Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-08-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 août 1858 10 août 1858
Description : 1858/08/10 (A3,N52). 1858/08/10 (A3,N52).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203098b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
386 L'ISTHME DE SUEZ, MARDI 10 AOUT.
ordonna que le pavillon turc fût arboré sur le navire, tandis
que celui de l'Angleterre serait amené; ce qui fut exécuté &
la grande joie des fanatiques.
» Le gérant du consulat anglais était absent. A son retour,
après avoir inutilement protesté auprès de Namik-Pacha, il
réunit chez lui, suivant l'usage, tiri tribunal consulaire, qui
ordonna que le pavillon turc fût amené.
» En conséquence, dans la journée du 15 juin, un dé-
tachement des marins du Cyclope, qui se trouvait en rade,
s'empara dd bâtiment indien, amena les couleurs ottomanes
et réarbora le pavillon britannique. La nouvelle de cet événe-
ment produisit dans Djeddah une grande effervescence. On
voblait y voir un acte attentatoire à la dignité de l'islàmistiie.
Mais ce n'était là qu'un prétexte; le véritable but des agita-
teurs était de profiter de cette circonstance pour frapper les
chrétiens dont la présence souillait, à leurs yeux, la terre
sacrée de l'Hedjaz, et de s'emparer de leurs biens.
» Vers six heures du Sbir, quand la population sut que les
embarcations de la frégate avaient rallié le bord, et qu'ainsi àil-
cun secours ne pouvait ëtfè porté aux résidents chrétiens, une
foule de fanatiques se hia sur le consulat d'Angleterre. A
leur arrivée, les cawas prirent la fuite. M. Page, surpris dans
son lit et ne pouvant se défendre, fui tout de suite griève-
ment blessé. On le lança ëhsliHë dti haut de là terrasse de Sa
maison, et il fut coupé en morceaux au pied du mât de pavil-
lon. Son drogman et son commis eurent le même sort. La
maison fut pillée. On dut trouver des sommes considérables
dans la caisse de M. Page, qui était négociant en même temps
que vice-consul.
» Aussitôt les cris de : « Mort à tous les chrétiens! « furent
proférés de toutes parts, et cette foule avide de sang et de
pillage, qui s'était encore accrue, se porta au consulat de
France.
» A six heures et demi, nous revenions, M. Eveillard et
moi, de notre promenade habituelle.
» A peine étions-nous entrés dans le salon, où se trouvaient
la femme et la fille du consul, que le consulat fut envahi.
» Les cawas fermèrent la porte et se tinrent en dehors pour
repousser l'agression. Le cawas Ahmet opposa seul de la
résistance, fut blessé à la tête et rejeté dans la rue, où il
resta quelque temps évanoui.
« Dès que le consulat fut attaqué, je descendis aussitôt
pour m'opposer à l'envahissement de la maison, en défen-
dant les escaliers. N'étant soutenu que par mon domestique,
l'Algérien Hadji Méhémet, ancien soldat aux tirailleurs in-
digènes, dont le dévouement dans cette circonstance a été
vraiment admirable, je savais fort bien qu'il me serait impos-
sible d'opposer une longue résistance; mais je voulais gagner
du temps, dans l'espoir qu'un détachement de troupes serait
envoyé à notre secours. J'étais armé seulement d'une canne
à marteau et Hadji Méhémet d'une massue. Nous nous préci-
pitâmes avec le courage du désespoir sur les groupes qui se
présentaient, et qui n'étaient jamais composés de moins de
~BT~e à quarante personnes. Après avoir frappé ceux qui se
q
'|roav,mbnt à la tête des assaillants, nous contournions les
re
escalfërs^bour éviter les coups de feu qui étaient dirigés contre
jnouè. Bientôt ce furent des luttes corps à corps qu'il fallut
t~vre~ avise les assassins, qui atteignirent trois fois le premier
ét'a^ê, tir. ù nous parvînmes cependant à les repousser. En ce
a
les cris de : « Le caïmakam arrive ! » furent pous-
t la foule se maintint un instant dans la cour.
e f
« Je croyais qu'aucun des assaillants n'était parvenu à
atteindre le second étage. Je montai aussitôt pour m'en
assurer. Je trouvai madame Éveillard étendue sur le parquet
et morte. Le consul était blessé, et sa jeune et courageuse fille
atteinte à la joue d'un coup de sabre, qu'elle avait reçu en
défendant son père. Le second étage avait été envahi par la
terrassé d'un voisin; et, après avoir frappé le consut, sa
femme et sa fille, les assassins s'étaient retirés.
