Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-06-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juin 1858 10 juin 1858
Description : 1858/06/10 (A3,N48). 1858/06/10 (A3,N48).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203094p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
;" ao 'a > "; -'Ii, l'
JEUDI 10 JUIN. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 271
Dernièrement encore le gouverneur général de l'Inde et
l'ambassadeur pour la Chine ont été reçus avec les plus
grands égards pendant leur séjour dans le pays du Pacha.
(Ecoulez !) Je fais ces observations parce que je suis sur que
l'a prospéiité de l'Egypte et les dispositions de son souverain
sur qui repose une grande partie de cette prospérité, sont des
affaires d'un grand intérêt pour l'Angleterre; et je suis con-
vaincu qu'il ne peut jamais être dans l'intrntion de la Cham-
bre, quelle que soit sa décision sur le canal, de montrer quel-
que manque apparent de courtoisie envers le souverain aeluel
de l'Egypte, qui, en améliorant l'état de son pays, a manifesté
un respect éclairé pour la bonne opiuion de l'Europe et l'ap-
probation de l'Angleterre. (Ecoutez!)
M. STEPHEXSOX. L'honorable et savant membre pour Shef-
field a ditun grand nom lire de général ités, mais il n'apasavancé
un seul fait absolu. (I::coulez!) Il a dil, par exemple, qu'il était
très-désirable de faciliter le commerce entre deux parties du
monde. Personne n'en doute, mais l'honorable gentleman n'a
pas démontré que le canal remplira ce but. Je crois qu'il ne
le fera pas, même en supposant sa construction physiquement
possible, ce que je nie. L'honorable membre a cité beaucoup
d'autorités en faveur de la possibilité du projet, mais il a oublié
de citer les opinions des trois wnllemell, l'un de Paris, l'au-
tre d'Autriche et moi-même d'Angleterre, qui ont fait les pre-
mières recherches à ce sujet, en 1847. Ils ont examiné la
configuration physique du pays et délibéré sur la question de
la manière la plus minutieuse, en basant leurs observations
sur la supposition erronée qu'il serait possible d'établir un
bospliore artificiel entre la mer Rouge et la mer Méditerranée,
tel qu'il existe naturellement entre la mer Noire et la mer Mé-
diterranée. Ils se basèrent sur la supposition que le nivelle-
ment français démontrant une différence (le 30 pieds dans les
deux mers, au moyen de laquelle il serait possible d'enlrcle-
hir un courant constant, était exact; mais au lieu d'une diffé-
rence de 30 pieds de hauteur, il a été constaté que les deux
mers sont de niveau, et qu'aucun courant ne peut être établi.
Le savant et honorable membre a donc eu tort, dans les ter-
mes dont il s'est servi, de parler d'un canal. Ce ne serait pas
un canal à proprement parler; ce serait bien plutôt un fossé.
(Ecoutez, écoutez !) L'orateur a cité feu M. Rendel comme un
partisan du canal qu'il défend. Mais je puis dire positivement
que M. Rendel n'a pas accepté le projet tel qu'il est présenté
maintenant, et j'en donne pour preuve qu'il n'a pas signé le
rapport. M. Rendel a été bien connu de presque tous les mem-
bres de cette Chambre, et l'on sait que son autorité dans ces
matières était considérable. M. Mac Clean, autre autorité
dans les questions de ce genre, soutient aussi que le canal
n'est pas exécutable. En ce qui concerne les ingénieurs anglais,
je crois pouvoir affirmer qu'ils sont tous de même avis que
moi. En ce qui concerne les difficultés que rencontre l'exécu-
tion, je n'en signalerai qu'une seule: c'est de creuser un canal
dans un désert de plus de 80 milles de long, sans fruits, sans
une goutte d'eau dans tout cet espace. J'ai traversé a pied toute
la contrée, du moins toute la partie qui est à sec. Je ne veux
pas aborder le côté politique de la question; mais je puis bien
affirmer, en ce qui concerne le transit des passagers et des
malles, qu'il n'y aurait pas économie de temps; car comme
on peut aujourd'hui aller en chemin de fer d' Alexandrie à
Suez en huit heures de temps, il faudrait tout au moins le
double par le canal, en le supposant le m. illeur possible; car
les navires qui se rendraient d'Europe aux Indes pourraient
faire du charbon soit à Alexandrie soit à Suez. On prétend
que nous n'avons pas à nous occuper des difficultés physiques
du projet; mais je pense que la Chambre a bien aussi à y peu.
ser; et c'est ce que j'ai fait pour ma part. (Ecoutez !) Si je
gardais le silence, on pourrait croire»que j'accepte la motion,
et que je concède que le canal de Suez est exécutable; mais si
on le tente, et j'espère bien qu'il ne sera pas tenté, du moins
avec l'argent des Anglais, on verra bien que ce projet ne peut
qu'échouer en ruinant ses cntrepreneurs. (Ecoutez, écoutez!)
