Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1855-05-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 mai 1855 01 mai 1855
Description : 1855/05/01 (N5)-1855/05/31. 1855/05/01 (N5)-1855/05/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577051m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.
et servira à amener à bas prix en Angleterre les minerais de l'Austra-
He. Il sera indispensable d'y appliquer les machines de service dont il
«'agit.
S. Nouvel exemple de la supériorité
économique des machines à vapeurs combinées sur
les machines ordinaires.
La France, bâtiment français à vapeurs combinées, vient de faire le
voyage de Crimée en brûlant dans son trajet 300 tonnes de charbon.
h'Hydaspes, navire anglais à hélice, et à vapeur d'eau pure, a
brûlé 700 tonnes pour faire le même trajet dans le même temps, et
n'est que d'un quart plus grand.— Économie du système combiné,
.57 p. MO.
MELANGES.
1. lies lavoirs et hains puhlics de Iiondres. .
LAVOIR ET BAINS DE SAINT-PANCRACE. — C'est le premier bâtiment
de ce genre établi à Londres. Il date de 1847, et dessert le nord-ouest
de la ville. On y trouve 35 cabinets de bain pour hommes, 15 pour
femmes; 60 bassins à laver; 4 appareils pour tordre, sécher et sus-
pendre le linge.
LAVOIR ET BAINS DE CUSTON-SQUARE (White-Chapel).— 30,000 bains
par semaine; lessive pour 20,000 personnes,- 94 cabinets de bain ou-
verts par le haut sous un comble général, et fermés par une porte à
vasistas : ce vasistas est mû par le verrou. Les baignoires de lre classe
sont en pierre; celles de 2° classe sont en fonte émaillée intérieure-
ment (fabr. à Birmingham, près Wolverhampton). — Les cloisons sé-
paratives sont en lames d'ardoise, assemblées dans des châssis en fonte.
— Chaque cabinet renferme, outre sa baignoire, un banc, un miroir,
des crochets à habits, une natte et une brosse à manche.
Les lavoirs sont au nombre de 96. Ils sont ouverts par en haut et par
devant.
Le comble général est en fer, avec châssis vitré. — Chauffage de l'eau,
à la vapeur, dans un cylindre de 2m.43 de diamètre et de 3m.05 de haut.
— 2 chaudières génératrices de 10m.66 de long et de lm. 67 de diamètre.
—Machine à vapeur de 4 chevaux pour élever l'eau froide.—Conduites
en fonte. — 2 grandes conduites générales, l'une pour amener l'eau
froide, l'autre pour écouler l'eau chaude savonneuse.
Le prix des bains est fixé par l'acte de S. Henry Dukinflelds, fonda-
teur, avec la ville de Londres, ainsi qu'il suit :
Bains pour la classe ouvrière. — 1 bain froid, au maximum, 1 penny
(0M0). — 1 bain chaud, au maximum, 2 pence (0'.20). — 1 bain froid
pour 4 enfants réunis, au-dessous de 8 ans, au maximum, 2 pence
(0'.20). — 1 bain chaud, ou bain de vapeur, pour 4 enfants au-dessus
de « ans, au maximum, 4 pence (0'.40).
Bains pour les classes plus aisées. — Au maximum, trois fois les prix
correspondants pour la classe ouvrière. Chaque bain est alors exclusi-
vement alimenté d'eau pure, et doit être accompagné d'une serviette
blanche.
Lavoirs pour la classe ouvrière. — Pour usage d'une cuve à laver,
d'une chaudière, d'un bassin à rincer, de la vapeur, et du séchoir, pour
une heure, au maximum, 1 penny (O'.IO). Pour 2 heures consécutives,
au maximum, 3 pence (0'.30).
- Lavoirs pour les classes plus aisées. — Les tarifs sont variables et dé-
terminés par le conseil municipal.
Lavoirs publics. — Au maximum, 1/2 penny (0'.05) par heure.
Progrès des quatre établissements de Londres.
Malgré les bas prix des bains et des lavages des établissements dont
il s'agit, l'entreprise n'en a pas moins été des plus lucratives., comme
le prouvent les chiffres suivants :
En 1847. . . Bains: 143,794 Lavages: 39,418
1848. . . — 160,628 . — 61,690
1849. . . — 394,517 — 75,004
1850. . . — 595,797 (sextuple). — 133,177 (triple).