» A ma sortie du salon, j'entendis Hadji Méhémet me
crier : « Le pavillon est attaqué. A la garde du drapeau! »
Je montai aussitôt l'échelle, mais je fus précipité dd haut en
bas. Hadji Mébémet monta à son tour, livra une lutté corps
à corps contre plusieurs individus et parvint à en précipiter
deux du haut de la terrasse. Nous n'avons pu savoir s'ils
avaient été tués.
» Il y avait plus d'un quart d'heure qtie nous soutenions
cette lutte inégale et dans laquelle nous nous attendions à
succomber. Un homme armé d'un poignard se présenta et me
demanda Si le caïmakam était arrivé; je le croyais un cawas
de l'autorité, lorsque j'entendis mademoiselle Eveillard criér :
« Prenez garde! cet homme va vous assaSSlner! » Je me pré-
cipitai sur lui pour le désarmer; mais j'avais déjà la main
gauche fendue d'un coup de sabre; l'index de la main droite
brisé, et le bras droit blessé d'un cotip de poignard; j'aurais
succombé inévitablement sans l'aidé de Mademoiselle Éveil-
lard, qui? dans cette circonstance, a déployé un courage et
un sang-froid extraordinaires. Je rélissis enfin à désarmer
l'assaillant et à le tuer.
JI Ne voyant pas arriver le caïmakam, les assassins, que
nous avions repoussés trois fois, remontèrent les escaliers avec
plus d'acharnement, excités par les cris fëroces que pous-
saient une cinquantaine de femmes qui les accompagnaient.
J'occupai la dernière marche, armé de mon poigriard; le
premier qui se présenta tomba sous mes coups, et plusieurs
autres furent blessés. Ce fut à ce moment que le caïmakam
arriva, suivi de deux cawas, et m'apprit que le colonel Has-
san, commandant de l'artillerie, avait refusé de venir à notre
secours, prétextant qu'il n'avait aucun ordre, et que le
gouverneur général seul pouvait lui en donner.
« Nous n'étions soutenus, le caïmakam et moi, que par
les deux cawas et par mon domestique; il devenait impossible
de continuer à nous défendre. Je priai donc ce fonctionnaire
de chercher à calmer la foule des assassins; mais ceux-ci
devinrent, au contraire, plus menaçants. « Nous voulons le
» consul et son chancelier, s'écriaient-ils; livrez-nous-les
» pour les mettre à mort, sans quoi nous vous assassinons
» vous-même! Il En ce moment, le caïmakam commenca à
se montrer faible et découragé, et ne fut soutenu que par
mes menaces. La foule grossissait toujours ; les assaillants se
ruaient sur nous; le caïmakam fut atteint d'un coup de mas-
sue et tomba. Au moment où je le relevais, je reçus moi-
même un coup de sabre et un coup de massue sur la tête et
tombai évanoui. Ce fut alors que les assaillants pénétrèrent
dans le salon et achevèrent M. Eveillard.
» Le fidèle Algérien s'était constamment tenu derrière moi,
épiant le moment où le dernier coup me serait porté, pour
soustraire mon cadavre à la fureur des assassins, ou m'em-
porter si je n'étais que blessé. Au moment où je reçus ces
deux dernières blessures, les hommes du caïmakam entraî-
naient leur maître; Hadji Méhémet me releva, cacha ma
figure sous les pans de la redingote du camaïkam, et nous
fûmes ainsi conduits chez le colonel, qui avait refusé de nous
secourir; de là, je fus immédiatement transporté à l'hôpital
militaire, et ne repris mes sens qu'un quart d'heure environ
après mon arrivée dans cet établissement, où des soins me
furent aussitôt donnés.
n Au moment où M. Éveillard venait d'être achevé, et quand
ordonna que le pavillon turc fût arboré sur le navire, tandis
que celui de l'Angleterre serait amené; ce qui fut exécuté &
la grande joie des fanatiques.
