Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-02-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 février 1858 10 février 1858
Description : 1858/02/10 (A3,N40). 1858/02/10 (A3,N40).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62030864
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
78 L'ISTHME DE SUEZ, MERCREDI 10 FÉVRIER.
sud-ouest au nord-est en formant un arc tourné vers le sud-
est, et est traversée dans plusieurs endroits par des vallons
étroits et plats dans lesquels on trouve des puits. Les habitants
sont des Arabes Dabeina, qui se sont fixés aux endroits suf-
fisamment arrosés, et qui tirent toutes leurs subsistances de
leurs troupeaux. Dans les hautes vallées de la montagne, ma-
récageuses en quelques endroits, on rencontre des habita-
tions de pierres en ruines, qui d'ailleurs ne peuvent avoir une
haute antiquité. Les voyageurs y ont trouvé plusieurs exem-
plaires d'une petite tortue aquatique, appelée Abou-gatta, et
qui ressemble beaucoup à la Pentonyx-guéhafieh de Ruppell.
Ils ont aperçu eu même temps un troupeau nombreux de cy-
nocéphales qui descendaient des rochers sous la conduite du
plus grand mâle pour s'abreuver aux eaux de la vallée.
M. de Heuglin a pu observer en outre quelques animaux du
genre Herpestes-mutgigella, Ruppell; Aquila caudata, Cir-
cus pallidus, Circaetos brachydactylus, Turdus cyanus ,
Fringilla senegalensis , Fringilla frontalis et Fringilla fas-
ciata, ainsi qu'un grand nombre de pintades et quelques
lièvres (Lepus isabellinus, Ruppell),
Du côté du nord les sommets de l'Arang, élevés de dix-
huit cents pieds tout au moins, paraissent être encore plus
couronnés d'arbres hauts que du côté opposé; nos voyageurs
y crurent apercevoir des adansoniennes. Des hauteurs de
cette montagne, on aperçoit dans une plaine sans bornes,
surtout vers le sud et l'est, une foule de rochers el pics isolés
plus ou moins grands, ce qui donne à cette contrée un aspect
fort singulier, 'i otis semblent appartenir à la même formation,
et leur origine pourrait bien dater du grand soulèvement des
montagnes volcaniques qui composent l'Abyssinie. Toute la
plaine où se rencontrent ces nombreuses roches et montagnes
est beaucoup plus abondamment couverte de broussailles et
d'arbres isolés que les steppes du côté de Kédaref, où l'on
aperçoit rarement un arbre.
Le district de Kédaref. — Dans le voisinage de Kanara,
chef-lieu du district de Kédaref, le pays commence à être plus
habité et peuplé. Çà et là s'élèvent au-dessus des immenses.
champs de dourah les toits noircis des villages togouls. Le ter-
rain est plus accidenté, et quelques endroits semblent être
composés d'un sol marécageux et noirâtre; les graminées font
place aux broussailles; les adansoniennes et d'autres plantes
de haute taille deviennent plus fréquentes. Des débris de ba-
salte gisent çà et là sur le sol; mais cette roche ne présente
nulle part des élévations. Kanara est un village d'une étendue
considérable, possédant de bonnes fontaines; il était autrefois
l'entrepôt principal du commerce du Soudan pour l'Abyssinie
et Saouakin. A présent son marché est faiblement approvi-
sionné; les provisions se bornent à quelques mules, du riz,
du sucre, du tabac, des cotonnades, des souliers turcs et des
sabres d'Allemagne.
La vallée de Doka. — Au sud-est de Kanara, commencf un
véritable pays montagneux et la région des arbres tropicaux.
