Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-05-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 mai 1858 25 mai 1858
Description : 1858/05/25 (A3,N47). 1858/05/25 (A3,N47).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62030938
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
262 L'ISTHME DE SUEZ, MARDI 25 MAI.
quand Savfet Effendi reviendra à Constantinople ; mais tout
cel,\ne peut encore servir d'indic ition pour le jour d'ouver-
ture des conférences, où, si nous en croyons les journaux
d'Europe, plusieurs nouvelles questions seront portées, et l'on
ne croit pas que les puissances soient encore prêtes à y répondre.
Telle est, par exemple, la question de l'île Périm qui se rattache
à celle du percement de l'isthme de Suez. Permettez-moi de
vous le dire, du reste, cette question fait beaucoup moins de bruit
à Constantinople que dans le reste de l'Europe. Je ne veux cer-
tainement pas engager la pensée de la Sublime Porte en don-
nantcommesienne une opinion quelconque à ce sujet; mais j'ai
tout lieu de croire que la presse européenne embrasse plus chau-
dement, en cette question, les intérêts de la Turquie que celle-ci
ne le voudrait. Pour la Sublime Porte, le percement de l'isthme
de Suez est une entreprise d'utilité générale, il est vrai, et elle
en convient; mais il ne lui est pas encore bien prouvé que son
intérêt particulier ne sera pas sacrifié à l'intérêt général; les
hésitations de l'Angleterre sont aussi les siennes, et,en résumé,
avec toutes sortes de façons diplomatiques, elle subordonne
son acceptation à celle de l'Angleterre,
» Par conséquent, jusqu'à présent, elle ne se trouve pas
aussi complètement lésée dans ses droits par l'occupation de
Périm qu'on veut bien le dire. Je ne prétends, certes, pas que
le percement de l'isthme de Suez ne soit une nécessité pour le
monde entier; mais on peut admettre que la Turquie, mise en
demeure de se prononcer, puisse encore hésiter, ne sachant pas
trop au juste si, en acceptant, elle ne décrétera pas elle-même
implicitement son démembrement. Et dans ce dernier cas, il
faut aussi admettre qu'elle pourrait considérer Périm fortifiée
par les Anglais comme sa sauvegarde aussi bien que celle des
intérêts britanniques. Je vous donne la façon de voir actuelle
d'un grand nombre de Turcs; la diplomatie ottomane peut
s'exprimer hautement; mais, en tout cas, jusqu'à présent,
quoi qu'on dise, l'occupation de Périm n'a jeté aucun refroidis-
sement dans les relations de la Turquie et de l'Angleterre, n'a
provoqué aucun débat irritant et n'a soulevé aucune question
d'un intérêt aussi grand qu'on veut bien le dire. Quoi qu'il en
soit, la question de l'isthme de Suez en est toujours à peu près
au même point; M. de Lesseps ne parait point mécontent des
négociations qu'il poursuit à Constantinople; mais comme je
vous l'ai déjà dit, le nœud gordien n'est plus ici : il est à Lon-
dres , et c'est là qu'il sera dénoué. Comment? C'est ce que vous
pourrez sans doute mieux savoir que nous. II
Nos lecteurs peuvent voir eux- mêmes, d'après les extraits que
nous donnons des journaux de Constantinople, si la question
du canal de Suez fait aussi peu de bruit dans cette ville que le
prétend le correspondant du Sémaphore, Quant à l'opinion de
la Porte, il a raison quand il dit que les hésitations de l'Angle-
terre sont aussi celles du Divan; mais ce n'est pas tout à fait
dans le sens où le correspondant nous le donne à entendre.
Personne n'ignore depuis trois ans en Europe que, sans l'in-
tervention de l'Angleterre, représentée par lord Strattford de
Redcliffe, la Porte aurait donné sur-le-champ la ratification
que M. de Lesseps lui demandait. C'est un fait avéré du monde
entier; et ce n'est pas du tout la Porte qui hésite. Elle ne craint
pas du tout un démembrement chimérique, malgré ce qu'en
a pu dire lord Palmerston ; et elle sait fort bien au contraire
que le canal de Suez amènerait ses flottes dans la mer Rouge
et dans le golfe Persique, où sa domination n'est aujourd' hui
qu'à peu près nominale. La Porte désire donc autant que qui
que ce soit.l'ouverture de l'isthme de Suez; et elle sait que la
situation politique de l'Egypte à son égard est garantie par les
traités européens. Seulement la Porte Ottomane cède à une
puissance plus forte qu'elle, et voilà tout.
