Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1855-10-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 octobre 1855 01 octobre 1855
Description : 1855/10/01 (N10)-1855/10/31. 1855/10/01 (N10)-1855/10/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577062d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — OCTOBRE 1855.
postes ne sera peut-être pas immédiatement desservie par le chemin
de fer. Elle préférerait charger ses caisses au niveau du sol dans ses
bureaux, et les expédier alors à la gare voisine du chemin de fer, où
elles seraient descendues par des trappes.
Dépenses. — La longueur totale du chemin de fer des Halles sera
de 4,800 mètres entre son point de départ du chemin de fer de cein-
ture et l'étage souterrain des Halles. La dépense est évaluée par
M. BRAME à 16 millions environ pour quatre voies, et à 10 millions pour
deux voies. Cela revient à estimer le prix du mètre courant de quatre
voies à 3,300 fr., et le prix du mètre courant de deux voies à 2,080 fr.
Dernières observations sur le niveau respectif
de l'océan Pacifique et de l'océan Atlantique.
D'après le Panama-Star, il vient d'être décidément constaté par le
colonel TOTTEN, à la suile d'une série d'observations faites avec soin
sur les marées des deux océans à Panama et à Aspinwal (Navy-Bay),
appuyées sur des nivellements très-exacts faits le long du chemin de
fer, que la hauleur moyenne des deux océans est tout à fait la même.
La différence qui existe entre les amplitudes des marées des deux
mers est la seule cause des inégalités temporaires qu'il peut y avoir
entre leurs niveaux. Ce fait est nécessairement appelé à donner une
grande impulsion à l'entreprise du canal de communication de l'isthme
de Panama.
Affalssenient du sol des terrains desséeSiés.
DIFFICULTÉS CONTEKTIEBSES QUI EN RÉSULTENT.
Il se passe en ce moment aux murais d'Arles et aux marais de Bour-
going, desséchés dans ces dernières années, un phénomène qui, sans
doute, ne lardera à se reproduire dans beaucoup d'autres cas analogues.
Les terrains auxquels on a soutiré les eaux qui les gonflaient et les
rendaient mortels aux végétations alimentaires, se sont abaissés peu à
peu de 40 à 50 centimètres, et même jusqu'à 1 mètre au-dessous du
niveau constaté au commencement de l'opération.
Il en résulte que les inondations y reviennent et y font des ravages
croissants d'année en année. Les travaux, suffisants dans l'origine pour
préserver les vallées desséchées à un certain niveau, sont débordés au-
jourd'hui que le niveau est plus bas. D'autres travaux, de forme et de
directions différentes, deviennent, en général, nécessaires. Les syndi-
cats, liés par traité h entretenir les travaux anciens seulement dans leur
état primitif, ne veulent pas toujours consentir à contribuer à des pro-
jets nouveaux, généralement plus onéreux. Il résulte de tout cela des
difficultés qui ne pourront être tranchées définitivement que par une loi.
Cette loi imposerait la contribution des intéressés à tous les travaux
nécessaires, pour une, somme de une fois fixée, et équivalente à celle
prévue par le premier traité pour les travaux primitifs. Cette somme
pourrait Être distraite alors de son usage primitif, s'il y avait lieu, pour
être affectée à d'autres travaux plus rationnels dans le nouvel état de
choses. Si nous sommes bien informés, on est déjà entré, par la voie
gracieuse dans ce genre de solution, pour les marais de Bourgoing.
Chemin de fer industriel de Clinnuy à Saint-Gobain.
Les administrateurs de la compagnie des verreries de Saint-Gobain
et Chauny ont soumis dernièrement à l'approbation du ministre des
travaux publics un projet de chemin de fer del,200 mètres, à une voie,
pour relier entre eux leurs deux établissements.
Les conditions que l'administration leur impose intéresseront les pro-
priétaires d'usines qui auraient l'intention de présenter des projets
analogues.
Maximum des pentes admissibles 0m.02 par mètre. — Minimum des
rayons des courbes 200 mètres. — Deux courbes consécutives en sens
inverses devront toujours être séparées par un alignement droit de
100 mètres.— La durée de la concession sera limitée à l'époque où se
terminera la concession du chemin de fer de Creil à Saint-Quentin.—
La compagnie pourra rattacher son chemin de fer à ce dernier, suivant
les projets de détail qu'elle soumettra ultérieurement.— Enfin la com-
pagnie sera tenue de créer un service de voyageurs dès que l'adminis-
tration aura reconnu l'utilité de ce service et l'aura prescrit.
NOTES ET DOCUMENTS.
IVouveau système de couvertures économiques
en zinc ondu|é.
