Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1856-12-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 décembre 1856 10 décembre 1856
Description : 1856/12/10 (A1,N12). 1856/12/10 (A1,N12).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62020573
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/07/2012
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 187
100 onces en deux jours, presque à la surface du terrain;
une autre société obtint 70 onces en un jour. La surface du
sol donne au lavage un rendement de 2 onces par tube; en
Un jour, deux hommes occupés l'un à la fouille et l'autre au
lavage peuvent facilement faire plusieurs tubes. La meilleure
preuve de la richesse des nouveaux gisements sera la quantité
qui sera transportée à Sydney sous escorte. »
- La fameuse pépite du docteur Kerr représentait une valeur
de plus de 150,000 fr., et chaque mineur a l'espoir d'en trou-
ver à tout instant d'aussi belles.
— International, excellent journal qui se publie à Lon-
dres en français et en anglais, donne quelques détails sur
l'entreprise du chemin de fer de la vallée de l'Euphrate, dont
nous avons déjà plus d'une fois entretenu nos lecteurs, et dont
nous aurons encore à les entretenir assez souvent.
M. Andrew, président, et sir John M'Neill, ingénieur en
.chef de la compagnie, ont eu une entrevue à Londres avec
Son Excellence M. Musurus, ambassadeur de Turquie. Le gé-
néral Chesney et sir John M'Neill, ayant complété les études
préliminaires de la première section du chemin de fer projeté
de la vallée de l'Euphrate, savoir de Séleucie à Alep, et ayant
exploré d'une manière générale le pays situé entre la Méditer-
ranée et l'Euphrate, ont quitté la Syrie. Le général est re-
tourné à Constantinople pour terminer la négociation et ob-
tenir le firman, tandis que sir John M'Neill est revenu à
Londres, ayant laissé une partie de son personnel d'ingénieurs
pour faire les études détaillées sur le terrain. Sir John a dé-
claré qu'il y a toute facilité pour faire un port dans le voisi-
nage de l'ancien port de Séleucie, près de l'embouchure de
l'Oronte, et que le pays, depuis Antioche, Anas, Kilis et Aï-
lam, jusqu'à Alep, ne présente aucunes difficultés pour les
ingénieurs ; qu'ainsi ce chemin de fer pourra être construit à
raison de 8 à 9,000 livr. sterl. par mille (225,000 fr.), ou
600,000 fr. par lieue. En faisant un détour, on trouve un pays
riche, rempli de villes et de villages. Des tronçons y seront
nécessaires au chemin de fer. Il existe un grand commerce.
D'après le livre du péager établi à un pont sur l'Oronte, il
passe par jour plus de 1,200 chameaux ou chevaux chargés.
Le prix du transport des marchandises d'Alep à Alexandrette
était de 8 livr. sterl. par tonne; mais le cours ordinaire est
moitié moindre de 3 livr. sterl. 15 shellings. Le prix de l'a-
voine à Alep, en octobre, était de 18 shellings par quarter ;
et à Antioche, qui est éloigné de 40 millés, de 27 shellings
par quarter. Outre que cette première section, d'Arep à Sé-
leucie, est la partie la plus importante du chemin de fer de
la Méditerranée au golfe Persique, elle est en elle-même une
œuvre complète, ayant à une extrémité un port, et à l'autre,
l'entrepôt principal de la Mésopotamie, où vient converger le
commerce de l'Inde par Bagdad, etc. Par le dernier cour-
rier, les directeurs ont reçu d'Alep une demande de 850 ac-
tions. Les souscripteurs sont de tous les rangs et de toutes les
croyances; et l'on compte parmi eux le pacha d'Alep, d'au-
très dignitaires turcs, des propriétaires, des Arméniens et des
négociants grecs.
