Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-03-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 mars 1858 10 mars 1858
Description : 1858/03/10 (A3,N42). 1858/03/10 (A3,N42).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203088z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
*
MERCREDI 10 MARS. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 109
couronnèrent le mamelon, en chassant ses défenseurs à la
baïonnette. Plein d'instinct militaire, le sergent-major Des
Pajllères, qui conduisait le premier peloton, poursuivit les
fuyards vers le fort, y entra par les embrasures, et au moment
où le premier bataillon, gravissant les hauteurs, se retrouvait
en vue du fort Lyn, il saluait des cris de Vive l'Empereur
Martin Des Paillères et ses braves soldats qui en occupaient
les parapets; le 59e régiment britannique débouchait en même
temps et joignait ses hourras à nos acclamations. Ce brillant
fait d'armes inaugurait bien la journée ; le but qu'on s'était
proposé dans la première partie des opérations était atteint.
Il était deux heures et demie de l'après-midi, les bataillons
de marine arrivaient en ligne, et la brigade navale anglaise
montrait ses têtes de colonnes, en arrière sur les hauteurs de
droite. Des remparts de la ville et du fort Gough partait un
feu assez soutenu, mais dont nous n'avions point à souffrir,
grâce au pli de terrain dont pouvaient se couvrir les troupes.
Il nen était pas de même des feux dirigés, sur notre gauche.
Une batterie de Gingalhs établie sur le front nord du faubourg
de l'Est nous envoyait incessamment de la mitraille qui déjà
avait blessé plusieurs hommes; je prescrivis au lieutenant de
vaisseau Vériot de lancer des obus à balles sur cette batterie,
et en même temps j'ordonnai au lieutenant de vaisseau Ribourt
de tourner ce retranchement à la tête de la compagnie de
débarquement de l'Audacieuse, commandée par M. de la
Barrière, de l'enlever et de la détruire. M. Ribourt accomplit
bravement et rapidement sa mission.
- Assaillies à la baïonnette, les troupes chinoises prirent la
fuite, mais non sans laisser sur le terrain une trentaine de
morts. En même temps que se faisait cette opération, nous dé-
logions l'ennemi de plusieurs postes qui gênaient notre flanc
gauche, et nous assurions de ce côté la position où nous
devions passer la nuit. Nos porteurs d'échelles d'escalade
venaient de nous rejoindre et s'établissaient dans un ravin,
sous la protection des bataillons. Un village et sa pagode se
trouvaient au pied et en avant de notre ligne. La route qui con-
duisait aux remparts de la ville tournant autour de ce village je
le fis fortement occuper sur la face qui nous regardait. Ce poste
nous garantissait d'ailleurs contre les sorties de la place; deux
de nos obusiers furent descendus dans ce village, établis sur
une esplanade d'où l'on découvrait parfaitement le haut de
la porte de l'Est, et ouvrirent leurs feux sur cette porte,
battue d'ailleurs comme tout le rempart qui l'avoisinait par
le feu des canonnières anglaises et françaises.
A mesure que la journée s'avançait le feu de l'ennemi se
ralentissait sur la gauche, pour devenir très-vif sur la droite,
où la brigade navale anglaise se déployait sous les ordres de
l'amiral Seymour, faisant supposer à l'ennemi qu'elle voulait
attaquer le fort Gough et les positions adjacentes. Deux de
nos obusiers pointés à toute volée soutenaient le mouvement
en avant des marins britanniques. Cependant la nuit se faisait,
on prit toutes les dispositions pour le bivouac, et les hommes
purent faire leur soupe. Un clair de lune magnifique nous
mettait à l'abri de toute surprise ; la brigade de marine du
colonel Holloway protégeait d'ailleurs les derrières de nos
lignes. Le silence n'était troublé que par quelques coups de
canon de la place et les décharges de l'artillerie des bâtiments
alliés, qui achevaient leur œuvre, si utile et si habilement
accomplie, de déblayer les remparts de l'Est; les bivouacs
étaient éclairés par le feu des incendies.
Le lendemain 29, à six heures et demie, les mouvements en
avant pour attaquer la ville commencèrent sur toute la ligne.
