Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-06-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juin 1858 10 juin 1858
Description : 1858/06/10 (A3,N48). 1858/06/10 (A3,N48).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203094p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
I
JEUDI 10 JUIX. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 275
meeting public; et alors par courtoisie, on adopte une résolu-
� tion; et je crois que cela à eu lieu dans le cas actuel. Cependant
à Liverpool le sentiment général est que toute l'affaire n'est
qu'une duperie, et je ne pense pas que beaucoup de per-
sonnes de cette ville voulussent prendre des actions dans cette
? entreprise.
M. GLADSTO.YE. Dans mon opinion, la Chambre se mépren-
drait beaucoup si elle pouvait être conduite par ce que vient
de dire mon honorable ami, à donner la moindre importance
dans cette question aux réflexions qu'a faites le membre pour
Ashton, sur la tenue des meetings. Je ne pense pas que mon
très-honorable ami M. Gibson veuille y insister, pour prou-
ver à cette Chambre qu'elle doit adopter la motion de l'hono-
rable et docte membre pour Sheffield. Mais il y a insisté, si
j'ai bien compris, comme sur une réponse à cette objection
que le canal avait été universellemeut condamné dans ces
meetings. (Ecoutez!) Je crois que c'est un devoir de poli-
tesse de représenter exactement sur ce point les sentiments
des nations étrangères; et pour répondre à mon honorable
ami, M. J. Eivart, qui soutient qu'il est fort aisé d'avoir des
meetings publics dans ce pays, je dois lui rappeler qu'il y a
cependant des limites à ces facilités. Il y a un an ou deux,
peu de temps après la paix, nous avons annoncé dans ce pays,
très-largement, et sans doute avec quelque influence assez
puissante, que l'on projetait des chemins de fer pour la Rus-
sie. Va-t tl eu quelque mouvement à Liverpool pour soutenir
ces projets? S'il est si facile d'avoir des meetings publics à
Liverpool, pourquoi les promoteurs des chemins de fer russes
n'y sont-ils pas allés? et pourquoi n'ont-ils pas essayé d'exci-
ter de cette manière le sentiment public en faveur de ces pro-
jets? Je pense que mon honorable ami M. J. Ewart a fort
exagéré les choses, quand il .a prétendu qu'il était des plus
facile, dans une ville comme Liverpool, de pousser les habi-
tants à se réunir et à adopter des résolutions en faveur de
f quelque projet. Comme citoyen de Liverpool moi-même, je
ne crois pas que ce soit chose si simple, et.
M. J. EWART. Je n'ai pas dit : Pour un projet quelconque.
J'ai seulement fait remarquer qu'il était facile d'avoir un
, meeting public. (Écoutez! écoutez!)
M. GLAOSTOXE. Si : des meetings publics à Liverpool sur des
affaires commerciales; soit; je ne veux pap qu'on exagère le
fait; mais mon honorable ami doit bien admettre que c'était
; le droit du membre pour Ashton de montrer que ce projet
n'était pas universellement condamné par les habitants de cette
: contrée. (Ecoutez! écoutez!) Mais c'est là un sujet tout à fait
secondaire et qui ne se rattache que de très-loin à la question
; que nous devons discuter ce soir.
Le point que nous avons à résoudre n'a pas été non plus
nettement exposé par le noble vicomte. Il ne s'agit pas de sa-
voir si nous devons donner notre assentiment à un projet
aventureux ni même à un projet quelconque. (Écoutez! écou-
! lez!) Il s'agit simplement de savoir si nous devons protester
contre 'l'usage de l'influence politique de l'Angleterre en vue
dempêcher l'exécution du canal à travers l'isthme de Suez.
(Eoutez! écoutez!) La résolution proposée par l' honorable
et docte membre ne demande pas du tout à la Chambre de
prendre une part directe ou indirecte, petite ou grande, en
donnant appui, faveur ou approbation, au projet du canal.
(Ecoutez!) Ce qu'on vous demande, c'est que vous mettiez fin
à ce système coupable dont je regrette que mon noble ami
lord Palmerston ait été le principal auteur, système d'inter-
vention arbitraire et non provoquée, pour empêcher que ce
canal ne soit exécuté, sous prétexte qu'il est inutile ou chimé-
rique, mais en réalité par des motifs bien plus mauvais, parce
qu'ils ne vont à rien moins qu'à mettre l'Angleterre en lutte
avec le monde, et à nous commettre dans un conflit où nous
aurons nécessairement le dessous. (Écoutez! écoutez!)
