Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1857-04-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 avril 1857 01 avril 1857
Description : 1857/04/01 (A3,N4)-1857/04/30. 1857/04/01 (A3,N4)-1857/04/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55775053
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
kl NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — AVRIL 1857. 48
de telle sorte qu'il est propre, aussitôt achevé, à recevoir les maçon-
neries de la pile.
A mesure que le travail a lieu, on a soin de jeter des enrochements à
l'extérieur de l'enceinte en pilotis, afin de la soutenir et d'empêcher sa
déformation.
Lorsque l'enceinte est pleine de béton jusqu'à une hauteur de quel-
ques centimètres au-dessus du niveau de l'eau, on commence les ma-
çonneries de la manière suivante :
On pratique dans le massif de béton, à l'emplacement correspondant
aux parements de la pile, un fossé de 0m.70 à 0m.80 de largeur, et dont
le fond est situé à 0m.50 environ au-dessous de l'étiage. Dans ce fossé
•que l'on a soin de mettre à sec des eaux d'infiltration au moyen de
l'écope, on pose alors une assise en pierre de taille, qui forme le socle
de la pile ; on garnit ensuite avec du béton les vides existants derrière
cette assise, et, sur le tout, on élève les maçonneries.
Plus tard, quand la pile est terminée, on recèpe les pilotis de l'en-
ceinte à 0"\40 environ au-dessous de l'étiage, et l'on enlève jusqu'à la
même profondeur le petit rempart de béton qui masque le socle de la
pile, de manière que la fondation ne soit jamais apparente, même à
l'époque des plus basses eaux.
Rails Vignole perfectionnés
du chemin de fer de Bourg-la-Rtine à Orsay.
Le système de la voie du chemin de fer de Bourg-la-Reine à Orsay
(près Paris) est analogue à celui du chemin de fer de Saint-Rambert à
Grenoble.
Il a été perfectionné en 1852 et exécuté en 1853 par M.. ARNOUX.
En Prusse Rhénane, dans le Hanovre et dans les Duchés voisins, on
trouve également des rails Vignole munis de plaques de joint, d'éclisses
ordinaires ou de coussinets-éclisses à bord inférieur replié et prolongé
jusque sur l'épanouissement de la base des deux rails.
Quelles que soient les opinions émises sur la préférence à donner à
l'un ou à l'autre système, il est incontestable que le nord de l'Alle-
magne est la région de l'Europe où les convois roulent le mieux et le
plus rapidement, sans chocs et sans mouvement de lacet sensible.
STATISTIQUE ET PRIX DE REVIENT.
Population de la France en f S 56.
Le chiffre officiel de la population générale de la France, en 1856, est
de 36,039,364 habitants.
D'après le tableau du recensement, la population du Département de
la Seine, qui n'était en 1851 que de 1,422,065 habitants, est de
1,727,419 habitants en 1856. L'augmentation a été, en cinq ans, de
305,354 individus.
Le département le plus peuplé, après celui de la Seine, est celui du
Nord; il a 1,212,353 habitants. En 1851, il n'en avait que 1,058,285.
Le département le moins peuplé est celui des Basses-Alpes, qui n'a que
129,55£ habitants.
Voici, en outre, quelle a été l'augmentation successive de la popula-
tion des 86 départements français, des 363 arrondissements, des 2,850
cantons et des 35,826 communes, depuis le recensement général
de 1820 :
1820 30,451,187 individus.
1831 32,560,934 —
1836 . . 33,540,910 —
1841 34,230,178 —
1846 ; 35,410,761 —
1851 35,783,059 —
1856 36,039,364 —
En 1856, il y a augmentation, sur le chiffre du recensement de 1851,
de 256,305 individus. On voit que le Département de la Seine a pris
toute cette augmentation pour lui seul, puisqu'il s'est accru de plus de
305,000 âmes.
Population «le la colonie anglaise du Cap.
D'après une publication de M. BLANCHETON , consul de France au Cap
de Bonne-Espérance, la population, qui était en 1844 de 183,000 âmes,
s'est élevée, en 1854, à 225,639; le commerce extérieur a monté, en
10 ans, de 18 millions à 65 ; le mouvement maritime comptait, en 1853,
1,423 navires ayant touché le Cap. En 1830, la colonie n'exportait guère
que 18,000 kilog. de laine; en 1853, elle en expédiait 3,563,000 kilog.,
spécialement destinés à l'Angleterre.
Population et progrès de l'Australie.
