Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-06-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juin 1858 10 juin 1858
Description : 1858/06/10 (A3,N48). 1858/06/10 (A3,N48).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203094p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
276 L'ISTHME DE SUEZ, JEUDI 10 JUIN.
sur son terrain, sous sa véritable forme, et avec ses arguments
propres. (Ecoutez, écoutez!) Ne laissons pas des gouverne-
ments actuels ou des gouvernements passés se donner la peine
de nous instruire sur ce que c'est que des projets chimériques
et aventureux. (Ecoulez, écoutez !) Le noble vicomte prétend
que quiconque a entendu le discours du membre pour Whilby
doit penser que ce projet n'est qu'une attrape et un piège. Mais
pour moi, je respecte trop le jugement de mon honorable ami
pour penser qu'à titre d'homme de science, il puisse croire né-
cessaire, sur une question scientifique, de se fortifier par un
vote de la Chambre des Communes. Un tel vote n'ajouterait
pas le moiiftlre poids au jugement scientifique sur les mérites
techniques du projet. Ecartons de nos esprits cette opinion, que
nous sommes appelés à prononcer sur la question de saroir si
c'est là un projet aventureux. Si c'est une spéculation peu
honnête et chimérique, laissons-la pour ce qu'elle est. (Ecou-
tez ! écoutez !) Comment éloigne-t-on le plus sûrement de tels
projets? Qu'avez-vous fait pour le tunnel de la Tamise, qui
n'est pas même encore terminé? Comment ose-l-on bien de-
mander que le gouvernement intervienne pour repousser des
projets aventureux? Je proteste contre le jugement du noble
vicomte et celui du sous-secrétaire d'Etat, qui me paraissent
tout à fait inconvenants quand ils viennent nous parler d'un
projet propre à faire des dupes. En tant que projet commer-
cial, nous devons ne juger le canal de Suez que sur des argu-
ments purement commerciaux. (Ecoutez ! écoutez!)
Mais le noble vicomte ne s'est pas borné à dénoncer le pro-
jet à cet égard. Il allègue aussi des raisons politiques , et il a
fait part de quelques-unes de ses vues sur ce sujet au présent
ministère des affaires étrangères. (Oh ! et un rire.) Quelles
sont ses raisons? Il en a indiqué deux. L'une, c'est que le ca-
nal provoquera un démembrement de l'empire turc en sépa-
rant l'Egypte de la Turquie; et l'autre, qu'il provoquera un
démembrement de l'empire anglais, en séparant les Indes de
l'Angleterre. (Oh!) Mon noble ami, alors qu'il était ministre
de la Couronne, a lancé dans le monde ces deux raisons avec
une prudence dont je me permettrai de douter. Le canal est
un sujet qui, sans parler de ce qu'on a fait à Liverpool et ail-
leurs, a excité en France et sur le continent un profond inté-
rêt. (Ecoutez!) Je crois que ce n'est pas niable. Quand vous
vous isolez et vous séparez sur la question des Principautés,
vous pouvez vous appuyer sur l'Autriche. Je ne vous demande
pas quelle sera la valeur de cet appui lorsque vous aurez besoin
d'y avoir recours dans les moments de nécessité. Mais avez-
vous pour le canal de Suez l'appui de l'Autriche ? Non. Il n'y
a pas en Europe un seul Etat qui ne dénonce l'opposition de
l'Angleterre à ce projet, je ne veux pas dire l'opposition du
peuple anglais ni jusqu'à ce soir l'opposition du Parlement
anglais, mais l'opposition seule du pouvoir exécutif dans le
secret et dans l'ombre. (Écoutez, écoutez!) Il n'y a pas un
Etat du continent de l'Europe qui ne dénonce la politique
de cette opposition comme injustifiable et comme une politique
égoïste. (Écoutez! et cris de Oh !)
Mais le noble vicomte a lui-même exposé ses deux raisons.
Nous sommes adversaires du canal parce qu'il démembrera la
Turquie et qu'il a une tendance à démembrer l'empire anglais.
