Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-04-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 avril 1858 25 avril 1858
Description : 1858/04/25 (A3,N45). 1858/04/25 (A3,N45).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203091f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
HW L'ISTHME DE SUEZ, DIMAACHE 25 AVRIL.
contact de la civilisation anglaise. Alexandrie, le Caire et Suez
deviennent des places de,la plus haute importance, et l'Egypte
prend la place de l'Etat le plus riche et le plus prospère de
l'Orient. Tout cela a été fait par les Anglais, et ce qui est fait
n'est encore rien en comparaison de ce qui sera fait d'ici à quel-
ques années. Le chemin de fer est presque terminé entre la
ipef Méditerranée et la mer Rouge ; la malle de l'Inde traverse
le pays deux fois par semaine ; et il est certain qu'avec le ra-
pide accroissement du commerce, les départs des grands va-
peurs de Suez auront bientôt lieu presque journellement. Nos
lignes télégraphiques sont bientôt posées le long de la mer Rouge
et des côtes de l'Arabie pour aboutir à Kurrachee ou à Bom-
bay. Des milliers de soldats anglais traverseront annuellement
le désert pour se rendre dans notre empire de l'Est et pour en
revenir. Nous pouvons ajouter que le commerce direct de l'E-
gypte avec l'Angleterre est de la plus vaste importance, et
que les deux pays sont liés ensemble par des intérêts qui gran-
dissent continuellement. De tels faits devraient faire com-
prendre aux autres nations l'illibéralité et la folie qu'il y aurait
de vouloir contrecarrer le commerce qui a fait tant de bien à
un pays encore plongé, il y a peu de temps, dans la misère
et la barbarie. Mais l'orgueil et la jalousie nationale sont inac-
cessibles à la raison et aux bons sentiments. Le peuple fran-
çais, non content de sa haute position sur le continent, ne re-
connaissant pas cette vérité que sa mission, quoique grande, est
purement européenne, cherche à nous suivre partout dans le
monde et sans aucun autre but que la satisfaction d'une vanité
incommode à s'imposer dans toutes nos affaires. La France n'a
pas d'intérêt dans la mer Rouge ni dans l'océan Indien ; elle
n'est représentée en Egypte que par quelques aventuriers qui,
avec une souplesse que les Anglais n'ont aucune envie d'imi-
ter, s'insinuent auprès des musulmans et adoptent les mœurs,
la morale et assez fréquemment la foi de la race parmi la-
quelle ils vivent. Cette clique (sic) a toujours été animée d'une
amère jalousie contre l'Angleterre; et même pendant la guerre
avec la Russie, lorsque l'Angleterre et la France combattaient
ensemble, ils ne cachaient pas leur inimitié. C'est à l'inspira-
tion de ces Français, chercheurs de fortune, qu'il faut attri-
buer le plan de faire un canal de la Méditerranée à Suez,
projet trop aventureux et trop impraticable pour que personne
puisse le croire sérieusement proposé dans un but commercial
et maritime. Notre conviction est que si la concession était con-
firmée par la Porte, le canal ne serait pas fait; que l'on n'a
pas l'intention de le faire , mais que l'installation d'une com-
pagnie française sous la protection de la France, sur la route
que suivent nos malles et nos passagers servira de moyen pour
nous entraver dans tous nos projets de perfectionnement du
système de transit. En fait, c'est uniquement un projet poli-
tique pour agir sur notre ligne de communication. Chaque
fois que nous proposerions l'extension des chemins de fer, une
autre ligne télégraphique et l'amélioration d'un port, l'éta-
blissement d'un entrepôt ou quelque autre entreprise pratique,
nous rencontrerions toujours les droits de la Compagnie du
canal de Suez, qui, nous dirait-on, commencera dans un an
ou deux cette grande œuvre de civilisation , par laquelle la
France, à qui appartient seule l'initiative des idées, doit con-
quérir l'étonnement de l'univers. Nous sommes persuadés que
s'il y a encore quelques personnes croyant qu'une opposition
.- injuste a été faite au projet de Suez, elles admettront parfai-
it ri que les gouvernements successifs de notre pays
àt la question mieux qu'elles-mêmes. L'Angleterre
¡ il,),) fait l't ur l'Egypte; et elle seule est intéressée au trafic
ri^m^ne Suez. Si donc le e canal était faisable, nos ingé-
ex®cul® depuis longtemps; tout ce qui peut
y ent exécuté depuis 10llstemps j tout ce qui peut
être fait c'est de construire un chemin de fer; et cela a été
fait, tandis que ceux qui s'exclament sur les projets merveil-
leux restaient chez eux dans l'oisiveté.
