Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-06-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juin 1858 10 juin 1858
Description : 1858/06/10 (A3,N48). 1858/06/10 (A3,N48).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203094p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
274 '"L'ISTHME DE SUEZ, JEUDI 10 JUIX.
Wliitby a démontré que les retards au passage à travers le
canal seraient tels qu'il y a tout lieu de supposer que le trans-
port en chemin de fer serait plus rapide; en môme temps il
ne faut pas oublier que les vapeurs sont la seule classe de
1 narires qui pourraient être employés avec avantage, attendu
que les vertls qui régnent pendant une grande partie de l'an-
née dans la mer Rouge et dans l'océan Indien, rendraient
excessivement lent le passage des navires à voiles. (ltcoulez !)
On nous dit que depuis quinze ans nous arons exercé une
contrainte morale sur le Sultan. pour l'empêcher de donner
sa sanction à ce projet. (J;¡coulez! écoutez !) Or je puis assu-
rer à ceux qui ont cette opinion qu'ils sont complètement
dans l'erreur. (Ecoutez! écoutez! ) Ce serait une erreur de
croire que le gouvernement turc n'est pas autant opposé à ce
projet que tout gouvernement anglais peut l'être; car c'est
une affaire qui le touche de plus près et plus profondément
que nous. ( Écoutez! écoutez ! ) Nous avons cru de notre de-
voir d'expliquer au gouvernement turc, lorsque nous ap-
prîmes que d'autres influences travaillaient en faveur du
projet, quel danger il impliquait. ( Ecoutez ! ) Le très-hono-
rable gentleman dit qu'il est aussi prêt que tout autre homme
en Angleterre à maintenir l'indépendance de la Turquie;
mais il oublie de parler de son intégrité. (Écoutez! ) Or le
maintien de son intégrité est aussi important que celui de son
indépendance, et le maintien de l'union entre l'Egypte et la
Turquie est aussi important pour les intérêts de l' Angleterre
qu'il est important pour d'autres puissances de maintenir
l'union entre la Turquie et les principautés. (Ecoutez! écou-
tez!) Eh bien, ceux qui m'entendent se rappellent l'impor-
tance qui a été attachée à l'union entre l'Egypte et la Tur-
quie, lorsque nous envoyâmes une expédition en Égypte pour
rétablir cette union troublée pendant un instant, et les rai-
sons qui ont fait envoyer cette expédition sont aujourd'hui
aussi impératives qu'au temps dont je parle. ( Ecoutez ! )
Chaque année qui passe, toute communication que nous re-
cevons par l'Egypte doit nous démontrer l'importance et
l'avantage de maintenir l'union entre l'Egypte et un Etat
neutre et d'empêcher qu'elle ne tombe sous l'influence de
quelque grande puissance qui pourrait nous être hostile plus
tard.
Ainsi que l' honorable gentleman le sous-secrétaire des
affaires étrangères l'a dit, qu'est-ce qui a eu lieu dans les
dernières années sur la côte de l'Egypte? A l'époque de la
bataille d'Alexandrie , on rencontra de grandes difficultés à
opérer un débarquement dans ce pays; mais cet exploit, et ce
fut un grand exploit militaire, fut néanmoins accompli. (Ecou-
tez! écoutez!) Depuis lors, tout endroit où un débarquement
pourrait s'opérer a été fortifié scientifiquement, non d'après des
plans égyptiens, mais d'après des plans tracés par des hommes
scientifiques des autres pays, exécutés par des ingénieurs de
quelque autre pays, mais je crois, bien que je ne puisse pas
l'affirmer positivement, achevé aussi à l'aide des fonds fournis
par un autre pays. (Écoutez! écoutez! ) Je n'ose dire exacte-
ment combien ces fortifications portent de canons, mais je
crois que le nombre est de trois a quatre mille, et ces fortifi-
cations, occupées par une armée de vingt mille hommes, em-
pêcheraient probablement tout envahissement de l'Egypte par
des forces turques ou des forces de tout autre pays. ( Ecoutez !
