Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-06-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juin 1858 10 juin 1858
Description : 1858/06/10 (A3,N48). 1858/06/10 (A3,N48).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203094p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
JEUDI 10 JUIN, JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS, "277
mettra aux nations étrangères de nous entraver, en envoyant
des armements hostiles dans les Indes, en cas de conflit avec
ce pays. Monsieur, j'élève une protestation respectueuse, mais
la plus sérieuse possible, contre l'esprit et l'expression d'un
pareil langage (Écoutez! écoulez!), et je ne puis rien conce-
voir de plus imprudent, en ce qui concerne la bonne intelli-
gence des nations de l'Europe; je ne puis rien concevoir de
plus compromettant pour les véritables intérêts de l'Angle-
terre. D'abord je ne puis pas du tout placer l'empire indien
de la Grande-Bretagne en opposition avec les intérêts du reste
de l'humanité, ou avec le sentiment général de l'Europe; et
je soutiens que c'est ce que vous faites si, dans une question
purement commerciale, vous mettez de côté les arguments
commerciaux, et si, pour la faire tomber dans l'arène poli-
tique, vous vous opposez à l'exécution d'un projet commercial,
vous allez le déclarer impraticable uniquement parce que
vous le croyez dangereux à l'empire de l'Angleterre dans les
Indes. Je repousse de toutes mes forces le système d'insinua-
tion qui est renfermé dans l'allusion laite à ces dangers : je
dis que c'est un système sans générosité, imprudent et plein
de pérîïs ; mais en même temps je nie absolument l'existence
de ces dangers. Je soutiens que si ce canal avait été ouvert
l'année dernière, que s'il eût été alors praticable, question
qui n'est pas actuellement soumise à nos votes, nous aurions
eu la plus grande raison de profonde reconnaissance pour
ceux qui auraient construit ce canal. Quelle différence dans
ce déplorable conflit que nous avons à soutenir dans l'Inde si,
il y a douze mois, au lieu de cette longue route du Cap, vous
aviez pu envoyer vos troupes directement dans l'Inde !
Oui, l'avantage de ce canal, si ce canal est praticable,
quelque grand qu'il soit pour le reste du monde, serait bien
plus grand encore pour l'Angleterre. Qui aurait le contrôle de
la mer Rouge? Qui a maintenant le contrôle de cette mer à
son extrémité méridionale? Qui a occupé Aden et Périm, et
qui a offensé si vivement les nations étrangères par l'occupa-
tion de ce dernier point ? Qui doit maintenant rendre compte
peut-être à cette Chambre de cette mesure, en exposant les
raisons qui ont pu la justifier et qui l'ont rendue à la fois né-
cessaire et juste? Mais, assez naturellement on fut très-mé-
content à l'étranger quand on vit l'Angleterre occu per la pre-
mière un des côtés de la mer Rouge, et bientôt aussi l'autre
côté, par des ports fortifiés, et s'opposer égoïstement, par des
craintes pour son empire des Indes, à ce qui paraissait une
entreprise bienfaisante pour toute l'humanité. Quel est le
pouvoir qui posséderait réellement ce canal s'il était ouvert?
N'est-ce pas un canal qui, de toute nécessité, tomberait sous
le contrôle de la première puissance maritime de l'Europe?
C'est l'Angleterre, et non point un autre pays, qui dominerait
ce canal. 1
Je sais bien que, sur des questions de ce genre, on ne peut
guère attendre que la majorité des membres de cette Chambre
prennent la peine ou aient l'occasion d'avoir une connaissance
exacte des choses; mais l'honorable et docte membre pour
Sheffield a provoqué l'expression de votre opinion sur ce sujet.
Je vous demande si vous vous déclarerez les partisans de cette
politique qui, depuis quelque temps, a été suivie par le pou-
voir exécutif, politique fondée sur la résistance à un projet
que l'Europe regarde comme tout à fait commercial de sa na-
ture. Les raisons que vous avancez sont, à mon sens, tout à
fait insoutenables en ce qui regarde la Turqu ie, et froissent
l'opinion publique de toute l'Europe. Je ne dis pas qu'elle
choque ou ne choque pas l'opinion publique de l'Angleterre.