L'occupation du rocher de l'île Périm est une question d'une
nature semblable; des vapeurs anglais passent et repassent
journellement par la mer Rouge; aucun autre papillon euro-
péen ne parait jamais dans les parages de ce golfe tropical. Ni
la France, ni la Russie, ni l'Autriche n'y ont le moindre inté-
rêt. Il est exclusivement occupé par l'Angleterre et doit rester
ainsi selon la nature des choses, tant que l'Angleterre a de
vastes possessions au delà de ce golfe et que les autres pays
n'en ont pas du tout. Périm, avantageusement situé en un
point où la navigation est difficile, a été un rocher inhabité,
si l'on excepte de rares intervalles, depuis la création du
monde ; il a été occupé lorsque sir David Baird voulait faire
une invasion en Egypte en partant de l'Inde , il y a à peu près
soixante ans ; et lorsqu'il y a quelques mois nos hommes y re-
vinrent, ils trouvèrent les fortifications et les réservoirs exac-
tement tels que leurs grands-pères les avaient laissés. Et néan-
moins, parce que nous formons un établissement sur ce rocher
désert, dans une mer où n'entre jamais d'autre pavillon que
le nôtre, nous sommes obligés d'écouter les violentes récrimi-
nations de la presse continentale. On nous dit d'abandonner
la possession d'un endroit où il n'y a pas un être humain et qui
est une excellente station pour nos vapeurs et nos transports,
simplement par déférence pour les susceptibilités des politi-
ques du continent qui n'ont point d'intérêt dans cette partie du
monde, et qui n'avaient jamais entendu parler de l'île Périm. -
Périm peut bien être nécessaire pour la communication entre
fEurope et l'Asie ; mais Périm doit être laissé désert, parce que
la France est d'avis que son occupation augmentera trop l'in-
fluence de l'Angleterre sur les côtes de l'Arabie et de l'Abys-
sinie. Voilà ce qu'est devenue la science de la politique chez
nos voisins.
Nous en avons eu assez de ces balivernes. Chaque fois que
la presse française n'a eu rien de mieux à faire, elle a tou-
jours été à la piste de quelques pitoyables affaires de cette es-
pèce pour en faire une grande question polilique.
Les journalistes du continent ont encore cru devoir faire
une proposition que nous pouvons repousser en même temps,
savoir que la politique anglaise en Asie soit subordonnée à
quelque concile général des puissances européennes; et con-
séquemment nous entendons répéter que l'occupation de l'ile
Périm devra être portée devant les conférences de Paris, et
qu'il faut rédiger quelques notes collectives à ce sujet. Il n'y a
probablement rien de vrai dans tout cela. Mais cependant,
ces dires mêmes sont une preuve d'idées que nous pouvons ré-
futer du même coup. Quant à l'Egypte et à la mer Rouge, les
intentions de l'Angleterre sont bientôt expliquées. Nous n'avons
pas ledésird'acquérir des possessions territoriales dans ces pays;
mais nous ne souffrirons pas un instant le projet d intervenir
dans le grand système de communication que nous sommes
occupés à établir. Quant à la prétention de quelques nations
d'avoir en Égypte une position supérieure ou même égale à
celle de l'Angleterre, il n'en peut pas être question. Nous n'a-
vons pas tant travaillé pour renoncer maintenant aux fruits
de notre travail. Deux fois dans les derniers soixante ans, des
armées anglaises ont conservé l'Égypte à la Porte. Dans le
premier de ces conflits, une grande armée et une flotte fran-
çaises, conduites par le premier général des temps modernes,
ont été complétement détruites. Quarante ans plus tard, lors-
qu'un Vice-roi ambitieux fit la guerre à son souverain, ce fut
encore une armée anglaise qui écrasa ses prétentions. La poli-
tique et l'esprit de l'Angleterre sont encore ce qu'ils ont été en
contact de la civilisation anglaise. Alexandrie, le Caire et Suez
deviennent des places de,la plus haute importance, et l'Egypte
prend la place de l'Etat le plus riche et le plus prospère de
l'Orient. Tout cela a été fait par les Anglais, et ce qui est fait