Ce sont pour la plupart des acacias de haute taille, avec
les arbres de leur famille, des cassias, des zizyphus, etc., qui
composent ces forêts; on rencontre aussi des adansoniennes,
et un très-bel arbre, dont l'écorce et les fruits ressemblent à
ceux de notre marronnier. Les voyageurs y aperçurent pour la
première fois des arbres à encens. Du reste les arbres sont
encore loin d'avoir repoussé parlout les graminées; on voit
au contraire des taillis de joncs dont la hauteur dépasse pres-
que celle d'un cavalier monté sur un chameau. Dans les forêts
on fait après les pluies de riches récoltes de gomme, bien que
le pays entre Kédaref et Doka soit presque inhabité. Les roches,
dans le voisinage de Doka, sont de nature volcanique, soit des
débris de roche, composés de calcédoine, de spath calcaire,
de chabasit et de leuzit, soit de véritables laves, dont les
creux sont remplis de longs et minces cristaux de mésotype;
ensuite des basaltes avec un peu d'olivine et un minerai d'un
gris verdâtre, semblable au phonolilhe, et qui se trouve en
quantité prédominante. Il forme de grandes crêtes el murailles,
souvent d'une hauteur verticale de cent pieds; et une fois
il présenta même une très-belle et singulière formation en
colonnes.
Les fontaines sont assez nombreuses dans les environs.
Les soirées sont d'une beauté extraordinaire dans les pe-
tites vallées verdoyantes autour de Doka. Des vents du nord
et du nord-est rafraîchissent l'atmosphère après les chaudes
journées; du fond des ravins s'élève le brouillard qui fait pa-
raître sous les teintes les plus chaudes les crêtes des mon-
tagnes rougies par les derniers rayons du soleil ; de tous les côtés
on entend les mille voix et les joyeux chants de la gent em-
plumée; la forêt retentit du roucoulement des pigeons qui
s'envolent par bandes nombreuses; le Promerops erylhrorhyn-
chus fait la chasse aux insectes d'un arbre à l'autre; le Lanius
capensis, Platyseria senesalensis el Alcedo chelienti fontentendre
leur chant du soir semblableau carillon des cloches; lespintades
réunissent en criant leurs familles, et perchent par douzaines
sur les branches des arbres élevés, où elles peuvent reposer à
l'abri des attaques des animaux de proie; un écureuil avance
timidement sa tête d'un trou creusé dans les roches, et court,
quand il se croit en sûreté, le long des cours d'eau, faisant des
bonds prodigieux; les hirondelles de nuit commencent leur
chasse au clair de la lune, s'envolant sans bruit et saisissant
une proie, à chaque mouvement rapide, longtemps après que
le dernier chant des amis du jour a cessé. A cette heure
la gazelle aussi court s'abreuver à la fontaine; l'hyène et
l'ichneumon seuls parcourent les champs et les taillis, pour
surprendre un dormeur ou contenter leur estomac insatiable
des restes d'un animal mort, jusqu'à ce que l'aube du jour les
fasse rentrer dans leurs sombres retraites.
La province de Galabat et son chef-lieu. — Se dirigeant
vers le sud-est et passant par le bourg de l'ogin, les voyageurs
arrivèrent le 31 décembre sur la frontière de Galabat, for-
mée à cet endroit par une crête étroite et basse de grès ferru-
gineux, couverte de beaux groupes de tamarins. Aux pre-
miers villages tagrouri, HeIlet-Almas et Hellet-Derviche, ils
aperçurent dans la direction du sud la montagne de Raz-el-
Fil (cap des Éléphants), dont le point le plus élevé paraît se
trouver du côté du sud-est, où la montagne est très-escarpée,
ce qu'elle n'est pas du côté du nord et de l'ouest. Methem-
meh, chef-lieu de la province Galabat, est au sud-est de cette
montagne. On assure qu'avant l'invasion de Kasa (Théodore),
qui surprit la foire de Méthemmeh, cet endroit était encore
d'une population considérable; à présent il peut avoir 1,200
habitants, qui logent tous dans des togouls, c'est-à-dire des
huttes de chaume avec des toits pointus.