Le Courrier de Marseille réfute, dans une réponse très-vive
et très-piquante de M. L. Barile , les attaques du Times contre
l'Egypte et contre le canal de Suez. Nous regrettons que l'es-
pace ne nous permette pas de reproduire cet article.
On lit dans le Bulletin lithographié des départements l'ap-
préciation suivante, aussi exacte que claire, du rapport de
M. le baron Charles Dupin.
« J'avais précédemment fondé grand espoir sur le patrio-
tisme de M. Charles Dupin, à propos des attaques intéressées
de la presse anglaise contre les projets de M. Ferdinand de
Lesseps; mes espérances n'ont point été trompées Le second
rapport de ce savant a été une digne confirmation de celui
qu'il avait lu l'année dernière et qui a été approuvé par l'A-
cadémie.
L'honorable rapporteur - a résumé d'abord avec la plus
grande clarté les travaux préliminaires qui avaient obtenu
cette haute et très-sérieuse approbation; puis, il est entré
dans l'examen des faits qui s'étaient produits depuis cette
époque. Cet examen a porté principalement sur les études
des terrains, les travaux à la mer offrant de grandes diffi-
cultés sur le port de Péluse, afin de réduire à leur juste
valeur les objections élevées au milieu du concert d'appro-
bations dont le monde retentissait depuis longtemps.
La logique serrée de l'orateur p'en a négligé aucune. Il
était facile de prouver que l'on n'avait point contesté les ni-
vellemenls, point contesté les calculs de déblais et de rem-
blais, point contesté les moyens d'exécution, les ressources.
La prudence, l'impartialité avaient même été telles, chez les
fondateurs de l'entreprise, que parmi les projets on ne s'élait
point attaché à l'un plutôt qu'à l'autre, on avait choisi parmi
les mieux raisonnés, les plus savamment combinés; on avait
écouté tous les avis, tous les conseils. Entrant dans le vif de
la question actuelle et prenant corps à corps les adversaires
dont la tactique principale a été de faire croire à l'insuffisance
des sapants chargés de préparer les travaux, M. Charles
Dupin a rappelé les adhésions unanimes, enthousiastes, don-
nées par les nations qui ont compris l'importance de la j
réunion des deux mers. Ces nations sont l'Espagne, les Etats
Sardes, les États de Gênes, la Hollande, l'Autriche , l'Angle-
terre, la France. Il n'a pas oublié les membres de la Commis-
sion internationale dans laquelle ces nations étaient représentées
par les hommes les plus savants, les plus habiles de notre époque.
Il a analysé leurs travaux incessants, les explorations sans
nombre de leurs collaborateurs pénétrés de l'importance de
la mission qui leur était confiée et ne voulant s'en rapporter
qu'à eux-mêmes. La coopération des savants français a fourni
à l'orateur les pages les plus intéressantes de ce rapport.
Il n'avait qu'à rappeler les études consciencieuses du capitaine |
Jaurès, les explorations multipliées de l'amiral de Genouilli,
les vastes conceptions de M. Renaud et Je M. Lieussou, cet
habile ingénieur que nous avons eu la douleur de perdre au
début de cette année. Le concours de ces hommes éminents
nous a valu surtout le projet du port et de la rade de Saïd,
port et rade qui sont susceptibles, avec le temps, de prendre
la sûreté et l'importance du port et de la rade de Cherbourg.
