Promotion de 1861 (Décret impérial du 9 septembre 1861)
Nom, prénoms, date et lieu de naissance, désignation des père et mère, signalement
Decoeur Joseph Paul Cyrille
Né le 9 février 1839 à Vienne (Isère).
Fils de Cyrille Marie Joseph Decoeur et de Eugénie Baptistine Irma Chollier, son épouse.
Sa mère, veuve Decoeur, rentière, chez M. Chollier à Vienne (Isère), place du musée. Son père était négociant.
Signalement : Cheveux et sourcils châtain clair, front ordinaire, nez long, yeux gris, bouche ordinaire, menton à fossette, visage ovale, taille 1m712.
Marques apparentes : cicatrice au dessus de l’œil gauche.
Connaissances acquises avant l’entrée à l’École Polytechnique
A fait ses études littéraires, sa rhétorique, sa philosophie, ses mathématiques à Grenoble.
Reçu bachelier ès-lettres et ès-sciences à Grenoble.
Numéros de classement à l’École Polytechnique
N° d’entrée : 6
N° de passage de la 2e à la 1e division : 20
N° de sortie : 18
Entré à l’École Polytechnique en 1859.
Sergent pendant l’année scolaire 1859-1860.
Élève pendant l’année scolaire 1860-1861.
[Signé] P. Decoeur.
Numéros de classement à l’École des Ponts et Chaussées
D’entrée : 12
De passage de la 3e à la 2e classe : 9
De passage de la 2e à la 1e classe : 8
De sortie : 9
Session 1861-1862
Nombre de degrés obtenus : 249.4.
2e prix de croquis
2e prix de lavis d’architecture
2e accessit de lavis à la sépia
Session 1862-1863
Nombre de degrés obtenus : 314.9.
1er prix d’architecture
1er accessit de grand pont
1er accessit de barrage
1er accessit de mécanique
1er prix de composition littéraire
2e prix de croquis
Session 1863-1864
Nombre de degrés obtenus : 296.3.
1er accessit d’architecture
1er accessit de mécanique
1er accessit de croquis
1er prix de lavis d’architecture
Total des degrés : 860.6.
Missions
En 1862, mission dans la Seine et Marne, Service de la navigation de la Seine (1e section).
En 1863, mission dans le Finistère, Service des chemins de fer de Rennes à Brest (2e section).
Renseignements divers et observations
Correspondant : M. Bresse rue de l’Odéon n° 5