Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1857-05-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 mai 1857 01 mai 1857
Description : 1857/05/01 (A3,N5)-1857/05/31. 1857/05/01 (A3,N5)-1857/05/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577507x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
61
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. —MAI 1857.
62
On enlève les derniers cintres du viaduc de La Fure, qui, sur un seul
rang d'arcades, s'élève à 42 mètres au-dessus du lit du torrent.
Le tunnel de Creil, d'environ 600 mètres, près de Voiron, est pres-
que terminé. Reste à construire celui de la Roize sous Voreppe, auquel
on travaille jour et nuit.
Le sol, rendu imperméable au moyen d'une forte couche de terre
glaise, permet aux ouvriers de continuer leurs travaux. Ce tunnel, de
300 mètres terminé, la ligne de Rives à la Buisserate pourra entrer en
exploitation.
La pose des rails s'opère sur double voie de Grenoble à la rencontre
des lignes de Lyon et de Saint-Rambert.
Le viaduc sur l'Isère est très-avancé; la mise en exploitation de la
ligne pourra avoir lieu dans le courant du mois de Juin prochain.
NOTES ET DOCUMENTS.
IHarcjuises et abris en fer, «les chemins «le fer «le l'Est.
M. GRENIER, Ingénieur principal de la ligne de Paris à Strasbourg.
Pi. 25-26.
La couverture des voies et des trottoirs dans les stations secondaires
est un des progrès les plus importants qui restent à réaliser dans la
construction de"s chemins de fer.
Voici un exemple de ce qui a été tenté pour garantir les trottoirs jus-
qu'aux abords des voies, dans les nouvelles stations du chemin de fer
de l'Est.
Les couvertures représentées par la planche 25-26 sont entièrement
en tôle ondulée et en fer forgé. Les colonnettes-supports sont en fonte,
et ont 13m.50 d'espacement. Le système consiste en une poutrelle
principale, haute de 0'n.50 qui relie entre elles les colonnettes-sup-
ports, parallèlement au bâtiment. Les fermettes secondaires de la cou-
verture portent sur elle, à des distances de lm.857 d'axe en axe.
La pente des eaux est dirigée vers le bâtiment, et la rigole est contre
le mur.
Des consoles en fonte maintiennent les angles droits entre les fer-
mettes et la muraille et supportent le cheneau.
D'autres consoles analogues sont placées contre les colonnettes pour
soutenir les angles de la couverture.
Le prix de ce genre de couverture a été indiqué comme étant de 29 fr.
par mètre quarré.
La Compagnie prend à sa charge tous les transports sur son chemin
de fer. Elle fournit et pose les dés en pierre de taille refouillës qui re-
çoivent la base des colonnettes. Elle fournit et pose aussi le lambrequin
en bois ; enfin elle fait les scellements des consoles dans les murs.
Charpente «les écuries «le la Compagnie Impériale
des voitures de Paris.
Barrière d'Enfer. — 16 mètres d'ouverture.
PL. 27.
Les écuries de la Compagnie Impériale des voitures de Paris sont une
des constructions les plus intéressantes de ce genre qui aient été faites
dans ces derniers temps.
M. BEIXU, bien connu déjà par les remarquables travaux en char-
pente qu'il a exécutés à la Sainte-Chapelle de Paris, les a établies avec
ce soin et cette judicieuse disposition des pièces, qu'il met dans tous les
ouvrages dont il est chargé.
Détail des pièces en sapin d'une travée :
1 Entrait portant plancher 22x25
2 Arbalétriers. 20x23
2 Moises , 08x20
14 Chevrons 08x09
4 Pannes 18x20
Liens de faîtage 14x16
Filets sous les poteaux 26x30
Cube total : 7st.804.
Détail des pièces en chêne :
2 Faux entraits 20x25
2 Jambes de force moises 10x23
1 Poinçon 20x20
2 Poteaux portant plancher 24x24
Cube total : 0S'.836.
Devis.
En comptant les bois de sapin neuf, de sciage sur quatre faces, comme
bois refait de lre classe (série Morel, n° 90) à 116 fr. le mètre cube, on
trouve, pour une première partie du bois de sapin 4st .434
soit, à 116 fr 514f.34
3m.370 cubes en bois de sapin neuf, sciage assemblé, à
92f.90 (n°s75 et 208) 313f,07
Enfin, 0m.836 cubes de bois neuf de chêne, sciage sur quatre
faces, considéré comme bois refait (série Morel, n° 55) à
170'.5Q le stère 142f,53
Total. . . 969f.94
pour 64 mètres superficiels d'une travée, ce qui fait, par mètre, 15r.15
pour la charpente seulement, y compris les chevrons et les pièces por-
tant le plancher.
