NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.
ses états, sous toutes ses formes en fer, tôle ou fonte, à surfaces galvani-
sées, plates ou ondulées, pour la production de maisons en fer de toutes
dimensions et des formes les plus variées, que l'on voit dans le chantier
amenées à divers degrés d'avancement.
Nous avons remarqué surtout une gigantesque façade à lignes archi-
tecturales, avec piliers, cintres, architraves, cannelures, moulures et
autres ornements, qui sera certainement l'une des plus belles de celles
qui orneront les rues de Melbourne, cette magnifique capitale des
régions aurifères. Cette façade fait partie d'un grand magasin à trois
étages comprenant un salon avec de nombreuses fenêtres à doubles-
glaces, des salles à manger au-dessus, et huit chambres à coucher dans
l'étage supérieur.
Le trait caractéristique de ce bâtiment, qui a plus de 21 mètres de
longueur, est sa façade sur la rue. Au premier étage, des colonnes
engagées, à bases quadrangulaires, supportent une corniche saillante;
la porte d'entrée, en retraite, est ornée de piliers en acajou poli; ses
battants formés de glaces montées en acajou, sont mus par des ressorts
et se ferment d'eux-mêmes; la devanture de boutique est protégée la
nuit par des volets tournants de Bunnett et compagnie. Le second étage
est couronné par un riche entablement soutenu par des colonnes can-
nelées; les fenêtres, en plein cintre, sont encadrées de moulures for-
mant architrave. Les fenêtres du troisième étage sont pareillement
cintrées, à piliers carrés. Au faite est une riche balustrade en fonte.
Les planchers sont formés de deux épaisseurs de plats-bords séparées
par des plaques en fer auxquelles ils sont boulonnés; les escaliers sont
aisés, leurs marches sont en bois. Les murs extérieurs et les murs de
refend ou cloisons doivent être garnis de briques, de lattes et doublés
d'enduits en plâtre; des cheminées en marbre, etc., seront posées dans
les principales chambres après l'arrivée du bâtiment à Melbourne.
Derrière cette maison principale, un atelier éclairé par en haut est
relié au salon et supporte une plate-forme avec sièges et varandah
communiquant avec le deuxième étage.
O. Corrosion des liloes artificiels en Itéton, par le ressae
de la nier.
Observations de M. PASCAL, ingénieur des travaux de Marseille.
La détérioration rapide des travaux maritimes, produite parle res-
sac de la mer, a fourni à M. PASCAL, ingénieur du port de la Joliclte,
l'occasion de nous transmettre des observations sur lesquelles nous
aurons à revenir. La construction prochaine des Docks et du bassin
Napoléon à Marseille donne à cette question une actualité pressante.
Les blocs posés sur le galet et constamment travaillés par le flot, qui
s'y précipite armé de cailloux et de pierrailles, se creusent rapidement
par dessous, du côté exposé à la mer. Les mortiers s'y dissolvent ou
sont mécaniquement emportés. Ils exigent de nombreuses et coûteuses
réparations. Il est donc de la plus grande importance d'apporter aux
nouvelles constructions de ce genre le maximum possible de résistance
et de solidité. Le moyen d'arriver à ce résultat c'est, d'une part, d'é-
viter, autant que possible, les positions dangereuses, l'exposition directe
des coins et des angles au choc du galet; de l'autre, c'est de n'employer
à la confection des blocs que des mortiers très-énergiques et très-con-
sistants. Il faudra notamment bannir avec soin des chantiers maritimes
les mortiers qui proviendraient de chaux anciennes, ayant déjà un ou
deux ans de magasins, et que l'on pourrait être tenté quelquefois d'em-
ployer à cause de leur très notable économie (près de moitié prix). Ils
ne donnent que des blocs friables. Les nouveaux mortiers à gangue
bitumineuse de M. BEIIÏREN (Oran), paraissant offrir des avantages si-
gnalés sur les anciens, sous le rapport de la cohésion, il serait très-
désirable de les voir mettre à l'épreuve. Nous appelons sur ce point
l'attention spéciale des ingénieurs de ports de mer.
On sait que MM. HÉGY (Celte) et RENAUD (Havre) sont chargés par
l'administration de lui présenter, sur ce sujet, des mémoires basés sur
des expériences variées, et dont les résultats auront le plus grand intérêt.
7. Observations sur la densité des bois immergés.
1. M. POJRÉE, inspecteur général des ponts et chaussées. Expériences
faites de 1845 à 1855, sur des échantillons de chêne et de sapin, longs
de 0m.30, et d'un équarrissage 5 sur 6 centimètres, cubant 0mo.0009.