, La province, située sur la frontière entre le territoire de
l'Égypte et l'Abyssinie peut avoir environ une surface de
60 à 80 milles carrés. La population est très-dense en
comparaison de celle des États voisins; les habitants sont en
partie des Tagrouri, en partie des Arabes (Dabeina, Goachla)
et des Founghi. Le cheikh de Galabat, Tagrouri du Darfour,
est indépendant nominalement; mais il paye au gouverne-
ment turc et au Kasa un tribut annuel de 15,000 francs,
auxquels il faut ajouter de riches cadeaux pour les hauts
fonctionnaires turcs. Les Tagrouri, fixés pour la plupart de-
puis longtemps dans cet endroit, et ne pensant plus à quitter
ce paradis pour les steppes brûlantes de leur patrie, sont
sud-ouest au nord-est en formant un arc tourné vers le sud-
est, et est traversée dans plusieurs endroits par des vallons
étroits et plats dans lesquels on trouve des puits. Les habitants
sont des Arabes Dabeina, qui se sont fixés aux endroits suf-
fisamment arrosés, et qui tirent toutes leurs subsistances de
leurs troupeaux. Dans les hautes vallées de la montagne, ma-
récageuses en quelques endroits, on rencontre des habita-
tions de pierres en ruines, qui d'ailleurs ne peuvent avoir une
haute antiquité. Les voyageurs y ont trouvé plusieurs exem-
plaires d'une petite tortue aquatique, appelée Abou-gatta, et
qui ressemble beaucoup à la Pentonyx-guéhafieh de Ruppell.
Ils ont aperçu eu même temps un troupeau nombreux de cy-
nocéphales qui descendaient des rochers sous la conduite du
plus grand mâle pour s'abreuver aux eaux de la vallée.
M. de Heuglin a pu observer en outre quelques animaux du
genre Herpestes-mutgigella, Ruppell; Aquila caudata, Cir-
cus pallidus, Circaetos brachydactylus, Turdus cyanus ,
Fringilla senegalensis , Fringilla frontalis et Fringilla fas-
ciata, ainsi qu'un grand nombre de pintades et quelques
lièvres (Lepus isabellinus, Ruppell),
Du côté du nord les sommets de l'Arang, élevés de dix-
huit cents pieds tout au moins, paraissent être encore plus
couronnés d'arbres hauts que du côté opposé; nos voyageurs
y crurent apercevoir des adansoniennes. Des hauteurs de
cette montagne, on aperçoit dans une plaine sans bornes,
surtout vers le sud et l'est, une foule de rochers el pics isolés
plus ou moins grands, ce qui donne à cette contrée un aspect
fort singulier, 'i otis semblent appartenir à la même formation,
et leur origine pourrait bien dater du grand soulèvement des
montagnes volcaniques qui composent l'Abyssinie. Toute la
plaine où se rencontrent ces nombreuses roches et montagnes
est beaucoup plus abondamment couverte de broussailles et
d'arbres isolés que les steppes du côté de Kédaref, où l'on
aperçoit rarement un arbre.
Le district de Kédaref. — Dans le voisinage de Kanara,
chef-lieu du district de Kédaref, le pays commence à être plus
habité et peuplé. Çà et là s'élèvent au-dessus des immenses.
champs de dourah les toits noircis des villages togouls. Le ter-
rain est plus accidenté, et quelques endroits semblent être
composés d'un sol marécageux et noirâtre; les graminées font
place aux broussailles; les adansoniennes et d'autres plantes
de haute taille deviennent plus fréquentes. Des débris de ba-
salte gisent çà et là sur le sol; mais cette roche ne présente
nulle part des élévations. Kanara est un village d'une étendue
considérable, possédant de bonnes fontaines; il était autrefois
l'entrepôt principal du commerce du Soudan pour l'Abyssinie
et Saouakin. A présent son marché est faiblement approvi-
sionné; les provisions se bornent à quelques mules, du riz,
du sucre, du tabac, des cotonnades, des souliers turcs et des
sabres d'Allemagne.
La vallée de Doka. — Au sud-est de Kanara, commencf un
véritable pays montagneux et la région des arbres tropicaux.
Ce sont pour la plupart des acacias de haute taille, avec
les arbres de leur famille, des cassias, des zizyphus, etc., qui
composent ces forêts; on rencontre aussi des adansoniennes,
et un très-bel arbre, dont l'écorce et les fruits ressemblent à
ceux de notre marronnier. Les voyageurs y aperçurent pour la
première fois des arbres à encens. Du reste les arbres sont
encore loin d'avoir repoussé parlout les graminées; on voit
au contraire des taillis de joncs dont la hauteur dépasse pres-
que celle d'un cavalier monté sur un chameau. Dans les forêts
on fait après les pluies de riches récoltes de gomme, bien que
le pays entre Kédaref et Doka soit presque inhabité. Les roches,
dans le voisinage de Doka, sont de nature volcanique, soit des
débris de roche, composés de calcédoine, de spath calcaire,
de chabasit et de leuzit, soit de véritables laves, dont les
creux sont remplis de longs et minces cristaux de mésotype;
ensuite des basaltes avec un peu d'olivine et un minerai d'un
gris verdâtre, semblable au phonolilhe, et qui se trouve en
quantité prédominante. Il forme de grandes crêtes el murailles,
souvent d'une hauteur verticale de cent pieds; et une fois
il présenta même une très-belle et singulière formation en
colonnes.