Garde-corps économiques en fer chantourné.
Par M. CROIZETTE-DESNOYERS, Ingénieur des Ponts et Chaussées.
Chemin de fer de Saint-Germain-des-Fossés à Roanne.
PL. 28.
Les garde-corps dont il s'agit sont composés de fers plats et de fers T
extrêmement légers, et peuvent ainsi rivaliser d'économie, non-seule-
ment avec tous les autres garde-corps en fer, mais même avec les garde-
corps en bois, en tenanteompte de la dépense etdes sujétions d'entretien.
Leur aspect est très-agréable. Le chantournement du fer produit un
mouvement à l'oeil et des jeux d'ombre et de lumière, qui contribuent
beaucoup au bon effet de l'ensemble.
Le poids total, par mètre courant, n'est que de 18 kilogrammes. Le
prix total n'est que de 22f.50 à 25 fr., suivant le cours des fers. Tous
les détails de section et d'assemblage sont indiqués sur la planche.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Note sur la préparation «les traverses «le chemin «le fer.
Par M. DESORMEAUX, attaché au chemin de fer d'Orléans.
L'entretien et le renouvellement des matériaux qui composent la voie
des chemins de fer soulèvent de graves questions de sécurité publique,
et les frais considérables qui en résultent ont depuis longtemps attiré
l'attention de toutes les personnes qui se préoccupent de l'avenir de
ces voies de communication.
Un des problèmes les plus importants, par la dépense et les difficultés
toujours croissantes qu'entraîne sa solution, est celui de la conserva-
tion des traverses ou longrines en bois.
Toutes les tentatives faites jusqu'à présent pour les supprimer ou les
remplacer par d'autres systèmes, ont eu des résultats peu satisfaisants.
Il est donc inutile de les détailler, et, la nécessité d'employer des sup-
ports en bois étant admise, au moins jusqu'à preuve-du contraire, le but
que l'on doit se proposer d'atteindre est de prolonger leur durée aussi
longtemps que possible au delà du terme de 12 ans pour le chêne, de
8 ans pour le hêtre et de 6 à 7 ans pour le sapin.
Procédé BOUCHERIE perfectionné,
appliqué au chemin de fer du Nord.
On sait que le point de départ du procédé BOUCHERIE est l'absorption
des sels préservateurs par le mouvement ascensionnel de la sève, en
laissant l'arbre sur pied, garni d'une partie de ses feuilles, et en entou-
rant sa base, convenablement entaillée , d'une cuve où l'on met une
dissolution de pyroliguite de fer, de sublimé corrosif ou de créosote
impure.
Mais ce procédé est d'une application difficile, en ce qu'il exige que
l'on opère dans les forêts même, sur des végétaux encore vivants, et,
par suite, il n'a pas tardé à être abandonné.
Au chemin du Nord, on a préparé un grand nombre de traverses en
hêtre, par le procédé BOUCHERIE perfectionné, en se servant de sulfate
de cuivre.
Pour appliquer ce procédé , on prend une pièce de bois de hêtre ,
généralement ronde, ayant deux fois la longueur d'une traverse. On la
couche sur le sol, et, à égale distance des extrémités, on donne un trait
de scie très profond, qui ne laisse intacte qu'une petite portion de
l'épaisseur à la partie inférieure.
Faisant ensuite passer une cale sous la traverse, au-dessous du trait
de scie, on fait bailler la fente jusqu'à ce que sa partie supérieure
s'ouvre de 15 milimètres environ.
Dans cette fente on introduit, sur toule la circonférence, un bout de
corde goudronnée, plus épais au milieu qu'à l'extrémité, on abaisse la
cale , pour resserrer la fente et pincer énergiquement la corde, puis on
introduit, par un trou pratiqué dans la partie supérieure de la corde ou
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. —MAI 1857.
62
On enlève les derniers cintres du viaduc de La Fure, qui, sur un seul
rang d'arcades, s'élève à 42 mètres au-dessus du lit du torrent.
Le tunnel de Creil, d'environ 600 mètres, près de Voiron, est pres-
que terminé. Reste à construire celui de la Roize sous Voreppe, auquel
on travaille jour et nuit.