Voilà bien la question , et c'est là la réponse que je fais à
mon noble ami. S'il objecte que la résolution proposée sera
un encouragement pour ce projet, jn lui réponds qu'elle ne
donne pas un autre encouragement que celui qui \ient tout
naturellement d'une opposition inconvenante, injuste, illégi-
time, se fondant sur des moyens illégitimes pour combattre ce
projet. (Ecoutez! écoutez!) L'honorable et docte gentleman
n'a jamais proposé à la Chambre de se rendre responsable de
ce projet en l'adoptant. La question est de savoir si la Cham-
bre des Communes, actuellement provoquée sur ce sujet, doit
se rendre responsable de ce qui n'aurait jamais dû être fait, à
savoir de soutenir une opposition à ce projet, qui a été pour-
suivie à diverses époques par le pouvoir exécutif, sans la sanc-
tion et sans l'approbation de cette Chambre. (Écoutez!
écoutez ! )
Un mot maintenant sur la nature de l'opposition qui a été
faite par le pouvoir exécutif. Cette opposition ne s'est pas ori-
ginairement appuyée sur les motifs absurdes et sur les pré-
textes que l'on prend aujourd'hui pour la justifier. Il n'était
pas question dans l'origine d'entraver les moyens de commu-
nication entre l'Europe et les Indes; on lie niait pas alors
qu'il n'y etit grand avantage à les unir si on le pouvait. Mais
c'était une simple question de concurrence entre le canal et
le chemin de fer. Le canal passait pour être surtout un projet
français; le chemin de fer passait pour un projet essentielle-
ment anglais. C'était alors une simple compétition entre ces
deux projets; et assez naturellement le gouvernement anglais,
qui avait plus de confiance, comme cela devait être, dans les
ingénieurs de notre pays, recommanda le chemin de fer de
préférence au canal.
Les objections que font aujourd'hui le noble vicomte, si
elles ont quelque valeur, sont autant contre le chemin de
fer que contre le canal. (Oh! Écoutez! ). La possession du
chemin de fer serait un avantage pour les puissances hostiles
qui voudraient envoyer des troupes dans les Indes. (Ecoutez! )
Est-ce qu'il peut y avoir en ceci le moindre doute? Le noble
vicomte ne nous a-t-il pas dit qu'une de ses grandes raisons
pour s'opposera l'exécution du canal, c'est qu'il sera employé
par les autres nations comme un instrument de guerre contre
celle contrée, pour envoyer dans les Indes des armements hos-
tiles? Fort bien; mais le chemin de fer offre les mêmes faci-
lités pour envoyer dans les Indes des armements hostiles.
(Écoulez! )
Toute la question peut se résumer ainsi : Il y a ici un pro-
jet qui, à première vue, paraît tout à fait dans l'intérêt de
r humanité. Je suis très-sûr que mon honorable ami le mem-
bre pour Whilby, M. SlephenwlI, sera le dernier à dire le con-
traire. Mon honorable ami est parfaitement sur son terrain
quand il nous donne les raisons qui l'ont induit à croire que
ce projet est impraticable. Il est parfaitement dans son droit,
avtc la réputation et la connaissance qu'il possède du sujet ,
en déclarant, comme un homme de science, qu'il regarde ce
projet comme tout à fait inexécutable. Ilien n'est plus juste ni
plus naturel que le rôle pris à cette occasion par mon hono-
rable ami. Pour moi, je le remercie d'avoir exprimé si fran-
chement son opinion ; et tout Anglais se sentira prévenu en
sa faveur du moment que c'est une question technique entre
les ingénieurs anglais et les ingénieurs du continent, les der-
niers étant généralement en faveur du projet, et les premiers
lui étant au contraire défayorables. Laissons cette controverse
JEUDI 10 JUIX. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 275
meeting public; et alors par courtoisie, on adopte une résolu-
� tion; et je crois que cela à eu lieu dans le cas actuel. Cependant
à Liverpool le sentiment général est que toute l'affaire n'est
qu'une duperie, et je ne pense pas que beaucoup de per-
sonnes de cette ville voulussent prendre des actions dans cette
? entreprise.
