Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1855-03-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 mars 1855 01 mars 1855
Description : 1855/03/01 (N3)-1855/03/31. 1855/03/01 (N3)-1855/03/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55770484
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.
5. liigne de Paris à Mulhouse.
Dans la première division de Noisy-le-Sec à la ligne de Montereau,
l'adhésion donnée par les propriétaires des communes de Noisy-le-Sec,
Bondy, Rosny et Fontenay sous-Bois, a permis de commencer immé-
diatement les terrassements dans toute celte partie de la traversée du
département de la Seine.
Des chantiers ont été ouverts sur quatre points dans le département
de Seine-et-Màrne. Les travaux, interrompus par l'abondance des
neiges, ont été repris depuis avec un redoublement d'activité.
Quant au pont et au viaduc de la Marne, les travaux que la gelée
avait forcé d'interrompre sont repris aujourd'hui, et vont être active-
ment poussés ce printemps. Quelques jours suffiront pour mettre à
profondeur les fouilles de fondation de la culée droite et des deux pre-
mières piles du viaduc. Le battage des pieux commencera immédiate-
ment après. Les fouilles delà culée de rive gauche sont arrivées au niveau
de l'eau ; elles sont actuellement continuées avec une machine à dra-
guer. Les fouilles de fondation des piles dans l'île sont, à peu de chose
près, à la même profondeur.
6. Chemin de fer «le Parts à Caen et Cherbourg.
Les travaux de construction sont poussés sur cette ligne avec la plus
grande activité, malgré les obstacles que présente encore un des
ouvrages d'art. L'administration ne néglige rien pour se mettre en
mesure de commencer l'ouverture de sa ligne, jusqu'à Lizieux d'abord,
jusqu'à Caen ensuite, pendant l'Exposition, et le pire qui puisse lui
arriver, à ce que nous présumons, c'est d'avoir peut-être quelque iacune
de 3 ou h kilomètres à desservir pendant quelques jours par des om-
nibus. Lé matériel de toute espèce est commandé depuis longtemps.
7. ÎTiision des chemins de fer de l'Ouest et du
KorA-Oucst.
Les cinq compagnies de l'Ouest, de Rouen, du Havre, de Cherbourg
et de Saint-Germain n'en forment désormais plus qu'une. L'utilité de cet
arrangement est aussi grande pour la bonne administration de tout le
réseau que pour ses progrès à venir.
C'était la seule solution vraiment pratique des innombrables difficultés
que créait dans la gare des Batignolles le conflit entre cinq services dif-
férents. C'était le seul moyen de couper court aux rivalités et aux con-
currences acharnées qui se seraient élevées à la concession de tout
embranchement nouveau.
8. lie second chemin de fer «le Iijon.
Le chemin de fer direct de Paris à Lyon par Nevers, Montargis et
Roanne, est concédé aux trois Compagnies d'Orléans, de Lyon et du
Grand-Central associées ensemble et chacune pour un tiers à cet effet.
La Compagnie distincte, composée de ces trois personnes civiles,
sera gérée par des administrateurs pris en nombre égal dans les trois
Conseils d'administration.
Elle se procurera les fonds nécessaires par des emprunts en obliga-
tions offrantj par conséquent, la garantie des trois Compagnies asso-
ciées, et dont le placement est assuré parmi leurs riches et nombreux
actionnaires qui y trouveront une nouvelle occasion de bénéfices.
TRAVAUX ÉTRANGERS.
Chemin de fer Central suisse.
Le premier tronçon de l'entreprise (de Bâle à Liestal) est livré à la
circulation.
, Cette section, d'une étendue de 14 kilomètres seulement, a été ou-
verte le 19 décembre 1854. Depuis cette époque jusqu'au 18 janvier
1855, c'est-à-dire dans la période d'un mois, le nombre des voyageurs
s'est élevé à 21,576, ce qui donne en recettes 13,132 francs.