Les raisons que l'on donne relativement à l'Inde sont faites
pour causer une grande irritation en Europe, des sentiments
de jalousie et même d'hostilité contre l'existence de l'empire
anglais dans les Indes. J'ajoute que quelque soit le vote de
cette nuit, je suis profondément convaincu que, dans l'état où
est l'opinion générale sur ce sujet, non-seulement la politique -
adoptée est une fausse politique, mais qu'elle est diamétrale-
ment opposée aux plus simples principes de la prudence, et
on peut dire aussi à la courtoisie et à la bienveillance néces-
saires entre des nations amies. Voilà ce que produit la ten-
dance à s'isoler sur ces questions du monde civilisé; et ce fait
certain ne fera qu'être de mieux en mieux senti chaque année
par le peuple anglais, attendu que vous ne serez pas en me-
sure de maintenir toujours cette politique. Si donc vous voulez
abandonner ce fâcheux système, le plus tôt sera le mieux.
En tout cas, et pour ma part, je n'aurai pas la moindre hé-
sitation à donner mon vote à la motion de l'honorable gentle-
man, parce que je trouve que le principe qu'il nous invite à
soutenir est tout à la fois sage et indispensable pour la solu-
tion de ces questions, et que, dans le cas particulier qui nous
est soumis, ce principe se trouve intimement lié aux intérêts
de mon pays et aux intérêts des autres peuples de l'Europe.
(Applaudissements. )
Le CHANCELIER DE L'ECHIQUIER. Comme il s'agit d'une
question de grande importance, j'espère que la Chambre,
avant de prendre une décision, considérera au moins avec
calme et sans passion toutes les circonstances que cette ques-
tion implique. La motion de l'honorable gentleman déclare:
« Que, suivant l'opinion de la Chambre, le pouvoir et
» l'influence de l'Angleterre ne doivent pas être employés à
l, obliger le Sultan à refuser son assentiment au projet d'un
» canal à travers l'isthme de Suez. » -
Or, quelle preuve avons-nous que le pouvoir et l'influence
de l'Angleterre sont employés en ce moment ou ont été
exercés d'une manière qui puisse motiver une telle résolution?
Je supposerais si je n'étais au courant de cette affaire, ou
que l'honorable gentleman a reçu l'avis que le gouvernement
de S. M. est sur le point de négocier un traité avec le Sultan
pour l'obliger à refuser son consentement à ce projet, ou que
des papiers ont été déposés sur le bureau, qui prouvent qu'il
y a ici de la part du gouvernement une contrainte exercée
envers le Sultan dans ce but. Mais je n'ai aucune preuve de
ce genre, et l'honorable membre n'a pas donné de raisons
pour nous faire accepter cette hypothèse. Le noble lord qui
a parlé a dit en effet que le gouvernement avait recommandé
au Sultan d'adopter une certaine politique; mais le noble
lord, comme je l'ai compris et comme je le sais moi-même
par les faits, ne peut avoir imposé au Sultan qu'une politique
que le gouvernement turc avait déjà adoptée lui-même. D'après
tout ce que j'ai pu constater à ce sujet, le gouvernement du
Sultan a des opinions très-décidées sur cette affaire; et cer-
tainement je ne vois rien, dans l'attitude du ministère actuel
ou de l'ancien ministère, qui prouve qu'il y ait eu quelque
contrainte inconvenante exercée envers le Sultan, soit dans
le présent, soit dans le passé, pour justifier de la part de
l'honorable représentant pour l'Université d'Oxford, l'emploi
de termes comme Il opposition déplacée, inconvenante et illé-
gitime ». Quand il y a dans le monde quelque projet mis en
avant que nous croyons être compromettant pour les intérêts
de l'Angleterre et ceux des nations en général, une opposi-
tion contre ce projet ne saurait être ni déplacée, ni inconve-
nante, ni illégitime. ,
Avant de nous demander d'adopter une motion relative à
ce projet, on devrait nous prouver que l'on a observé quel-
que conduite secrète ou ouverte telle qu'elle justifierait la