Par M. BOUTILLIER, ingénieur des ponts et chaussées, à Strasbourg.
1855. — PLANCHES 43, 44, 45, 4G.
Le nouveau système de couvertures dont il s'agit vient d'être appliqué
avec un entier succès par M. BOUTILLIER, à une remise mixte de 18
mètres sur 63 , qui fait partie des bâtiments de la gare du chemin de
fer à Strasbourg, et à un lavoir public de la même ville.
Il consiste à supprimer complètement les chevrons et le lambrissage
en bois qui sont nécessaires dans les anciens systèmes de couvertures
en zinc, pour supporter les feuilles du métal et les empêcher de fléchir.
Ce résultat est obtenu de la manière la plus simple et la plus heu-
reuse en employant, au lieu de zinc plat, du zinc ondulé, portant de
20 en 20 centimètres des nervures saillantes, larges de 4 centimètres
environ à leur base, et dirigées dans le sens des lignes de plus grande
pente de la toiture (voir planche 44 le profil). :
Chaque feuille de zinc, de 0m. 80 de largeur sur 1 mètre de longueur,
porte ainsi 5 nervures. Trois d'entre elles divisent la feuille en quatre
-parties planés de 20 centimètres environ de largeur d'axe en axe. Les
deux autres, pratiquées sur les bords, servent au recouvrement des
feuilles juxtaposés. On supprime donc encore ainsi l'appareil compli-
qué des tringles en bois, couvre-joints,bouts de feuille recourbés, etc.,
que l'on trouve daûs les systèmes ordinaires.
Les feuilles de zinc sont d'ailleurs placées à joints alternés dans le
sens horizontal, et constituent, en fait, dé larges tuiles, parfaitement
rigides et parfaitement applicables les unes sur les autres, sans aucune-
filtration ni difficulté d'assemblage.
Le zinc est ainsi directement posé sur les pannes, où il s'attache par
des languettes clouées. De larges croix de Saint-André en fer méplat,
fixées dans les pannes à fleur de surface, complètent l'ensemble de la
charpente.
Mais la remise mixte établie par M. BOUTILLIER n'est pas seulement
remarquable par ce nouveau mode d'emploi et de fixation des feuilles
de zinc.
Les charpentes elles-mêmes sontrendues plus économiques que dans les.
systèmes anciens, par l'emploi de doubles tirants en fer méplat, moins
coûteux que les fers ronds. Ces tirants, principaux ou secondaires, sont
groupés par paires jumelles des. deux côtés de chaque ferme, de ma-
nière à éviter les fourches, dont tout le monde connaît les défauts pra-
tiques et la difficulté d'exécution.
Les doubles tirants de chaque ferme sont d'ailleurs assemblés deux
à deux, à leurs extrémités, sur un même boulon, dont le jeu dans,le
bois suffit pour répartir la tension d'une manière égale dans les deux
tirants. Enfin, pour rendre la longueur de tous les tirants parfaitement
identique, ils ont été percés tous ensemble, en les mettant par paquets
les uns sur les autres, et en les reliant solidement ensemble par des
étriers à boulons.
Les fondations du bâtiment sont d'ailleurs établies, comme tout le
reste, dans un esprit très-économique. Elles sont en gravier ordinaire
de cailloux roulés, et pour en rendre le tassement parfait, à mesure
que l'on remplissait la fouille avec le gravier, on y versait de l'eau
qui tenait le gravier en demi-suspension, et l'on pilonnait vigoureuse-
ment toute la fouille pour bien faire prendre à chaque caillou sa posi-
tion d'équilibre stable, et pour réduire les espaces vides à leur mini-
mum relatif. Puis, par l'infiltration de l'eau dans le terrain, ou par son
épuisement dans les parties moins absorbantes, on obtenait très-rapi-
dement le tassement désiré. -
EDfiQ, nous ferons remarquer encore le mode très-simple de con-
struction et d'assemblage des galets des portes roulantes — les équerres
en fonte, qui ont lm.50 de côté — les châssis vitrés et la boiserie, dont
toutes les parties sont dans de très-bonnes proportions.
PRIX DE REVIENT. — Le prix de revient de l'ensemble du bâtiment
est de 40,000 fr., ce qui donne la faible somme dé 30 fr. par mètre
carré de surface couverte. La charpente, les poteaux en bois et la
couverture en zinc réunies coûtent 18 fr. par mètre carré. Enfin le zinc
seul, pris aux dépôts de la Vieille-Montagne, coûte de 4 à 5 fr. le mètre
carré, selon son épaisseur (80 fr. les 100 kilos. — Le plus mince pèse
3k.500 le mètre carré). Nous engageons vivement les architectes et les
ingénieurs qui auraient à exécuter d'importants travaux de couverture
postes ne sera peut-être pas immédiatement desservie par le chemin
de fer. Elle préférerait charger ses caisses au niveau du sol dans ses
bureaux, et les expédier alors à la gare voisine du chemin de fer, où
elles seraient descendues par des trappes.