écoutez!) De plus, sous la prétendue destination d'une, œuvre
d'utilité agricole , le barrage du Nil a été achevé, lequel tout
en prétendant être destiné à régler les inondations du Nil,
sera en réalité une œuvre qui peut servir à un haut degré à
des plans militaires et défensifs. (Écoutez! écoutez! ) Le pro-
jet du canal a pour but évident de barrer le passage à toute
armée turque qui serait envoyée pour rétablir l'empire du
sultan en ouvrant un grand passage militaire de trois cents
pieds de largeur et trente pieds de profondeur couvert de
batteries. (Écoutez! écoulez!) L'honorable gentleman a dit que
les eaux unissent les pays. (Écoutez! écoutez!) Fort bien ; cela
est vrai pour des pays qui sont en bonne harmonie, pour
des districts du même pays; mais si ce canal était construit,
et que le parha d'Egypte voulut un jour faire cesser l'union
entre la Turquie et l'Egypte, et ériger l'Egypte en Etat in.
dépendant, la possession d'une barrière telle que je l'ai décrite
défendue par des étrangers, qui se trouveraient du parti du
pacha, rendrait toute tentative sur l'Egypte très-précaire
pour le sultan de la Turquie (Ecoutez! écoutez !), et rendrait
bien plus probable cet événement qu'il est dans l'intérêt de
l'Angleterre d'empêcher, je veux parler de la séparation de
l'Égypte d'avec la Turquie, (Écoutez! écoutez!). Telle a été la
raison que nous avons exposée au Sultan, et lui-même, en
comprenant sa force, a agi en conséquence.
Mais, monsieur, je dis aussi que nous avons également des
intérêts particuliers dans cette affaire qui ne doivent pas être
négligés (Ecoutez), et auxquels l'honorable gentleman sous-
secrétaire pour le ministre des affaires étrangères a fait allu-
sion. Il n'est pas dans notre intérêt qu'il y ait entre la Médi-
terranée et l'Océan de l'Inde un passage maritime au pou-
voir des autres puissances et pas au nôtre. (Ecotitez! ) Si le
passage que nous avons à présent nous était enlevé, nous
serions obligés d'aller dans l'Inde par le cap de Bonne-Espé-
rance; et il serait absurde de fermer les yeux sur le préjudice
probable de nos intérêts, si une rupture subite avait lieu et sur
la facilité qui, si ce projet devait être exécuté, serait donnée il
un ennemi en cas de guerre. Un tel événement peut ne pas
arriver de longtemps; mais quand on nous a dit dernièrement
que dans les trois derniers mois nous avons été a la veille
d'une guerre, sans que personne en sache quelque chose
(Rire), je ne pense pas qu'au risque de compromettre les
intérêts de notre pays nous devions prendre part à des pro-
jets philanthropiques et nous laisser entraîner* par un désir
trop dangereux de la prospérité de l'humanité. (Ecoutez! écou-
tez!) Je ne dis pas que l'honorable gentleman qui a porté
cette question devant la Chambre ait prétendu que les inté-
rêts nationaux du pays dussent céder à des projets philanthro-
piques, au contraire il a basé tous ses arguments sur la
question des intérêts politiques de l'Angleterre, et je crois
avoir démontré que ce projet est contraire à ces intérêts.
On nous dit que tout ce que l'on nous demande de faire
est de nous abstenir de toute intervention; mais peut-on
fermer les yeux sur ce fait, que le projet a été rejeté par la
plus sage partie des hommes commerçants de l'Angleterre?
(\on , non !) Je demande pardon , il a été condamné avec de
faibles éloges (rires), c'est-à-dire, il a été accueilli avec des
paroles favorables de la part de ceux qui n'auraient pas voulu
y engager leur argent. (Écoutez! écoutez!) Le but de la réso-
lution me paraît être d'obtenir un titre parlementaire pour un
projet dont les actions ne sont pas négocia bles (Écoutez, écou-
tez!); et j'espère que la Chambre ne se prêtera pas àune spécu-
lation de cette espèce, et qu'elle ne prendra pas une résolution
que je crois être contraire aux intérêts de l'Angleterre. (Écou-
tez!) J'espère que la Chambre aura assez de confiance en
ceux qui ont la direction des affaires de ce pays, pour croire
qu'il n'y aurait pas toujours eu de l'opposition contre ce projet,
chez tous les gouvernements, s'ils n'avaient été convaincus
que c'est un projet contraire aux intérêts politiques et natio-
naux du pays. (Applaudissements!)
