Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1857-06-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 juin 1857 01 juin 1857
Description : 1857/06/01 (A3,N6)-1857/06/30. 1857/06/01 (A3,N6)-1857/06/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577508b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
71
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.
JUIN 1857.
72
Les élèves de la colonie sont répartis, autant que possible, par rang
d'âge, en huit divisions, dont chacune a un signe distinctif.
Chaque division est sous les ordres d'un inspecteur, et se décompose
en sections ayant à leur tête des chefs de section.
Emploi du temps. La division du temps est faite de telle sorte que
les élèves sont sans cesse occupés, que leurs exercices sont variés, et
qu'ils ne puissent, à aucun moment, se soustraire à une surveillance très-
active et aux règles d'une discipline rigoureuse.
En semaine, il y a, sur les 17 heures du jour (de 4 h. 45 à 9 h. 45) :
Pour le travail 8h 30
Pour instruction et religion 21' 30
Pour chant et musique lh
Pour gymnastique et exercices ih 30
Pour repas O 1' 45
Pour récréation lh 15
Pour lever, coucher et prières lh 20
Total, IT'00
Nature des travaux. Les travaux de la colonie sont de trois espèces :
agricoles, industriels et domestiques.
Les premiers comprennent la grande culture, le jardinage, l'élève
des arbres, l'entretien de la ferme, le service des écuries, vacheries
tt porcheries, représentées en détail par la planche 34; lé service des
fosses à engrais, des basses-cours, de la laiterie, des véhicules, et la
comptabilité agricole.
Les travaux industiels sont tous ceux relatifs à la main-d'oeuvre du
lin et du coton, la fabrication des étoffes, des meubles, des outils et
ustensiles de diverse nature, nécessaires à la colonie, la menuiserie,
la serrurerie, le charronnage, la sellerie, la vannerie, le tressage de
la paille, la confection d'habillements, de chapeaux et de chaussures.
Enfin, les travaux domestiques sont ceux relatifs à l'entretien des salles
et des cuisines, de la boulangerie, de l'infirmerie et des magasins, le
chauffage, et l'éclairage de l'établissement.
Indépendamment de ce qui précède, certains élèves sont formés
spécialement au service de la marine, et c'est à cet effet que l'on a
installé, à l'entrée même de la colonie, le bâtiment modèle où les futurs
mousses ou matelots sont instruits par un officier spécial.
Infirmerie et service médical. Ceux des enfants admis à Ruysselede,
qui sont affectés, à leur entrée, de maladies des yeux, de scrofules ou
autres maladies, sont soumis à un régime médical appropriés à leur
état, et une infirmerie, très-bien disposée, reçoit ceux qui tombent
malades durant leur séjour à l'établissement.
Situation financière de rétablissement. Le but constant des efforts de
ce genre de colonies doit être de couvrir, par les résultats de leur pro-
pre travail, les dépenses de toute nature qui sont nécessaires à leur éta-
blissement et à leur entretien.
L'institution de Ruysselede est, sous ce rapport, une de celles qui
sont dans l'état le plus florissant, et c'est par ce motif que nous l'avons
publiée de préférence.
Une somme de 1,348,915 francs, dépensée paT le gouvernement
belge, de 1849 à 1854 , pour la création et l'entretien de cette colonie,
a été, en effet, plus que couverte, en 1854, par une série de rembour-
sements, se montant ensemble à 447,918 francs, et par un inventaire
général, accusant, pour meubles et immeubles, une valeur totale
de 833,738 francs, sans tenir compte d'une augmentation de* valeur
du simple au double, pour les 126 hectares de culture attribués à la
colonie.
En divisant par cinq la somme de 447,918 francs qui a été remboursée
en cinq ans, on trouverait donc pour revenu annuel de la colonie près
de 90,000 francs, c'est-à dire que l'intérêt du capital serait supérieur à
6 p. 100.
REVUE DES CHEMINS DE FER.
Chemin «le fer des Ardennes et de l'Oise.
Le jury d'expropriation pour l'arrondissement de Réthd s'est réuni
le 4 mai dernier. Par suite la compagnie va être en possession de pres-
que tous les terrains. Très-peu de propriétaires ont refusé de traiter.
Les travaux entre Rethel et Rheims sont très-avancés.
