Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-02-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 février 1858 25 février 1858
Description : 1858/02/25 (A3,N41). 1858/02/25 (A3,N41).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203087j
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
1 •'8 1/ISTHME DE St EX, JErDI 25 FÉVRIER.
effacera ainsi tout ce qui y déshonore l'humanité. La soumis-
sion de la Chine ne serait-elle pas moins assurée et plus
prompte, les troubles de l'Inde ne seraient-ils pas déjà étouf-
fés, si les marins et les soldats de la France et de l'Angleterre
n'étaient plus séparés que par deux mois au plus de navigation
des lieux où l'insuffisance des secours rend notre ascendant
incomplet et empêche encore le développement de notre in-
uuence? L. MKRY.
Nous ne pouvons qu'applaudir à des idées si élevées et si
justes.
Le Courrier du Havre du 13 février reproduit l'article de
l'Ost-Deutsche Post, et il le réfute avec une grande force. Il
voit bien que cette nouvelle ne mérite aucune créance venant
d'un journal tout récemment encore convaincu d'erreur volon-
taire et de malveillance à l'égard du canal de Suez. Le Cour-
rier du Havre a toute raison, et l'on a dû voir plus haut quel
peu d'importance ont les élucubrations anglaises du journal
allemand.
L'Argus Soissonnais du 14 février reproduit en partie l'ex-
cellent article de M. Szarvady dans la Gazette de Cologne, en
réponse à des correspondances de Constantinople trop légère-
ment accueillies par quelques journaux et contenant des ren-
seignements inexacts.
La Gazette de Lyon et la Guyenne du 14 février reproduisent
et réfutent l'article de l'Ost-Deutsche Poit dont nos lecteurs ont
vu plus haut l'analyse.
Dans un article intitulé : « Nécessité d'une solution, » le
Moniteur industriel du 11 février essaye de démontrer qu'il y
va de la considération de la Porte Ottomane de ne pas retarder
davantage son assentiment à l'ouverture de l'isthme de Suez.
« Plus de deux mois se sont déjà écoulés, dit l'auteur, de-
puis que M. Ferdinand de Lesseps est arrivé à Constantinople,
dans le but de mener à fin la négociation dont l'objet est
d'obtenir du Sultan sa sanction au percement de l'isthme de
Suez. Nous reconnaissons que la négociation a dû recevoir un
temps d'arrêt par les effets de la mort déplorable (le Réchid-
Pacha, dont la résolution et la fermeté d'esprit semblaient de
nature à résoudre promptement la question. Un changement
dans la direction de l'Etat, en Turquie plus qu'ailleurs, doit
produire des délais dans le progrès des affaires engagées sous
une autre administration. Cependant, d'un autre côté, le gou-
vernement turc est resté à peu près ce qu'il était sous le vizirat
de Réchid. Le Grand Vizir actuel, Aali-Pacha était alors mi-
nistre des affaires étrangères. C'est chez lui que s'est opérée
la réconciliation désirée de notre ambassadeur avec Réchid,
à laquelle AL. Ferdinand de Lesseps a eu une si honorable et
si grande part. Il faisait partie du Cabinet qui a accueilli avec
tant de bienveillance lés premières démarches du promoteur
du canal des deux mers. Réchid lui a soumis ainsi qu'à ses
collègues le mémorandum, de M. de Lesseps. A part le triste
et lamentable incident de la catastrophe qui a si subitement
trancbé la destinée du défunt Grand Vizir, il semble donc que
la négociation était dans les meilleures conditions possibles
pour se continuer et aboutir, en quelque sorte, sans solution
de continuité. »
M. P. B-s Darnis développe ces idées en montrant l'alter-
native où la Porte est placée soit en cédant, soit en résistant
à la pression que le Cabinet anglais veut exercer sur elle. Après
avoir exposé la première hypothèse, il passe à la seconde et il
termine ainsi :
« De l'autre côté, que la situation est différente ! La Turquie
s'attire et la confiance et le respect de l'opinion et des gou-
vernements. Elle montre la résolution de diriger elle-même
ses affaires; elle témoigne sa sollicitude pour le bien-être des
populations qu'elle gouverne directement, et pour le bien-être
de celles dont elle est suzeraine. Elle s'attache plus sérieuse-
ment, par un grand service rendu, et l'Egypte, et la France,
et l'Europe. Elle se montre fidèle à sa mission de coparta-
geante et de coparticipante à l'essor de la civilisation com-
mune; elle inscrit son nom à la tête de ceux qui ont ouvert
une nouvelle route et un immense commerce aux deux hémi-
sphères; elle signale à jamais son nom à la reconnaissance de
la postérité. Est-ce qu'une si belle destinée n'est pas de nature
à séduire l'esprit de ses hommes d'Etat, à toucher le Grand
Vizir actuel dans tout ce qu'il possède d'ambition généreuse?