Enfin, M. Charles Dupin s'est adressé nettement à M. Sté-
phenson. On sait que dans le Parlement anglais cet ingé-
nieur s'est montré l'adversaire le plus passionné de la vaste
opération que recommande avant tout un grand intérêt so-
cial; qu'il n'a pas craint de faire enteudre les çbjections les
moins sérieuses, de s'entourer des renseignements les moins
certains, de proclamer même des erreurs aujourd'hui ren-
versées par le simple exposé des faitsi Tout à l'appréciation
quand Savfet Effendi reviendra à Constantinople ; mais tout
cel,\ne peut encore servir d'indic ition pour le jour d'ouver-
ture des conférences, où, si nous en croyons les journaux
d'Europe, plusieurs nouvelles questions seront portées, et l'on
ne croit pas que les puissances soient encore prêtes à y répondre.
Telle est, par exemple, la question de l'île Périm qui se rattache
à celle du percement de l'isthme de Suez. Permettez-moi de
vous le dire, du reste, cette question fait beaucoup moins de bruit
à Constantinople que dans le reste de l'Europe. Je ne veux cer-
tainement pas engager la pensée de la Sublime Porte en don-
nantcommesienne une opinion quelconque à ce sujet; mais j'ai
tout lieu de croire que la presse européenne embrasse plus chau-
dement, en cette question, les intérêts de la Turquie que celle-ci
ne le voudrait. Pour la Sublime Porte, le percement de l'isthme
de Suez est une entreprise d'utilité générale, il est vrai, et elle
en convient; mais il ne lui est pas encore bien prouvé que son
intérêt particulier ne sera pas sacrifié à l'intérêt général; les
hésitations de l'Angleterre sont aussi les siennes, et,en résumé,
avec toutes sortes de façons diplomatiques, elle subordonne
son acceptation à celle de l'Angleterre,
» Par conséquent, jusqu'à présent, elle ne se trouve pas
aussi complètement lésée dans ses droits par l'occupation de
Périm qu'on veut bien le dire. Je ne prétends, certes, pas que
le percement de l'isthme de Suez ne soit une nécessité pour le
monde entier; mais on peut admettre que la Turquie, mise en
demeure de se prononcer, puisse encore hésiter, ne sachant pas
trop au juste si, en acceptant, elle ne décrétera pas elle-même
implicitement son démembrement. Et dans ce dernier cas, il
faut aussi admettre qu'elle pourrait considérer Périm fortifiée
par les Anglais comme sa sauvegarde aussi bien que celle des
intérêts britanniques. Je vous donne la façon de voir actuelle
d'un grand nombre de Turcs; la diplomatie ottomane peut
s'exprimer hautement; mais, en tout cas, jusqu'à présent,
quoi qu'on dise, l'occupation de Périm n'a jeté aucun refroidis-
sement dans les relations de la Turquie et de l'Angleterre, n'a
provoqué aucun débat irritant et n'a soulevé aucune question
d'un intérêt aussi grand qu'on veut bien le dire. Quoi qu'il en
soit, la question de l'isthme de Suez en est toujours à peu près
au même point; M. de Lesseps ne parait point mécontent des
négociations qu'il poursuit à Constantinople; mais comme je
vous l'ai déjà dit, le nœud gordien n'est plus ici : il est à Lon-
dres , et c'est là qu'il sera dénoué. Comment? C'est ce que vous
pourrez sans doute mieux savoir que nous. II
Nos lecteurs peuvent voir eux- mêmes, d'après les extraits que
nous donnons des journaux de Constantinople, si la question
du canal de Suez fait aussi peu de bruit dans cette ville que le
prétend le correspondant du Sémaphore, Quant à l'opinion de
la Porte, il a raison quand il dit que les hésitations de l'Angle-
terre sont aussi celles du Divan; mais ce n'est pas tout à fait
dans le sens où le correspondant nous le donne à entendre.
Personne n'ignore depuis trois ans en Europe que, sans l'in-
tervention de l'Angleterre, représentée par lord Strattford de
Redcliffe, la Porte aurait donné sur-le-champ la ratification
que M. de Lesseps lui demandait. C'est un fait avéré du monde
entier; et ce n'est pas du tout la Porte qui hésite. Elle ne craint
pas du tout un démembrement chimérique, malgré ce qu'en
a pu dire lord Palmerston ; et elle sait fort bien au contraire
que le canal de Suez amènerait ses flottes dans la mer Rouge
et dans le golfe Persique, où sa domination n'est aujourd' hui
qu'à peu près nominale. La Porte désire donc autant que qui
que ce soit.l'ouverture de l'isthme de Suez; et elle sait que la
situation politique de l'Egypte à son égard est garantie par les
traités européens. Seulement la Porte Ottomane cède à une
puissance plus forte qu'elle, et voilà tout.
