Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-08-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 août 1858 10 août 1858
Description : 1858/08/10 (A3,N52). 1858/08/10 (A3,N52).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203098b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
MARDI 10 AOUT. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 389
pait seule en 1840 dans les préoccupations de la politique
européenne. Aujourd'hui, celle de toutes les puissances qui a
le plus fait pour l'Egypte, celle qui la couvrait de sa protec-
tion généreuse et désintéressée, il y a dix-huit ans,, la France
elle-même, ne semble plus suivre que d'un œil inattentif et
indifférent le résultat des efforts qu'elle a faits , de la lutte
qu'elle a soutenue, pour fonder un état héréditaire et une
dynastie sur le" bord du Nil. On dirait que l'Egypte a disparu
du monde avec l'homme supérieur qui avait entrepris de la
régénérer et qui l'a personnifiée pendant près d'un demi-
siècle. Depuis la mort de Méhémet-Ali, c'est-à-dire depuis
1848, ou plutôt jdepuis le traité de 1841 qui a réglé la pre-
mière question d'Orient, nous ignorons à peu près en France
quelle a été la destinée de l'Egypte. Nous serions embarras-
sés de dire exactement si ce pays a persévéré ou s'il a reculé -
dans la voie du progrès et de la civilisation ouverte devant
lui par le génie de son chef et par la protection de la France.
Nous ne sommes pas mieux renseignés au sujet de cette dy-
nastie nouvelle qui a reçu, depuis 1841, la mission de gou-
verner l'Egypte, sous la suzeraineté de la Porte. Nous ne sa-
vons pas si l'héritage de Méhémet-Ali est tombé dans de
bonnes ou mauvaises mains ; c'est à peine si nous connaissons
les noms des deux princes que le privilége de leur naissance
a successivement appelés, dans l'espace de dix ans, au péril-
leux honneur de continuer et d'achever son œuvre.
» Le livre que M. Paul Merruau vient de publier fournit
les renseignements les plus exacts et les plus précis sur la
situation actuelle d'un .pays qui n'a rien perdu de ses titres
à l'attention et à la sympathie du public français. C'est dans
un récent voyage sur les lieux que l'auteur a rassemblé les
matériaux à l'aide desquels il a tracé le tableau de la période
que l'Egypte a traversée depuis 1840 jusqu'à nos jours. Ce ne
sont d'ailleurs ni les événements si connus de 1840, ni les
dernières années de Méhémet-Ali qui tiennent la plus grande
place dans ce récit, auquel ils servent seulement d'introduc-
, tion et de préambule. M. Merruau ne s'occupe guère du cé-
lèbre pacha, devenu chef héréditaire de l'Egypte, que pour
nous le montrer achevant son règne et sa vie dans un repos
et une obscurité qui ont pu' être et qui ont été diversement
interprétés. Il passe encore plus rapidement sur le successeur
indigne et dégénéré de Méhémet, Abbas-Pacha, qu'il nous
peint comme un vrai despote de l'ancien Orient, inquiet, dé-
fiant, sombre, indolent, voluptueux et cruel, secrètement pré-
venu contre la civilisation européenne, avec un cœur trop
pusillanime pour avoir fait beaucoup de mal, et un esprit
trop rétrograde pour avoir fait aucun bien. Le véritable sujet
du livre qui nous occupe, c'est le vice-roi régnant, Moham-
med-Saïd, qui gouverne l'Égypte depuis 1854. Tout ce que
M. Merruau nous apprend de ce prince, de son caractère, de
son éducation européenne et de son goût pour la civilisation
occidentale, nous en donne l'opinion la plus favorable. On
doit en conclure que l'Égypte a trouvé dans Saïd-Pacha le
vrai successeur de Méhémet-Ali, le continuateur éclairé,
fidèle et dévoué de sa tâche et de sa pensée politique.