Le règne d'Abd-ul-Medjid sera-t-il.à jamais immortel par ce
grand événement, ou, dans le cas négatif, par ce signe reten-
tissant d'une décadence irrémédiable? Voilà la question dans
sa vérité et dans sa profondeur politique; voilà la question
que vont trancher les délibérations des conseillers actuels du
réformateur de Gulhané. » P. B-s DARXIS.
Le Moniteur industriel reproduit ensuite l'article du Con-
stitutionnel du G février, ainsi que nous le faisons nous-mêmes
dans ce numéro. Il donne également la lettre de M. Ferd.
de Lesseps à M, Griffith en la faisant précéder de quelques
réflexions. Il publie d'après notre journal les deux adresses
des Chambres de commerce de Patras et de Calamès; et il
emprunte à la Presse d'Orient l'article intitulé.Les Chinois et
l'isthme de Suez, dont nous avons donné un extrait dans notre
dernière Revue de la Presse.
Le Moniteur industriel du 18 février revient sur la motion
de M. Griffith en citant l'article du Railivay-Timcs que nous
donnons dans notre numéro d'aujourd'hui, et il insiste pour dé-
montrer avec ce journal que l'Angleterre aurait plus que toute
autre puissance à gagner à l'ouverture de l'isthme de Suez.
Dans un article intitulé : Le transit militaire par l'Egypte et
le droit européen, le Moniteur industriel s'étonne que l'An-
gleterre réponde si mal aux excellents procédés de la France
lui offrant un passage par son territoire, et de l'Egypte faisant
tout ce qui dépend d'elle pour rendre plus facile le voyage des
régiments anglais, comme l'attestent les correspondances d'A-
lexandrie publiées dans le Times. L'Europe pourrait se lasser
bientôt d'une condescendance si mal payée.
M. P.-B—s Darnis réfute ensuite d'une manière très-vive
l'article de VOst-Deutsche Post que nous avons donné plus
haut, avec les réponses delà Gazette autrichienne et du Moni-■
teur de laflotte. Dans un dernier article sur le Mouvement
indien en Angleterre, il analyse la discussion commencée à la
Chambre des Communes sur le bill qui doit réorganiser le
gouvernement des Indes, et il montre quels obstacles rencontre
cette mesure dans les Directeurs et les principaux membres du
parti conservateur.
Enfin le Moniteur industriel reproduit l'article de la Presse
d'Orient : Venise et l'isthme de Suez.
Le Courrier de Paris a reproduit en partie l'article du
Constitutionnel que nous donnons nous-mêmes toutentierdans
notre numéro d'aujourd'hui.