Ainsi, en quatre ans, le nombre des bains et des lavages réunis s'est
quadruplé. L'affluence est telle, que les femmes sont constamment obli-
gées d'attendre que les lavoirs soient libres. Le nombre des baigneurs
est'si considérable, qu'on s'est ingénié à trouver le système de robinets
qui débite l'eau avec la plus grande rapidité (tubes courbés et évasés),
pour économiser tout le temps possible dont le baigneur ne dispo-
serait pas. — Salles d'attente. Appels par ordre de priorité. Longs
bancs en bois (2e classe) ou rembourrés (lre classe) sur lesquels on '
prend place pour attendre son tour.
Bénéfices. ■'■■,..
Le produit net des établissements de ce genre établis à Londres varie,
pendant les premières années, entre 4 et 5 p. 100. Ainsi, les frais pour
travaux, y compris la redevance à la Compagnie des eaux, seront, par
exemple, de 1,586 liv. (39,650 fr.), et les recettes de 1,980 liv.
(49,500 fr.); différence, 403 liv. (10,075 fr.), ce qui représente un ca-
pital d'environ 20,000 liv. (500,000 fr.).
Les bénéfices augmentent ensuite les années suivantes, jusqu'à at-
teindre un chiffre de 6, 7, 8'p. 100 et davantage, quand les circon-
stances locales sont favorables.
FOERSTER. {Allgemeine Bauzeitung, devienne.)
Nous donnerons incessamment de plus amples détails et des planches,
que nous devons à l'obligeance de MM. les ingénieurs du service muni-
cipal de Paris, sur ces utiles et productifs établissements, tant en
Angleterre qu'en France, Allemagne et Italie.
«. Bases du calcul de la quantité d'eau nécessaire
à l'alimentation d'une ville.
D'après les médecins, un homme, dans des conditions moyennes, ab-
sorbe par jour environ 2 litres d'eau. Voilà la quantité moyenne rigou-
reusement indispensable, au-dessous de laquelle commencerait la souf-
france physique. Quant à la consommation pour l'usage extérieur ou dé
propreté, on l'évalue, à Paris,- à 18 litres. Ainsi chaque habitant d'une
maison est censé consommer 20 litres d'eau, lorsque cette eau lui est
fournie à discrétion. Mais nous ne parlons ici que de l'habitant ordinaire
et qui n'exerce aucune des professions qui consomment beaucoup d'eau,
telles que celles des teinturiers, brasseurs, bains et lavoirs publics, etc.
Nous ne parlons pas non plus des animaux domestiques, des chevaux
surtout, si nombreux dans les villes, de l'alimentation des machines à
vapeur, de l'arrosement des jardins : en tenant compte de toutes ces
consommations, qui peuvent être considérées comme proportionnelles
au nombre des habitants, on arrive au chiffre moyen de 50 litres par
habitant. Voici du reste quelles sont, à Paris, les bases des évalua-
tions pour les abonnements :
Par personne 20 litres.
Par cheval . . • ■ • • 75
Par voiture de luxe à deux roues 40
à quatre roues . .'....' 75
Par mètre carré de jardin, 500 litres par an. Par jour ....... 1.50
Par force de cheval d'une machine à haute pression. 1.50
— à détente et condensation ... 10
. '■ — à basse pression 20
Par bain '. . 309
Par litre de bière faite;, h
Les autres industries sont évaluées au moyen de renseignements par-
ticuliers pris dans les établissements.
En dehors des usages domestiques ou industriels, l'eau est employée
à des usages publics, pour arrosement de la voie publique, pour laver
les ruisseaux des rues, les égouts, enfin à des écoulements de luxe, tels
que les fontaines monumentales, jets d'eau, entretien de pièces d'eau
ou rivières artificielles. Ces divers besoins sont fort difficiles à éva-
luer; nous ne pouvons fournir à leur égard que des renseignements
isolés.
A Paris, chaque arrosement de la voie publique consomme environ
1 litre par mètre carré. Dans les grandes chaleurs, on en fait souvent
trois par jour. Pour laver les ruisseaux, il faut une borne-fontaine sur
chaque sommet de pente ; à Paris, on.devait lui faire répandre 10 mè-
tres cubes d'eau par jour. L'insuffisance actuelle du diamètre des con-
duites fait réduire cette quantité à 5 ou 6 mètres cubes. Quant à la dé-
pense des fontaines monumentales, elle est excessivement variable ;
. nous ne pouvons donner que quelques exemples des fontaines les plus
et servira à amener à bas prix en Angleterre les minerais de l'Austra-
He. Il sera indispensable d'y appliquer les machines de service dont il
«'agit.