Ainsi qu'il avait été convenu, le 59e régiment britannique se
répandit en tirailleurs sur le front d'attaque pour déloger les
défenseurs du rempart. La batterie anglaise du capitaine
Rotten et notre batterie d'obusiers qui devaient démolir le
parapet et faire brèche s'avançaient sous la protection de
notre premier bataillon, formé en colonnes par pelotons, en
même temps que les porteurs d'échelles se plaçaient à l'abri
de là pagode et du village, situé en avant et au pied de notre
bivouac, sous la protection du second bataillon. Ces premiers
arrangements pris, je me portai avec mon état-major, auquel
le général Straubensée avait bien voulu adjoindre, dès la veille,
le capitaine Romer et le lieutenant Stuart du génie britannique,
mis à ma disposition pour reconnaître le pied des remparts
et le point d'escalade. Quoique nos échelles en bambou eussent
à peu près 30 pieds de longueur, je jugeai qu'elles se trouve-
raient trop courtes, mais des échelles d'ajut avaient été pré-
parées, et ordre fut donné de les lier aux premières. Un fossé
communiquant avec le fleuve régnait le long du rempart et à
petite distance, j'ordonnai de le rendre guéable sur un de ses
points.
Ce travail fut exécuté sur-le-champ par des sapeurs du
lieutenant Stuart et par nos pionniers. Je fis avancer nos
porteurs d'échelles, sous les ordres du commandant Collier;
ces braves gens passèrent sous le feu de la place,"âu pas de
course, et vinrent s'abriter derrière quelques constructions
situées dans l'ouest du fossé et à le toucher. Ils avaient rempli
avec dévouement la tâche la plus pénible, ayant eu à porter
avec leurs armes leur lourd fardeau, depuis la plage jusque
sous les murs de la ville. Plusieurs fois ces vaillants matelots
avaient mis bas les échelles pour répondre au feu des tirail-
leurs ennemis ou pour leur courir sus à la baïonnette. Cepen-
dant les batteries anglaises et françaises, qui tiraient avec
beaucoup de justesse et avaient été placées intrépidement près
du rempart, démolissaient le parapet; la brèche s'agrandissait
à vue d'oeil; je portai les deux bataillons en avant, les serrant 1
en masse près du point d'escalade ,' derrière des maisons et
quelques mouvements de terrain. Le moment était venu de
donner l'assaut; le commandant Collier lança ses porteurs
d'échelles, qui s'avancèrent à la course avec le lieutenant
Stuart et ses sapeurs.
Deux échelles furent d'abord placées à gauche d'un corps
de garde, formant bastion, qui se trouvait près du point d'es-
calade. Le lieutenant Stuart s'élança sur l'une de ces échelles,
suivi du sapeur Parkins et de nombreux matelots de la Ca-
pricieuse et de la Durance. Au même moment montaient par
l'autre échelle le matelot Thiau, le second maître Pélissier, le
chef de pièce Laurier et le lieutenant de vaisseau de Vautré.
D'autres de nos marins, gravissant en partie par les échelles,
se servaient des anfractuosités de la murattle et de leurs baïon-
nettes pour gagner le haut de la brèche. De l'autre côté du
corps de garde avait lieu une ascension pareille; c'était une
admirable émulation à qui arriverait le premier. D'autres
échelles se posaient, pliant sous la masse d'hommes qui les
envahissaient, la muraille se couronnait, et notre drapeau,
arboré sur le corps de garde, était salué de vigoureuses ac-
clamations de Vive t Empereur J. Je lançai alors le premier
bataillon, montant avec lui et donnant l'ordre au commandant
Vrignaud et au second bataillon de suivre immédiatement.