Le Courrier de Paris du 13 février a reproduit l'article de
Y Ost-Deutsche Post que le Moniteur de la flotte a réfuté comme
on l'a vu dans l'article que nous avons cité plus haut. La
nouvelle donnée par le journal allemand n'a pas la moindre
vérité, ni même la moindre vraisemblance. C'est un simple
bruit inventé par quelque ami du. Cabinet anglais qui croit le
servir par ces étranges rumeurs répandues à plaisir dans la
presse européenne. Nous engageons les journaux qui sympa-
thisent avec notre cause à se tenir en garde contre ces ma-
nœuvres qui ne peuvent guère servir nos adversaires, mais
effacera ainsi tout ce qui y déshonore l'humanité. La soumis-
sion de la Chine ne serait-elle pas moins assurée et plus
prompte, les troubles de l'Inde ne seraient-ils pas déjà étouf-
fés, si les marins et les soldats de la France et de l'Angleterre
n'étaient plus séparés que par deux mois au plus de navigation
des lieux où l'insuffisance des secours rend notre ascendant
incomplet et empêche encore le développement de notre in-
uuence? L. MKRY.
Nous ne pouvons qu'applaudir à des idées si élevées et si
justes.
Le Courrier du Havre du 13 février reproduit l'article de
l'Ost-Deutsche Post, et il le réfute avec une grande force. Il
voit bien que cette nouvelle ne mérite aucune créance venant
d'un journal tout récemment encore convaincu d'erreur volon-
taire et de malveillance à l'égard du canal de Suez. Le Cour-
rier du Havre a toute raison, et l'on a dû voir plus haut quel
peu d'importance ont les élucubrations anglaises du journal
allemand.
L'Argus Soissonnais du 14 février reproduit en partie l'ex-
cellent article de M. Szarvady dans la Gazette de Cologne, en
réponse à des correspondances de Constantinople trop légère-
ment accueillies par quelques journaux et contenant des ren-
seignements inexacts.
La Gazette de Lyon et la Guyenne du 14 février reproduisent
et réfutent l'article de l'Ost-Deutsche Poit dont nos lecteurs ont
vu plus haut l'analyse.
Dans un article intitulé : « Nécessité d'une solution, » le
Moniteur industriel du 11 février essaye de démontrer qu'il y
va de la considération de la Porte Ottomane de ne pas retarder
davantage son assentiment à l'ouverture de l'isthme de Suez.
« Plus de deux mois se sont déjà écoulés, dit l'auteur, de-
puis que M. Ferdinand de Lesseps est arrivé à Constantinople,
dans le but de mener à fin la négociation dont l'objet est
d'obtenir du Sultan sa sanction au percement de l'isthme de
Suez. Nous reconnaissons que la négociation a dû recevoir un
temps d'arrêt par les effets de la mort déplorable (le Réchid-
Pacha, dont la résolution et la fermeté d'esprit semblaient de
nature à résoudre promptement la question. Un changement
dans la direction de l'Etat, en Turquie plus qu'ailleurs, doit
produire des délais dans le progrès des affaires engagées sous
une autre administration. Cependant, d'un autre côté, le gou-
vernement turc est resté à peu près ce qu'il était sous le vizirat
de Réchid. Le Grand Vizir actuel, Aali-Pacha était alors mi-
nistre des affaires étrangères. C'est chez lui que s'est opérée
la réconciliation désirée de notre ambassadeur avec Réchid,
à laquelle AL. Ferdinand de Lesseps a eu une si honorable et
si grande part. Il faisait partie du Cabinet qui a accueilli avec
tant de bienveillance lés premières démarches du promoteur
du canal des deux mers. Réchid lui a soumis ainsi qu'à ses
collègues le mémorandum, de M. de Lesseps. A part le triste
et lamentable incident de la catastrophe qui a si subitement
trancbé la destinée du défunt Grand Vizir, il semble donc que
la négociation était dans les meilleures conditions possibles
pour se continuer et aboutir, en quelque sorte, sans solution
de continuité. »
M. P. B-s Darnis développe ces idées en montrant l'alter-
native où la Porte est placée soit en cédant, soit en résistant
à la pression que le Cabinet anglais veut exercer sur elle. Après
avoir exposé la première hypothèse, il passe à la seconde et il
termine ainsi :
« De l'autre côté, que la situation est différente ! La Turquie
s'attire et la confiance et le respect de l'opinion et des gou-
vernements. Elle montre la résolution de diriger elle-même
ses affaires; elle témoigne sa sollicitude pour le bien-être des
populations qu'elle gouverne directement, et pour le bien-être
de celles dont elle est suzeraine. Elle s'attache plus sérieuse-
ment, par un grand service rendu, et l'Egypte, et la France,
et l'Europe. Elle se montre fidèle à sa mission de coparta-
geante et de coparticipante à l'essor de la civilisation com-
mune; elle inscrit son nom à la tête de ceux qui ont ouvert
une nouvelle route et un immense commerce aux deux hémi-
sphères; elle signale à jamais son nom à la reconnaissance de
la postérité. Est-ce qu'une si belle destinée n'est pas de nature
à séduire l'esprit de ses hommes d'Etat, à toucher le Grand
Vizir actuel dans tout ce qu'il possède d'ambition généreuse?
