Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1857-09-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 septembre 1857 01 septembre 1857
Description : 1857/09/01 (A3,N9)-1857/09/30. 1857/09/01 (A3,N9)-1857/09/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577513n
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
109 NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.— SEPTEMBRE 1857. 110
nieur principal de cette ligne, a pris le parti de construire le tunnel
par anneaux successifs, en commençant par ceux destinés à soutenir
les angles et les parties résistantes des bâtiments, et en remplissant en-
suite les intervalles par des voûtes continues faites à ciel ouvert.
Cette méthode ingénieuse, appliquée pour la première fois dans
le cas dont il s'agit, a parfaitement réussi.
Les maçonneries des cités n'ont pas manifesté le moindre mouve-
ment, et les constructions ont été rendues au service dans l'état où
elles se trouvaient avant le passage du chemin de fer.
L'ordre des travaux, pour la construction d'un anneau de soutène-
ment était le suivant :
Après avoir tracé l'axe du tunnel, étresillonné les portes et fenêtres
et étayé les points principaux de la maçonnerie, comme le montre la
figure 1 (pi. 49), on creusait, au pied des murs des divers bâtiments,
des rigoles assez profondes pour passer, sous les fondations des angles,
de gros madriers transversaux ayant 0m.35 d'équarissage [fig. 2 et 3).
Cela fait, et la maçonnerie de la maison se trouvant ainsi parfaite-
ment soutenue, on établissait d'abord, dans deux tranchées larges de
3 mètres et profondes de 8m.20, les piédroits de la voûte, et puis en-
suite la voûte elle-même, en deux opérations successives, comme le
la figure 2.
La voûte faite, on la reliait au coin de l'édifice en posant sur elle
une sorte de pyramide à faces courbes et évasées ayant pour base
les reins de la voûte et pour sommet le pied des fondations à sou-
tenir.
Il ne restait plus alors qu'à joindre ensemble les différents anneaux
du tunnel et à remblayer comme d'ordinaire.
Dans tous les cas où l'on.aura à passer à une faible profondeur sous
des bâtiments que l'on ne voudra pas exproprier ou démolir, le pro-
cédé employé par M. BASSOMPIERRE donnera les résultats les plus
satisfaisants.
Cintre en arc surbaissé, de SS".Ï© d'ouverture
du pont de Nanteuil-sur-Marne.
PL. 30.
La planche 50 représente les dessins des cintres qui ont été employés
pour la construction du pont de Nanteuil-sur-Marne, tant pour les ar-
ches de rive (fig. 1) que pour l'arche marinière (fig. 2).
Le pont dont il s'agit se compose de 3 arches métalliques de 21m.70
de portée, composées chacune de 3 fermes, supportant un tablier à
une voie.
L'ensemble de ces constructions auxiliaires est très-simple et très-
économique.
Le prix total d'un cintre est de 1,000 fr. environ, non compris les
couchis formant le plancher de montage.
Tous les bois de ce plancher, ainsi que ceux des cintres, ont servi
pour le tablier du pont.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Ré Béton Coignet,
ses propriétés, ses avantages, ses applications diverses.
(Voir les Annales de la Construction de Mars'1857.)
De nouvelles expériences ont été faites sur le béton-pisé de M. COI-
GNET, et la fabrication de ce produit paraît aujourd'hui avoir atteint
tout le degré de perfection dont elle est susceptible.
Indépendamment des constructions anciennes, édifiées il y a plu-
sieurs années déjà, par MM. COIGNET père et fils, au moyen d'un mé-
lange de chaux, de cendres et de scories de houille, l'inventeur a réalisé
récemment de nouveaux spécimens de son système, et il est parvenu à
réduire, en quelque sorte, à un minimum, les quantités employées de
chaux, de terre cuite, de cendres et de pouzzolane. Mais la principale
économie, comme l'avait déjà constaté le rapport de la Société Centrale
des Architectes, que nous avons publié en Mars 1857, provient de ce
que, pour élever un bâtiment quelconque, au lieu de n'employer
que des ouvriers spéciaux, toujours chèrement payés, il suffit de
quelques hommes intelligents, aidés de simples manoeuvres, dont les
salaires sont beaucoup moins élevés.