Dépenses. — La longueur totale du chemin de fer des Halles sera
de 4,800 mètres entre son point de départ du chemin de fer de cein-
ture et l'étage souterrain des Halles. La dépense est évaluée par
M. BRAME à 16 millions environ pour quatre voies, et à 10 millions pour
deux voies. Cela revient à estimer le prix du mètre courant de quatre
voies à 3,300 fr., et le prix du mètre courant de deux voies à 2,080 fr.
Dernières observations sur le niveau respectif
de l'océan Pacifique et de l'océan Atlantique.
D'après le Panama-Star, il vient d'être décidément constaté par le
colonel TOTTEN, à la suile d'une série d'observations faites avec soin
sur les marées des deux océans à Panama et à Aspinwal (Navy-Bay),
appuyées sur des nivellements très-exacts faits le long du chemin de
fer, que la hauleur moyenne des deux océans est tout à fait la même.
La différence qui existe entre les amplitudes des marées des deux
mers est la seule cause des inégalités temporaires qu'il peut y avoir
entre leurs niveaux. Ce fait est nécessairement appelé à donner une
grande impulsion à l'entreprise du canal de communication de l'isthme
de Panama.
Affalssenient du sol des terrains desséeSiés.
DIFFICULTÉS CONTEKTIEBSES QUI EN RÉSULTENT.
Il se passe en ce moment aux murais d'Arles et aux marais de Bour-
going, desséchés dans ces dernières années, un phénomène qui, sans
doute, ne lardera à se reproduire dans beaucoup d'autres cas analogues.
Les terrains auxquels on a soutiré les eaux qui les gonflaient et les
rendaient mortels aux végétations alimentaires, se sont abaissés peu à
peu de 40 à 50 centimètres, et même jusqu'à 1 mètre au-dessous du
niveau constaté au commencement de l'opération.
Il en résulte que les inondations y reviennent et y font des ravages
croissants d'année en année. Les travaux, suffisants dans l'origine pour
préserver les vallées desséchées à un certain niveau, sont débordés au-
jourd'hui que le niveau est plus bas. D'autres travaux, de forme et de
directions différentes, deviennent, en général, nécessaires. Les syndi-
cats, liés par traité h entretenir les travaux anciens seulement dans leur
état primitif, ne veulent pas toujours consentir à contribuer à des pro-
jets nouveaux, généralement plus onéreux. Il résulte de tout cela des
difficultés qui ne pourront être tranchées définitivement que par une loi.
Cette loi imposerait la contribution des intéressés à tous les travaux
nécessaires, pour une, somme de une fois fixée, et équivalente à celle
prévue par le premier traité pour les travaux primitifs. Cette somme
pourrait Être distraite alors de son usage primitif, s'il y avait lieu, pour
être affectée à d'autres travaux plus rationnels dans le nouvel état de
choses. Si nous sommes bien informés, on est déjà entré, par la voie
gracieuse dans ce genre de solution, pour les marais de Bourgoing.
Chemin de fer industriel de Clinnuy à Saint-Gobain.
Les administrateurs de la compagnie des verreries de Saint-Gobain
et Chauny ont soumis dernièrement à l'approbation du ministre des
travaux publics un projet de chemin de fer del,200 mètres, à une voie,
pour relier entre eux leurs deux établissements.
Les conditions que l'administration leur impose intéresseront les pro-
priétaires d'usines qui auraient l'intention de présenter des projets
analogues.
Maximum des pentes admissibles 0m.02 par mètre. — Minimum des
rayons des courbes 200 mètres. — Deux courbes consécutives en sens
inverses devront toujours être séparées par un alignement droit de
100 mètres.— La durée de la concession sera limitée à l'époque où se
terminera la concession du chemin de fer de Creil à Saint-Quentin.—
La compagnie pourra rattacher son chemin de fer à ce dernier, suivant
les projets de détail qu'elle soumettra ultérieurement.— Enfin la com-
pagnie sera tenue de créer un service de voyageurs dès que l'adminis-
tration aura reconnu l'utilité de ce service et l'aura prescrit.
NOTES ET DOCUMENTS.
IVouveau système de couvertures économiques
en zinc ondu|é.
Par M. BOUTILLIER, ingénieur des ponts et chaussées, à Strasbourg.
