Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-07-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 juillet 1858 25 juillet 1858
Description : 1858/07/25 (A3,N51). 1858/07/25 (A3,N51).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203097x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
378 L'ISTHME DE SUEZ, DIMANCHE 25 JUILLET.
en disant qu'il ne dit rien , il parle du projet avec une indif-
férence qui touche de bien près à l'opposition, car dans une
question aussi grave, aussi intimement liée à la prospérité
publique, lorsque l'abstention est ainsi expliquée, on a le
droit de dire : Qui n'est pas avec nous est contre nous; et on
peut le dire avec d'autant plus de raison du Journal de Con-
stantinople, qu'il se déclare le partisan de l'école de lord Pal-
merston qui ne veut à aucun prix du canal de Suez. « L'école
» de lord Palmerston, dit ce journal, n'est autre que celle de
» Chatam, qui a toujours protégé et défendu la Turquie,
» qui' a lancé une flotte et une armée en Egypte pour faire
* restituer cette province à son légitime souverain, qui a
» dénoncé au monde les secrètes stipulations du traité de
» Tilsitt, qui a protesté contre l'occupation d'Alger, province
» jadis ottomane, qui a empêché que l'empire ottoman ne fût
» scindé en deux par la création d'un empire arabe, etc., etc. »
» Après cette longue énumération, il demande si l'on peut
être bien venu à parler d'Aden et de Périm.
» Il faut avouer que si c'est l'école de Chatam qui a fait
tant de choses, elle a droit aux plus vives sympathies du
Journal de Constanlinople ; mais il nous permettra de ne
pas partager son admiration et de supposer que si l'Angle-
terre, soit sous le ministère lord Chatam, soit sous la direc-
tion de lord Palmerston, a pris fait et cause pour la Turquie,
c'est qu'elle avait d'autres motifs que ceux auxquels on
voudrait rattacher sa politique. Ce n'est pas le moment d'en-
trer dans l'examen des faits qui peuvent répandre la lumière
sur sa conduite. Nous rappellerons seulement au Journal de
Constanlinople que l'école de Cbatam n'est pas si absolue
qu'elle n'ait permis de fonder le royaume grec avec le con-
cours de l'Angleterre, ni si scrupuleuse qu'elle n'ait autorisé
la prise de possession par l'Angleterre de territoires sur les-
quels cette puissance n'avait aucun droit. -
» L'occupation de Périm peut paraître peu importante au
Journal de Conslantinople, qui s'extasie dans la contempla-
tion des faits et gestes de l'école de Chatam; mais nous ne
sommes pas tenus de nous placer à côté de lui, ni de nous
enivrer de son optimisme. Pour nous, l'occupation de Périm
est une spoliation, consommée en vue de tenir en échec la
puissance maritime de la Turquie comme celle des autres
nations européennes. Ne pas voir cela, c'est être aveugle.
» L'Angleterre s'oppose au percement de l'isthme de Suez.
Allons, dites que c'est dans l'intérêt de la Turquie, comme
on l'a dit à la Chambre des Communes; touchante sollicitude
dont vous devez être reconnaissant! Mais ne trouvez-vous pas
qu'elle perd de son désintéressement devant la déclaration
qui reporte en grande partie l'opposition de l'Angleterre sur
la crainte de voir les ports français trop rapprochés de la
mer Rouge?
» Du reste, peu importe que le Journal de Constantinople
et avec lui l'Angleterre, soit favorable ou non à l'entreprise
de M. de Lesseps. Cette entreprise s'accomplira, parce que
les attaques dirigées contre elle deviennent un défi jeté aux
nations et à la Turquie elle-même, et qu'il est de la dignité
des gouvernements de ne subir d'autre loi que celles de la
justice, de la raison et de l'intérêt commun. » BLAXCHARD.
Nous remercions M. Blanchard de sa sympathie si cons-
tante et si vive. Notre dernier numéro a dû prouver au
Nouvelliste de Marseille que le Journal de Constantinople
avait grand tort de se plaindre, et qu'il n'a pas du tout gardé
le silence, qu'il paraît désormais vouloir s'imposer.