En résumé, M. COIGNET est parvenu aujourd'hui à fabriquer un
béton-pisé très-homogène et très-résistant, au prix, relativement mi-
nime, de 6 à 8 fr. par mètre cube, pour remplacer le moellon
ordinaire; de 12 à 15 fr. par mètre, pour remplacer la brique et la
meulière; et de 15 à 25 fr. pour remplacer la pierre de taille.
On voit que tous ces prix sont inférieurs de moitié, en général, aux
prix des matériaux ordinaires correspondants.
Comme principales applications du béton-pisé, on peut citer les
maisons de ville et de campagne, les constructions rurales économi-
ques , les maçonneries secondaires des travaux publics de toute
nature, l'établissement de canaux, égouts et réservoirs d'eau, dont
les formes les plus compliquées se moulent aussi facilement que les
parties les plus simples.
Quand on songe que tout l'empire Romain n'a guère employé que le
béton pour la construction de ses voûtes à grande portée, et que le
temps consacré au durcissement constitue la seule véritable diffé-
rence entre les mortiers romains et ceux que l'on peut composer au-
jourd'hui, on est porté à espérer que la persévérance de M. COI-
GNET à poursuivre une idée juste et utile portera enfin ses fruits,
et que, dans un avenir peu éloigné, de nombreuses applications de son
système économique, seront faites, aussi bien aux travaux publics
qu'aux constructions privées.
lie plâtre durci de M. Afoate,
Architecte et Ingénieur civil.
Les Comptes rendus de l'Académie des Sciences, du 7 juillet 1856,
contiennent un intéressant mémoire relatif à un nouveau pro-
cédé de durcissement du plâtre, inventé par M. ABATE, architecte de
Naples.
Au lieu de durcir le plâtre au moyen de la colle forte et de l'alun
(stucs ordinaires, marbres artificiels, etc.), M. ABATE se contente de
le gâcher à la vapeur, par un procédé particulier qui y introduit très-
peu d'eau, et qu'il fait suivre d'une compression énergique.
En agissant ainsi, il se base sur ce principe que « la dureté de cer-
taines variétés de gypse naturel, assimilables au marbre, ne tient qu'à
une différence dans la proportion d'eau de cristallisation, ou dans un
groupement atomique particulier. »
Il conclut de ces observations que le procédé rationnel de traitement
du plâtre, pour en fabriquer une pierre artificielle solide et durable,
doit se réduire à une synthèse pure et simple de l'opération de la nature,
dans la production de la pierre primitive.
Au lieu donc de donner au plâtre, pour le gâcher, une quantité d'eau
près de 8 fois plus considérable que celle qui se trouvait dans la pierre
primitive, M. ABATE place le plâtre dans un tambour cylindrique tour-
nant horizontalement.
Sur son axe , il met ce tambour en communication avec un généra-
teur à vapeur, de manière que le plâtre, tout en conservant son état
pulvérulent, qui masque la présence de l'eau, n'en absorbe que la
quantité strictement nécessaire.
. Avec ce plâtre on remplit les moules, on les soumet à la presse hydrau-
lique , et, après peu d'instants, on retire les produits complètement
achevés.
M. ABATE a bien voulu nous soumettre quelques échantillons de son
procédé.
Nous avons trouvé leur dureté parfaite, leur poli comparable à celui
du stuc le plus éclatant, et nous croyons que cette industrie nouvelle
est appelée à prendre un développement et qui viendra apporter un
nouvel élément de succès à l'art des décorations plastiques.
STATISTIQUE ET PRIX DE REVIENT.
Statistique technique du chemin de fer de l'Ouest.
(2° section. —Département de la Mayenne.)
M. BARREAU, Ing'en chef des Ponts et Chaussées.— M. E. CAILLAUX, Ing'ordinaire.
Parmi les lignes de chemins de fer récemment construites, une de
celles qui méritent le plus de fixer l'attention des ingénieurs, est la sec-
tion du réseau de l'Ouest comprise dans le Département de la Mayenne.
Tous les travaux de cette partie ont été conduits avec un soin et une
économie remarquables, et les documents qui la concernent ont le
plus grand intérêt. v
Voici quelques extraits d'un travail fait par M. CAILLAUX , Ingé-
nieur des Ponts et Chaussées, sur la statistique technique de la section
dont il s'agit :
CONDITIONS D'ÉTABLISSEMENT DE LA LIGNE.