Or, sur les chemins de fer placés dans les mêmes conditions que le
Ceutral Suisse sous le double rapport du climat et du sol, le mois de
décembre ne donne, à ce qu'il paraît, que le 1/23 du produit total de
l'année. La recette ci-dessus supposerait donc pour l'année. 302,036,00
Soit par kilomètre. . 21,574,00
A déduire pour frais d'exploitation 40 p. 100 au plus. . 8,629,60
Reste, par kilomètre, un revenu net de 12,944,40
Un emprunt de trois millions est émis par le comité de direction
pour Paclièvemënt de la ligne de Berné.
MÉLANGES.
1. lies travaux de mines et l'électricité.
Depuis quelques années, l'usage de la pile électrique pour allumer
les mines devient très-fréquent. Les avantages de ce système sont l'ex-
plosion simultanée de toutes les mines que l'on peut établir pour déta-
cher un fragment d'un grand volume. Des déblais importants ont été
exécutés par ce procédé en Angleterre par M. Cubitt, en Hanovre par
MM. de Caven et Frischen, en France par M. du Moncel, aux travaux
du port de Cherbourg.
Procédé à petite échelle, par MM. de Caven et Frischen. En principe,
ce procédé consiste à introduire, dans le fond du trou qui renferme la
poudre , un fil de fer mince et double, entouré d'un enduit de gutta-
percha dans toutes les parties qui se toucheraient, et dont les deux ex-
trémités sont maintenues très-voisines l'une de l'autre par ce fait qu'elles
sont piquées parallèlement à travers un même bouchon de liège noyé
dans la poudre. On fore à la barre à mine ou à l'acide chlorhydrique
(procédé Courbebaisse) des trous de la grandeur ordinaire, suivant
toutes les lignes où l'on veut faire éclater la pierre. Pour un trou de 2
à 3 centimètres de large et de 40 centimètres à 1 mètre de profondeur,
la charge de poudre varie de 8 onces à 1 livre. Le même fil de fer isolé
court d'un trou à l'autre et s'enfonce dans le fond de chaque'charge,
où il s'interrompt et ressort pour aller au trou suivant. L'un des bouts
du fil est mis en communication avec le pôle positif d'une pile, et l'autre
bout avec le pôle négatif.
Les opérations successives sont : 1" le forage des trous; 2° l'intro-
duction d'une enveloppe en papier ou en fer-blanc qui contient la
poudre, et dans laquelle est renfermé à son tour le tube de verre minée
qui contient les deux bouts du fil et la charge amorce (coton-poudre) ;
3" le bourrage avec du sable fortement tassé ; 4° le bourrage final avec
de la pierraille et de l'argile.
Prix total d'une batterie à platine de neuf éléments, employée à
Hildesheim : 370 fr.
Prix de 10 mètres de fil quadruple , enduit de gutta-percha : l',25.
Prix du coton-poudre : 1 fr. les 100 grammes.
Procédé à grande échelle, de M. du MOUcel (Comptés rendus de
l'Académie des sciences, 1854).
a. Le système d'explosion dont j'ai à entretenir aujourd'hui l'Académie
a été installé par hloi sur la demande de MM. les entrepreneurs du
creusement du port de- Cherbourg. Le grand point était d'obtenir une
simultanéité complète d'explosion pour des mines immenses, véritables
volcans sous-marins, renfermant chacune jusqu'à 4,000 kilogrammes de
poudre. La question d'économie, qui pour d'autres applications avait
dû me préoccuper^ devenait pour celle-ci une question secondaire. Dès
lors, je dus, pour ce cas, renoncer à mon système primitif, dont j'ai
déjà entretenu l'Académie des sciences, et recourir au système de
MM. Ruhmkhorf etVerdu, que j'ai modifié un peu pour en rendre l'ap-
plication plus facile, et plus sûre.
Pour produire une explosion certaine, il ne suffit pas, en effet,
d'interrompre et de rétablir une seule fois le courant électrique.
Il faut répéter ce fait plusieurs fois de suite, et à des intervalles aussi
rapprochés que possible, pour être sûr que i'une des interruptions
au moins produit l'étincelle dans la masse à enflammer. J'ai eu pour
cela recours à un commutateur à rotation, consistant principale-
ment dans une roue épaisse de gutta-percha mise eh mouvement
par un ressort en spirale, et dont la circonférence portait cinq pla-
ques métalliques séparées les unes des autres par un intervalle de
2 centimètres environ. Sur cette circonférence appuyait un frotleur qui,
5. liigne de Paris à Mulhouse.