1° Densités, au sortir du magasin :
Chêne noueux 755k le mètre cube.
Chêne sans noeuds 673k.
Sapin du Nord 500^.
2° Densités après dessiccation pendant dix heures dans une étuve main-
tenue à 60° de température, le 26 juin 1845 :
Chêne noueux. . ... ...... 644k le mètre cube.
Chêne sans noeuds. . ; . ... 576k.
Sapin du Nord. ..... ... 483k.
3° Densités après imbibition complète et immersion dans l'eau pen-
dant dix ans, du 20 mai 1845 au 23 mai 1855 :
Chêne noueux 1298k allé à fond après 1 an.
Chêne sans noeuds 12341 fondrier après 18 mois.
Sapin du Nord . 1077k fondrier après 2 ans.
Ainsi les bois mis en expérience et complètement imbibés d'eau pen-
dant dix ans, ont pesé moyennement près ou plus du double des mêmes
bois secs. C'est une limite supérieure.
2. D'après des expériences faites, plus en grand, au port de Cher-
bourg, sur du chêne et sur du sapin immergés pendant plusieurs an-
nées dans le sable des bassins du port, M. Watlier, ingénieur au port
de Saint-Nazaire, a adopté les chiffres suivants.
Chêne sec 850k immergé 900k.
Pin rouge. .... 650k immergé. . . . ". 700k.
Il faut remarquer que ces coefficients ont été choisis pour être appli-
qués aux bois des écluses de 25 mètres et de 13 mètres du bassin de
Saint-Nazaire, et que, dans ce cas particulier, les bois alternativement
immergés et émergés, ne peuvent se pénétrer aussi complètement que
lors d'une immersion permanente. Une partie de chaque écluse est
d'ailleurs aussi constamment émergée.
8. Prix «le revient d'une rectification
de la route impériale W° 8 (Marseille-Toulon),
entre Aubagne et le ruisseau de Coulin (4,200 mètres). .
MM. DE MONTRICHEB, ingénieur en chef, et ADRIOL, ingénieur. t
DÉPENSES
Totales. Par kilomètre.
.Terrassements .23,4S7f.81 4,500 fr.
Chaussée ...... 30,714f.35 5,900
Ouvrages d'art 4,843f.32 930
Total pour construction. ... 69,045'.46 11,330fr.
Cylindrage. . 4,680'.00 900
Somme à valoir 4,274t.54 820
Total pour travaux C8,O0Or.OO 13,050 fr.
Indemnités de terrains. .' 16,000' 00 3,080
Total général 84,OOOf.OO 16,130 fr.
Ce qui revient à 10 fr. par mètre courant. ...,,•
La partie à rectifier était d'ailleurs à peine ébauchée. Sa largeur va-
riait de 5 mètres à 7 mètres. Elle n'avait presque pas de chaussée ; son
profil en travers était très-irrégulier. La surface de la route était même
concave sur beaucoup de points, ce qui produisait des eaux stagnantes
et des ornières bourbeuses en hiver. Or la circulation est de plus de
533 colliers par jour sur cette route. On l'a portée à 9 mètres de
largeur, dont 6 pour la chaussée, et 3 pour deux accotements. Fossés,
l-m.50 de largeur et 1 mètre de profondeur; déclivité maxima, 31 mil-
limètres. Volume des déblais, 17,500 mètres cubes; remblais, 5,000 mè-
tres cubes, épaisseur de l'empierrement 0"\25, cailloux à 6, sept aque-
ducs de 0m.70 d'ouverture couverts en dalles, cylindrage en régie.
CORRESPONDANCE.
Képosases. — M. A. H., à Nantes. La concision de notre texte est
un principe général; mais nous n'en accueillerons pas moins avec em-
pressement tout mémoire qu'il serait réellement utile de publier in
extenso. Nous nous proposons même d'ajouter à nos livraisons, chaque
fois qu'il y aura lieu, des feuilles supplémentaires gratuites. —• M. W.,
à Lyon. Vous nous obligeriez infiniment en nous adressant ces dessins
le plus tôt possible. Us auront un intérêt de premier ordre. Tout ce que
vous pourrez nous donner sur le même sujet sera excellent.—M. J.R., à
Strasbourg. C'est à partir du 1er juillet que nous commencerons nosRevues
de l'Exposition universelle. Elles pourront s'étendre au delà de 1855.
"C. A. OPPERMANN, Ingénieur des Ponts et Chaussées,
DIRECTEUR,
11, rue des Beaux-Arts, à Paris..