Longueur. — La longueur totale du chemin de fer de l'Ouest dans
le Département de la Mayenne est de 68,199m.35.
Pentes et rampes.— La longueur des pentes et rampes au-dessus de
nieur principal de cette ligne, a pris le parti de construire le tunnel
par anneaux successifs, en commençant par ceux destinés à soutenir
les angles et les parties résistantes des bâtiments, et en remplissant en-
suite les intervalles par des voûtes continues faites à ciel ouvert.
Cette méthode ingénieuse, appliquée pour la première fois dans
le cas dont il s'agit, a parfaitement réussi.
Les maçonneries des cités n'ont pas manifesté le moindre mouve-
ment, et les constructions ont été rendues au service dans l'état où
elles se trouvaient avant le passage du chemin de fer.
L'ordre des travaux, pour la construction d'un anneau de soutène-
ment était le suivant :
Après avoir tracé l'axe du tunnel, étresillonné les portes et fenêtres
et étayé les points principaux de la maçonnerie, comme le montre la
figure 1 (pi. 49), on creusait, au pied des murs des divers bâtiments,
des rigoles assez profondes pour passer, sous les fondations des angles,
de gros madriers transversaux ayant 0m.35 d'équarissage [fig. 2 et 3).
Cela fait, et la maçonnerie de la maison se trouvant ainsi parfaite-
ment soutenue, on établissait d'abord, dans deux tranchées larges de
3 mètres et profondes de 8m.20, les piédroits de la voûte, et puis en-
suite la voûte elle-même, en deux opérations successives, comme le
la figure 2.
La voûte faite, on la reliait au coin de l'édifice en posant sur elle
une sorte de pyramide à faces courbes et évasées ayant pour base
les reins de la voûte et pour sommet le pied des fondations à sou-
tenir.
Il ne restait plus alors qu'à joindre ensemble les différents anneaux
du tunnel et à remblayer comme d'ordinaire.
Dans tous les cas où l'on.aura à passer à une faible profondeur sous
des bâtiments que l'on ne voudra pas exproprier ou démolir, le pro-
cédé employé par M. BASSOMPIERRE donnera les résultats les plus
satisfaisants.
Cintre en arc surbaissé, de SS".Ï© d'ouverture
du pont de Nanteuil-sur-Marne.
PL. 30.
La planche 50 représente les dessins des cintres qui ont été employés
pour la construction du pont de Nanteuil-sur-Marne, tant pour les ar-
ches de rive (fig. 1) que pour l'arche marinière (fig. 2).
Le pont dont il s'agit se compose de 3 arches métalliques de 21m.70
de portée, composées chacune de 3 fermes, supportant un tablier à
une voie.
L'ensemble de ces constructions auxiliaires est très-simple et très-
économique.
Le prix total d'un cintre est de 1,000 fr. environ, non compris les
couchis formant le plancher de montage.
Tous les bois de ce plancher, ainsi que ceux des cintres, ont servi
pour le tablier du pont.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Ré Béton Coignet,
ses propriétés, ses avantages, ses applications diverses.
(Voir les Annales de la Construction de Mars'1857.)
De nouvelles expériences ont été faites sur le béton-pisé de M. COI-
GNET, et la fabrication de ce produit paraît aujourd'hui avoir atteint
tout le degré de perfection dont elle est susceptible.
Indépendamment des constructions anciennes, édifiées il y a plu-
sieurs années déjà, par MM. COIGNET père et fils, au moyen d'un mé-
lange de chaux, de cendres et de scories de houille, l'inventeur a réalisé
récemment de nouveaux spécimens de son système, et il est parvenu à
réduire, en quelque sorte, à un minimum, les quantités employées de
chaux, de terre cuite, de cendres et de pouzzolane. Mais la principale
économie, comme l'avait déjà constaté le rapport de la Société Centrale
des Architectes, que nous avons publié en Mars 1857, provient de ce
que, pour élever un bâtiment quelconque, au lieu de n'employer
que des ouvriers spéciaux, toujours chèrement payés, il suffit de
quelques hommes intelligents, aidés de simples manoeuvres, dont les
salaires sont beaucoup moins élevés.