Une correspondance d'Alexandrie, publiée par le Nouvel-
liste de Marseille du 14 juillet, décrit ainsi la réception faite
à M. Ferd. de Lesseps :
« Alexandrie, le 6 juillet 1858.
» Le paquebot autrichien arrivé de Trieste le 2 juillet,
nous a amené M. Ferd. de Lesseps. Son arrivée a été un
jour de fête pour notre population, dont une grande partie
s'était portée à sa rencontre au débarcadère de l'Arsenal. Mes-
sieurs les consuls généraux de Hollande, de Sardaigne, d'Es-
pagna et de Portugal étaient allés jusqu'à bord féliciter
M. Ferd. de Lesseps. Il a trouvé réunies dans les appartements
qui lui avaient été préparés chez l'agent supérieur de la Com-
pagnie universelle du canal de Suez, un grand nombre de
personnes qui, vu l'arrivée matinale du paquebot autrichien,
n'avaient pu se porter sur les quais à sa rencontre. Les Pères
Lazaristes, les Sœurs de charité étaient du nombre. Plusieurs
discours ont été adressés à l'illustre promoteur du percement
de l'isthme de Suez. Des orateurs appartenant à différentes
nationalités ont tous glorifié M. de Lesseps pour la persévé-
rance courageuse et opiniâtre qu'il a apportée à l'accomplis-
sement de son œuvre. M. Ferd. de Lesseps a trouvé dans cha-
cune de ses réponses des termes gracieux pour ceux à qui il
s'adressait, forts et fermes pour les ennemis de l'entreprise à
laquelle il s'est voué. Il nous a promis qu'avant la fin de
l'année les travaux seraient commencés; nous avons foi en sa
parole, et nous attendons avec impatience l'exécution de
l'œuvre qui doit apporter de si grandes et tle si heureuses
modifications au commerce du monde entier et particulière-
ment à celui de l'Egypte, de l'œuvre qui doit faire pénétrer la
civilisation jusqu'aux confins de l'extrême Orient. »
La Gazette du Midi, Marseille, 13 juillet, publie un article
très-remarquable, de M. E. Roux, sur le massacre deDjeddah.
« La ville de Djeddah est le port le plus considérable et le
plus riche de l'Arabie sur la mer Rouge..On considère Djed-
dah, dit la géographie de Malle Brun , non-seulement comme
le port de la Mecque, mais comme le grand entrepôt mari-
time du commerce de l'Egypte, des Indes et de l'Arabie.
» Une telle position donne une gravité tout exceptionnelle
à ce nouvel attentat contre l'inviolabilité diplomatique, succé-
dant à tous ceux qui viennent, à si peu d'intervalle, de souiller
l'empire ottoman. En effet, c'est manifestement du foyer du
fanatisme musulman que sort le crime insensé qui semble
jeter à la fois le défi à la France et à l'Angleterre, et qui vient
montrer à celle-ci combien fut coupable cette politique des
Palmerston et des Redcliffe, divisant à plaisir l'Europe en face
de ses communs ennemis, et disputant à notre pays sa légi-
time part d'action sur la mer Rouge.
» Voilà aujourd'hui les deux nations obligées de marcher
et d'agir, sinon de concert, tout au moins simultanément,
pour foudroyer la ville barbare; car il ne faut pas se le dis-
simuler, dans l'aveugle frénésie qui a saisi les musulmans,
depuis que le pressentiment d'une chute méritée les tourmente,
ils ne distinguent plus entre Français et Anglais, entre catho-
liques et protestants; tout ce qui porte le nom de chrétien
leur est également odieux. Il y a préméditation et parti pris
de signaler les derniers temps de l'islamisme par ses fureurs.
Comment expliquerait-on autrement cette simultanéité d'at-
tentats qui éclatent sur les points les plus éloignés, à Bel-
grade, à Trébigné, à Ibraïla, à Djeddah enfin, et qui de ce
dernier lieu vont retentir partout où les pèlerins de la Mecque
rapporteront les nouvelles de leur ville sainte ? » E. Roux.