» A l'époque où M. Merruau a visité l'Egypte, Mohammed-
Saïd avait pris les rênes du gouvernement depuis trois ans à
peine; mais ces trois années avaient déjà produit les résultats
les plus satisfaisants pour la prospérité du pays. Le nouveau
vice-roi, qui avait trouvé l'œuvre de Méhémet-Ali gravement
compromise et en pleine décadence, l'a reprise en sous-
œuvre, développée et modifiée, pour l'approprier aux circon-
stances nouvelles. En trois années de règne, il avait déjà non-
seulement conçu, mais exécuté tout un plan de réforme qui
embrasse à la fois le gouvernement central, l'organisation
administrative des provinces, la constitution de la propriété,
le régime des impôts et l'insiruction publique. De son propre
mouvement, il a limité l'exercice de son pouvoir et soumis à
un contrôle régulier l'emploi des revenus publics, dont la lôi
lui laissait la libre et entière disposition. Il s'est entouré d'un
Conseil d'État qui discute les décrets d'un intérêt général
avant qu'ils soient soumis à la signature du prince] Lès ser-
vices de l'administration générale ont été répartis entre trois
ministères, le ministère de l'intérieur, le ministère des finances
et le ministère de la guerre. Des abus scandaleux, une cor-
ruption effrénée, fruit naturel d'une anarchie séculaire,
avaient envahi l'administration provinciale. L'action du pou-
voir central s'exerçait par deux intermédiaires, le moudyr ou
gouverneur de province et le cheik-el-béled, ou chef de vil-
lage, qui, chacun dans sa sphère, faisaient peser sur la popu-
lation une tyrannie sans contrôle et sans scrupule. S'agissait-
il de lever des troupes, l'ordre. était transmis par les gouver-
neurs aux chefs de village, qui désignaient arbitrairement,
selon leur caprice ou Jeur intérêt, les hommes appelés à
marcher sous le drapeau. Ceux qu'ils désignaient étaient sur-
tout ceux qui ne pouvaient pas payer pour être exemptés du
service .militaire. Quant aux fils des cheiks , ils échappaient
toujours à l'obligation de porter les armes.
h » S'agissait-il de recouvrer les impôts, le chef du village
indiquait, selon son bon plaisir, les contribuables qui de-
vaient être poursuivis, ceux qui devaient abandonner au fisc
leurs bestiaux, unique propriété, dernier espoir du pauvre
fellah. « La cupidité, l'inimitié, toutes les mauvaises passions,
dit M. Merruau, trouvaient à se satisfaire par l'exercice d'une,
telle autorité. Les habitants aisés, ceux qui, moyennant
finances, savaient se concilier les bonnes grâces du cheik,
étaient traités avec la plus grande indulgence. Quand il
s'agissait des convois d'hommes, des emprunts de chevaux,
d'ânes, de chameaux, de bestiaux demandés parle gouverne-
ment, le cheik choisissait les hommes ; il disait où l'on devait
prendre les animaux. Bref, il était tyran dans son village. n
Ces abus, enracinés par le temps, avaient survécu même au
gouvernement réparateur de Méhémet-Ali. Mohammed-Saïd
a coupé le mal à sa racine : d'une part il a supprimé les
moudyrs, dont l'autorité presque illimitée entravait l'action
directe du gouvernement central; de l'autre, il a réduit les
chefs de village au rôle qui leur convient. Pour le recrute-
ment, il a substitué le tour de rôle, réglé d'après les relevés
des naissances, à la désignation arbitraire du cheik ; pour
les contributions, il a rendu toute exaction impossible, en fai-
sant établir des registres où chaque contribuable est inscrit
pour une somme déterminée ; enfin il a supprimé les corvées
et enlevé aux cheiks le privilége de vexer le paysan en lui
confisquant son cheval, son chameau ou son bœuf, pour le
service du gouvernement,
» Mais de toutes les réformes entreprises par Saïd-Pachà,
le plus importante est celle qui a pour objet la propriété fon-
cière. On sait que depuis les temps les plus reculés la pro-
priété privée est à peu près inconnue en Egypte ; toutes les
terres appartiennent à l'Etat. Ce régime, qui a été parfaite-
ment décrit dans les lettres d'Egypte adressées au Journal
des Débats par M. Barthélemy Saint-Hilaire, s'est perpétué
jusque sous Méhémet-Ali, qui en avait encore aggravé la ri-
gueur en mettant la main sur un petit nombre de propriétés,
réservées à certains établissements et à certains individùs
privilégiés. Méhémet-Ali, comme les anciens pharaons, était
non-seulement l'unique propriétaire de l'Egypte, mais encore
l'unique cultivateur et Tunique vendeur des produits agricoles.