S. Nouvel exemple de la supériorité
économique des machines à vapeurs combinées sur
les machines ordinaires.
La France, bâtiment français à vapeurs combinées, vient de faire le
voyage de Crimée en brûlant dans son trajet 300 tonnes de charbon.
h'Hydaspes, navire anglais à hélice, et à vapeur d'eau pure, a
brûlé 700 tonnes pour faire le même trajet dans le même temps, et
n'est que d'un quart plus grand.— Économie du système combiné,
.57 p. MO.
MELANGES.
1. lies lavoirs et hains puhlics de Iiondres. .
LAVOIR ET BAINS DE SAINT-PANCRACE. — C'est le premier bâtiment
de ce genre établi à Londres. Il date de 1847, et dessert le nord-ouest
de la ville. On y trouve 35 cabinets de bain pour hommes, 15 pour
femmes; 60 bassins à laver; 4 appareils pour tordre, sécher et sus-
pendre le linge.
LAVOIR ET BAINS DE CUSTON-SQUARE (White-Chapel).— 30,000 bains
par semaine; lessive pour 20,000 personnes,- 94 cabinets de bain ou-
verts par le haut sous un comble général, et fermés par une porte à
vasistas : ce vasistas est mû par le verrou. Les baignoires de lre classe
sont en pierre; celles de 2° classe sont en fonte émaillée intérieure-
ment (fabr. à Birmingham, près Wolverhampton). — Les cloisons sé-
paratives sont en lames d'ardoise, assemblées dans des châssis en fonte.
— Chaque cabinet renferme, outre sa baignoire, un banc, un miroir,
des crochets à habits, une natte et une brosse à manche.
Les lavoirs sont au nombre de 96. Ils sont ouverts par en haut et par
devant.
Le comble général est en fer, avec châssis vitré. — Chauffage de l'eau,
à la vapeur, dans un cylindre de 2m.43 de diamètre et de 3m.05 de haut.
— 2 chaudières génératrices de 10m.66 de long et de lm. 67 de diamètre.
—Machine à vapeur de 4 chevaux pour élever l'eau froide.—Conduites
en fonte. — 2 grandes conduites générales, l'une pour amener l'eau
froide, l'autre pour écouler l'eau chaude savonneuse.
Le prix des bains est fixé par l'acte de S. Henry Dukinflelds, fonda-
teur, avec la ville de Londres, ainsi qu'il suit :
Bains pour la classe ouvrière. — 1 bain froid, au maximum, 1 penny
(0M0). — 1 bain chaud, au maximum, 2 pence (0'.20). — 1 bain froid
pour 4 enfants réunis, au-dessous de 8 ans, au maximum, 2 pence
(0'.20). — 1 bain chaud, ou bain de vapeur, pour 4 enfants au-dessus
de « ans, au maximum, 4 pence (0'.40).
Bains pour les classes plus aisées. — Au maximum, trois fois les prix
correspondants pour la classe ouvrière. Chaque bain est alors exclusi-
vement alimenté d'eau pure, et doit être accompagné d'une serviette
blanche.
Lavoirs pour la classe ouvrière. — Pour usage d'une cuve à laver,
d'une chaudière, d'un bassin à rincer, de la vapeur, et du séchoir, pour
une heure, au maximum, 1 penny (O'.IO). Pour 2 heures consécutives,
au maximum, 3 pence (0'.30).
- Lavoirs pour les classes plus aisées. — Les tarifs sont variables et dé-
terminés par le conseil municipal.
Lavoirs publics. — Au maximum, 1/2 penny (0'.05) par heure.
Progrès des quatre établissements de Londres.
Malgré les bas prix des bains et des lavages des établissements dont
il s'agit, l'entreprise n'en a pas moins été des plus lucratives., comme
le prouvent les chiffres suivants :
En 1847. . . Bains: 143,794 Lavages: 39,418
1848. . . — 160,628 . — 61,690
1849. . . — 394,517 — 75,004
1850. . . — 595,797 (sextuple). — 133,177 (triple).