Le sol, rendu imperméable au moyen d'une forte couche de terre
glaise, permet aux ouvriers de continuer leurs travaux. Ce tunnel, de
300 mètres terminé, la ligne de Rives à la Buisserate pourra entrer en
exploitation.
La pose des rails s'opère sur double voie de Grenoble à la rencontre
des lignes de Lyon et de Saint-Rambert.
Le viaduc sur l'Isère est très-avancé; la mise en exploitation de la
ligne pourra avoir lieu dans le courant du mois de Juin prochain.
NOTES ET DOCUMENTS.
IHarcjuises et abris en fer, «les chemins «le fer «le l'Est.
M. GRENIER, Ingénieur principal de la ligne de Paris à Strasbourg.
Pi. 25-26.
La couverture des voies et des trottoirs dans les stations secondaires
est un des progrès les plus importants qui restent à réaliser dans la
construction de"s chemins de fer.
Voici un exemple de ce qui a été tenté pour garantir les trottoirs jus-
qu'aux abords des voies, dans les nouvelles stations du chemin de fer
de l'Est.
Les couvertures représentées par la planche 25-26 sont entièrement
en tôle ondulée et en fer forgé. Les colonnettes-supports sont en fonte,
et ont 13m.50 d'espacement. Le système consiste en une poutrelle
principale, haute de 0'n.50 qui relie entre elles les colonnettes-sup-
ports, parallèlement au bâtiment. Les fermettes secondaires de la cou-
verture portent sur elle, à des distances de lm.857 d'axe en axe.
La pente des eaux est dirigée vers le bâtiment, et la rigole est contre
le mur.
Des consoles en fonte maintiennent les angles droits entre les fer-
mettes et la muraille et supportent le cheneau.
D'autres consoles analogues sont placées contre les colonnettes pour
soutenir les angles de la couverture.
Le prix de ce genre de couverture a été indiqué comme étant de 29 fr.
par mètre quarré.
La Compagnie prend à sa charge tous les transports sur son chemin
de fer. Elle fournit et pose les dés en pierre de taille refouillës qui re-
çoivent la base des colonnettes. Elle fournit et pose aussi le lambrequin
en bois ; enfin elle fait les scellements des consoles dans les murs.
Charpente «les écuries «le la Compagnie Impériale
des voitures de Paris.
Barrière d'Enfer. — 16 mètres d'ouverture.
PL. 27.
Les écuries de la Compagnie Impériale des voitures de Paris sont une
des constructions les plus intéressantes de ce genre qui aient été faites
dans ces derniers temps.
M. BEIXU, bien connu déjà par les remarquables travaux en char-
pente qu'il a exécutés à la Sainte-Chapelle de Paris, les a établies avec
ce soin et cette judicieuse disposition des pièces, qu'il met dans tous les
ouvrages dont il est chargé.
Détail des pièces en sapin d'une travée :
1 Entrait portant plancher 22x25
2 Arbalétriers. 20x23
2 Moises , 08x20
14 Chevrons 08x09
4 Pannes 18x20
Liens de faîtage 14x16
Filets sous les poteaux 26x30
Cube total : 7st.804.
Détail des pièces en chêne :
2 Faux entraits 20x25
2 Jambes de force moises 10x23
1 Poinçon 20x20
2 Poteaux portant plancher 24x24
Cube total : 0S'.836.
Devis.
En comptant les bois de sapin neuf, de sciage sur quatre faces, comme
bois refait de lre classe (série Morel, n° 90) à 116 fr. le mètre cube, on
trouve, pour une première partie du bois de sapin 4st .434
soit, à 116 fr 514f.34
3m.370 cubes en bois de sapin neuf, sciage assemblé, à
92f.90 (n°s75 et 208) 313f,07
Enfin, 0m.836 cubes de bois neuf de chêne, sciage sur quatre
faces, considéré comme bois refait (série Morel, n° 55) à
170'.5Q le stère 142f,53
Total. . . 969f.94
pour 64 mètres superficiels d'une travée, ce qui fait, par mètre, 15r.15
pour la charpente seulement, y compris les chevrons et les pièces por-
tant le plancher.
Garde-corps économiques en fer chantourné.
Par M. CROIZETTE-DESNOYERS, Ingénieur des Ponts et Chaussées.
Chemin de fer de Saint-Germain-des-Fossés à Roanne.
PL. 28.
Les garde-corps dont il s'agit sont composés de fers plats et de fers T
extrêmement légers, et peuvent ainsi rivaliser d'économie, non-seule-
ment avec tous les autres garde-corps en fer, mais même avec les garde-
corps en bois, en tenanteompte de la dépense etdes sujétions d'entretien.