Chambre de s'occuper, par une résolution comme celle dont
mettra aux nations étrangères de nous entraver, en envoyant
des armements hostiles dans les Indes, en cas de conflit avec
ce pays. Monsieur, j'élève une protestation respectueuse, mais
la plus sérieuse possible, contre l'esprit et l'expression d'un
pareil langage (Écoutez! écoulez!), et je ne puis rien conce-
voir de plus imprudent, en ce qui concerne la bonne intelli-
gence des nations de l'Europe; je ne puis rien concevoir de
plus compromettant pour les véritables intérêts de l'Angle-
terre. D'abord je ne puis pas du tout placer l'empire indien
de la Grande-Bretagne en opposition avec les intérêts du reste
de l'humanité, ou avec le sentiment général de l'Europe; et
je soutiens que c'est ce que vous faites si, dans une question
purement commerciale, vous mettez de côté les arguments
commerciaux, et si, pour la faire tomber dans l'arène poli-
tique, vous vous opposez à l'exécution d'un projet commercial,
vous allez le déclarer impraticable uniquement parce que
vous le croyez dangereux à l'empire de l'Angleterre dans les
Indes. Je repousse de toutes mes forces le système d'insinua-
tion qui est renfermé dans l'allusion laite à ces dangers : je
dis que c'est un système sans générosité, imprudent et plein
de pérîïs ; mais en même temps je nie absolument l'existence
de ces dangers. Je soutiens que si ce canal avait été ouvert
l'année dernière, que s'il eût été alors praticable, question
qui n'est pas actuellement soumise à nos votes, nous aurions
eu la plus grande raison de profonde reconnaissance pour
ceux qui auraient construit ce canal. Quelle différence dans
ce déplorable conflit que nous avons à soutenir dans l'Inde si,
il y a douze mois, au lieu de cette longue route du Cap, vous
aviez pu envoyer vos troupes directement dans l'Inde !
Oui, l'avantage de ce canal, si ce canal est praticable,
quelque grand qu'il soit pour le reste du monde, serait bien
plus grand encore pour l'Angleterre. Qui aurait le contrôle de
la mer Rouge? Qui a maintenant le contrôle de cette mer à
son extrémité méridionale? Qui a occupé Aden et Périm, et
qui a offensé si vivement les nations étrangères par l'occupa-
tion de ce dernier point ? Qui doit maintenant rendre compte
peut-être à cette Chambre de cette mesure, en exposant les
raisons qui ont pu la justifier et qui l'ont rendue à la fois né-
cessaire et juste? Mais, assez naturellement on fut très-mé-
content à l'étranger quand on vit l'Angleterre occu per la pre-
mière un des côtés de la mer Rouge, et bientôt aussi l'autre
côté, par des ports fortifiés, et s'opposer égoïstement, par des
craintes pour son empire des Indes, à ce qui paraissait une
entreprise bienfaisante pour toute l'humanité. Quel est le
pouvoir qui posséderait réellement ce canal s'il était ouvert?
N'est-ce pas un canal qui, de toute nécessité, tomberait sous
le contrôle de la première puissance maritime de l'Europe?
C'est l'Angleterre, et non point un autre pays, qui dominerait
ce canal. 1
Je sais bien que, sur des questions de ce genre, on ne peut
guère attendre que la majorité des membres de cette Chambre
prennent la peine ou aient l'occasion d'avoir une connaissance
exacte des choses; mais l'honorable et docte membre pour
Sheffield a provoqué l'expression de votre opinion sur ce sujet.
Je vous demande si vous vous déclarerez les partisans de cette
politique qui, depuis quelque temps, a été suivie par le pou-
voir exécutif, politique fondée sur la résistance à un projet
que l'Europe regarde comme tout à fait commercial de sa na-
ture. Les raisons que vous avancez sont, à mon sens, tout à
fait insoutenables en ce qui regarde la Turqu ie, et froissent
l'opinion publique de toute l'Europe. Je ne dis pas qu'elle
choque ou ne choque pas l'opinion publique de l'Angleterre.
