquelle il développe des «connaissances
hydrauliques si singulières, » il ne verra à ses pieds, dans la
courant dépourvu de marée, rien de semblable à ce qu'il dé-
M. Talabot. Après mon retour en Angleterre, je rendis compte
de mon expédition le 20 mai 1851, à l'occasion d'une discus-
sion sur un mémoire lu à l'Institution des ingénieurs civils ,
énonçant publiquement l'opinion à laquelle j'étais arrivé, à sa-
voir, qu'il était impossible d'entretenir une tranchée de niveau
sans quelque courant entre les deux mers, et que le projet
était abandonné.
,) On trouvera un compte rendu de mon discours dans les
Minutes of the proceedings of the Institution of civil Engi-
necrs, vol. X, p. 10-13, ouvrage que M. de Négrelli pourra
avoir dans les bibliothèques publiques de Vienne. Les circon-
stances de mon expédition, quoique faites sans aucune osten-
tation, sont bien connues en Angleterre aussi bien qu'en
Egypte. Je suis donc étonné de ce que je dois appeler l'auda-
cieuse assurance avec laquelle M. de Négrelli prétend, dans sa
lettre: 1° que je ne suis jamais allé sur les lieux; 2° ensuite,
que si j'y ai été, je « ne puis avoir vu que la partie de l'isthme
près de Suez ,. « Notre honorable ami, écrit-il, prétend avoir
traversé à pied tout l'isthme entre les deux mers ; mais en
Egypte, où les préparatifs d'un voyage dans le désert atti-
rent toujours l'attention, personne n'a entendu parler de ce
voyage de M. Stéphenson. » Il me sera permis de dire à
M. de Négrelli que le sentiment d'honneur qui règne en An-
gleterre nous défend de douter de la parole d'un gentleman,
à moins d'avoir quelque raison de le suspecter; et que s'il
affirme sans aucune raison que j'ai été assez vil pour dire
devant l'Institution dont j'ai été le président, et sept ans après
devant la Chambre des Communes, des choses si faussement
inventées, sans aucun but, il m'attribue une conduite com-
plètement inconnue « à son honorable ami. »
» Il arrive même assez extraordinairement que mon voyage
dans cette contrée, en 1850, n'a pas été ma seule expédition.
En 1851, mon yacht fut dévoré parle feu à Cowes, avec tous
les spécimens et objets que j'avais rapportés des lacs Amers,
du lac Timsah et de l'élévation du terrain au nord. Dans l'hi-
ver de 1854, étant au Caire, j'eus le désir de remplacer ces
spécimens, et je partis pour ces lieux, escorté par un cavass
de Son Altesse le pacha d'Egypte, et accompagné jusqu'aux
lacs Amers par M. Ayrton, Anglais résidant au Caire. Dans
cette occasion, je suivis à peu près la même route, examinant
de nouveau la configuration physique du pays, et confirmant
ainsi de nouveau mon opinion sur le rapport de M. Talabot.
Tout ce que M. Talabot avait indiqué, je l'ai vu moi-même,
et jugeant par moi-même, son rapport et ses cartes en main,
je fus convaincu de la justesse de ses opinions relativement à
un canal direct à travers l'isthme de Suez.
» Ce fut, je crois, dans l'année après cette expédition que
quelques messieurs vinrent me trouver à Londres et me pro-
posèrent de reprendre le projet d'un canal à travers l'isthme
de Suez. Ils n'avaient aucun nouveau fait à me communi-
quer; et dans tout ce qu'ils me disaient, je ne trouvais rien
qui pût me donner de la confiance, ou changer mes opinions
sur le rapport de M. Talabot et la nature du projet. En m'oc-
cupant de la quantité de projets qui me sont soumis de
temps en temps, j'ai toujours refusé de laisser attacher mon
nom, lorsqu'il s'agit de souscriptions de mes compatriotes, à
des projets pour lesquels je n'entrevoyais pas un bon succès.