— On consomme aujourd'hui aux Etats-Unis 35,200,000 li-
vres de thé. Ce renseignement est extrait des Statistics of
trade and commerce. Nous ne savons trop si le chiffre est
parfaitement exact; mais nous croirions plutôt qu'il est au-
dessous de la vérité. On compte actuellement 27 millions d'ha-
bitants dans les États-Unis de ramérique du Nord. Ce serait
donc 1 livre 1/3 à peu près par tète. En Angleterre et en
Hollande, la consommation individuelle est beaucoup plus
forte. Tout le, thé que consomme l'Amérique est nécessaire-
ment tiré de Chine ; et en ne mettant la livre en moyenne qu'à
4 francs, c'est une somme de 140 millions de francs pour ce
seul article que 1 commerce américain demande à Hong-Kong,
à Canton, à Chprg-haï.
Pour tous les faits divers :
ERNEST DESPLACES.
REVUE DE LA PRESSE.
Le Moniteur de la Meurthe, sous la date du 17 novembre,
nous apporte le compte rendu d'une solennité où nous avons
à recueillir de nouveaux témoignages de la faveur avec
laquelle le percement de l'isthme de Suez est jugé par tout ce
qu'il y a d'esprits éclairés en Europe. L'Académie impériale
de Nancy inaugurait la réouverture annuelle de son enseigne-
ment supérieur. Un grand éclat avait été donné à cette fête de
la science. Les chefs des autorités ecclésiastique, judiciaire,
civile, militaire, les députés au corps législatif, les officiers
de l'université, se pressaient au premier rang d'un auditoire
nombreux. Au milieu de cette brillante assemblée, le recteur
de l'Académie de Nancy, M. Faye, a prononcé un discours où,
en montrant la nécessité d'associer l'enseignement industriel
aux autres branches de l'enseignement public, il a retracé le
tableau des merveilles opérées en notre temps par l'industrie,
soit dans la guerre, soit dans la paix. -
Pour la guerre, il a rappelé tout ce que l'industrie a fait
dans l'expédition de Crimée. Pour la paix, à côté de tant de
progros accomplis, il en salue un nouveau encore plus consi-
dérable. Nous citons :
« Dans les œuvres de la paix, l'industrie, de nos jours, ne
se montre ni moins grandiose, ni plus égoïste d'inspirations,
ni plus ignorante des voies de Dieu. Un exemple va suffire.
Laissons la Crimée, où elle vient d'accomplir un prodige sans
bruit, sans effort apparent, et poussons jusqu'à l'étroite
langue de terre placée entre l'Egypte et la Judée, ce double
berceau du monde chrétien. Là, l'industrie entreprend de
Suez à Péluse un travail herculéen que les poëtes de l'anti-
quité eussent porté jusqu'aux nues (ceux d'aujourd'hui n'y
font pas attention). Croyez-vous qu'elle n'ait pas conscience
de son œuvre? Supposera-t-on que les chefs de l'entreprise,
ses commanditaires généreux, ses savants ingénieurs, -
parmi eux, messieurs, vous comptez un compatriote, - et
jusqu'à ses ouvriers intelligents, ignorent pour quel but pro-
videntiel ils travaillent? Ouvrir au commerce européen le
chemin de l'Orient, mais c'est rappeler à la vie le monde
gréco-romain enterré sous les ruines d'une barbarie séculaire;
c'est donner un but d'activité à l'Espagne, à l'Italie, qui joue-
ront ainsi dans le monde un rôle digne de leur passé ; c'est
élargir pour toutes les nations le cercle où la civilisation sem-
blait naguère condamnée à se mouvoir, ou plutôt à se replier
douloureusement sur elle-même! ».
Le compatriote auquel M. le recteur de Nancy décerne cette
mention affectueuse est M. Mougel-Bey, dont le nom et les
services restent en effet inséparables de l'œuvre à-laquelle
il s'est dévoué. Seulement, M. le recteur n'est pas tout à fait
juste envers les poëtes de notre temps. Ils ont célébré le canal
de Suez, comme on a pu le voir, dans notre premier numéro,
par la kacida du schejk Rifaat.Bey. Nous pourrions encore,
à côté de ce nom de poëte, en citer plus d'un aufate.