En résumé, M. COIGNET est parvenu aujourd'hui à fabriquer un
béton-pisé très-homogène et très-résistant, au prix, relativement mi-
nime, de 6 à 8 fr. par mètre cube, pour remplacer le moellon
ordinaire; de 12 à 15 fr. par mètre, pour remplacer la brique et la
meulière; et de 15 à 25 fr. pour remplacer la pierre de taille.
On voit que tous ces prix sont inférieurs de moitié, en général, aux
prix des matériaux ordinaires correspondants.
Comme principales applications du béton-pisé, on peut citer les
maisons de ville et de campagne, les constructions rurales économi-
ques , les maçonneries secondaires des travaux publics de toute
nature, l'établissement de canaux, égouts et réservoirs d'eau, dont
les formes les plus compliquées se moulent aussi facilement que les
parties les plus simples.
Quand on songe que tout l'empire Romain n'a guère employé que le
béton pour la construction de ses voûtes à grande portée, et que le
temps consacré au durcissement constitue la seule véritable diffé-
rence entre les mortiers romains et ceux que l'on peut composer au-
jourd'hui, on est porté à espérer que la persévérance de M. COI-
GNET à poursuivre une idée juste et utile portera enfin ses fruits,
et que, dans un avenir peu éloigné, de nombreuses applications de son
système économique, seront faites, aussi bien aux travaux publics
qu'aux constructions privées.
lie plâtre durci de M. Afoate,
Architecte et Ingénieur civil.
Les Comptes rendus de l'Académie des Sciences, du 7 juillet 1856,
contiennent un intéressant mémoire relatif à un nouveau pro-
cédé de durcissement du plâtre, inventé par M. ABATE, architecte de
Naples.
Au lieu de durcir le plâtre au moyen de la colle forte et de l'alun
(stucs ordinaires, marbres artificiels, etc.), M. ABATE se contente de
le gâcher à la vapeur, par un procédé particulier qui y introduit très-
peu d'eau, et qu'il fait suivre d'une compression énergique.
En agissant ainsi, il se base sur ce principe que « la dureté de cer-
taines variétés de gypse naturel, assimilables au marbre, ne tient qu'à
une différence dans la proportion d'eau de cristallisation, ou dans un
groupement atomique particulier. »
Il conclut de ces observations que le procédé rationnel de traitement
du plâtre, pour en fabriquer une pierre artificielle solide et durable,
doit se réduire à une synthèse pure et simple de l'opération de la nature,
dans la production de la pierre primitive.
Au lieu donc de donner au plâtre, pour le gâcher, une quantité d'eau
près de 8 fois plus considérable que celle qui se trouvait dans la pierre
primitive, M. ABATE place le plâtre dans un tambour cylindrique tour-
nant horizontalement.
Sur son axe , il met ce tambour en communication avec un généra-
teur à vapeur, de manière que le plâtre, tout en conservant son état
pulvérulent, qui masque la présence de l'eau, n'en absorbe que la
quantité strictement nécessaire.
. Avec ce plâtre on remplit les moules, on les soumet à la presse hydrau-
lique , et, après peu d'instants, on retire les produits complètement
achevés.
M. ABATE a bien voulu nous soumettre quelques échantillons de son
procédé.
Nous avons trouvé leur dureté parfaite, leur poli comparable à celui
du stuc le plus éclatant, et nous croyons que cette industrie nouvelle
est appelée à prendre un développement et qui viendra apporter un
nouvel élément de succès à l'art des décorations plastiques.
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Tous les travaux de cette partie ont été conduits avec un soin et une
économie remarquables, et les documents qui la concernent ont le
plus grand intérêt. v
Voici quelques extraits d'un travail fait par M. CAILLAUX , Ingé-
nieur des Ponts et Chaussées, sur la statistique technique de la section
dont il s'agit :
CONDITIONS D'ÉTABLISSEMENT DE LA LIGNE.
Longueur. — La longueur totale du chemin de fer de l'Ouest dans
le Département de la Mayenne est de 68,199m.35.
Pentes et rampes.— La longueur des pentes et rampes au-dessus de
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