Le noble vicomte a donné la première place devant cette
Chambre au démembrement de la Turquie. (Oh!) Dans son
esprit, c'est la première raison ; et le démembrement de l'em-
pire britannique n'est que la seconde. (Oh! oh !) Je vous en de-
mande bien pardon ; mais je ne fais que rapporter exactement
ce qu'a dit mon noble ami; et je pense que je ne fais pas per-
dre à la Chambre son temps, si j'entre dans quelque explica-
tion. (Rire.) C'est l'ordre de préséance que le noble vicomte a
donné à ses raisons, bien qu'il soit possible qu'ailleurs on
puisse voir les choses sous un tout autre jour. X'est-il pas au
contraire parfaitement évident que toute l' Europe pensera que
si vous êtes si contraire au canal de Suez, c'est que vous le
croyez dangereux pour l'empire anglais, et que votre prétendu
intérêt pour la Turquie n'est mis en avant hypocritement que
pour masquervotrevéritable politique? (Écoulez! et crisdeoh!)
Ceux qui ont examiné la question ne peuvent hésiter à croire
que cette opinion est aujourd'hui très-généralement répandue
sur le continent, et il vaut bien mieux dire à cette heure à la
Chambre des Communes ce qu'on pense et ce qu'on dit à l'é-
tranger de la politique anglaise, pendant qu'il est encore temps
de peser notre conduite, plutôt que de nous laisser entraîner
dans de fâcheuses controverses sur un mauvais terrain, et de
commettre l'honneur du pays à soutenir des propositions qu'il
sera impossible de toujours soutenir. (Ecoutez!) Est-il bien
vrai qu'une de ces deux raisons constitue bona fide un motif
politique suffisant pour justifier une résistance politique à un
projet essentiellement commercial, et qui sembl" promettre de
grands avantages au monde entier? Est-il bien vrai que ce ca-
nal séparera l'Egypte de la Turquie démembrée? L'union de
l'Egypte et de la Turquie repose-t-elle bien réellement sur le
pouvoir qu'aurait la seconde de faire marcher des armées con-
tre la première à travers l'isthme de Suez? Est-ce que la
Chambre des Communes est disposée à adopter cette idée ?
Pensez-vous que, si en ce moment l'Egypte est soumise à la
Turquie, c'est que si elle refusait de payer son tribut ou si elle ;
violait les droits suzerains du Sultan, le Sultan pourrait en-
voyer des troupes à travers l'isthme de Suez pour abattre la j
résistance du Pacha et le soumettre? C'est là l'opinion du no-
ble vicomte; et si le noble vicomte et d'autres membres de J
cette Chambre sont de cet avis, je conçois qu'ils puissent agir
en conséquence.
Mais pour moi. je ne comprends pas qu'on puisse adopter
cette opinion. L'Egypte est subordonnée à la Turquie non
point à cause de la puissance du Sultan, mais à cause des in-
térêts de l'Europe et par la garantie des pouvoirs européens.
Les moyens de maintenir l'union des deux pays sont tout juste-
ment aussi forts, que le canal soit fait ou ne soit pas fait. Je
dis cela par rapport à l'empire turc. Dans mon opinion, il n'y
aurait pas de système plus insensé ou de suicide plus certain
que d'essayer de maintenir l'indépendance et l'intégrité de
l'Empire ottoman, en rendant l'union à cet empire oné-
reuse et funeste aux provinces de l'Empire. Si vous voulez
réellement fortifier l'union soit entre la Turquie et l'Égypte ,
soit entre la Turquie et les principautés (en principe, ces deux
questions sont toutes pareilles), poursuivez cet objet par des
méthodes de prudence et de conciliation ; essayez d'unir ces
pays par des liens de véritable affection. Mais n'allez pas dire
à l'Égypte : * Il y a un projet qui, s'il pouvait être exécuté,
n développerait beaucoup, nous en convenons, vos ressources
D commerciales; mais nous vous empêchons d'en tirer tous les
» avantages, parce que nous pensons qu'il affaiblirait voire
n union avec la Turquie. » Par là, vous pousserez immédia-
tement le Pacha et le peuple d'Égypte à conclure que leur
union avec la Turquie implique pour eux une pauvreté et une
dégradation comparatives, parce que cette union s'oppose à ce
qu'ils recherchent les moyens d'accroître leur propre force et
leur prospérité. (Oh! et écoutez!)