Leur aspect est très-agréable. Le chantournement du fer produit un
mouvement à l'oeil et des jeux d'ombre et de lumière, qui contribuent
beaucoup au bon effet de l'ensemble.
Le poids total, par mètre courant, n'est que de 18 kilogrammes. Le
prix total n'est que de 22f.50 à 25 fr., suivant le cours des fers. Tous
les détails de section et d'assemblage sont indiqués sur la planche.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Note sur la préparation «les traverses «le chemin «le fer.
Par M. DESORMEAUX, attaché au chemin de fer d'Orléans.
L'entretien et le renouvellement des matériaux qui composent la voie
des chemins de fer soulèvent de graves questions de sécurité publique,
et les frais considérables qui en résultent ont depuis longtemps attiré
l'attention de toutes les personnes qui se préoccupent de l'avenir de
ces voies de communication.
Un des problèmes les plus importants, par la dépense et les difficultés
toujours croissantes qu'entraîne sa solution, est celui de la conserva-
tion des traverses ou longrines en bois.
Toutes les tentatives faites jusqu'à présent pour les supprimer ou les
remplacer par d'autres systèmes, ont eu des résultats peu satisfaisants.
Il est donc inutile de les détailler, et, la nécessité d'employer des sup-
ports en bois étant admise, au moins jusqu'à preuve-du contraire, le but
que l'on doit se proposer d'atteindre est de prolonger leur durée aussi
longtemps que possible au delà du terme de 12 ans pour le chêne, de
8 ans pour le hêtre et de 6 à 7 ans pour le sapin.
Procédé BOUCHERIE perfectionné,
appliqué au chemin de fer du Nord.
On sait que le point de départ du procédé BOUCHERIE est l'absorption
des sels préservateurs par le mouvement ascensionnel de la sève, en
laissant l'arbre sur pied, garni d'une partie de ses feuilles, et en entou-
rant sa base, convenablement entaillée , d'une cuve où l'on met une
dissolution de pyroliguite de fer, de sublimé corrosif ou de créosote
impure.
Mais ce procédé est d'une application difficile, en ce qu'il exige que
l'on opère dans les forêts même, sur des végétaux encore vivants, et,
par suite, il n'a pas tardé à être abandonné.
Au chemin du Nord, on a préparé un grand nombre de traverses en
hêtre, par le procédé BOUCHERIE perfectionné, en se servant de sulfate
de cuivre.
Pour appliquer ce procédé , on prend une pièce de bois de hêtre ,
généralement ronde, ayant deux fois la longueur d'une traverse. On la
couche sur le sol, et, à égale distance des extrémités, on donne un trait
de scie très profond, qui ne laisse intacte qu'une petite portion de
l'épaisseur à la partie inférieure.
Faisant ensuite passer une cale sous la traverse, au-dessous du trait
de scie, on fait bailler la fente jusqu'à ce que sa partie supérieure
s'ouvre de 15 milimètres environ.
Dans cette fente on introduit, sur toule la circonférence, un bout de
corde goudronnée, plus épais au milieu qu'à l'extrémité, on abaisse la
cale , pour resserrer la fente et pincer énergiquement la corde, puis on
introduit, par un trou pratiqué dans la partie supérieure de la corde ou
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 97.09%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 97.09%.
- Collections numériques similaires Corpus : Art de l'ingénieur Corpus : Art de l'ingénieur /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp15"Cosmos (1852) /ark:/12148/bd6t51143731d.highres Archives des découvertes et des inventions nouvelles faites dans les sciences, les arts et les manufactures, tant en France que dans les pays étrangers pendant l'année ... : avec l'indication succincte des principaux produits de l'industrie française ; la liste des brevets d'invention, de perfectionnement et d'importation, accordés par le gouvernement pendant la même année, et des notices sur les prix proposés ou décernés par différentes sociétés savantes, françaises et étrangères, pour l'encouragement des sciences et des arts /ark:/12148/bd6t53887780b.highresThématique : ingénierie, génie civil Thématique : ingénierie, génie civil /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCthèm02"
- Auteurs similaires Oppermann Charles Alfred Oppermann Charles Alfred /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Oppermann Charles Alfred" or dc.contributor adj "Oppermann Charles Alfred")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 3/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k5577507x/f3.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k5577507x/f3.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k5577507x/f3.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k5577507x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k5577507x
Facebook
Twitter