Agissant d'après ce principe, et persuadé que le projet du ca-
nal de Suez sur de telles bases n'était pas une bonne entre-
prise, je refusai de prendre aucune part à ce projet. Je fis
connaitre cette résolution aux promoteurs d'une manière
polie et courtoise. J'ignore pourquoi ma persistance les a
tant blessés; mais quelques années après je fus persécuté par
ces messieurs, dans leurs organes payés, par des attaques se
répétant chaque semaine, contre mon caractère personnel et
professionnel. Comme je l'ai dit, j'ai cru de ma dignité de ne
pas prendre connaissance de ces attaques, sachant d'où elles
partaient; en effet elles ne paraissaient pas dignes de quelque
attention. Dans aucun cas, elles n'attireront jamais la mienne,
et ce n'est que lorsque je trouve un ancien collègue lié avec
mes adversaires qu'il me semble nécessaire de rectifier ses
fausses assertions.
,) M. de Négrelli dit dans sa lettre : « Pour ma part, je
considère les résultats du nivellement de M. Talabot comme
favorables à l'union directe des deux mers, lesquelles, se
trouvant sur un même niveau, ne nécessitent pas que l'on
construise des écluses. Cependant, continue-t-il, j'attendais ,
pour fixer mon opinion, que mes idées pussent être confir-
mées, » ce qui n'eut lieu « qu'après le mois de décembre de
1855, » où M. de Négrelli déclarait qu'il se « prononçait lui-
même en faveur d'une union directe des deux mers par un
canal ouvert. » M. de Négrelli est parfaitement autorisé à
avoir cette opinion; je regrette seulement qu'il ne veuille pas
admettre que j'aie des raisons aussi pour avoir la mienne.
Mais à part toute question d'opinion, je ne puis m'empêcher
d'observer que les efforts assidus de M. de Négrelli de fixer
l'époque durant laquelle il « attendait n pour se prononcer,
et à laquelle « il se prononçait » enfin, paraissent remarqua-
bles. Depuis la fin des expériences de M. Talabot, en jan-
vier 1847, H jusqu'après le mois de décembre de 1855 (c'est-
à-dire jusqu'au mois de janvier 1856) ». pendant neuf
longues années, M. de Négrelli « attend pour déclarer son
opinion. » Pendant toute cette époque, et même jusqu'au
moment où il vous écrit sa lettre, il permet à ses anciens col-
lègues et au monde en général de croire qu'il approuve le
rapport de M. Talabot, et que, d'accord avec ce dernier et
avec moi, il a tout à fait renoncé au projet en question. Même
lorsque nous nous rencontrâmes tous à Paris, en août 1855,
à la veille de son cc pi-onunciamento, ) il ne communiqua ni
à M. Talabot, ni à moi, les doutes qu'il avait encore ou les
réserves qu'il faisait pour « fixer son opinion. ) Ce ne fut
« qu'après le mois de décembre de 1855 que ses idées purent
être confirmées; ) ce ne fut aussi qu'après le mois de dé-
cembre 1855 que la Compagnie à laquelle M. de Négrelli a
ouvertement prêté depuis l'appui de son nom et de son auto-
rité a pris un aspect commercial !
» Mais M. de Négrelli, je le répète, a de bonnes raisons
pour avoir son opinion particulière; s'il voulait seulement
admettre que j'ai des raisons aussi pour avoir la mienne!
« Je ne partage pas, dit-il, l'opinion de mon honorable ami
» d'Angleterre, que le canal, faute de courant, deviendra un
ii fossé vaseux et stagnant. Le canal ne peut être considéré
» que comme la continuation des deux mers qui mêlent leurs
„ eaux dans les deux bassins. Que mon honorable ami essaye
» d'observer par les fenêtres du Parlement, où il a développé
» de si singulières connaissances hydrauliques, il verra que le
» reflux de la Tamise, jusqu'au delà de Windsor, est causé
„ par la marée montante et par l'agitation communiquée au
a fleuve ; quoique Windsor soit à plusieurs lieues de la mer,
» néanmoins l'influence de la marée sur les eaux intérieures
» se fait sentir régulièrement. De même la Méditerranée et
» la mer Rouge agiteront les eaux du canal de Suez; les eaux
» iront et viendront; en un mot, elles prendront part à tous
» les mouvements de la mer. »
» Si « mon honorable ami" se place sur les remparts de la
ville à l'occasion de laquelle il développe des «connaissances
hydrauliques si singulières, » il ne verra à ses pieds, dans la
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