Le commandant Collier avait fait courir à la baïonnette sur
les soldats chinois- qui occupaient les parapets; ils s'étaient
précipités dans la ville, abandonnant la porte dé l'Est. Lors-
que j'arrivai en haut, je vis la tête de la colonne d'assaut de
la brigade navale anglaise débouchant à 800 mètres de nous
sur la muraille et à la poursuite de l'ennemi, qui remontait
vers les hauteurs de la ville. A mesure que le deuxième ba-
taillon arrivait, je le fis partir pour soutenir ce mouvement,
MERCREDI 10 MARS. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 109
couronnèrent le mamelon, en chassant ses défenseurs à la
baïonnette. Plein d'instinct militaire, le sergent-major Des
Pajllères, qui conduisait le premier peloton, poursuivit les
fuyards vers le fort, y entra par les embrasures, et au moment
où le premier bataillon, gravissant les hauteurs, se retrouvait
en vue du fort Lyn, il saluait des cris de Vive l'Empereur
Martin Des Paillères et ses braves soldats qui en occupaient
les parapets; le 59e régiment britannique débouchait en même
temps et joignait ses hourras à nos acclamations. Ce brillant
fait d'armes inaugurait bien la journée ; le but qu'on s'était
proposé dans la première partie des opérations était atteint.
Il était deux heures et demie de l'après-midi, les bataillons
de marine arrivaient en ligne, et la brigade navale anglaise
montrait ses têtes de colonnes, en arrière sur les hauteurs de
droite. Des remparts de la ville et du fort Gough partait un
feu assez soutenu, mais dont nous n'avions point à souffrir,
grâce au pli de terrain dont pouvaient se couvrir les troupes.
Il nen était pas de même des feux dirigés, sur notre gauche.
Une batterie de Gingalhs établie sur le front nord du faubourg
de l'Est nous envoyait incessamment de la mitraille qui déjà
avait blessé plusieurs hommes; je prescrivis au lieutenant de
vaisseau Vériot de lancer des obus à balles sur cette batterie,
et en même temps j'ordonnai au lieutenant de vaisseau Ribourt
de tourner ce retranchement à la tête de la compagnie de
débarquement de l'Audacieuse, commandée par M. de la
Barrière, de l'enlever et de la détruire. M. Ribourt accomplit
bravement et rapidement sa mission.
- Assaillies à la baïonnette, les troupes chinoises prirent la
fuite, mais non sans laisser sur le terrain une trentaine de
morts. En même temps que se faisait cette opération, nous dé-
logions l'ennemi de plusieurs postes qui gênaient notre flanc
gauche, et nous assurions de ce côté la position où nous
devions passer la nuit. Nos porteurs d'échelles d'escalade
venaient de nous rejoindre et s'établissaient dans un ravin,
sous la protection des bataillons. Un village et sa pagode se
trouvaient au pied et en avant de notre ligne. La route qui con-
duisait aux remparts de la ville tournant autour de ce village je
le fis fortement occuper sur la face qui nous regardait. Ce poste
nous garantissait d'ailleurs contre les sorties de la place; deux
de nos obusiers furent descendus dans ce village, établis sur
une esplanade d'où l'on découvrait parfaitement le haut de
la porte de l'Est, et ouvrirent leurs feux sur cette porte,
battue d'ailleurs comme tout le rempart qui l'avoisinait par
le feu des canonnières anglaises et françaises.
A mesure que la journée s'avançait le feu de l'ennemi se
ralentissait sur la gauche, pour devenir très-vif sur la droite,
où la brigade navale anglaise se déployait sous les ordres de
l'amiral Seymour, faisant supposer à l'ennemi qu'elle voulait
attaquer le fort Gough et les positions adjacentes. Deux de
nos obusiers pointés à toute volée soutenaient le mouvement
en avant des marins britanniques. Cependant la nuit se faisait,
on prit toutes les dispositions pour le bivouac, et les hommes
purent faire leur soupe. Un clair de lune magnifique nous
mettait à l'abri de toute surprise ; la brigade de marine du
colonel Holloway protégeait d'ailleurs les derrières de nos
lignes. Le silence n'était troublé que par quelques coups de
canon de la place et les décharges de l'artillerie des bâtiments
alliés, qui achevaient leur œuvre, si utile et si habilement
accomplie, de déblayer les remparts de l'Est; les bivouacs
étaient éclairés par le feu des incendies.
Le lendemain 29, à six heures et demie, les mouvements en
avant pour attaquer la ville commencèrent sur toute la ligne.