Dans la première division de Noisy-le-Sec à la ligne de Montereau,
l'adhésion donnée par les propriétaires des communes de Noisy-le-Sec,
Bondy, Rosny et Fontenay sous-Bois, a permis de commencer immé-
diatement les terrassements dans toute celte partie de la traversée du
département de la Seine.
Des chantiers ont été ouverts sur quatre points dans le département
de Seine-et-Màrne. Les travaux, interrompus par l'abondance des
neiges, ont été repris depuis avec un redoublement d'activité.
Quant au pont et au viaduc de la Marne, les travaux que la gelée
avait forcé d'interrompre sont repris aujourd'hui, et vont être active-
ment poussés ce printemps. Quelques jours suffiront pour mettre à
profondeur les fouilles de fondation de la culée droite et des deux pre-
mières piles du viaduc. Le battage des pieux commencera immédiate-
ment après. Les fouilles delà culée de rive gauche sont arrivées au niveau
de l'eau ; elles sont actuellement continuées avec une machine à dra-
guer. Les fouilles de fondation des piles dans l'île sont, à peu de chose
près, à la même profondeur.
6. Chemin de fer «le Parts à Caen et Cherbourg.
Les travaux de construction sont poussés sur cette ligne avec la plus
grande activité, malgré les obstacles que présente encore un des
ouvrages d'art. L'administration ne néglige rien pour se mettre en
mesure de commencer l'ouverture de sa ligne, jusqu'à Lizieux d'abord,
jusqu'à Caen ensuite, pendant l'Exposition, et le pire qui puisse lui
arriver, à ce que nous présumons, c'est d'avoir peut-être quelque iacune
de 3 ou h kilomètres à desservir pendant quelques jours par des om-
nibus. Lé matériel de toute espèce est commandé depuis longtemps.
7. ÎTiision des chemins de fer de l'Ouest et du
KorA-Oucst.
Les cinq compagnies de l'Ouest, de Rouen, du Havre, de Cherbourg
et de Saint-Germain n'en forment désormais plus qu'une. L'utilité de cet
arrangement est aussi grande pour la bonne administration de tout le
réseau que pour ses progrès à venir.
C'était la seule solution vraiment pratique des innombrables difficultés
que créait dans la gare des Batignolles le conflit entre cinq services dif-
férents. C'était le seul moyen de couper court aux rivalités et aux con-
currences acharnées qui se seraient élevées à la concession de tout
embranchement nouveau.
8. lie second chemin de fer «le Iijon.
Le chemin de fer direct de Paris à Lyon par Nevers, Montargis et
Roanne, est concédé aux trois Compagnies d'Orléans, de Lyon et du
Grand-Central associées ensemble et chacune pour un tiers à cet effet.
La Compagnie distincte, composée de ces trois personnes civiles,
sera gérée par des administrateurs pris en nombre égal dans les trois
Conseils d'administration.
Elle se procurera les fonds nécessaires par des emprunts en obliga-
tions offrantj par conséquent, la garantie des trois Compagnies asso-
ciées, et dont le placement est assuré parmi leurs riches et nombreux
actionnaires qui y trouveront une nouvelle occasion de bénéfices.
TRAVAUX ÉTRANGERS.
Chemin de fer Central suisse.
Le premier tronçon de l'entreprise (de Bâle à Liestal) est livré à la
circulation.
, Cette section, d'une étendue de 14 kilomètres seulement, a été ou-
verte le 19 décembre 1854. Depuis cette époque jusqu'au 18 janvier
1855, c'est-à-dire dans la période d'un mois, le nombre des voyageurs
s'est élevé à 21,576, ce qui donne en recettes 13,132 francs.