D'après le récit du Moniteur de la Meurthe-, M. le recteur
a terminé son discours au bruit des applaudissements de l'a -
sislance choisie qui f écoutait. Certes c'est encore une expres*-
sive manifestation de la popularité (Jont notre entreprise est
honorée que cet hommage en quelque sorte officiel rendu à la
100 onces en deux jours, presque à la surface du terrain;
une autre société obtint 70 onces en un jour. La surface du
sol donne au lavage un rendement de 2 onces par tube; en
Un jour, deux hommes occupés l'un à la fouille et l'autre au
lavage peuvent facilement faire plusieurs tubes. La meilleure
preuve de la richesse des nouveaux gisements sera la quantité
qui sera transportée à Sydney sous escorte. »
- La fameuse pépite du docteur Kerr représentait une valeur
de plus de 150,000 fr., et chaque mineur a l'espoir d'en trou-
ver à tout instant d'aussi belles.
— International, excellent journal qui se publie à Lon-
dres en français et en anglais, donne quelques détails sur
l'entreprise du chemin de fer de la vallée de l'Euphrate, dont
nous avons déjà plus d'une fois entretenu nos lecteurs, et dont
nous aurons encore à les entretenir assez souvent.
M. Andrew, président, et sir John M'Neill, ingénieur en
.chef de la compagnie, ont eu une entrevue à Londres avec
Son Excellence M. Musurus, ambassadeur de Turquie. Le gé-
néral Chesney et sir John M'Neill, ayant complété les études
préliminaires de la première section du chemin de fer projeté
de la vallée de l'Euphrate, savoir de Séleucie à Alep, et ayant
exploré d'une manière générale le pays situé entre la Méditer-
ranée et l'Euphrate, ont quitté la Syrie. Le général est re-
tourné à Constantinople pour terminer la négociation et ob-
tenir le firman, tandis que sir John M'Neill est revenu à
Londres, ayant laissé une partie de son personnel d'ingénieurs
pour faire les études détaillées sur le terrain. Sir John a dé-
claré qu'il y a toute facilité pour faire un port dans le voisi-
nage de l'ancien port de Séleucie, près de l'embouchure de
l'Oronte, et que le pays, depuis Antioche, Anas, Kilis et Aï-
lam, jusqu'à Alep, ne présente aucunes difficultés pour les
ingénieurs ; qu'ainsi ce chemin de fer pourra être construit à
raison de 8 à 9,000 livr. sterl. par mille (225,000 fr.), ou
600,000 fr. par lieue. En faisant un détour, on trouve un pays
riche, rempli de villes et de villages. Des tronçons y seront
nécessaires au chemin de fer. Il existe un grand commerce.
D'après le livre du péager établi à un pont sur l'Oronte, il
passe par jour plus de 1,200 chameaux ou chevaux chargés.
Le prix du transport des marchandises d'Alep à Alexandrette
était de 8 livr. sterl. par tonne; mais le cours ordinaire est
moitié moindre de 3 livr. sterl. 15 shellings. Le prix de l'a-
voine à Alep, en octobre, était de 18 shellings par quarter ;
et à Antioche, qui est éloigné de 40 millés, de 27 shellings
par quarter. Outre que cette première section, d'Arep à Sé-
leucie, est la partie la plus importante du chemin de fer de
la Méditerranée au golfe Persique, elle est en elle-même une
œuvre complète, ayant à une extrémité un port, et à l'autre,
l'entrepôt principal de la Mésopotamie, où vient converger le
commerce de l'Inde par Bagdad, etc. Par le dernier cour-
rier, les directeurs ont reçu d'Alep une demande de 850 ac-
tions. Les souscripteurs sont de tous les rangs et de toutes les
croyances; et l'on compte parmi eux le pacha d'Alep, d'au-
très dignitaires turcs, des propriétaires, des Arméniens et des
négociants grecs.