M. FnZGEIUW. Le savant et honorable membre pour Sheffield
se trompe sur les motifs qu'il me suppose dans mon opposition
au projet du canal de Suez ; je ne repousse pas la motion sous ce.
prétexte qu'elle n'est pas dénature a occuper la Chambre des
Communes. On a représenté ce projet comme devant amener
d'immenses avantages pour le commerce de notre pays, et s'il
en est ainsi,- c'est bien là certainement un sujet dont la Cham-
bre des Communes a le devoir étroit de s'occuper avec sollici-
tude. Si les seules objeclions contre le canal étaient l'im-
possibililé de le faire, et les perles qu'il eau et-a à ceux qui
l'entreprendront, comme l'a dit le précédent orateur, je ne com-
battrais pas certainement cette motion, convaincu que c'est à
ceux qui se risqueront dans cette affaire de prendre toutes
leurs précautions. (Ecoulez, écoule/1. Mais ce ne sont pas des
considérations à dédaigner tout A fait, si l'on admet qu'elles
s'adressent à une question de politique douteuse; et certaine-
ment cette objection ne peut pas être négligée entièrement
par le savant et honorable membre qui a prétendu que le pro-
jet procurerait les plus grands avantages au commerce.
M. ROEBUCK. Je n'ai pas demandé à la Chambre d'approu-
ver le projet; mais je lui ai demandé de s'abstenir d'influencer
le Sultan contre ce projet.
M. FIUGEIIALD. Si l'honorable et savant dfaleur n'a pas sou-
tenu le canal de Suez au point de vue de ses avantages com-
merciaux, cependant tous ceux qui ont entendu son discours
conviendront qu'il n'a fait d'un bout à l'autre que de prôner
le projet du canal. (Ecoutez! Ecoutez!) Et cependant tout en
soutenant que ce devait être une entreprise fort avantageuse
sous le rapport commercial, il nous a dit qu'il n'y avait au-
cune importance de savoir s'il serait ou non ruineux pour ceux
qui pourraient l'entreprendre. Il a dit encore que les raisons
sur lesquelles se fondait l'ppposilion étaient injustes et basses.
Je diffère du savant et honorable membre, et les raisons sur
lesquelles je me fonde sont parfaitement égoïstes en ce sens
que je désire maintenir la prospérité et la grandeur de mon
pays. L'honorable et savant orateur a dit que le projet du ca-
nal de Suez avait été conçu à une époque où l'Empire turc
cJait en état de dissolution , et que nous avions profité du se-
cours que nous lui prêtions alors pour l'iiifluencer à l'égard de
ce projet. Ce n'est pas représenter exactement la position du
gouvernement turc à cette époque; et l'orateur a eu-tort de
laisser croire à la Chambre que l'opposition au canal de Suez
est venue seulement de l'Angleterre, Le gouvernement turc
peut aujourd'hui se confier parfaitement à la loyauté du Pacha
d'Egypte; mais il ne peut regarder qu'avec un sentiment de
défiance un projet qui, s'il réussissait, amènerait une sépara-
tion naturelle de l'Egypte et de l'Empire turc. Rien plus, le
gouvernement turc regardant le projet comme fort difficile, et
si ce n'est comme impraticable, du moins sans aucun profit,
et par conséquent pouvant sortir une partie des capitaux qui
devraient se porter à l'achèvement des travaux publics, ne
peut naturellement y être favorable. L'honorable et docte
gentleman a posé en principe que la construction du canal
faciliterait le transport des marchandises, qu'il serait pour
l'avantage du commerce et le bien-être de l'humanité, et qu'en
conséquence il était du devoir de la Chambre d'appuyer le
projet. , i„
M. ROEBICK. Je n'ai pas dit : En conséquence.
JEUDI 10 JUIN. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 271
Dernièrement encore le gouverneur général de l'Inde et
l'ambassadeur pour la Chine ont été reçus avec les plus
grands égards pendant leur séjour dans le pays du Pacha.