Entre Montelain et Mezières on marche également assez bien : La
grande tranchée de la crête est très-bien conduite. Les froids exces-
sifs qui ont sévi dans le courant du mois de mars ont empêché la re-
prise des ouvrages d'art qui, dans cette partie, se réduisent du reste à
des ponts qui ne dépassent pas 13 mètres de débouché linéaire.
A Mezières on franchit deux fois la Meuse aux deux extrémités d'un
souterrain. Le pont aval est fermé et décintré. Le pont amont a ses
pileshors de l'eau ; on achève les fondations des culées.
Le souterrain lui-même est percé de bout en bout, en galerie. On
vient de commencer les abatages des voûtes et les maçonneries.
Entre Mezières et Sedan on pousse les travaux très-activement.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Utilisation «les croûtes de nois «le rebut
pour le renforcement économique des poutres de plancher.
Par M. LAGOUT, Ingénieur des Ponts et Chaussées.
(Chemin de fer du Midi.)
Le point de départ de cette application ingénieuse consiste dans l'ob-
servation que le bois, résistant moins à la compression qu'à l'extension,
la section normale à donner à une solive de plancher est. autant
que possible, celle d'un T présentant plus de masse en haut qu'en bas.
M. LAGOUT a fait exécuter au chemin de fer du Midi des stations et
des maisons de garde, où le haut des solives, posées de champ, est
renforcé à droite et à gauche par deux joues simplement clouées , et
consistant en bois de rebut de très-peu de valeur, produit en abon-
dance par les scieries du Midi.
On a trouvé, par ce fait, une économie de plus de 30 0/0, et partout
où les dosses des bois de sciage pourront être obtenues à pied
d'oeuvre à un prix très-peu élevé, il pourra y avoir avantage à em-
ployer ce système dont la résistance, d'après les expériences de
M. LAGOUT, est près- du double de celui des poutres non armées et
non cambrées par l'adjonction des deux dosses de rebut.
Nous reviendrons dans un prochain numéro, sur cette utile appli-
cation et sur d'autres analogues faites par le même auteur.
Mas-lires noirs artificiels
de M. VALÉRIO, Ingénieur civil, à Paris.
Parmi tous les produits vitrifiés qui ont été proposés dans ces der-
niers temps pour le revêtement et la décoration des édifices, un des
plus intéressants et des plus agréables à l'aspect, est sans contredit le
marbre noir artificiel fabriqué par M. VALÉUIO avec les scories des
hauts fourneaux, combinées à diverses autres matières.
Ce produit paraît appelé à un grand avenir, tant par son économie
relative que par ses qualités spéciales.
Son prix de revient, par mètre quarré, sur une épaisseur de 1 à 2
centimètres n'est que de 15 à 20 fr. au lieu de 30 à 40 fr. que coûte
la même surface en marbre noir naturel. C'est donc une économie
de 50 p. 0/0, et l'on a de plus la facilité d'obtenir le produit en pla-
ques ou en masses compactes de toutes formes et de toutes grandeurs.
Les usages auxquels se prête cette substance sont d'ailleurs beau-
coup plus nombreux que ceux des marbres ordinaires.
Indépendamment du remplacement avantageux de ces derniers
pour dessus de cheminée, dessus de poêle, tables de café, de- res-
taurant, socles, plaques d'enseignes et panneaux de magasins, son
insensibilité complète à toutes les actions chimiques le rend émine-
ment propre au revêtement des urinoirs, des bassins et réservoirs où
se conservent des liquides acides ou alcalins, à la construction des fil-
tres et des fontaines, à la composition des tables de cuisine, de labo-
ratoire ou d'officine, au revêtement des baignoires pour bains sulfu-
reux, etc.
La surface dépolie du marbre artificiel se prête d'ailleurs parfaite-
ment à la dorure, à l'argenture et à l'application de couleurs vitri-
fiables.
En cas de souillure par la poussière ou par la boue, il suffit d'y
passer l'éponge pour lui rendre en un instant l'aspect luisant et frais
qui le caractérise.
Il y a là , en un mot, une source nouvelle et importante d'applica-
tions utiles, et il serait très-désirable que l'inventeur fût à même de
réaliser son produit sur une grande échelle, afin d'en répandre l'usage
et d'en réduire encore, s'il est possible, le prix de revient en fa-
brique.