M. GLADSTO.YE. Dans mon opinion, la Chambre se mépren-
drait beaucoup si elle pouvait être conduite par ce que vient
de dire mon honorable ami, à donner la moindre importance
dans cette question aux réflexions qu'a faites le membre pour
Ashton, sur la tenue des meetings. Je ne pense pas que mon
très-honorable ami M. Gibson veuille y insister, pour prou-
ver à cette Chambre qu'elle doit adopter la motion de l'hono-
rable et docte membre pour Sheffield. Mais il y a insisté, si
j'ai bien compris, comme sur une réponse à cette objection
que le canal avait été universellemeut condamné dans ces
meetings. (Ecoutez!) Je crois que c'est un devoir de poli-
tesse de représenter exactement sur ce point les sentiments
des nations étrangères; et pour répondre à mon honorable
ami, M. J. Eivart, qui soutient qu'il est fort aisé d'avoir des
meetings publics dans ce pays, je dois lui rappeler qu'il y a
cependant des limites à ces facilités. Il y a un an ou deux,
peu de temps après la paix, nous avons annoncé dans ce pays,
très-largement, et sans doute avec quelque influence assez
puissante, que l'on projetait des chemins de fer pour la Rus-
sie. Va-t tl eu quelque mouvement à Liverpool pour soutenir
ces projets? S'il est si facile d'avoir des meetings publics à
Liverpool, pourquoi les promoteurs des chemins de fer russes
n'y sont-ils pas allés? et pourquoi n'ont-ils pas essayé d'exci-
ter de cette manière le sentiment public en faveur de ces pro-
jets? Je pense que mon honorable ami M. J. Ewart a fort
exagéré les choses, quand il .a prétendu qu'il était des plus
facile, dans une ville comme Liverpool, de pousser les habi-
tants à se réunir et à adopter des résolutions en faveur de
f quelque projet. Comme citoyen de Liverpool moi-même, je
ne crois pas que ce soit chose si simple, et.
M. J. EWART. Je n'ai pas dit : Pour un projet quelconque.
J'ai seulement fait remarquer qu'il était facile d'avoir un
, meeting public. (Écoutez! écoutez!)
M. GLAOSTOXE. Si : des meetings publics à Liverpool sur des
affaires commerciales; soit; je ne veux pap qu'on exagère le
fait; mais mon honorable ami doit bien admettre que c'était
; le droit du membre pour Ashton de montrer que ce projet
n'était pas universellement condamné par les habitants de cette
: contrée. (Ecoutez! écoutez!) Mais c'est là un sujet tout à fait
secondaire et qui ne se rattache que de très-loin à la question
; que nous devons discuter ce soir.
Le point que nous avons à résoudre n'a pas été non plus
nettement exposé par le noble vicomte. Il ne s'agit pas de sa-
voir si nous devons donner notre assentiment à un projet
aventureux ni même à un projet quelconque. (Écoutez! écou-
! lez!) Il s'agit simplement de savoir si nous devons protester
contre 'l'usage de l'influence politique de l'Angleterre en vue
dempêcher l'exécution du canal à travers l'isthme de Suez.
(Eoutez! écoutez!) La résolution proposée par l' honorable
et docte membre ne demande pas du tout à la Chambre de
prendre une part directe ou indirecte, petite ou grande, en
donnant appui, faveur ou approbation, au projet du canal.
(Ecoutez!) Ce qu'on vous demande, c'est que vous mettiez fin
à ce système coupable dont je regrette que mon noble ami
lord Palmerston ait été le principal auteur, système d'inter-
vention arbitraire et non provoquée, pour empêcher que ce
canal ne soit exécuté, sous prétexte qu'il est inutile ou chimé-
rique, mais en réalité par des motifs bien plus mauvais, parce
qu'ils ne vont à rien moins qu'à mettre l'Angleterre en lutte
avec le monde, et à nous commettre dans un conflit où nous
aurons nécessairement le dessous. (Écoutez! écoutez!)