Or, sur les chemins de fer placés dans les mêmes conditions que le
Ceutral Suisse sous le double rapport du climat et du sol, le mois de
décembre ne donne, à ce qu'il paraît, que le 1/23 du produit total de
l'année. La recette ci-dessus supposerait donc pour l'année. 302,036,00
Soit par kilomètre. . 21,574,00
A déduire pour frais d'exploitation 40 p. 100 au plus. . 8,629,60
Reste, par kilomètre, un revenu net de 12,944,40
Un emprunt de trois millions est émis par le comité de direction
pour Paclièvemënt de la ligne de Berné.
MÉLANGES.
1. lies travaux de mines et l'électricité.
Depuis quelques années, l'usage de la pile électrique pour allumer
les mines devient très-fréquent. Les avantages de ce système sont l'ex-
plosion simultanée de toutes les mines que l'on peut établir pour déta-
cher un fragment d'un grand volume. Des déblais importants ont été
exécutés par ce procédé en Angleterre par M. Cubitt, en Hanovre par
MM. de Caven et Frischen, en France par M. du Moncel, aux travaux
du port de Cherbourg.
Procédé à petite échelle, par MM. de Caven et Frischen. En principe,
ce procédé consiste à introduire, dans le fond du trou qui renferme la
poudre , un fil de fer mince et double, entouré d'un enduit de gutta-
percha dans toutes les parties qui se toucheraient, et dont les deux ex-
trémités sont maintenues très-voisines l'une de l'autre par ce fait qu'elles
sont piquées parallèlement à travers un même bouchon de liège noyé
dans la poudre. On fore à la barre à mine ou à l'acide chlorhydrique
(procédé Courbebaisse) des trous de la grandeur ordinaire, suivant
toutes les lignes où l'on veut faire éclater la pierre. Pour un trou de 2
à 3 centimètres de large et de 40 centimètres à 1 mètre de profondeur,
la charge de poudre varie de 8 onces à 1 livre. Le même fil de fer isolé
court d'un trou à l'autre et s'enfonce dans le fond de chaque'charge,
où il s'interrompt et ressort pour aller au trou suivant. L'un des bouts
du fil est mis en communication avec le pôle positif d'une pile, et l'autre
bout avec le pôle négatif.
Les opérations successives sont : 1" le forage des trous; 2° l'intro-
duction d'une enveloppe en papier ou en fer-blanc qui contient la
poudre, et dans laquelle est renfermé à son tour le tube de verre minée
qui contient les deux bouts du fil et la charge amorce (coton-poudre) ;
3" le bourrage avec du sable fortement tassé ; 4° le bourrage final avec
de la pierraille et de l'argile.
Prix total d'une batterie à platine de neuf éléments, employée à
Hildesheim : 370 fr.
Prix de 10 mètres de fil quadruple , enduit de gutta-percha : l',25.
Prix du coton-poudre : 1 fr. les 100 grammes.
Procédé à grande échelle, de M. du MOUcel (Comptés rendus de
l'Académie des sciences, 1854).
a. Le système d'explosion dont j'ai à entretenir aujourd'hui l'Académie
a été installé par hloi sur la demande de MM. les entrepreneurs du
creusement du port de- Cherbourg. Le grand point était d'obtenir une
simultanéité complète d'explosion pour des mines immenses, véritables
volcans sous-marins, renfermant chacune jusqu'à 4,000 kilogrammes de
poudre. La question d'économie, qui pour d'autres applications avait
dû me préoccuper^ devenait pour celle-ci une question secondaire. Dès
lors, je dus, pour ce cas, renoncer à mon système primitif, dont j'ai
déjà entretenu l'Académie des sciences, et recourir au système de
MM. Ruhmkhorf etVerdu, que j'ai modifié un peu pour en rendre l'ap-
plication plus facile, et plus sûre.
Pour produire une explosion certaine, il ne suffit pas, en effet,
d'interrompre et de rétablir une seule fois le courant électrique.
Il faut répéter ce fait plusieurs fois de suite, et à des intervalles aussi
rapprochés que possible, pour être sûr que i'une des interruptions
au moins produit l'étincelle dans la masse à enflammer. J'ai eu pour
cela recours à un commutateur à rotation, consistant principale-
ment dans une roue épaisse de gutta-percha mise eh mouvement
par un ressort en spirale, et dont la circonférence portait cinq pla-
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