M. J. Eu ART. Il n'y a aucune difficulté à rassembler un
Wliitby a démontré que les retards au passage à travers le
canal seraient tels qu'il y a tout lieu de supposer que le trans-
port en chemin de fer serait plus rapide; en môme temps il
ne faut pas oublier que les vapeurs sont la seule classe de
1 narires qui pourraient être employés avec avantage, attendu
que les vertls qui régnent pendant une grande partie de l'an-
née dans la mer Rouge et dans l'océan Indien, rendraient
excessivement lent le passage des navires à voiles. (ltcoulez !)
On nous dit que depuis quinze ans nous arons exercé une
contrainte morale sur le Sultan. pour l'empêcher de donner
sa sanction à ce projet. (J;¡coulez! écoutez !) Or je puis assu-
rer à ceux qui ont cette opinion qu'ils sont complètement
dans l'erreur. (Ecoutez! écoutez! ) Ce serait une erreur de
croire que le gouvernement turc n'est pas autant opposé à ce
projet que tout gouvernement anglais peut l'être; car c'est
une affaire qui le touche de plus près et plus profondément
que nous. ( Écoutez! écoutez ! ) Nous avons cru de notre de-
voir d'expliquer au gouvernement turc, lorsque nous ap-
prîmes que d'autres influences travaillaient en faveur du
projet, quel danger il impliquait. ( Ecoutez ! ) Le très-hono-
rable gentleman dit qu'il est aussi prêt que tout autre homme
en Angleterre à maintenir l'indépendance de la Turquie;
mais il oublie de parler de son intégrité. (Écoutez! ) Or le
maintien de son intégrité est aussi important que celui de son
indépendance, et le maintien de l'union entre l'Egypte et la
Turquie est aussi important pour les intérêts de l' Angleterre
qu'il est important pour d'autres puissances de maintenir
l'union entre la Turquie et les principautés. (Ecoutez! écou-
tez!) Eh bien, ceux qui m'entendent se rappellent l'impor-
tance qui a été attachée à l'union entre l'Egypte et la Tur-
quie, lorsque nous envoyâmes une expédition en Égypte pour
rétablir cette union troublée pendant un instant, et les rai-
sons qui ont fait envoyer cette expédition sont aujourd'hui
aussi impératives qu'au temps dont je parle. ( Ecoutez ! )
Chaque année qui passe, toute communication que nous re-
cevons par l'Egypte doit nous démontrer l'importance et
l'avantage de maintenir l'union entre l'Egypte et un Etat
neutre et d'empêcher qu'elle ne tombe sous l'influence de
quelque grande puissance qui pourrait nous être hostile plus
tard.
Ainsi que l' honorable gentleman le sous-secrétaire des
affaires étrangères l'a dit, qu'est-ce qui a eu lieu dans les
dernières années sur la côte de l'Egypte? A l'époque de la
bataille d'Alexandrie , on rencontra de grandes difficultés à
opérer un débarquement dans ce pays; mais cet exploit, et ce
fut un grand exploit militaire, fut néanmoins accompli. (Ecou-
tez! écoutez!) Depuis lors, tout endroit où un débarquement
pourrait s'opérer a été fortifié scientifiquement, non d'après des
plans égyptiens, mais d'après des plans tracés par des hommes
scientifiques des autres pays, exécutés par des ingénieurs de
quelque autre pays, mais je crois, bien que je ne puisse pas
l'affirmer positivement, achevé aussi à l'aide des fonds fournis
par un autre pays. (Écoutez! écoutez! ) Je n'ose dire exacte-
ment combien ces fortifications portent de canons, mais je
crois que le nombre est de trois a quatre mille, et ces fortifi-
cations, occupées par une armée de vingt mille hommes, em-
pêcheraient probablement tout envahissement de l'Egypte par
des forces turques ou des forces de tout autre pays. ( Ecoutez !