C. A. OPPERMANN, DIRECTEUR,
11, rue des Beaux-Arts, à Paris.
Taris. — Imprimé par E. THUNOT et l>, M, rue Racine,
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.
JUIN 1857.
72
Les élèves de la colonie sont répartis, autant que possible, par rang
d'âge, en huit divisions, dont chacune a un signe distinctif.
Chaque division est sous les ordres d'un inspecteur, et se décompose
en sections ayant à leur tête des chefs de section.
Emploi du temps. La division du temps est faite de telle sorte que
les élèves sont sans cesse occupés, que leurs exercices sont variés, et
qu'ils ne puissent, à aucun moment, se soustraire à une surveillance très-
active et aux règles d'une discipline rigoureuse.
En semaine, il y a, sur les 17 heures du jour (de 4 h. 45 à 9 h. 45) :
Pour le travail 8h 30
Pour instruction et religion 21' 30
Pour chant et musique lh
Pour gymnastique et exercices ih 30
Pour repas O 1' 45
Pour récréation lh 15
Pour lever, coucher et prières lh 20
Total, IT'00
Nature des travaux. Les travaux de la colonie sont de trois espèces :
agricoles, industriels et domestiques.
Les premiers comprennent la grande culture, le jardinage, l'élève
des arbres, l'entretien de la ferme, le service des écuries, vacheries
tt porcheries, représentées en détail par la planche 34; lé service des
fosses à engrais, des basses-cours, de la laiterie, des véhicules, et la
comptabilité agricole.
Les travaux industiels sont tous ceux relatifs à la main-d'oeuvre du
lin et du coton, la fabrication des étoffes, des meubles, des outils et
ustensiles de diverse nature, nécessaires à la colonie, la menuiserie,
la serrurerie, le charronnage, la sellerie, la vannerie, le tressage de
la paille, la confection d'habillements, de chapeaux et de chaussures.
Enfin, les travaux domestiques sont ceux relatifs à l'entretien des salles
et des cuisines, de la boulangerie, de l'infirmerie et des magasins, le
chauffage, et l'éclairage de l'établissement.
Indépendamment de ce qui précède, certains élèves sont formés
spécialement au service de la marine, et c'est à cet effet que l'on a
installé, à l'entrée même de la colonie, le bâtiment modèle où les futurs
mousses ou matelots sont instruits par un officier spécial.
Infirmerie et service médical. Ceux des enfants admis à Ruysselede,
qui sont affectés, à leur entrée, de maladies des yeux, de scrofules ou
autres maladies, sont soumis à un régime médical appropriés à leur
état, et une infirmerie, très-bien disposée, reçoit ceux qui tombent
malades durant leur séjour à l'établissement.
Situation financière de rétablissement. Le but constant des efforts de
ce genre de colonies doit être de couvrir, par les résultats de leur pro-
pre travail, les dépenses de toute nature qui sont nécessaires à leur éta-
blissement et à leur entretien.
L'institution de Ruysselede est, sous ce rapport, une de celles qui
sont dans l'état le plus florissant, et c'est par ce motif que nous l'avons
publiée de préférence.
Une somme de 1,348,915 francs, dépensée paT le gouvernement
belge, de 1849 à 1854 , pour la création et l'entretien de cette colonie,
a été, en effet, plus que couverte, en 1854, par une série de rembour-
sements, se montant ensemble à 447,918 francs, et par un inventaire
général, accusant, pour meubles et immeubles, une valeur totale
de 833,738 francs, sans tenir compte d'une augmentation de* valeur
du simple au double, pour les 126 hectares de culture attribués à la
colonie.
En divisant par cinq la somme de 447,918 francs qui a été remboursée
en cinq ans, on trouverait donc pour revenu annuel de la colonie près
de 90,000 francs, c'est-à dire que l'intérêt du capital serait supérieur à
6 p. 100.
REVUE DES CHEMINS DE FER.
Chemin «le fer des Ardennes et de l'Oise.
Le jury d'expropriation pour l'arrondissement de Réthd s'est réuni
le 4 mai dernier. Par suite la compagnie va être en possession de pres-
que tous les terrains. Très-peu de propriétaires ont refusé de traiter.
Les travaux entre Rethel et Rheims sont très-avancés.