Selon les besoins du commerce, qu'il savait prévoir, il déci-
pait seule en 1840 dans les préoccupations de la politique
européenne. Aujourd'hui, celle de toutes les puissances qui a
le plus fait pour l'Egypte, celle qui la couvrait de sa protec-
tion généreuse et désintéressée, il y a dix-huit ans,, la France
elle-même, ne semble plus suivre que d'un œil inattentif et
indifférent le résultat des efforts qu'elle a faits , de la lutte
qu'elle a soutenue, pour fonder un état héréditaire et une
dynastie sur le" bord du Nil. On dirait que l'Egypte a disparu
du monde avec l'homme supérieur qui avait entrepris de la
régénérer et qui l'a personnifiée pendant près d'un demi-
siècle. Depuis la mort de Méhémet-Ali, c'est-à-dire depuis
1848, ou plutôt jdepuis le traité de 1841 qui a réglé la pre-
mière question d'Orient, nous ignorons à peu près en France
quelle a été la destinée de l'Egypte. Nous serions embarras-
sés de dire exactement si ce pays a persévéré ou s'il a reculé -
dans la voie du progrès et de la civilisation ouverte devant
lui par le génie de son chef et par la protection de la France.
Nous ne sommes pas mieux renseignés au sujet de cette dy-
nastie nouvelle qui a reçu, depuis 1841, la mission de gou-
verner l'Egypte, sous la suzeraineté de la Porte. Nous ne sa-
vons pas si l'héritage de Méhémet-Ali est tombé dans de
bonnes ou mauvaises mains ; c'est à peine si nous connaissons
les noms des deux princes que le privilége de leur naissance
a successivement appelés, dans l'espace de dix ans, au péril-
leux honneur de continuer et d'achever son œuvre.
» Le livre que M. Paul Merruau vient de publier fournit
les renseignements les plus exacts et les plus précis sur la
situation actuelle d'un .pays qui n'a rien perdu de ses titres
à l'attention et à la sympathie du public français. C'est dans
un récent voyage sur les lieux que l'auteur a rassemblé les
matériaux à l'aide desquels il a tracé le tableau de la période
que l'Egypte a traversée depuis 1840 jusqu'à nos jours. Ce ne
sont d'ailleurs ni les événements si connus de 1840, ni les
dernières années de Méhémet-Ali qui tiennent la plus grande
place dans ce récit, auquel ils servent seulement d'introduc-
, tion et de préambule. M. Merruau ne s'occupe guère du cé-
lèbre pacha, devenu chef héréditaire de l'Egypte, que pour
nous le montrer achevant son règne et sa vie dans un repos
et une obscurité qui ont pu' être et qui ont été diversement
interprétés. Il passe encore plus rapidement sur le successeur
indigne et dégénéré de Méhémet, Abbas-Pacha, qu'il nous
peint comme un vrai despote de l'ancien Orient, inquiet, dé-
fiant, sombre, indolent, voluptueux et cruel, secrètement pré-
venu contre la civilisation européenne, avec un cœur trop
pusillanime pour avoir fait beaucoup de mal, et un esprit
trop rétrograde pour avoir fait aucun bien. Le véritable sujet
du livre qui nous occupe, c'est le vice-roi régnant, Moham-
med-Saïd, qui gouverne l'Égypte depuis 1854. Tout ce que
M. Merruau nous apprend de ce prince, de son caractère, de
son éducation européenne et de son goût pour la civilisation
occidentale, nous en donne l'opinion la plus favorable. On
doit en conclure que l'Égypte a trouvé dans Saïd-Pacha le
vrai successeur de Méhémet-Ali, le continuateur éclairé,
fidèle et dévoué de sa tâche et de sa pensée politique.