écoutez!) De plus, sous la prétendue destination d'une, œuvre
d'utilité agricole , le barrage du Nil a été achevé, lequel tout
en prétendant être destiné à régler les inondations du Nil,
sera en réalité une œuvre qui peut servir à un haut degré à
des plans militaires et défensifs. (Écoutez! écoutez! ) Le pro-
jet du canal a pour but évident de barrer le passage à toute
armée turque qui serait envoyée pour rétablir l'empire du
sultan en ouvrant un grand passage militaire de trois cents
pieds de largeur et trente pieds de profondeur couvert de
batteries. (Écoutez! écoulez!) L'honorable gentleman a dit que
les eaux unissent les pays. (Écoutez! écoutez!) Fort bien ; cela
est vrai pour des pays qui sont en bonne harmonie, pour
des districts du même pays; mais si ce canal était construit,
et que le parha d'Egypte voulut un jour faire cesser l'union
entre la Turquie et l'Egypte, et ériger l'Egypte en Etat in.
dépendant, la possession d'une barrière telle que je l'ai décrite
défendue par des étrangers, qui se trouveraient du parti du
pacha, rendrait toute tentative sur l'Egypte très-précaire
pour le sultan de la Turquie (Ecoutez! écoutez !), et rendrait
bien plus probable cet événement qu'il est dans l'intérêt de
l'Angleterre d'empêcher, je veux parler de la séparation de
l'Égypte d'avec la Turquie, (Écoutez! écoutez!). Telle a été la
raison que nous avons exposée au Sultan, et lui-même, en
comprenant sa force, a agi en conséquence.
Mais, monsieur, je dis aussi que nous avons également des
intérêts particuliers dans cette affaire qui ne doivent pas être
négligés (Ecoutez), et auxquels l'honorable gentleman sous-
secrétaire pour le ministre des affaires étrangères a fait allu-
sion. Il n'est pas dans notre intérêt qu'il y ait entre la Médi-
terranée et l'Océan de l'Inde un passage maritime au pou-
voir des autres puissances et pas au nôtre. (Ecotitez! ) Si le
passage que nous avons à présent nous était enlevé, nous
serions obligés d'aller dans l'Inde par le cap de Bonne-Espé-
rance; et il serait absurde de fermer les yeux sur le préjudice
probable de nos intérêts, si une rupture subite avait lieu et sur
la facilité qui, si ce projet devait être exécuté, serait donnée il
un ennemi en cas de guerre. Un tel événement peut ne pas
arriver de longtemps; mais quand on nous a dit dernièrement
que dans les trois derniers mois nous avons été a la veille
d'une guerre, sans que personne en sache quelque chose
(Rire), je ne pense pas qu'au risque de compromettre les
intérêts de notre pays nous devions prendre part à des pro-
jets philanthropiques et nous laisser entraîner* par un désir
trop dangereux de la prospérité de l'humanité. (Ecoutez! écou-
tez!) Je ne dis pas que l'honorable gentleman qui a porté
cette question devant la Chambre ait prétendu que les inté-
rêts nationaux du pays dussent céder à des projets philanthro-
piques, au contraire il a basé tous ses arguments sur la
question des intérêts politiques de l'Angleterre, et je crois
avoir démontré que ce projet est contraire à ces intérêts.
On nous dit que tout ce que l'on nous demande de faire
est de nous abstenir de toute intervention; mais peut-on
fermer les yeux sur ce fait, que le projet a été rejeté par la
plus sage partie des hommes commerçants de l'Angleterre?
(\on , non !) Je demande pardon , il a été condamné avec de
faibles éloges (rires), c'est-à-dire, il a été accueilli avec des
paroles favorables de la part de ceux qui n'auraient pas voulu
y engager leur argent. (Écoutez! écoutez!) Le but de la réso-
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projet dont les actions ne sont pas négocia bles (Écoutez, écou-
tez!); et j'espère que la Chambre ne se prêtera pas àune spécu-
lation de cette espèce, et qu'elle ne prendra pas une résolution
que je crois être contraire aux intérêts de l'Angleterre. (Écou-
tez!) J'espère que la Chambre aura assez de confiance en
ceux qui ont la direction des affaires de ce pays, pour croire
qu'il n'y aurait pas toujours eu de l'opposition contre ce projet,
chez tous les gouvernements, s'ils n'avaient été convaincus
que c'est un projet contraire aux intérêts politiques et natio-
naux du pays. (Applaudissements!)
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