Entre Montelain et Mezières on marche également assez bien : La
grande tranchée de la crête est très-bien conduite. Les froids exces-
sifs qui ont sévi dans le courant du mois de mars ont empêché la re-
prise des ouvrages d'art qui, dans cette partie, se réduisent du reste à
des ponts qui ne dépassent pas 13 mètres de débouché linéaire.
A Mezières on franchit deux fois la Meuse aux deux extrémités d'un
souterrain. Le pont aval est fermé et décintré. Le pont amont a ses
pileshors de l'eau ; on achève les fondations des culées.
Le souterrain lui-même est percé de bout en bout, en galerie. On
vient de commencer les abatages des voûtes et les maçonneries.
Entre Mezières et Sedan on pousse les travaux très-activement.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Utilisation «les croûtes de nois «le rebut
pour le renforcement économique des poutres de plancher.
Par M. LAGOUT, Ingénieur des Ponts et Chaussées.
(Chemin de fer du Midi.)
Le point de départ de cette application ingénieuse consiste dans l'ob-
servation que le bois, résistant moins à la compression qu'à l'extension,
la section normale à donner à une solive de plancher est. autant
que possible, celle d'un T présentant plus de masse en haut qu'en bas.
M. LAGOUT a fait exécuter au chemin de fer du Midi des stations et
des maisons de garde, où le haut des solives, posées de champ, est
renforcé à droite et à gauche par deux joues simplement clouées , et
consistant en bois de rebut de très-peu de valeur, produit en abon-
dance par les scieries du Midi.
On a trouvé, par ce fait, une économie de plus de 30 0/0, et partout
où les dosses des bois de sciage pourront être obtenues à pied
d'oeuvre à un prix très-peu élevé, il pourra y avoir avantage à em-
ployer ce système dont la résistance, d'après les expériences de
M. LAGOUT, est près- du double de celui des poutres non armées et
non cambrées par l'adjonction des deux dosses de rebut.
Nous reviendrons dans un prochain numéro, sur cette utile appli-
cation et sur d'autres analogues faites par le même auteur.
Mas-lires noirs artificiels
de M. VALÉRIO, Ingénieur civil, à Paris.
Parmi tous les produits vitrifiés qui ont été proposés dans ces der-
niers temps pour le revêtement et la décoration des édifices, un des
plus intéressants et des plus agréables à l'aspect, est sans contredit le
marbre noir artificiel fabriqué par M. VALÉUIO avec les scories des
hauts fourneaux, combinées à diverses autres matières.
Ce produit paraît appelé à un grand avenir, tant par son économie
relative que par ses qualités spéciales.
Son prix de revient, par mètre quarré, sur une épaisseur de 1 à 2
centimètres n'est que de 15 à 20 fr. au lieu de 30 à 40 fr. que coûte
la même surface en marbre noir naturel. C'est donc une économie
de 50 p. 0/0, et l'on a de plus la facilité d'obtenir le produit en pla-
ques ou en masses compactes de toutes formes et de toutes grandeurs.
Les usages auxquels se prête cette substance sont d'ailleurs beau-
coup plus nombreux que ceux des marbres ordinaires.
Indépendamment du remplacement avantageux de ces derniers
pour dessus de cheminée, dessus de poêle, tables de café, de- res-
taurant, socles, plaques d'enseignes et panneaux de magasins, son
insensibilité complète à toutes les actions chimiques le rend émine-
ment propre au revêtement des urinoirs, des bassins et réservoirs où
se conservent des liquides acides ou alcalins, à la construction des fil-
tres et des fontaines, à la composition des tables de cuisine, de labo-
ratoire ou d'officine, au revêtement des baignoires pour bains sulfu-
reux, etc.
La surface dépolie du marbre artificiel se prête d'ailleurs parfaite-
ment à la dorure, à l'argenture et à l'application de couleurs vitri-
fiables.
En cas de souillure par la poussière ou par la boue, il suffit d'y
passer l'éponge pour lui rendre en un instant l'aspect luisant et frais
qui le caractérise.
Il y a là , en un mot, une source nouvelle et importante d'applica-
tions utiles, et il serait très-désirable que l'inventeur fût à même de
réaliser son produit sur une grande échelle, afin d'en répandre l'usage
et d'en réduire encore, s'il est possible, le prix de revient en fa-
brique.
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