(Ecoulez !) Je fais ces observations parce que je suis sur que
l'a prospéiité de l'Egypte et les dispositions de son souverain
sur qui repose une grande partie de cette prospérité, sont des
affaires d'un grand intérêt pour l'Angleterre; et je suis con-
vaincu qu'il ne peut jamais être dans l'intrntion de la Cham-
bre, quelle que soit sa décision sur le canal, de montrer quel-
que manque apparent de courtoisie envers le souverain aeluel
de l'Egypte, qui, en améliorant l'état de son pays, a manifesté
un respect éclairé pour la bonne opiuion de l'Europe et l'ap-
probation de l'Angleterre. (Ecoutez!)
M. STEPHEXSOX. L'honorable et savant membre pour Shef-
field a ditun grand nom lire de général ités, mais il n'apasavancé
un seul fait absolu. (I::coulez!) Il a dil, par exemple, qu'il était
très-désirable de faciliter le commerce entre deux parties du
monde. Personne n'en doute, mais l'honorable gentleman n'a
pas démontré que le canal remplira ce but. Je crois qu'il ne
le fera pas, même en supposant sa construction physiquement
possible, ce que je nie. L'honorable membre a cité beaucoup
d'autorités en faveur de la possibilité du projet, mais il a oublié
de citer les opinions des trois wnllemell, l'un de Paris, l'au-
tre d'Autriche et moi-même d'Angleterre, qui ont fait les pre-
mières recherches à ce sujet, en 1847. Ils ont examiné la
configuration physique du pays et délibéré sur la question de
la manière la plus minutieuse, en basant leurs observations
sur la supposition erronée qu'il serait possible d'établir un
bospliore artificiel entre la mer Rouge et la mer Méditerranée,
tel qu'il existe naturellement entre la mer Noire et la mer Mé-
diterranée. Ils se basèrent sur la supposition que le nivelle-
ment français démontrant une différence (le 30 pieds dans les
deux mers, au moyen de laquelle il serait possible d'enlrcle-
hir un courant constant, était exact; mais au lieu d'une diffé-
rence de 30 pieds de hauteur, il a été constaté que les deux
mers sont de niveau, et qu'aucun courant ne peut être établi.
Le savant et honorable membre a donc eu tort, dans les ter-
mes dont il s'est servi, de parler d'un canal. Ce ne serait pas
un canal à proprement parler; ce serait bien plutôt un fossé.
(Ecoutez, écoutez !) L'orateur a cité feu M. Rendel comme un
partisan du canal qu'il défend. Mais je puis dire positivement
que M. Rendel n'a pas accepté le projet tel qu'il est présenté
maintenant, et j'en donne pour preuve qu'il n'a pas signé le
rapport. M. Rendel a été bien connu de presque tous les mem-
bres de cette Chambre, et l'on sait que son autorité dans ces
matières était considérable. M. Mac Clean, autre autorité
dans les questions de ce genre, soutient aussi que le canal
n'est pas exécutable. En ce qui concerne les ingénieurs anglais,
je crois pouvoir affirmer qu'ils sont tous de même avis que
moi. En ce qui concerne les difficultés que rencontre l'exécu-
tion, je n'en signalerai qu'une seule: c'est de creuser un canal
dans un désert de plus de 80 milles de long, sans fruits, sans
une goutte d'eau dans tout cet espace. J'ai traversé a pied toute
la contrée, du moins toute la partie qui est à sec. Je ne veux
pas aborder le côté politique de la question; mais je puis bien
affirmer, en ce qui concerne le transit des passagers et des
malles, qu'il n'y aurait pas économie de temps; car comme
on peut aujourd'hui aller en chemin de fer d' Alexandrie à
Suez en huit heures de temps, il faudrait tout au moins le
double par le canal, en le supposant le m. illeur possible; car
les navires qui se rendraient d'Europe aux Indes pourraient
faire du charbon soit à Alexandrie soit à Suez. On prétend
que nous n'avons pas à nous occuper des difficultés physiques
du projet; mais je pense que la Chambre a bien aussi à y peu.
ser; et c'est ce que j'ai fait pour ma part. (Ecoutez !) Si je
gardais le silence, on pourrait croire»que j'accepte la motion,
et que je concède que le canal de Suez est exécutable; mais si
on le tente, et j'espère bien qu'il ne sera pas tenté, du moins
avec l'argent des Anglais, on verra bien que ce projet ne peut
qu'échouer en ruinant ses cntrepreneurs. (Ecoutez, écoutez!)