Le Courrier de-Marseille, 7 juillet, publie un excellent ar-
ticle de M. L. Méry, d'où nous extrayons les passages sui-
vants :
« Si l'on ne connaissait pas l'influence persistante des
races, et par conséquent le caractère saxon, on ne saurait
comment s'expliquer l'opposition que les hommes d'Etat an-
en disant qu'il ne dit rien , il parle du projet avec une indif-
férence qui touche de bien près à l'opposition, car dans une
question aussi grave, aussi intimement liée à la prospérité
publique, lorsque l'abstention est ainsi expliquée, on a le
droit de dire : Qui n'est pas avec nous est contre nous; et on
peut le dire avec d'autant plus de raison du Journal de Con-
stantinople, qu'il se déclare le partisan de l'école de lord Pal-
merston qui ne veut à aucun prix du canal de Suez. « L'école
» de lord Palmerston, dit ce journal, n'est autre que celle de
» Chatam, qui a toujours protégé et défendu la Turquie,
» qui' a lancé une flotte et une armée en Egypte pour faire
* restituer cette province à son légitime souverain, qui a
» dénoncé au monde les secrètes stipulations du traité de
» Tilsitt, qui a protesté contre l'occupation d'Alger, province
» jadis ottomane, qui a empêché que l'empire ottoman ne fût
» scindé en deux par la création d'un empire arabe, etc., etc. »
» Après cette longue énumération, il demande si l'on peut
être bien venu à parler d'Aden et de Périm.
» Il faut avouer que si c'est l'école de Chatam qui a fait
tant de choses, elle a droit aux plus vives sympathies du
Journal de Constanlinople ; mais il nous permettra de ne
pas partager son admiration et de supposer que si l'Angle-
terre, soit sous le ministère lord Chatam, soit sous la direc-
tion de lord Palmerston, a pris fait et cause pour la Turquie,
c'est qu'elle avait d'autres motifs que ceux auxquels on
voudrait rattacher sa politique. Ce n'est pas le moment d'en-
trer dans l'examen des faits qui peuvent répandre la lumière
sur sa conduite. Nous rappellerons seulement au Journal de
Constanlinople que l'école de Cbatam n'est pas si absolue
qu'elle n'ait permis de fonder le royaume grec avec le con-
cours de l'Angleterre, ni si scrupuleuse qu'elle n'ait autorisé
la prise de possession par l'Angleterre de territoires sur les-
quels cette puissance n'avait aucun droit. -
» L'occupation de Périm peut paraître peu importante au
Journal de Conslantinople, qui s'extasie dans la contempla-
tion des faits et gestes de l'école de Chatam; mais nous ne
sommes pas tenus de nous placer à côté de lui, ni de nous
enivrer de son optimisme. Pour nous, l'occupation de Périm
est une spoliation, consommée en vue de tenir en échec la
puissance maritime de la Turquie comme celle des autres
nations européennes. Ne pas voir cela, c'est être aveugle.
» L'Angleterre s'oppose au percement de l'isthme de Suez.
Allons, dites que c'est dans l'intérêt de la Turquie, comme
on l'a dit à la Chambre des Communes; touchante sollicitude
dont vous devez être reconnaissant! Mais ne trouvez-vous pas
qu'elle perd de son désintéressement devant la déclaration
qui reporte en grande partie l'opposition de l'Angleterre sur
la crainte de voir les ports français trop rapprochés de la
mer Rouge?
» Du reste, peu importe que le Journal de Constantinople
et avec lui l'Angleterre, soit favorable ou non à l'entreprise
de M. de Lesseps. Cette entreprise s'accomplira, parce que
les attaques dirigées contre elle deviennent un défi jeté aux
nations et à la Turquie elle-même, et qu'il est de la dignité
des gouvernements de ne subir d'autre loi que celles de la
justice, de la raison et de l'intérêt commun. » BLAXCHARD.
Nous remercions M. Blanchard de sa sympathie si cons-
tante et si vive. Notre dernier numéro a dû prouver au
Nouvelliste de Marseille que le Journal de Constantinople
avait grand tort de se plaindre, et qu'il n'a pas du tout gardé
le silence, qu'il paraît désormais vouloir s'imposer.
Une correspondance d'Alexandrie, publiée par le Nouvel-
liste de Marseille du 14 juillet, décrit ainsi la réception faite
à M. Ferd. de Lesseps :
« Alexandrie, le 6 juillet 1858.