Le Courrier de Marseille réfute, dans une réponse très-vive
et très-piquante de M. L. Barile , les attaques du Times contre
l'Egypte et contre le canal de Suez. Nous regrettons que l'es-
pace ne nous permette pas de reproduire cet article.
On lit dans le Bulletin lithographié des départements l'ap-
préciation suivante, aussi exacte que claire, du rapport de
M. le baron Charles Dupin.
« J'avais précédemment fondé grand espoir sur le patrio-
tisme de M. Charles Dupin, à propos des attaques intéressées
de la presse anglaise contre les projets de M. Ferdinand de
Lesseps; mes espérances n'ont point été trompées Le second
rapport de ce savant a été une digne confirmation de celui
qu'il avait lu l'année dernière et qui a été approuvé par l'A-
cadémie.
L'honorable rapporteur - a résumé d'abord avec la plus
grande clarté les travaux préliminaires qui avaient obtenu
cette haute et très-sérieuse approbation; puis, il est entré
dans l'examen des faits qui s'étaient produits depuis cette
époque. Cet examen a porté principalement sur les études
des terrains, les travaux à la mer offrant de grandes diffi-
cultés sur le port de Péluse, afin de réduire à leur juste
valeur les objections élevées au milieu du concert d'appro-
bations dont le monde retentissait depuis longtemps.
La logique serrée de l'orateur p'en a négligé aucune. Il
était facile de prouver que l'on n'avait point contesté les ni-
vellemenls, point contesté les calculs de déblais et de rem-
blais, point contesté les moyens d'exécution, les ressources.
La prudence, l'impartialité avaient même été telles, chez les
fondateurs de l'entreprise, que parmi les projets on ne s'élait
point attaché à l'un plutôt qu'à l'autre, on avait choisi parmi
les mieux raisonnés, les plus savamment combinés; on avait
écouté tous les avis, tous les conseils. Entrant dans le vif de
la question actuelle et prenant corps à corps les adversaires
dont la tactique principale a été de faire croire à l'insuffisance
des sapants chargés de préparer les travaux, M. Charles
Dupin a rappelé les adhésions unanimes, enthousiastes, don-
nées par les nations qui ont compris l'importance de la j
réunion des deux mers. Ces nations sont l'Espagne, les Etats
Sardes, les États de Gênes, la Hollande, l'Autriche , l'Angle-
terre, la France. Il n'a pas oublié les membres de la Commis-
sion internationale dans laquelle ces nations étaient représentées
par les hommes les plus savants, les plus habiles de notre époque.
Il a analysé leurs travaux incessants, les explorations sans
nombre de leurs collaborateurs pénétrés de l'importance de
la mission qui leur était confiée et ne voulant s'en rapporter
qu'à eux-mêmes. La coopération des savants français a fourni
à l'orateur les pages les plus intéressantes de ce rapport.
Il n'avait qu'à rappeler les études consciencieuses du capitaine |
Jaurès, les explorations multipliées de l'amiral de Genouilli,
les vastes conceptions de M. Renaud et Je M. Lieussou, cet
habile ingénieur que nous avons eu la douleur de perdre au
début de cette année. Le concours de ces hommes éminents
nous a valu surtout le projet du port et de la rade de Saïd,
port et rade qui sont susceptibles, avec le temps, de prendre
la sûreté et l'importance du port et de la rade de Cherbourg.
Enfin, M. Charles Dupin s'est adressé nettement à M. Sté-
phenson. On sait que dans le Parlement anglais cet ingé-
nieur s'est montré l'adversaire le plus passionné de la vaste
opération que recommande avant tout un grand intérêt so-
cial; qu'il n'a pas craint de faire enteudre les çbjections les
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