— On consomme aujourd'hui aux Etats-Unis 35,200,000 li-
vres de thé. Ce renseignement est extrait des Statistics of
trade and commerce. Nous ne savons trop si le chiffre est
parfaitement exact; mais nous croirions plutôt qu'il est au-
dessous de la vérité. On compte actuellement 27 millions d'ha-
bitants dans les États-Unis de ramérique du Nord. Ce serait
donc 1 livre 1/3 à peu près par tète. En Angleterre et en
Hollande, la consommation individuelle est beaucoup plus
forte. Tout le, thé que consomme l'Amérique est nécessaire-
ment tiré de Chine ; et en ne mettant la livre en moyenne qu'à
4 francs, c'est une somme de 140 millions de francs pour ce
seul article que 1 commerce américain demande à Hong-Kong,
à Canton, à Chprg-haï.
Pour tous les faits divers :
ERNEST DESPLACES.
REVUE DE LA PRESSE.
Le Moniteur de la Meurthe, sous la date du 17 novembre,
nous apporte le compte rendu d'une solennité où nous avons
à recueillir de nouveaux témoignages de la faveur avec
laquelle le percement de l'isthme de Suez est jugé par tout ce
qu'il y a d'esprits éclairés en Europe. L'Académie impériale
de Nancy inaugurait la réouverture annuelle de son enseigne-
ment supérieur. Un grand éclat avait été donné à cette fête de
la science. Les chefs des autorités ecclésiastique, judiciaire,
civile, militaire, les députés au corps législatif, les officiers
de l'université, se pressaient au premier rang d'un auditoire
nombreux. Au milieu de cette brillante assemblée, le recteur
de l'Académie de Nancy, M. Faye, a prononcé un discours où,
en montrant la nécessité d'associer l'enseignement industriel
aux autres branches de l'enseignement public, il a retracé le
tableau des merveilles opérées en notre temps par l'industrie,
soit dans la guerre, soit dans la paix. -
Pour la guerre, il a rappelé tout ce que l'industrie a fait
dans l'expédition de Crimée. Pour la paix, à côté de tant de
progros accomplis, il en salue un nouveau encore plus consi-
dérable. Nous citons :
« Dans les œuvres de la paix, l'industrie, de nos jours, ne
se montre ni moins grandiose, ni plus égoïste d'inspirations,
ni plus ignorante des voies de Dieu. Un exemple va suffire.
Laissons la Crimée, où elle vient d'accomplir un prodige sans
bruit, sans effort apparent, et poussons jusqu'à l'étroite
langue de terre placée entre l'Egypte et la Judée, ce double
berceau du monde chrétien. Là, l'industrie entreprend de
Suez à Péluse un travail herculéen que les poëtes de l'anti-
quité eussent porté jusqu'aux nues (ceux d'aujourd'hui n'y
font pas attention). Croyez-vous qu'elle n'ait pas conscience
de son œuvre? Supposera-t-on que les chefs de l'entreprise,
ses commanditaires généreux, ses savants ingénieurs, -
parmi eux, messieurs, vous comptez un compatriote, - et
jusqu'à ses ouvriers intelligents, ignorent pour quel but pro-
videntiel ils travaillent? Ouvrir au commerce européen le
chemin de l'Orient, mais c'est rappeler à la vie le monde
gréco-romain enterré sous les ruines d'une barbarie séculaire;
c'est donner un but d'activité à l'Espagne, à l'Italie, qui joue-
ront ainsi dans le monde un rôle digne de leur passé ; c'est
élargir pour toutes les nations le cercle où la civilisation sem-
blait naguère condamnée à se mouvoir, ou plutôt à se replier
douloureusement sur elle-même! ».
Le compatriote auquel M. le recteur de Nancy décerne cette
mention affectueuse est M. Mougel-Bey, dont le nom et les
services restent en effet inséparables de l'œuvre à-laquelle
il s'est dévoué. Seulement, M. le recteur n'est pas tout à fait
juste envers les poëtes de notre temps. Ils ont célébré le canal
de Suez, comme on a pu le voir, dans notre premier numéro,
par la kacida du schejk Rifaat.Bey. Nous pourrions encore,
à côté de ce nom de poëte, en citer plus d'un aufate.
D'après le récit du Moniteur de la Meurthe-, M. le recteur
a terminé son discours au bruit des applaudissements de l'a -
sislance choisie qui f écoutait. Certes c'est encore une expres*-
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