Au dernier recensement fait en Australie, les Nouvelles Galles du Sud
ne contenaient que 251,000 habitants; Victoria que 273,000; la pro-
vince de South-Australia, 92,000; Tasmania (Terre de Van-Diemen),
que 69,000. La population tout entière ne se monte pas encore à 850,000
habitants, et déjà, sur toute la surface du globe, il n'y a pas un pays
qui, avec une population si petite, fasse des transactions commerciales
aussi importantes. L'année dernière, par exemple, l'exportation de
Victoria s'est élevée à près de 12 millions de livres sterling ( environ
170 millions de francs).
REVUE TECHNOLOGIQUE.
La Revue Technologique, que nous ouvrons aujourd'hui dans les
ANNALES, aura pour objet toutes les questions relatives à la production ,
à la conservation et à la mise en oeuvre des matériaux de construction.
Nous y parlerons de préférence des matériaux non métalliques, tels
que les Bois, les Pierres, la Brique, les Poteries, les Chaux et Mortiers,
les Ciments, les Bitumes, les Matériaux artificiels de toute espèce, ré-
servant pour la Revue Technologique du PORTEFEUILLE , les documents
spéciaux relatifs à la métallurgie industrielle, à la conservation et au
travail des métaux dans les mines, les fonderies, les forges et les
ateliers.
Rédigée à ce dernier point de vue, la Revue Technologique du
Portefeuille fera suite à la Revue des Mines, qui fait également et
exclusivement partie du cadre de cette publicaiion.
RAPPORT A LA SOCIÉTÉ CENTRALE DES ARCHITECTES
sur
le Béton pisé de M. François Coignet.
Par une commission composée de MM. LABROUSTE (Henry), président; BALTARD,
CENDRIER, CHATILLON, DELAGENIÈRE, DESJARDINS, DOMMEY, FINIELS,
LACHEZ, LENOIR (A.), MOITIÉ, ROHAULT, VAN-CLÊEMPUTTE et GIL-
BERT jeune, rapporteur.
MESSIEURS,
M. F. COIGNET a sollicité de la Société centrale des architectes l'exa-
men de constructions qu'il a exécutées à Saint-Denis pour l'établisse-
ment d'une usine et d'une maison d'habitation.
Notre collègue M. LÂCHEZ a dirigé ces travaux et participé à ces re-
cherches avec le zèle le plus dévoué.
Pour ces constructions M. COIGNET a fait usage de mélanges de diffé-
rentes matières de peu de valeur, avec la chaux soit grasse, soit hydrau-
lique; et ces mélanges ont été moulés et comprimés par les procédés
usités pour la fabrication du pisé. De là le nom de béton pisé qu'il a
donné à ce mode de construction.
M. COIGNET insiste particulièrement sur l'économie qui résulte de cette .
combinaison qui ne nuit pas, selon lui, à la solidité. Pour bien constater
cette solidité il a exécuté des voûtes, des plates-bandes de portes et
croisées sans linteaux et des arcs dont les flèches ont très-peu de hau-
teur. Tous ces travaux ont réussi et ont acquis une dureté variable de-
puis celle du moellon tendre jusqu'à celle du vergelet et même de la
pierre franche.
Les deux procédés que M. COIGNET a employés réunis; celui du mé-
lange de matières de peu de valeur et celui du moulage du béton, ont
été pratiqués séparément avant lui.
Ainsi M. RONDELET qui s'est livré si laborieusement à l'étude des di-
verses parties de l'art de bâtir, dit qu'on peut mouler le béton comme
on moule le pisé, et que le pisé qu'il a fait arroser d'un simple lait
de chaux au moment de la fabrication a acquis une solidité beaucoup
plus grande que le pisé ordinaire. D'autres ont fait des moulages en
béton fabriqué suivant la méthode ordinaire. En 1823 la Société d'en-
couragement a décerné à M. VICAT, une médaille d'or pour les mou-
lages en mortier. En 1826, M. ROHAULT DE FLEURY père , a moulé une
voûte de cave dans sa maison. En 1832, M. LEBRUN jeune, architecte à
Montauban, a publié une méthode pratique pour l'emploi du béton. Il
a fait ériger une maison entière et diverses autres constructions mou-
lées en béton.
Il avait le projet de faire disparaître de ses constructions toute espèce
de bois des planchers et toitures. Diverses circonstances l'ont empêché
de réaliser ce projet. L'économie était aussi le point de départ de ses
recherches.
Plus récemment des réservoirs d'eaux publiques ont été moulés en
béton. Enfin l'exposition universelle de 1855 présentait de nombreux
exemples de moulages en ciments.