Paris. — Imprimé pur E. TiH'SOT cl C«, 26, nie Racine.
ses états, sous toutes ses formes en fer, tôle ou fonte, à surfaces galvani-
sées, plates ou ondulées, pour la production de maisons en fer de toutes
dimensions et des formes les plus variées, que l'on voit dans le chantier
amenées à divers degrés d'avancement.
Nous avons remarqué surtout une gigantesque façade à lignes archi-
tecturales, avec piliers, cintres, architraves, cannelures, moulures et
autres ornements, qui sera certainement l'une des plus belles de celles
qui orneront les rues de Melbourne, cette magnifique capitale des
régions aurifères. Cette façade fait partie d'un grand magasin à trois
étages comprenant un salon avec de nombreuses fenêtres à doubles-
glaces, des salles à manger au-dessus, et huit chambres à coucher dans
l'étage supérieur.
Le trait caractéristique de ce bâtiment, qui a plus de 21 mètres de
longueur, est sa façade sur la rue. Au premier étage, des colonnes
engagées, à bases quadrangulaires, supportent une corniche saillante;
la porte d'entrée, en retraite, est ornée de piliers en acajou poli; ses
battants formés de glaces montées en acajou, sont mus par des ressorts
et se ferment d'eux-mêmes; la devanture de boutique est protégée la
nuit par des volets tournants de Bunnett et compagnie. Le second étage
est couronné par un riche entablement soutenu par des colonnes can-
nelées; les fenêtres, en plein cintre, sont encadrées de moulures for-
mant architrave. Les fenêtres du troisième étage sont pareillement
cintrées, à piliers carrés. Au faite est une riche balustrade en fonte.
Les planchers sont formés de deux épaisseurs de plats-bords séparées
par des plaques en fer auxquelles ils sont boulonnés; les escaliers sont
aisés, leurs marches sont en bois. Les murs extérieurs et les murs de
refend ou cloisons doivent être garnis de briques, de lattes et doublés
d'enduits en plâtre; des cheminées en marbre, etc., seront posées dans
les principales chambres après l'arrivée du bâtiment à Melbourne.
Derrière cette maison principale, un atelier éclairé par en haut est
relié au salon et supporte une plate-forme avec sièges et varandah
communiquant avec le deuxième étage.
O. Corrosion des liloes artificiels en Itéton, par le ressae
de la nier.
Observations de M. PASCAL, ingénieur des travaux de Marseille.
La détérioration rapide des travaux maritimes, produite parle res-
sac de la mer, a fourni à M. PASCAL, ingénieur du port de la Joliclte,
l'occasion de nous transmettre des observations sur lesquelles nous
aurons à revenir. La construction prochaine des Docks et du bassin
Napoléon à Marseille donne à cette question une actualité pressante.
Les blocs posés sur le galet et constamment travaillés par le flot, qui
s'y précipite armé de cailloux et de pierrailles, se creusent rapidement
par dessous, du côté exposé à la mer. Les mortiers s'y dissolvent ou
sont mécaniquement emportés. Ils exigent de nombreuses et coûteuses
réparations. Il est donc de la plus grande importance d'apporter aux
nouvelles constructions de ce genre le maximum possible de résistance
et de solidité. Le moyen d'arriver à ce résultat c'est, d'une part, d'é-
viter, autant que possible, les positions dangereuses, l'exposition directe
des coins et des angles au choc du galet; de l'autre, c'est de n'employer
à la confection des blocs que des mortiers très-énergiques et très-con-
sistants. Il faudra notamment bannir avec soin des chantiers maritimes
les mortiers qui proviendraient de chaux anciennes, ayant déjà un ou
deux ans de magasins, et que l'on pourrait être tenté quelquefois d'em-
ployer à cause de leur très notable économie (près de moitié prix). Ils
ne donnent que des blocs friables. Les nouveaux mortiers à gangue
bitumineuse de M. BEIIÏREN (Oran), paraissant offrir des avantages si-
gnalés sur les anciens, sous le rapport de la cohésion, il serait très-
désirable de les voir mettre à l'épreuve. Nous appelons sur ce point
l'attention spéciale des ingénieurs de ports de mer.
On sait que MM. HÉGY (Celte) et RENAUD (Havre) sont chargés par
l'administration de lui présenter, sur ce sujet, des mémoires basés sur
des expériences variées, et dont les résultats auront le plus grand intérêt.
7. Observations sur la densité des bois immergés.
1. M. POJRÉE, inspecteur général des ponts et chaussées. Expériences
faites de 1845 à 1855, sur des échantillons de chêne et de sapin, longs
de 0m.30, et d'un équarrissage 5 sur 6 centimètres, cubant 0mo.0009.