Les fontaines sont assez nombreuses dans les environs.
Les soirées sont d'une beauté extraordinaire dans les pe-
tites vallées verdoyantes autour de Doka. Des vents du nord
et du nord-est rafraîchissent l'atmosphère après les chaudes
journées; du fond des ravins s'élève le brouillard qui fait pa-
raître sous les teintes les plus chaudes les crêtes des mon-
tagnes rougies par les derniers rayons du soleil ; de tous les côtés
on entend les mille voix et les joyeux chants de la gent em-
plumée; la forêt retentit du roucoulement des pigeons qui
s'envolent par bandes nombreuses; le Promerops erylhrorhyn-
chus fait la chasse aux insectes d'un arbre à l'autre; le Lanius
capensis, Platyseria senesalensis el Alcedo chelienti fontentendre
leur chant du soir semblableau carillon des cloches; lespintades
réunissent en criant leurs familles, et perchent par douzaines
sur les branches des arbres élevés, où elles peuvent reposer à
l'abri des attaques des animaux de proie; un écureuil avance
timidement sa tête d'un trou creusé dans les roches, et court,
quand il se croit en sûreté, le long des cours d'eau, faisant des
bonds prodigieux; les hirondelles de nuit commencent leur
chasse au clair de la lune, s'envolant sans bruit et saisissant
une proie, à chaque mouvement rapide, longtemps après que
le dernier chant des amis du jour a cessé. A cette heure
la gazelle aussi court s'abreuver à la fontaine; l'hyène et
l'ichneumon seuls parcourent les champs et les taillis, pour
surprendre un dormeur ou contenter leur estomac insatiable
des restes d'un animal mort, jusqu'à ce que l'aube du jour les
fasse rentrer dans leurs sombres retraites.
La province de Galabat et son chef-lieu. — Se dirigeant
vers le sud-est et passant par le bourg de l'ogin, les voyageurs
arrivèrent le 31 décembre sur la frontière de Galabat, for-
mée à cet endroit par une crête étroite et basse de grès ferru-
gineux, couverte de beaux groupes de tamarins. Aux pre-
miers villages tagrouri, HeIlet-Almas et Hellet-Derviche, ils
aperçurent dans la direction du sud la montagne de Raz-el-
Fil (cap des Éléphants), dont le point le plus élevé paraît se
trouver du côté du sud-est, où la montagne est très-escarpée,
ce qu'elle n'est pas du côté du nord et de l'ouest. Methem-
meh, chef-lieu de la province Galabat, est au sud-est de cette
montagne. On assure qu'avant l'invasion de Kasa (Théodore),
qui surprit la foire de Méthemmeh, cet endroit était encore
d'une population considérable; à présent il peut avoir 1,200
habitants, qui logent tous dans des togouls, c'est-à-dire des
huttes de chaume avec des toits pointus.
, La province, située sur la frontière entre le territoire de
l'Égypte et l'Abyssinie peut avoir environ une surface de
60 à 80 milles carrés. La population est très-dense en
comparaison de celle des États voisins; les habitants sont en
partie des Tagrouri, en partie des Arabes (Dabeina, Goachla)
et des Founghi. Le cheikh de Galabat, Tagrouri du Darfour,
est indépendant nominalement; mais il paye au gouverne-
ment turc et au Kasa un tribut annuel de 15,000 francs,
auxquels il faut ajouter de riches cadeaux pour les hauts
fonctionnaires turcs. Les Tagrouri, fixés pour la plupart de-
puis longtemps dans cet endroit, et ne pensant plus à quitter
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