Le règne d'Abd-ul-Medjid sera-t-il.à jamais immortel par ce
grand événement, ou, dans le cas négatif, par ce signe reten-
tissant d'une décadence irrémédiable? Voilà la question dans
sa vérité et dans sa profondeur politique; voilà la question
que vont trancher les délibérations des conseillers actuels du
réformateur de Gulhané. » P. B-s DARXIS.
Le Moniteur industriel reproduit ensuite l'article du Con-
stitutionnel du G février, ainsi que nous le faisons nous-mêmes
dans ce numéro. Il donne également la lettre de M. Ferd.
de Lesseps à M, Griffith en la faisant précéder de quelques
réflexions. Il publie d'après notre journal les deux adresses
des Chambres de commerce de Patras et de Calamès; et il
emprunte à la Presse d'Orient l'article intitulé.Les Chinois et
l'isthme de Suez, dont nous avons donné un extrait dans notre
dernière Revue de la Presse.
Le Moniteur industriel du 18 février revient sur la motion
de M. Griffith en citant l'article du Railivay-Timcs que nous
donnons dans notre numéro d'aujourd'hui, et il insiste pour dé-
montrer avec ce journal que l'Angleterre aurait plus que toute
autre puissance à gagner à l'ouverture de l'isthme de Suez.
Dans un article intitulé : Le transit militaire par l'Egypte et
le droit européen, le Moniteur industriel s'étonne que l'An-
gleterre réponde si mal aux excellents procédés de la France
lui offrant un passage par son territoire, et de l'Egypte faisant
tout ce qui dépend d'elle pour rendre plus facile le voyage des
régiments anglais, comme l'attestent les correspondances d'A-
lexandrie publiées dans le Times. L'Europe pourrait se lasser
bientôt d'une condescendance si mal payée.
M. P.-B—s Darnis réfute ensuite d'une manière très-vive
l'article de VOst-Deutsche Post que nous avons donné plus
haut, avec les réponses delà Gazette autrichienne et du Moni-■
teur de laflotte. Dans un dernier article sur le Mouvement
indien en Angleterre, il analyse la discussion commencée à la
Chambre des Communes sur le bill qui doit réorganiser le
gouvernement des Indes, et il montre quels obstacles rencontre
cette mesure dans les Directeurs et les principaux membres du
parti conservateur.
Enfin le Moniteur industriel reproduit l'article de la Presse
d'Orient : Venise et l'isthme de Suez.
Le Courrier de Paris a reproduit en partie l'article du
Constitutionnel que nous donnons nous-mêmes toutentierdans
notre numéro d'aujourd'hui.
Le Courrier de Paris du 13 février a reproduit l'article de
Y Ost-Deutsche Post que le Moniteur de la flotte a réfuté comme
on l'a vu dans l'article que nous avons cité plus haut. La
nouvelle donnée par le journal allemand n'a pas la moindre
vérité, ni même la moindre vraisemblance. C'est un simple
bruit inventé par quelque ami du. Cabinet anglais qui croit le
servir par ces étranges rumeurs répandues à plaisir dans la
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