On avait donc déjà, d'une part, fuit des constructions moulées en bé-
de telle sorte qu'il est propre, aussitôt achevé, à recevoir les maçon-
neries de la pile.
A mesure que le travail a lieu, on a soin de jeter des enrochements à
l'extérieur de l'enceinte en pilotis, afin de la soutenir et d'empêcher sa
déformation.
Lorsque l'enceinte est pleine de béton jusqu'à une hauteur de quel-
ques centimètres au-dessus du niveau de l'eau, on commence les ma-
çonneries de la manière suivante :
On pratique dans le massif de béton, à l'emplacement correspondant
aux parements de la pile, un fossé de 0m.70 à 0m.80 de largeur, et dont
le fond est situé à 0m.50 environ au-dessous de l'étiage. Dans ce fossé
•que l'on a soin de mettre à sec des eaux d'infiltration au moyen de
l'écope, on pose alors une assise en pierre de taille, qui forme le socle
de la pile ; on garnit ensuite avec du béton les vides existants derrière
cette assise, et, sur le tout, on élève les maçonneries.
Plus tard, quand la pile est terminée, on recèpe les pilotis de l'en-
ceinte à 0"\40 environ au-dessous de l'étiage, et l'on enlève jusqu'à la
même profondeur le petit rempart de béton qui masque le socle de la
pile, de manière que la fondation ne soit jamais apparente, même à
l'époque des plus basses eaux.
Rails Vignole perfectionnés
du chemin de fer de Bourg-la-Rtine à Orsay.
Le système de la voie du chemin de fer de Bourg-la-Reine à Orsay
(près Paris) est analogue à celui du chemin de fer de Saint-Rambert à
Grenoble.
Il a été perfectionné en 1852 et exécuté en 1853 par M.. ARNOUX.
En Prusse Rhénane, dans le Hanovre et dans les Duchés voisins, on
trouve également des rails Vignole munis de plaques de joint, d'éclisses
ordinaires ou de coussinets-éclisses à bord inférieur replié et prolongé
jusque sur l'épanouissement de la base des deux rails.
Quelles que soient les opinions émises sur la préférence à donner à
l'un ou à l'autre système, il est incontestable que le nord de l'Alle-
magne est la région de l'Europe où les convois roulent le mieux et le
plus rapidement, sans chocs et sans mouvement de lacet sensible.
STATISTIQUE ET PRIX DE REVIENT.
Population de la France en f S 56.
Le chiffre officiel de la population générale de la France, en 1856, est
de 36,039,364 habitants.
D'après le tableau du recensement, la population du Département de
la Seine, qui n'était en 1851 que de 1,422,065 habitants, est de
1,727,419 habitants en 1856. L'augmentation a été, en cinq ans, de
305,354 individus.
Le département le plus peuplé, après celui de la Seine, est celui du
Nord; il a 1,212,353 habitants. En 1851, il n'en avait que 1,058,285.
Le département le moins peuplé est celui des Basses-Alpes, qui n'a que
129,55£ habitants.
Voici, en outre, quelle a été l'augmentation successive de la popula-
tion des 86 départements français, des 363 arrondissements, des 2,850
cantons et des 35,826 communes, depuis le recensement général
de 1820 :
1820 30,451,187 individus.
1831 32,560,934 —
1836 . . 33,540,910 —
1841 34,230,178 —
1846 ; 35,410,761 —
1851 35,783,059 —
1856 36,039,364 —
En 1856, il y a augmentation, sur le chiffre du recensement de 1851,
de 256,305 individus. On voit que le Département de la Seine a pris
toute cette augmentation pour lui seul, puisqu'il s'est accru de plus de
305,000 âmes.
Population «le la colonie anglaise du Cap.
D'après une publication de M. BLANCHETON , consul de France au Cap
de Bonne-Espérance, la population, qui était en 1844 de 183,000 âmes,
s'est élevée, en 1854, à 225,639; le commerce extérieur a monté, en
10 ans, de 18 millions à 65 ; le mouvement maritime comptait, en 1853,
1,423 navires ayant touché le Cap. En 1830, la colonie n'exportait guère
que 18,000 kilog. de laine; en 1853, elle en expédiait 3,563,000 kilog.,
spécialement destinés à l'Angleterre.
Population et progrès de l'Australie.