Quant à la seconde raison, je dois avouer que c'est avec un
sentiment de peine véritable que je l'aborde. Mon noble ami
et le sous-secrétaire d'État des affaires étrangères disent tous
deux que l'ouverture de ce canal sera dangereuse pour le
maintien de l'empire anglais dans les Indes, parce qu'il per-
sur son terrain, sous sa véritable forme, et avec ses arguments
propres. (Ecoutez, écoutez!) Ne laissons pas des gouverne-
ments actuels ou des gouvernements passés se donner la peine
de nous instruire sur ce que c'est que des projets chimériques
et aventureux. (Ecoulez, écoutez !) Le noble vicomte prétend
que quiconque a entendu le discours du membre pour Whilby
doit penser que ce projet n'est qu'une attrape et un piège. Mais
pour moi, je respecte trop le jugement de mon honorable ami
pour penser qu'à titre d'homme de science, il puisse croire né-
cessaire, sur une question scientifique, de se fortifier par un
vote de la Chambre des Communes. Un tel vote n'ajouterait
pas le moiiftlre poids au jugement scientifique sur les mérites
techniques du projet. Ecartons de nos esprits cette opinion, que
nous sommes appelés à prononcer sur la question de saroir si
c'est là un projet aventureux. Si c'est une spéculation peu
honnête et chimérique, laissons-la pour ce qu'elle est. (Ecou-
tez ! écoutez !) Comment éloigne-t-on le plus sûrement de tels
projets? Qu'avez-vous fait pour le tunnel de la Tamise, qui
n'est pas même encore terminé? Comment ose-l-on bien de-
mander que le gouvernement intervienne pour repousser des
projets aventureux? Je proteste contre le jugement du noble
vicomte et celui du sous-secrétaire d'Etat, qui me paraissent
tout à fait inconvenants quand ils viennent nous parler d'un
projet propre à faire des dupes. En tant que projet commer-
cial, nous devons ne juger le canal de Suez que sur des argu-
ments purement commerciaux. (Ecoutez ! écoutez!)
Mais le noble vicomte ne s'est pas borné à dénoncer le pro-
jet à cet égard. Il allègue aussi des raisons politiques , et il a
fait part de quelques-unes de ses vues sur ce sujet au présent
ministère des affaires étrangères. (Oh ! et un rire.) Quelles
sont ses raisons? Il en a indiqué deux. L'une, c'est que le ca-
nal provoquera un démembrement de l'empire turc en sépa-
rant l'Egypte de la Turquie; et l'autre, qu'il provoquera un
démembrement de l'empire anglais, en séparant les Indes de
l'Angleterre. (Oh!) Mon noble ami, alors qu'il était ministre
de la Couronne, a lancé dans le monde ces deux raisons avec
une prudence dont je me permettrai de douter. Le canal est
un sujet qui, sans parler de ce qu'on a fait à Liverpool et ail-
leurs, a excité en France et sur le continent un profond inté-
rêt. (Ecoutez!) Je crois que ce n'est pas niable. Quand vous
vous isolez et vous séparez sur la question des Principautés,
vous pouvez vous appuyer sur l'Autriche. Je ne vous demande
pas quelle sera la valeur de cet appui lorsque vous aurez besoin
d'y avoir recours dans les moments de nécessité. Mais avez-
vous pour le canal de Suez l'appui de l'Autriche ? Non. Il n'y
a pas en Europe un seul Etat qui ne dénonce l'opposition de
l'Angleterre à ce projet, je ne veux pas dire l'opposition du
peuple anglais ni jusqu'à ce soir l'opposition du Parlement
anglais, mais l'opposition seule du pouvoir exécutif dans le
secret et dans l'ombre. (Écoutez, écoutez!) Il n'y a pas un
Etat du continent de l'Europe qui ne dénonce la politique
de cette opposition comme injustifiable et comme une politique
égoïste. (Écoutez! et cris de Oh !)
Mais le noble vicomte a lui-même exposé ses deux raisons.
Nous sommes adversaires du canal parce qu'il démembrera la
Turquie et qu'il a une tendance à démembrer l'empire anglais.