» Le paquebot autrichien arrivé de Trieste le 2 juillet,
nous a amené M. Ferd. de Lesseps. Son arrivée a été un
jour de fête pour notre population, dont une grande partie
s'était portée à sa rencontre au débarcadère de l'Arsenal. Mes-
sieurs les consuls généraux de Hollande, de Sardaigne, d'Es-
pagna et de Portugal étaient allés jusqu'à bord féliciter
M. Ferd. de Lesseps. Il a trouvé réunies dans les appartements
qui lui avaient été préparés chez l'agent supérieur de la Com-
pagnie universelle du canal de Suez, un grand nombre de
personnes qui, vu l'arrivée matinale du paquebot autrichien,
n'avaient pu se porter sur les quais à sa rencontre. Les Pères
Lazaristes, les Sœurs de charité étaient du nombre. Plusieurs
discours ont été adressés à l'illustre promoteur du percement
de l'isthme de Suez. Des orateurs appartenant à différentes
nationalités ont tous glorifié M. de Lesseps pour la persévé-
rance courageuse et opiniâtre qu'il a apportée à l'accomplis-
sement de son œuvre. M. Ferd. de Lesseps a trouvé dans cha-
cune de ses réponses des termes gracieux pour ceux à qui il
s'adressait, forts et fermes pour les ennemis de l'entreprise à
laquelle il s'est voué. Il nous a promis qu'avant la fin de
l'année les travaux seraient commencés; nous avons foi en sa
parole, et nous attendons avec impatience l'exécution de
l'œuvre qui doit apporter de si grandes et tle si heureuses
modifications au commerce du monde entier et particulière-
ment à celui de l'Egypte, de l'œuvre qui doit faire pénétrer la
civilisation jusqu'aux confins de l'extrême Orient. »
La Gazette du Midi, Marseille, 13 juillet, publie un article
très-remarquable, de M. E. Roux, sur le massacre deDjeddah.
« La ville de Djeddah est le port le plus considérable et le
plus riche de l'Arabie sur la mer Rouge..On considère Djed-
dah, dit la géographie de Malle Brun , non-seulement comme
le port de la Mecque, mais comme le grand entrepôt mari-
time du commerce de l'Egypte, des Indes et de l'Arabie.
» Une telle position donne une gravité tout exceptionnelle
à ce nouvel attentat contre l'inviolabilité diplomatique, succé-
dant à tous ceux qui viennent, à si peu d'intervalle, de souiller
l'empire ottoman. En effet, c'est manifestement du foyer du
fanatisme musulman que sort le crime insensé qui semble
jeter à la fois le défi à la France et à l'Angleterre, et qui vient
montrer à celle-ci combien fut coupable cette politique des
Palmerston et des Redcliffe, divisant à plaisir l'Europe en face
de ses communs ennemis, et disputant à notre pays sa légi-
time part d'action sur la mer Rouge.
» Voilà aujourd'hui les deux nations obligées de marcher
et d'agir, sinon de concert, tout au moins simultanément,
pour foudroyer la ville barbare; car il ne faut pas se le dis-
simuler, dans l'aveugle frénésie qui a saisi les musulmans,
depuis que le pressentiment d'une chute méritée les tourmente,
ils ne distinguent plus entre Français et Anglais, entre catho-
liques et protestants; tout ce qui porte le nom de chrétien
leur est également odieux. Il y a préméditation et parti pris
de signaler les derniers temps de l'islamisme par ses fureurs.
Comment expliquerait-on autrement cette simultanéité d'at-
tentats qui éclatent sur les points les plus éloignés, à Bel-
grade, à Trébigné, à Ibraïla, à Djeddah enfin, et qui de ce
dernier lieu vont retentir partout où les pèlerins de la Mecque
rapporteront les nouvelles de leur ville sainte ? » E. Roux.
Le Courrier de-Marseille, 7 juillet, publie un excellent ar-
ticle de M. L. Méry, d'où nous extrayons les passages sui-
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« Si l'on ne connaissait pas l'influence persistante des
races, et par conséquent le caractère saxon, on ne saurait
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