Au dernier recensement fait en Australie, les Nouvelles Galles du Sud
ne contenaient que 251,000 habitants; Victoria que 273,000; la pro-
vince de South-Australia, 92,000; Tasmania (Terre de Van-Diemen),
que 69,000. La population tout entière ne se monte pas encore à 850,000
habitants, et déjà, sur toute la surface du globe, il n'y a pas un pays
qui, avec une population si petite, fasse des transactions commerciales
aussi importantes. L'année dernière, par exemple, l'exportation de
Victoria s'est élevée à près de 12 millions de livres sterling ( environ
170 millions de francs).
REVUE TECHNOLOGIQUE.
La Revue Technologique, que nous ouvrons aujourd'hui dans les
ANNALES, aura pour objet toutes les questions relatives à la production ,
à la conservation et à la mise en oeuvre des matériaux de construction.
Nous y parlerons de préférence des matériaux non métalliques, tels
que les Bois, les Pierres, la Brique, les Poteries, les Chaux et Mortiers,
les Ciments, les Bitumes, les Matériaux artificiels de toute espèce, ré-
servant pour la Revue Technologique du PORTEFEUILLE , les documents
spéciaux relatifs à la métallurgie industrielle, à la conservation et au
travail des métaux dans les mines, les fonderies, les forges et les
ateliers.
Rédigée à ce dernier point de vue, la Revue Technologique du
Portefeuille fera suite à la Revue des Mines, qui fait également et
exclusivement partie du cadre de cette publicaiion.
RAPPORT A LA SOCIÉTÉ CENTRALE DES ARCHITECTES
sur
le Béton pisé de M. François Coignet.
Par une commission composée de MM. LABROUSTE (Henry), président; BALTARD,
CENDRIER, CHATILLON, DELAGENIÈRE, DESJARDINS, DOMMEY, FINIELS,
LACHEZ, LENOIR (A.), MOITIÉ, ROHAULT, VAN-CLÊEMPUTTE et GIL-
BERT jeune, rapporteur.
MESSIEURS,
M. F. COIGNET a sollicité de la Société centrale des architectes l'exa-
men de constructions qu'il a exécutées à Saint-Denis pour l'établisse-
ment d'une usine et d'une maison d'habitation.
Notre collègue M. LÂCHEZ a dirigé ces travaux et participé à ces re-
cherches avec le zèle le plus dévoué.
Pour ces constructions M. COIGNET a fait usage de mélanges de diffé-
rentes matières de peu de valeur, avec la chaux soit grasse, soit hydrau-
lique; et ces mélanges ont été moulés et comprimés par les procédés
usités pour la fabrication du pisé. De là le nom de béton pisé qu'il a
donné à ce mode de construction.
M. COIGNET insiste particulièrement sur l'économie qui résulte de cette .
combinaison qui ne nuit pas, selon lui, à la solidité. Pour bien constater
cette solidité il a exécuté des voûtes, des plates-bandes de portes et
croisées sans linteaux et des arcs dont les flèches ont très-peu de hau-
teur. Tous ces travaux ont réussi et ont acquis une dureté variable de-
puis celle du moellon tendre jusqu'à celle du vergelet et même de la
pierre franche.
Les deux procédés que M. COIGNET a employés réunis; celui du mé-
lange de matières de peu de valeur et celui du moulage du béton, ont
été pratiqués séparément avant lui.
Ainsi M. RONDELET qui s'est livré si laborieusement à l'étude des di-
verses parties de l'art de bâtir, dit qu'on peut mouler le béton comme
on moule le pisé, et que le pisé qu'il a fait arroser d'un simple lait
de chaux au moment de la fabrication a acquis une solidité beaucoup
plus grande que le pisé ordinaire. D'autres ont fait des moulages en
béton fabriqué suivant la méthode ordinaire. En 1823 la Société d'en-
couragement a décerné à M. VICAT, une médaille d'or pour les mou-
lages en mortier. En 1826, M. ROHAULT DE FLEURY père , a moulé une
voûte de cave dans sa maison. En 1832, M. LEBRUN jeune, architecte à
Montauban, a publié une méthode pratique pour l'emploi du béton. Il
a fait ériger une maison entière et diverses autres constructions mou-
lées en béton.
Il avait le projet de faire disparaître de ses constructions toute espèce
de bois des planchers et toitures. Diverses circonstances l'ont empêché
de réaliser ce projet. L'économie était aussi le point de départ de ses
recherches.
Plus récemment des réservoirs d'eaux publiques ont été moulés en
béton. Enfin l'exposition universelle de 1855 présentait de nombreux
exemples de moulages en ciments.
On avait donc déjà, d'une part, fuit des constructions moulées en bé-
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