Voilà bien la question , et c'est là la réponse que je fais à
mon noble ami. S'il objecte que la résolution proposée sera
un encouragement pour ce projet, jn lui réponds qu'elle ne
donne pas un autre encouragement que celui qui \ient tout
naturellement d'une opposition inconvenante, injuste, illégi-
time, se fondant sur des moyens illégitimes pour combattre ce
projet. (Ecoutez! écoutez!) L'honorable et docte gentleman
n'a jamais proposé à la Chambre de se rendre responsable de
ce projet en l'adoptant. La question est de savoir si la Cham-
bre des Communes, actuellement provoquée sur ce sujet, doit
se rendre responsable de ce qui n'aurait jamais dû être fait, à
savoir de soutenir une opposition à ce projet, qui a été pour-
suivie à diverses époques par le pouvoir exécutif, sans la sanc-
tion et sans l'approbation de cette Chambre. (Écoutez!
écoutez ! )
Un mot maintenant sur la nature de l'opposition qui a été
faite par le pouvoir exécutif. Cette opposition ne s'est pas ori-
ginairement appuyée sur les motifs absurdes et sur les pré-
textes que l'on prend aujourd'hui pour la justifier. Il n'était
pas question dans l'origine d'entraver les moyens de commu-
nication entre l'Europe et les Indes; on lie niait pas alors
qu'il n'y etit grand avantage à les unir si on le pouvait. Mais
c'était une simple question de concurrence entre le canal et
le chemin de fer. Le canal passait pour être surtout un projet
français; le chemin de fer passait pour un projet essentielle-
ment anglais. C'était alors une simple compétition entre ces
deux projets; et assez naturellement le gouvernement anglais,
qui avait plus de confiance, comme cela devait être, dans les
ingénieurs de notre pays, recommanda le chemin de fer de
préférence au canal.
Les objections que font aujourd'hui le noble vicomte, si
elles ont quelque valeur, sont autant contre le chemin de
fer que contre le canal. (Oh! Écoutez! ). La possession du
chemin de fer serait un avantage pour les puissances hostiles
qui voudraient envoyer des troupes dans les Indes. (Ecoutez! )
Est-ce qu'il peut y avoir en ceci le moindre doute? Le noble
vicomte ne nous a-t-il pas dit qu'une de ses grandes raisons
pour s'opposera l'exécution du canal, c'est qu'il sera employé
par les autres nations comme un instrument de guerre contre
celle contrée, pour envoyer dans les Indes des armements hos-
tiles? Fort bien; mais le chemin de fer offre les mêmes faci-
lités pour envoyer dans les Indes des armements hostiles.
(Écoulez! )
Toute la question peut se résumer ainsi : Il y a ici un pro-
jet qui, à première vue, paraît tout à fait dans l'intérêt de
r humanité. Je suis très-sûr que mon honorable ami le mem-
bre pour Whilby, M. SlephenwlI, sera le dernier à dire le con-
traire. Mon honorable ami est parfaitement sur son terrain
quand il nous donne les raisons qui l'ont induit à croire que
ce projet est impraticable. Il est parfaitement dans son droit,
avtc la réputation et la connaissance qu'il possède du sujet ,
en déclarant, comme un homme de science, qu'il regarde ce
projet comme tout à fait inexécutable. Ilien n'est plus juste ni
plus naturel que le rôle pris à cette occasion par mon hono-
rable ami. Pour moi, je le remercie d'avoir exprimé si fran-
chement son opinion ; et tout Anglais se sentira prévenu en
sa faveur du moment que c'est une question technique entre
les ingénieurs anglais et les ingénieurs du continent, les der-
niers étant généralement en faveur du projet, et les premiers
lui étant au contraire défayorables. Laissons cette controverse
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.79%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.79%.
- Collections numériques similaires Thématique : ingénierie, génie civil Thématique : ingénierie, génie civil /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCthèm02"Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp11" Corpus : ports et travaux maritimes Corpus : ports et travaux maritimes /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp16"
- Auteurs similaires Desplaces Ernest Desplaces Ernest /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Desplaces Ernest" or dc.contributor adj "Desplaces Ernest")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 11/32
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6203094p/f11.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6203094p/f11.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6203094p/f11.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6203094p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6203094p
Facebook
Twitter