1855. — PLANCHES 43, 44, 45, 4G.
Le nouveau système de couvertures dont il s'agit vient d'être appliqué
avec un entier succès par M. BOUTILLIER, à une remise mixte de 18
mètres sur 63 , qui fait partie des bâtiments de la gare du chemin de
fer à Strasbourg, et à un lavoir public de la même ville.
Il consiste à supprimer complètement les chevrons et le lambrissage
en bois qui sont nécessaires dans les anciens systèmes de couvertures
en zinc, pour supporter les feuilles du métal et les empêcher de fléchir.
Ce résultat est obtenu de la manière la plus simple et la plus heu-
reuse en employant, au lieu de zinc plat, du zinc ondulé, portant de
20 en 20 centimètres des nervures saillantes, larges de 4 centimètres
environ à leur base, et dirigées dans le sens des lignes de plus grande
pente de la toiture (voir planche 44 le profil). :
Chaque feuille de zinc, de 0m. 80 de largeur sur 1 mètre de longueur,
porte ainsi 5 nervures. Trois d'entre elles divisent la feuille en quatre
-parties planés de 20 centimètres environ de largeur d'axe en axe. Les
deux autres, pratiquées sur les bords, servent au recouvrement des
feuilles juxtaposés. On supprime donc encore ainsi l'appareil compli-
qué des tringles en bois, couvre-joints,bouts de feuille recourbés, etc.,
que l'on trouve daûs les systèmes ordinaires.
Les feuilles de zinc sont d'ailleurs placées à joints alternés dans le
sens horizontal, et constituent, en fait, dé larges tuiles, parfaitement
rigides et parfaitement applicables les unes sur les autres, sans aucune-
filtration ni difficulté d'assemblage.
Le zinc est ainsi directement posé sur les pannes, où il s'attache par
des languettes clouées. De larges croix de Saint-André en fer méplat,
fixées dans les pannes à fleur de surface, complètent l'ensemble de la
charpente.
Mais la remise mixte établie par M. BOUTILLIER n'est pas seulement
remarquable par ce nouveau mode d'emploi et de fixation des feuilles
de zinc.
Les charpentes elles-mêmes sontrendues plus économiques que dans les.
systèmes anciens, par l'emploi de doubles tirants en fer méplat, moins
coûteux que les fers ronds. Ces tirants, principaux ou secondaires, sont
groupés par paires jumelles des. deux côtés de chaque ferme, de ma-
nière à éviter les fourches, dont tout le monde connaît les défauts pra-
tiques et la difficulté d'exécution.
Les doubles tirants de chaque ferme sont d'ailleurs assemblés deux
à deux, à leurs extrémités, sur un même boulon, dont le jeu dans,le
bois suffit pour répartir la tension d'une manière égale dans les deux
tirants. Enfin, pour rendre la longueur de tous les tirants parfaitement
identique, ils ont été percés tous ensemble, en les mettant par paquets
les uns sur les autres, et en les reliant solidement ensemble par des
étriers à boulons.
Les fondations du bâtiment sont d'ailleurs établies, comme tout le
reste, dans un esprit très-économique. Elles sont en gravier ordinaire
de cailloux roulés, et pour en rendre le tassement parfait, à mesure
que l'on remplissait la fouille avec le gravier, on y versait de l'eau
qui tenait le gravier en demi-suspension, et l'on pilonnait vigoureuse-
ment toute la fouille pour bien faire prendre à chaque caillou sa posi-
tion d'équilibre stable, et pour réduire les espaces vides à leur mini-
mum relatif. Puis, par l'infiltration de l'eau dans le terrain, ou par son
épuisement dans les parties moins absorbantes, on obtenait très-rapi-
dement le tassement désiré. -
EDfiQ, nous ferons remarquer encore le mode très-simple de con-
struction et d'assemblage des galets des portes roulantes — les équerres
en fonte, qui ont lm.50 de côté — les châssis vitrés et la boiserie, dont
toutes les parties sont dans de très-bonnes proportions.
PRIX DE REVIENT. — Le prix de revient de l'ensemble du bâtiment
est de 40,000 fr., ce qui donne la faible somme dé 30 fr. par mètre
carré de surface couverte. La charpente, les poteaux en bois et la
couverture en zinc réunies coûtent 18 fr. par mètre carré. Enfin le zinc
seul, pris aux dépôts de la Vieille-Montagne, coûte de 4 à 5 fr. le mètre
carré, selon son épaisseur (80 fr. les 100 kilos. — Le plus mince pèse
3k.500 le mètre carré). Nous engageons vivement les architectes et les
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