n'est encore rien en comparaison de ce qui sera fait d'ici à quel-
ques années. Le chemin de fer est presque terminé entre la
ipef Méditerranée et la mer Rouge ; la malle de l'Inde traverse
le pays deux fois par semaine ; et il est certain qu'avec le ra-
pide accroissement du commerce, les départs des grands va-
peurs de Suez auront bientôt lieu presque journellement. Nos
lignes télégraphiques sont bientôt posées le long de la mer Rouge
et des côtes de l'Arabie pour aboutir à Kurrachee ou à Bom-
bay. Des milliers de soldats anglais traverseront annuellement
le désert pour se rendre dans notre empire de l'Est et pour en
revenir. Nous pouvons ajouter que le commerce direct de l'E-
gypte avec l'Angleterre est de la plus vaste importance, et
que les deux pays sont liés ensemble par des intérêts qui gran-
dissent continuellement. De tels faits devraient faire com-
prendre aux autres nations l'illibéralité et la folie qu'il y aurait
de vouloir contrecarrer le commerce qui a fait tant de bien à
un pays encore plongé, il y a peu de temps, dans la misère
et la barbarie. Mais l'orgueil et la jalousie nationale sont inac-
cessibles à la raison et aux bons sentiments. Le peuple fran-
çais, non content de sa haute position sur le continent, ne re-
connaissant pas cette vérité que sa mission, quoique grande, est
purement européenne, cherche à nous suivre partout dans le
monde et sans aucun autre but que la satisfaction d'une vanité
incommode à s'imposer dans toutes nos affaires. La France n'a
pas d'intérêt dans la mer Rouge ni dans l'océan Indien ; elle
n'est représentée en Egypte que par quelques aventuriers qui,
avec une souplesse que les Anglais n'ont aucune envie d'imi-
ter, s'insinuent auprès des musulmans et adoptent les mœurs,
la morale et assez fréquemment la foi de la race parmi la-
quelle ils vivent. Cette clique (sic) a toujours été animée d'une
amère jalousie contre l'Angleterre; et même pendant la guerre
avec la Russie, lorsque l'Angleterre et la France combattaient
ensemble, ils ne cachaient pas leur inimitié. C'est à l'inspira-
tion de ces Français, chercheurs de fortune, qu'il faut attri-
buer le plan de faire un canal de la Méditerranée à Suez,
projet trop aventureux et trop impraticable pour que personne
puisse le croire sérieusement proposé dans un but commercial
et maritime. Notre conviction est que si la concession était con-
firmée par la Porte, le canal ne serait pas fait; que l'on n'a
pas l'intention de le faire , mais que l'installation d'une com-
pagnie française sous la protection de la France, sur la route
que suivent nos malles et nos passagers servira de moyen pour
nous entraver dans tous nos projets de perfectionnement du
système de transit. En fait, c'est uniquement un projet poli-
tique pour agir sur notre ligne de communication. Chaque
fois que nous proposerions l'extension des chemins de fer, une
autre ligne télégraphique et l'amélioration d'un port, l'éta-
blissement d'un entrepôt ou quelque autre entreprise pratique,
nous rencontrerions toujours les droits de la Compagnie du
canal de Suez, qui, nous dirait-on, commencera dans un an
ou deux cette grande œuvre de civilisation , par laquelle la
France, à qui appartient seule l'initiative des idées, doit con-
quérir l'étonnement de l'univers. Nous sommes persuadés que
s'il y a encore quelques personnes croyant qu'une opposition
.- injuste a été faite au projet de Suez, elles admettront parfai-
it ri que les gouvernements successifs de notre pays
àt la question mieux qu'elles-mêmes. L'Angleterre
¡ il,),) fait l't ur l'Egypte; et elle seule est intéressée au trafic
ri^m^ne Suez. Si donc le e canal était faisable, nos ingé-
ex®cul® depuis longtemps; tout ce qui peut
y ent exécuté depuis 10llstemps j tout ce qui peut
être fait c'est de construire un chemin de fer; et cela a été
fait, tandis que ceux qui s'exclament sur les projets merveil-
leux restaient chez eux dans l'oisiveté.