Les raisons que l'on donne relativement à l'Inde sont faites
pour causer une grande irritation en Europe, des sentiments
de jalousie et même d'hostilité contre l'existence de l'empire
anglais dans les Indes. J'ajoute que quelque soit le vote de
cette nuit, je suis profondément convaincu que, dans l'état où
est l'opinion générale sur ce sujet, non-seulement la politique -
adoptée est une fausse politique, mais qu'elle est diamétrale-
ment opposée aux plus simples principes de la prudence, et
on peut dire aussi à la courtoisie et à la bienveillance néces-
saires entre des nations amies. Voilà ce que produit la ten-
dance à s'isoler sur ces questions du monde civilisé; et ce fait
certain ne fera qu'être de mieux en mieux senti chaque année
par le peuple anglais, attendu que vous ne serez pas en me-
sure de maintenir toujours cette politique. Si donc vous voulez
abandonner ce fâcheux système, le plus tôt sera le mieux.
En tout cas, et pour ma part, je n'aurai pas la moindre hé-
sitation à donner mon vote à la motion de l'honorable gentle-
man, parce que je trouve que le principe qu'il nous invite à
soutenir est tout à la fois sage et indispensable pour la solu-
tion de ces questions, et que, dans le cas particulier qui nous
est soumis, ce principe se trouve intimement lié aux intérêts
de mon pays et aux intérêts des autres peuples de l'Europe.
(Applaudissements. )
Le CHANCELIER DE L'ECHIQUIER. Comme il s'agit d'une
question de grande importance, j'espère que la Chambre,
avant de prendre une décision, considérera au moins avec
calme et sans passion toutes les circonstances que cette ques-
tion implique. La motion de l'honorable gentleman déclare:
« Que, suivant l'opinion de la Chambre, le pouvoir et
» l'influence de l'Angleterre ne doivent pas être employés à
l, obliger le Sultan à refuser son assentiment au projet d'un
» canal à travers l'isthme de Suez. » -
Or, quelle preuve avons-nous que le pouvoir et l'influence
de l'Angleterre sont employés en ce moment ou ont été
exercés d'une manière qui puisse motiver une telle résolution?
Je supposerais si je n'étais au courant de cette affaire, ou
que l'honorable gentleman a reçu l'avis que le gouvernement
de S. M. est sur le point de négocier un traité avec le Sultan
pour l'obliger à refuser son consentement à ce projet, ou que
des papiers ont été déposés sur le bureau, qui prouvent qu'il
y a ici de la part du gouvernement une contrainte exercée
envers le Sultan dans ce but. Mais je n'ai aucune preuve de
ce genre, et l'honorable membre n'a pas donné de raisons
pour nous faire accepter cette hypothèse. Le noble lord qui
a parlé a dit en effet que le gouvernement avait recommandé
au Sultan d'adopter une certaine politique; mais le noble
lord, comme je l'ai compris et comme je le sais moi-même
par les faits, ne peut avoir imposé au Sultan qu'une politique
que le gouvernement turc avait déjà adoptée lui-même. D'après
tout ce que j'ai pu constater à ce sujet, le gouvernement du
Sultan a des opinions très-décidées sur cette affaire; et cer-
tainement je ne vois rien, dans l'attitude du ministère actuel
ou de l'ancien ministère, qui prouve qu'il y ait eu quelque
contrainte inconvenante exercée envers le Sultan, soit dans
le présent, soit dans le passé, pour justifier de la part de
l'honorable représentant pour l'Université d'Oxford, l'emploi
de termes comme Il opposition déplacée, inconvenante et illé-
gitime ». Quand il y a dans le monde quelque projet mis en
avant que nous croyons être compromettant pour les intérêts
de l'Angleterre et ceux des nations en général, une opposi-
tion contre ce projet ne saurait être ni déplacée, ni inconve-
nante, ni illégitime. ,
Avant de nous demander d'adopter une motion relative à
ce projet, on devrait nous prouver que l'on a observé quel-
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