» Le gérant du consulat anglais était absent. A son retour,
après avoir inutilement protesté auprès de Namik-Pacha, il
réunit chez lui, suivant l'usage, tiri tribunal consulaire, qui
ordonna que le pavillon turc fût amené.
» En conséquence, dans la journée du 15 juin, un dé-
tachement des marins du Cyclope, qui se trouvait en rade,
s'empara dd bâtiment indien, amena les couleurs ottomanes
et réarbora le pavillon britannique. La nouvelle de cet événe-
ment produisit dans Djeddah une grande effervescence. On
voblait y voir un acte attentatoire à la dignité de l'islàmistiie.
Mais ce n'était là qu'un prétexte; le véritable but des agita-
teurs était de profiter de cette circonstance pour frapper les
chrétiens dont la présence souillait, à leurs yeux, la terre
sacrée de l'Hedjaz, et de s'emparer de leurs biens.
» Vers six heures du Sbir, quand la population sut que les
embarcations de la frégate avaient rallié le bord, et qu'ainsi àil-
cun secours ne pouvait ëtfè porté aux résidents chrétiens, une
foule de fanatiques se hia sur le consulat d'Angleterre. A
leur arrivée, les cawas prirent la fuite. M. Page, surpris dans
son lit et ne pouvant se défendre, fui tout de suite griève-
ment blessé. On le lança ëhsliHë dti haut de là terrasse de Sa
maison, et il fut coupé en morceaux au pied du mât de pavil-
lon. Son drogman et son commis eurent le même sort. La
maison fut pillée. On dut trouver des sommes considérables
dans la caisse de M. Page, qui était négociant en même temps
que vice-consul.
» Aussitôt les cris de : « Mort à tous les chrétiens! « furent
proférés de toutes parts, et cette foule avide de sang et de
pillage, qui s'était encore accrue, se porta au consulat de
France.
» A six heures et demi, nous revenions, M. Eveillard et
moi, de notre promenade habituelle.
» A peine étions-nous entrés dans le salon, où se trouvaient
la femme et la fille du consul, que le consulat fut envahi.
» Les cawas fermèrent la porte et se tinrent en dehors pour
repousser l'agression. Le cawas Ahmet opposa seul de la
résistance, fut blessé à la tête et rejeté dans la rue, où il
resta quelque temps évanoui.
« Dès que le consulat fut attaqué, je descendis aussitôt
pour m'opposer à l'envahissement de la maison, en défen-
dant les escaliers. N'étant soutenu que par mon domestique,
l'Algérien Hadji Méhémet, ancien soldat aux tirailleurs in-
digènes, dont le dévouement dans cette circonstance a été
vraiment admirable, je savais fort bien qu'il me serait impos-
sible d'opposer une longue résistance; mais je voulais gagner
du temps, dans l'espoir qu'un détachement de troupes serait
envoyé à notre secours. J'étais armé seulement d'une canne
à marteau et Hadji Méhémet d'une massue. Nous nous préci-
pitâmes avec le courage du désespoir sur les groupes qui se
présentaient, et qui n'étaient jamais composés de moins de
~BT~e à quarante personnes. Après avoir frappé ceux qui se
q
'|roav,mbnt à la tête des assaillants, nous contournions les
re
escalfërs^bour éviter les coups de feu qui étaient dirigés contre
jnouè. Bientôt ce furent des luttes corps à corps qu'il fallut
t~vre~ avise les assassins, qui atteignirent trois fois le premier
ét'a^ê, tir. ù nous parvînmes cependant à les repousser. En ce
a
les cris de : « Le caïmakam arrive ! » furent pous-
t la foule se maintint un instant dans la cour.
e f
« Je croyais qu'aucun des assaillants n'était parvenu à
atteindre le second étage. Je montai aussitôt pour m'en
assurer. Je trouvai madame Éveillard étendue sur le parquet
et morte. Le consul était blessé, et sa jeune et courageuse fille
atteinte à la joue d'un coup de sabre, qu'elle avait reçu en
défendant son père. Le second étage avait été envahi par la
terrassé d'un voisin; et, après avoir frappé le consut, sa
femme et sa fille, les assassins s'étaient retirés.