M. FnZGEIUW. Le savant et honorable membre pour Sheffield
se trompe sur les motifs qu'il me suppose dans mon opposition
au projet du canal de Suez ; je ne repousse pas la motion sous ce.
prétexte qu'elle n'est pas dénature a occuper la Chambre des
Communes. On a représenté ce projet comme devant amener
d'immenses avantages pour le commerce de notre pays, et s'il
en est ainsi,- c'est bien là certainement un sujet dont la Cham-
bre des Communes a le devoir étroit de s'occuper avec sollici-
tude. Si les seules objeclions contre le canal étaient l'im-
possibililé de le faire, et les perles qu'il eau et-a à ceux qui
l'entreprendront, comme l'a dit le précédent orateur, je ne com-
battrais pas certainement cette motion, convaincu que c'est à
ceux qui se risqueront dans cette affaire de prendre toutes
leurs précautions. (Ecoulez, écoule/1. Mais ce ne sont pas des
considérations à dédaigner tout A fait, si l'on admet qu'elles
s'adressent à une question de politique douteuse; et certaine-
ment cette objection ne peut pas être négligée entièrement
par le savant et honorable membre qui a prétendu que le pro-
jet procurerait les plus grands avantages au commerce.
M. ROEBUCK. Je n'ai pas demandé à la Chambre d'approu-
ver le projet; mais je lui ai demandé de s'abstenir d'influencer
le Sultan contre ce projet.
M. FIUGEIIALD. Si l'honorable et savant dfaleur n'a pas sou-
tenu le canal de Suez au point de vue de ses avantages com-
merciaux, cependant tous ceux qui ont entendu son discours
conviendront qu'il n'a fait d'un bout à l'autre que de prôner
le projet du canal. (Ecoutez! Ecoutez!) Et cependant tout en
soutenant que ce devait être une entreprise fort avantageuse
sous le rapport commercial, il nous a dit qu'il n'y avait au-
cune importance de savoir s'il serait ou non ruineux pour ceux
qui pourraient l'entreprendre. Il a dit encore que les raisons
sur lesquelles se fondait l'ppposilion étaient injustes et basses.
Je diffère du savant et honorable membre, et les raisons sur
lesquelles je me fonde sont parfaitement égoïstes en ce sens
que je désire maintenir la prospérité et la grandeur de mon
pays. L'honorable et savant orateur a dit que le projet du ca-
nal de Suez avait été conçu à une époque où l'Empire turc
cJait en état de dissolution , et que nous avions profité du se-
cours que nous lui prêtions alors pour l'iiifluencer à l'égard de
ce projet. Ce n'est pas représenter exactement la position du
gouvernement turc à cette époque; et l'orateur a eu-tort de
laisser croire à la Chambre que l'opposition au canal de Suez
est venue seulement de l'Angleterre, Le gouvernement turc
peut aujourd'hui se confier parfaitement à la loyauté du Pacha
d'Egypte; mais il ne peut regarder qu'avec un sentiment de
défiance un projet qui, s'il réussissait, amènerait une sépara-
tion naturelle de l'Egypte et de l'Empire turc. Rien plus, le
gouvernement turc regardant le projet comme fort difficile, et
si ce n'est comme impraticable, du moins sans aucun profit,
et par conséquent pouvant sortir une partie des capitaux qui
devraient se porter à l'achèvement des travaux publics, ne
peut naturellement y être favorable. L'honorable et docte
gentleman a posé en principe que la construction du canal
faciliterait le transport des marchandises, qu'il serait pour
l'avantage du commerce et le bien-être de l'humanité, et qu'en
conséquence il était du devoir de la Chambre d'appuyer le
projet. , i„
M. ROEBICK. Je n'ai pas dit : En conséquence.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.79%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.79%.
- Collections numériques similaires Thématique : ingénierie, génie civil Thématique : ingénierie, génie civil /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCthèm02"Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp11" Corpus : ports et travaux maritimes Corpus : ports et travaux maritimes /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp16"
- Auteurs similaires Desplaces Ernest Desplaces Ernest /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Desplaces Ernest" or dc.contributor adj "Desplaces Ernest")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 7/32
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6203094p/f7.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6203094p/f7.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6203094p/f7.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6203094p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6203094p
Facebook
Twitter