Ainsi qu'il avait été convenu, le 59e régiment britannique se
répandit en tirailleurs sur le front d'attaque pour déloger les
défenseurs du rempart. La batterie anglaise du capitaine
Rotten et notre batterie d'obusiers qui devaient démolir le
parapet et faire brèche s'avançaient sous la protection de
notre premier bataillon, formé en colonnes par pelotons, en
même temps que les porteurs d'échelles se plaçaient à l'abri
de là pagode et du village, situé en avant et au pied de notre
bivouac, sous la protection du second bataillon. Ces premiers
arrangements pris, je me portai avec mon état-major, auquel
le général Straubensée avait bien voulu adjoindre, dès la veille,
le capitaine Romer et le lieutenant Stuart du génie britannique,
mis à ma disposition pour reconnaître le pied des remparts
et le point d'escalade. Quoique nos échelles en bambou eussent
à peu près 30 pieds de longueur, je jugeai qu'elles se trouve-
raient trop courtes, mais des échelles d'ajut avaient été pré-
parées, et ordre fut donné de les lier aux premières. Un fossé
communiquant avec le fleuve régnait le long du rempart et à
petite distance, j'ordonnai de le rendre guéable sur un de ses
points.
Ce travail fut exécuté sur-le-champ par des sapeurs du
lieutenant Stuart et par nos pionniers. Je fis avancer nos
porteurs d'échelles, sous les ordres du commandant Collier;
ces braves gens passèrent sous le feu de la place,"âu pas de
course, et vinrent s'abriter derrière quelques constructions
situées dans l'ouest du fossé et à le toucher. Ils avaient rempli
avec dévouement la tâche la plus pénible, ayant eu à porter
avec leurs armes leur lourd fardeau, depuis la plage jusque
sous les murs de la ville. Plusieurs fois ces vaillants matelots
avaient mis bas les échelles pour répondre au feu des tirail-
leurs ennemis ou pour leur courir sus à la baïonnette. Cepen-
dant les batteries anglaises et françaises, qui tiraient avec
beaucoup de justesse et avaient été placées intrépidement près
du rempart, démolissaient le parapet; la brèche s'agrandissait
à vue d'oeil; je portai les deux bataillons en avant, les serrant 1
en masse près du point d'escalade ,' derrière des maisons et
quelques mouvements de terrain. Le moment était venu de
donner l'assaut; le commandant Collier lança ses porteurs
d'échelles, qui s'avancèrent à la course avec le lieutenant
Stuart et ses sapeurs.
Deux échelles furent d'abord placées à gauche d'un corps
de garde, formant bastion, qui se trouvait près du point d'es-
calade. Le lieutenant Stuart s'élança sur l'une de ces échelles,
suivi du sapeur Parkins et de nombreux matelots de la Ca-
pricieuse et de la Durance. Au même moment montaient par
l'autre échelle le matelot Thiau, le second maître Pélissier, le
chef de pièce Laurier et le lieutenant de vaisseau de Vautré.
D'autres de nos marins, gravissant en partie par les échelles,
se servaient des anfractuosités de la murattle et de leurs baïon-
nettes pour gagner le haut de la brèche. De l'autre côté du
corps de garde avait lieu une ascension pareille; c'était une
admirable émulation à qui arriverait le premier. D'autres
échelles se posaient, pliant sous la masse d'hommes qui les
envahissaient, la muraille se couronnait, et notre drapeau,
arboré sur le corps de garde, était salué de vigoureuses ac-
clamations de Vive t Empereur J. Je lançai alors le premier
bataillon, montant avec lui et donnant l'ordre au commandant
Vrignaud et au second bataillon de suivre immédiatement.
Le commandant Collier avait fait courir à la baïonnette sur
les soldats chinois- qui occupaient les parapets; ils s'étaient
précipités dans la ville, abandonnant la porte dé l'Est. Lors-
que j'arrivai en haut, je vis la tête de la colonne d'assaut de
la brigade navale anglaise débouchant à 800 mètres de nous
sur la muraille et à la poursuite de l'ennemi, qui remontait
vers les hauteurs de la ville. A mesure que le deuxième ba-
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