L'occupation du rocher de l'île Périm est une question d'une
nature semblable; des vapeurs anglais passent et repassent
journellement par la mer Rouge; aucun autre papillon euro-
péen ne parait jamais dans les parages de ce golfe tropical. Ni
la France, ni la Russie, ni l'Autriche n'y ont le moindre inté-
rêt. Il est exclusivement occupé par l'Angleterre et doit rester
ainsi selon la nature des choses, tant que l'Angleterre a de
vastes possessions au delà de ce golfe et que les autres pays
n'en ont pas du tout. Périm, avantageusement situé en un
point où la navigation est difficile, a été un rocher inhabité,
si l'on excepte de rares intervalles, depuis la création du
monde ; il a été occupé lorsque sir David Baird voulait faire
une invasion en Egypte en partant de l'Inde , il y a à peu près
soixante ans ; et lorsqu'il y a quelques mois nos hommes y re-
vinrent, ils trouvèrent les fortifications et les réservoirs exac-
tement tels que leurs grands-pères les avaient laissés. Et néan-
moins, parce que nous formons un établissement sur ce rocher
désert, dans une mer où n'entre jamais d'autre pavillon que
le nôtre, nous sommes obligés d'écouter les violentes récrimi-
nations de la presse continentale. On nous dit d'abandonner
la possession d'un endroit où il n'y a pas un être humain et qui
est une excellente station pour nos vapeurs et nos transports,
simplement par déférence pour les susceptibilités des politi-
ques du continent qui n'ont point d'intérêt dans cette partie du
monde, et qui n'avaient jamais entendu parler de l'île Périm. -
Périm peut bien être nécessaire pour la communication entre
fEurope et l'Asie ; mais Périm doit être laissé désert, parce que
la France est d'avis que son occupation augmentera trop l'in-
fluence de l'Angleterre sur les côtes de l'Arabie et de l'Abys-
sinie. Voilà ce qu'est devenue la science de la politique chez
nos voisins.
Nous en avons eu assez de ces balivernes. Chaque fois que
la presse française n'a eu rien de mieux à faire, elle a tou-
jours été à la piste de quelques pitoyables affaires de cette es-
pèce pour en faire une grande question polilique.
Les journalistes du continent ont encore cru devoir faire
une proposition que nous pouvons repousser en même temps,
savoir que la politique anglaise en Asie soit subordonnée à
quelque concile général des puissances européennes; et con-
séquemment nous entendons répéter que l'occupation de l'ile
Périm devra être portée devant les conférences de Paris, et
qu'il faut rédiger quelques notes collectives à ce sujet. Il n'y a
probablement rien de vrai dans tout cela. Mais cependant,
ces dires mêmes sont une preuve d'idées que nous pouvons ré-
futer du même coup. Quant à l'Egypte et à la mer Rouge, les
intentions de l'Angleterre sont bientôt expliquées. Nous n'avons
pas ledésird'acquérir des possessions territoriales dans ces pays;
mais nous ne souffrirons pas un instant le projet d intervenir
dans le grand système de communication que nous sommes
occupés à établir. Quant à la prétention de quelques nations
d'avoir en Égypte une position supérieure ou même égale à
celle de l'Angleterre, il n'en peut pas être question. Nous n'a-
vons pas tant travaillé pour renoncer maintenant aux fruits
de notre travail. Deux fois dans les derniers soixante ans, des
armées anglaises ont conservé l'Égypte à la Porte. Dans le
premier de ces conflits, une grande armée et une flotte fran-
çaises, conduites par le premier général des temps modernes,
ont été complétement détruites. Quarante ans plus tard, lors-
qu'un Vice-roi ambitieux fit la guerre à son souverain, ce fut
encore une armée anglaise qui écrasa ses prétentions. La poli-
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