» A l'époque où M. Merruau a visité l'Egypte, Mohammed-
Saïd avait pris les rênes du gouvernement depuis trois ans à
peine; mais ces trois années avaient déjà produit les résultats
les plus satisfaisants pour la prospérité du pays. Le nouveau
vice-roi, qui avait trouvé l'œuvre de Méhémet-Ali gravement
compromise et en pleine décadence, l'a reprise en sous-
œuvre, développée et modifiée, pour l'approprier aux circon-
stances nouvelles. En trois années de règne, il avait déjà non-
seulement conçu, mais exécuté tout un plan de réforme qui
embrasse à la fois le gouvernement central, l'organisation
administrative des provinces, la constitution de la propriété,
le régime des impôts et l'insiruction publique. De son propre
mouvement, il a limité l'exercice de son pouvoir et soumis à
un contrôle régulier l'emploi des revenus publics, dont la lôi
lui laissait la libre et entière disposition. Il s'est entouré d'un
Conseil d'État qui discute les décrets d'un intérêt général
avant qu'ils soient soumis à la signature du prince] Lès ser-
vices de l'administration générale ont été répartis entre trois
ministères, le ministère de l'intérieur, le ministère des finances
et le ministère de la guerre. Des abus scandaleux, une cor-
ruption effrénée, fruit naturel d'une anarchie séculaire,
avaient envahi l'administration provinciale. L'action du pou-
voir central s'exerçait par deux intermédiaires, le moudyr ou
gouverneur de province et le cheik-el-béled, ou chef de vil-
lage, qui, chacun dans sa sphère, faisaient peser sur la popu-
lation une tyrannie sans contrôle et sans scrupule. S'agissait-
il de lever des troupes, l'ordre. était transmis par les gouver-
neurs aux chefs de village, qui désignaient arbitrairement,
selon leur caprice ou Jeur intérêt, les hommes appelés à
marcher sous le drapeau. Ceux qu'ils désignaient étaient sur-
tout ceux qui ne pouvaient pas payer pour être exemptés du
service .militaire. Quant aux fils des cheiks , ils échappaient
toujours à l'obligation de porter les armes.
h » S'agissait-il de recouvrer les impôts, le chef du village
indiquait, selon son bon plaisir, les contribuables qui de-
vaient être poursuivis, ceux qui devaient abandonner au fisc
leurs bestiaux, unique propriété, dernier espoir du pauvre
fellah. « La cupidité, l'inimitié, toutes les mauvaises passions,
dit M. Merruau, trouvaient à se satisfaire par l'exercice d'une,
telle autorité. Les habitants aisés, ceux qui, moyennant
finances, savaient se concilier les bonnes grâces du cheik,
étaient traités avec la plus grande indulgence. Quand il
s'agissait des convois d'hommes, des emprunts de chevaux,
d'ânes, de chameaux, de bestiaux demandés parle gouverne-
ment, le cheik choisissait les hommes ; il disait où l'on devait
prendre les animaux. Bref, il était tyran dans son village. n
Ces abus, enracinés par le temps, avaient survécu même au
gouvernement réparateur de Méhémet-Ali. Mohammed-Saïd
a coupé le mal à sa racine : d'une part il a supprimé les
moudyrs, dont l'autorité presque illimitée entravait l'action
directe du gouvernement central; de l'autre, il a réduit les
chefs de village au rôle qui leur convient. Pour le recrute-
ment, il a substitué le tour de rôle, réglé d'après les relevés
des naissances, à la désignation arbitraire du cheik ; pour
les contributions, il a rendu toute exaction impossible, en fai-
sant établir des registres où chaque contribuable est inscrit
pour une somme déterminée ; enfin il a supprimé les corvées
et enlevé aux cheiks le privilége de vexer le paysan en lui
confisquant son cheval, son chameau ou son bœuf, pour le
service du gouvernement,
» Mais de toutes les réformes entreprises par Saïd-Pachà,
le plus importante est celle qui a pour objet la propriété fon-
cière. On sait que depuis les temps les plus reculés la pro-
priété privée est à peu près inconnue en Egypte ; toutes les
terres appartiennent à l'Etat. Ce régime, qui a été parfaite-
ment décrit dans les lettres d'Egypte adressées au Journal
des Débats par M. Barthélemy Saint-Hilaire, s'est perpétué
jusque sous Méhémet-Ali, qui en avait encore aggravé la ri-
gueur en mettant la main sur un petit nombre de propriétés,
réservées à certains établissements et à certains individùs
privilégiés. Méhémet-Ali, comme les anciens pharaons, était
non-seulement l'unique propriétaire de l'Egypte, mais encore
l'unique cultivateur et Tunique vendeur des produits agricoles.
Selon les besoins du commerce, qu'il savait prévoir, il déci-
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