» A ma sortie du salon, j'entendis Hadji Méhémet me
crier : « Le pavillon est attaqué. A la garde du drapeau! »
Je montai aussitôt l'échelle, mais je fus précipité dd haut en
bas. Hadji Mébémet monta à son tour, livra une lutté corps
à corps contre plusieurs individus et parvint à en précipiter
deux du haut de la terrasse. Nous n'avons pu savoir s'ils
avaient été tués.
» Il y avait plus d'un quart d'heure qtie nous soutenions
cette lutte inégale et dans laquelle nous nous attendions à
succomber. Un homme armé d'un poignard se présenta et me
demanda Si le caïmakam était arrivé; je le croyais un cawas
de l'autorité, lorsque j'entendis mademoiselle Eveillard criér :
« Prenez garde! cet homme va vous assaSSlner! » Je me pré-
cipitai sur lui pour le désarmer; mais j'avais déjà la main
gauche fendue d'un coup de sabre; l'index de la main droite
brisé, et le bras droit blessé d'un cotip de poignard; j'aurais
succombé inévitablement sans l'aidé de Mademoiselle Éveil-
lard, qui? dans cette circonstance, a déployé un courage et
un sang-froid extraordinaires. Je rélissis enfin à désarmer
l'assaillant et à le tuer.
JI Ne voyant pas arriver le caïmakam, les assassins, que
nous avions repoussés trois fois, remontèrent les escaliers avec
plus d'acharnement, excités par les cris fëroces que pous-
saient une cinquantaine de femmes qui les accompagnaient.
J'occupai la dernière marche, armé de mon poigriard; le
premier qui se présenta tomba sous mes coups, et plusieurs
autres furent blessés. Ce fut à ce moment que le caïmakam
arriva, suivi de deux cawas, et m'apprit que le colonel Has-
san, commandant de l'artillerie, avait refusé de venir à notre
secours, prétextant qu'il n'avait aucun ordre, et que le
gouverneur général seul pouvait lui en donner.
« Nous n'étions soutenus, le caïmakam et moi, que par
les deux cawas et par mon domestique; il devenait impossible
de continuer à nous défendre. Je priai donc ce fonctionnaire
de chercher à calmer la foule des assassins; mais ceux-ci
devinrent, au contraire, plus menaçants. « Nous voulons le
» consul et son chancelier, s'écriaient-ils; livrez-nous-les
» pour les mettre à mort, sans quoi nous vous assassinons
» vous-même! Il En ce moment, le caïmakam commenca à
se montrer faible et découragé, et ne fut soutenu que par
mes menaces. La foule grossissait toujours ; les assaillants se
ruaient sur nous; le caïmakam fut atteint d'un coup de mas-
sue et tomba. Au moment où je le relevais, je reçus moi-
même un coup de sabre et un coup de massue sur la tête et
tombai évanoui. Ce fut alors que les assaillants pénétrèrent
dans le salon et achevèrent M. Eveillard.
» Le fidèle Algérien s'était constamment tenu derrière moi,
épiant le moment où le dernier coup me serait porté, pour
soustraire mon cadavre à la fureur des assassins, ou m'em-
porter si je n'étais que blessé. Au moment où je reçus ces
deux dernières blessures, les hommes du caïmakam entraî-
naient leur maître; Hadji Méhémet me releva, cacha ma
figure sous les pans de la redingote du camaïkam, et nous
fûmes ainsi conduits chez le colonel, qui avait refusé de nous
secourir; de là, je fus immédiatement transporté à l'hôpital
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après mon arrivée dans cet établissement, où des soins me
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