Le noble vicomte a donné la première place devant cette
Chambre au démembrement de la Turquie. (Oh!) Dans son
esprit, c'est la première raison ; et le démembrement de l'em-
pire britannique n'est que la seconde. (Oh! oh !) Je vous en de-
mande bien pardon ; mais je ne fais que rapporter exactement
ce qu'a dit mon noble ami; et je pense que je ne fais pas per-
dre à la Chambre son temps, si j'entre dans quelque explica-
tion. (Rire.) C'est l'ordre de préséance que le noble vicomte a
donné à ses raisons, bien qu'il soit possible qu'ailleurs on
puisse voir les choses sous un tout autre jour. X'est-il pas au
contraire parfaitement évident que toute l' Europe pensera que
si vous êtes si contraire au canal de Suez, c'est que vous le
croyez dangereux pour l'empire anglais, et que votre prétendu
intérêt pour la Turquie n'est mis en avant hypocritement que
pour masquervotrevéritable politique? (Écoulez! et crisdeoh!)
Ceux qui ont examiné la question ne peuvent hésiter à croire
que cette opinion est aujourd'hui très-généralement répandue
sur le continent, et il vaut bien mieux dire à cette heure à la
Chambre des Communes ce qu'on pense et ce qu'on dit à l'é-
tranger de la politique anglaise, pendant qu'il est encore temps
de peser notre conduite, plutôt que de nous laisser entraîner
dans de fâcheuses controverses sur un mauvais terrain, et de
commettre l'honneur du pays à soutenir des propositions qu'il
sera impossible de toujours soutenir. (Ecoutez!) Est-il bien
vrai qu'une de ces deux raisons constitue bona fide un motif
politique suffisant pour justifier une résistance politique à un
projet essentiellement commercial, et qui sembl" promettre de
grands avantages au monde entier? Est-il bien vrai que ce ca-
nal séparera l'Egypte de la Turquie démembrée? L'union de
l'Egypte et de la Turquie repose-t-elle bien réellement sur le
pouvoir qu'aurait la seconde de faire marcher des armées con-
tre la première à travers l'isthme de Suez? Est-ce que la
Chambre des Communes est disposée à adopter cette idée ?
Pensez-vous que, si en ce moment l'Egypte est soumise à la
Turquie, c'est que si elle refusait de payer son tribut ou si elle ;
violait les droits suzerains du Sultan, le Sultan pourrait en-
voyer des troupes à travers l'isthme de Suez pour abattre la j
résistance du Pacha et le soumettre? C'est là l'opinion du no-
ble vicomte; et si le noble vicomte et d'autres membres de J
cette Chambre sont de cet avis, je conçois qu'ils puissent agir
en conséquence.
Mais pour moi. je ne comprends pas qu'on puisse adopter
cette opinion. L'Egypte est subordonnée à la Turquie non
point à cause de la puissance du Sultan, mais à cause des in-
térêts de l'Europe et par la garantie des pouvoirs européens.
Les moyens de maintenir l'union des deux pays sont tout juste-
ment aussi forts, que le canal soit fait ou ne soit pas fait. Je
dis cela par rapport à l'empire turc. Dans mon opinion, il n'y
aurait pas de système plus insensé ou de suicide plus certain
que d'essayer de maintenir l'indépendance et l'intégrité de
l'Empire ottoman, en rendant l'union à cet empire oné-
reuse et funeste aux provinces de l'Empire. Si vous voulez
réellement fortifier l'union soit entre la Turquie et l'Égypte ,
soit entre la Turquie et les principautés (en principe, ces deux
questions sont toutes pareilles), poursuivez cet objet par des
méthodes de prudence et de conciliation ; essayez d'unir ces
pays par des liens de véritable affection. Mais n'allez pas dire
à l'Égypte : * Il y a un projet qui, s'il pouvait être exécuté,
n développerait beaucoup, nous en convenons, vos ressources
D commerciales; mais nous vous empêchons d'en tirer tous les
» avantages, parce que nous pensons qu'il affaiblirait voire
n union avec la Turquie. » Par là, vous pousserez immédia-
tement le Pacha et le peuple d'Égypte à conclure que leur
union avec la Turquie implique pour eux une pauvreté et une
dégradation comparatives, parce que cette union s'oppose à ce
qu'ils recherchent les moyens d'accroître leur propre force et
leur prospérité. (Oh! et écoutez!)
Quant à la seconde raison, je dois avouer que c'est avec un
sentiment de peine véritable que je l'aborde. Mon noble ami
et le sous-secrétaire d'État des affaires étrangères disent tous
deux que l'ouverture de ce canal sera dangereuse pour le
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