Ainsi, en quatre ans, le nombre des bains et des lavages réunis s'est
quadruplé. L'affluence est telle, que les femmes sont constamment obli-
gées d'attendre que les lavoirs soient libres. Le nombre des baigneurs
est'si considérable, qu'on s'est ingénié à trouver le système de robinets
qui débite l'eau avec la plus grande rapidité (tubes courbés et évasés),
pour économiser tout le temps possible dont le baigneur ne dispo-
serait pas. — Salles d'attente. Appels par ordre de priorité. Longs
bancs en bois (2e classe) ou rembourrés (lre classe) sur lesquels on '
prend place pour attendre son tour.
Bénéfices. ■'■■,..
Le produit net des établissements de ce genre établis à Londres varie,
pendant les premières années, entre 4 et 5 p. 100. Ainsi, les frais pour
travaux, y compris la redevance à la Compagnie des eaux, seront, par
exemple, de 1,586 liv. (39,650 fr.), et les recettes de 1,980 liv.
(49,500 fr.); différence, 403 liv. (10,075 fr.), ce qui représente un ca-
pital d'environ 20,000 liv. (500,000 fr.).
Les bénéfices augmentent ensuite les années suivantes, jusqu'à at-
teindre un chiffre de 6, 7, 8'p. 100 et davantage, quand les circon-
stances locales sont favorables.
FOERSTER. {Allgemeine Bauzeitung, devienne.)
Nous donnerons incessamment de plus amples détails et des planches,
que nous devons à l'obligeance de MM. les ingénieurs du service muni-
cipal de Paris, sur ces utiles et productifs établissements, tant en
Angleterre qu'en France, Allemagne et Italie.
«. Bases du calcul de la quantité d'eau nécessaire
à l'alimentation d'une ville.
D'après les médecins, un homme, dans des conditions moyennes, ab-
sorbe par jour environ 2 litres d'eau. Voilà la quantité moyenne rigou-
reusement indispensable, au-dessous de laquelle commencerait la souf-
france physique. Quant à la consommation pour l'usage extérieur ou dé
propreté, on l'évalue, à Paris,- à 18 litres. Ainsi chaque habitant d'une
maison est censé consommer 20 litres d'eau, lorsque cette eau lui est
fournie à discrétion. Mais nous ne parlons ici que de l'habitant ordinaire
et qui n'exerce aucune des professions qui consomment beaucoup d'eau,
telles que celles des teinturiers, brasseurs, bains et lavoirs publics, etc.
Nous ne parlons pas non plus des animaux domestiques, des chevaux
surtout, si nombreux dans les villes, de l'alimentation des machines à
vapeur, de l'arrosement des jardins : en tenant compte de toutes ces
consommations, qui peuvent être considérées comme proportionnelles
au nombre des habitants, on arrive au chiffre moyen de 50 litres par
habitant. Voici du reste quelles sont, à Paris, les bases des évalua-
tions pour les abonnements :
Par personne 20 litres.
Par cheval . . • ■ • • 75
Par voiture de luxe à deux roues 40
à quatre roues . .'....' 75
Par mètre carré de jardin, 500 litres par an. Par jour ....... 1.50
Par force de cheval d'une machine à haute pression. 1.50
— à détente et condensation ... 10
. '■ — à basse pression 20
Par bain '. . 309
Par litre de bière faite;, h
Les autres industries sont évaluées au moyen de renseignements par-
ticuliers pris dans les établissements.
En dehors des usages domestiques ou industriels, l'eau est employée
à des usages publics, pour arrosement de la voie publique, pour laver
les ruisseaux des rues, les égouts, enfin à des écoulements de luxe, tels
que les fontaines monumentales, jets d'eau, entretien de pièces d'eau
ou rivières artificielles. Ces divers besoins sont fort difficiles à éva-
luer; nous ne pouvons fournir à leur égard que des renseignements
isolés.
A Paris, chaque arrosement de la voie publique consomme environ
1 litre par mètre carré. Dans les grandes chaleurs, on en fait souvent
trois par jour. Pour laver les ruisseaux, il faut une borne-fontaine sur
chaque sommet de pente ; à Paris, on.devait lui faire répandre 10 mè-
tres cubes d'eau par jour. L'insuffisance actuelle du diamètre des con-
duites fait réduire cette quantité à 5 ou 6 mètres cubes. Quant à la dé-
pense des fontaines monumentales, elle est excessivement variable ;
. nous ne pouvons donner que quelques exemples des fontaines les plus
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