1° Densités, au sortir du magasin :
Chêne noueux 755k le mètre cube.
Chêne sans noeuds 673k.
Sapin du Nord 500^.
2° Densités après dessiccation pendant dix heures dans une étuve main-
tenue à 60° de température, le 26 juin 1845 :
Chêne noueux. . ... ...... 644k le mètre cube.
Chêne sans noeuds. . ; . ... 576k.
Sapin du Nord. ..... ... 483k.
3° Densités après imbibition complète et immersion dans l'eau pen-
dant dix ans, du 20 mai 1845 au 23 mai 1855 :
Chêne noueux 1298k allé à fond après 1 an.
Chêne sans noeuds 12341 fondrier après 18 mois.
Sapin du Nord . 1077k fondrier après 2 ans.
Ainsi les bois mis en expérience et complètement imbibés d'eau pen-
dant dix ans, ont pesé moyennement près ou plus du double des mêmes
bois secs. C'est une limite supérieure.
2. D'après des expériences faites, plus en grand, au port de Cher-
bourg, sur du chêne et sur du sapin immergés pendant plusieurs an-
nées dans le sable des bassins du port, M. Watlier, ingénieur au port
de Saint-Nazaire, a adopté les chiffres suivants.
Chêne sec 850k immergé 900k.
Pin rouge. .... 650k immergé. . . . ". 700k.
Il faut remarquer que ces coefficients ont été choisis pour être appli-
qués aux bois des écluses de 25 mètres et de 13 mètres du bassin de
Saint-Nazaire, et que, dans ce cas particulier, les bois alternativement
immergés et émergés, ne peuvent se pénétrer aussi complètement que
lors d'une immersion permanente. Une partie de chaque écluse est
d'ailleurs aussi constamment émergée.
8. Prix «le revient d'une rectification
de la route impériale W° 8 (Marseille-Toulon),
entre Aubagne et le ruisseau de Coulin (4,200 mètres). .
MM. DE MONTRICHEB, ingénieur en chef, et ADRIOL, ingénieur. t
DÉPENSES
Totales. Par kilomètre.
.Terrassements .23,4S7f.81 4,500 fr.
Chaussée ...... 30,714f.35 5,900
Ouvrages d'art 4,843f.32 930
Total pour construction. ... 69,045'.46 11,330fr.
Cylindrage. . 4,680'.00 900
Somme à valoir 4,274t.54 820
Total pour travaux C8,O0Or.OO 13,050 fr.
Indemnités de terrains. .' 16,000' 00 3,080
Total général 84,OOOf.OO 16,130 fr.
Ce qui revient à 10 fr. par mètre courant. ...,,•
La partie à rectifier était d'ailleurs à peine ébauchée. Sa largeur va-
riait de 5 mètres à 7 mètres. Elle n'avait presque pas de chaussée ; son
profil en travers était très-irrégulier. La surface de la route était même
concave sur beaucoup de points, ce qui produisait des eaux stagnantes
et des ornières bourbeuses en hiver. Or la circulation est de plus de
533 colliers par jour sur cette route. On l'a portée à 9 mètres de
largeur, dont 6 pour la chaussée, et 3 pour deux accotements. Fossés,
l-m.50 de largeur et 1 mètre de profondeur; déclivité maxima, 31 mil-
limètres. Volume des déblais, 17,500 mètres cubes; remblais, 5,000 mè-
tres cubes, épaisseur de l'empierrement 0"\25, cailloux à 6, sept aque-
ducs de 0m.70 d'ouverture couverts en dalles, cylindrage en régie.
CORRESPONDANCE.
Képosases. — M. A. H., à Nantes. La concision de notre texte est
un principe général; mais nous n'en accueillerons pas moins avec em-
pressement tout mémoire qu'il serait réellement utile de publier in
extenso. Nous nous proposons même d'ajouter à nos livraisons, chaque
fois qu'il y aura lieu, des feuilles supplémentaires gratuites. —• M. W.,
à Lyon. Vous nous obligeriez infiniment en nous adressant ces dessins
le plus tôt possible. Us auront un intérêt de premier ordre. Tout ce que
vous pourrez nous donner sur le même sujet sera excellent.—M. J.R., à
Strasbourg. C'est à partir du 1er juillet que nous commencerons nosRevues
de l'Exposition universelle. Elles pourront s'étendre au delà de 1855.
"C. A. OPPERMANN, Ingénieur des Ponts et Chaussées,
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11, rue des Beaux-Arts, à Paris..
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