Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-12-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 décembre 1857 25 décembre 1857
Description : 1857/12/25 (A2,N37). 1857/12/25 (A2,N37).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6530636x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. -) le")
procurer des moyens de transport pour cette courte traversée
de 29 heures, afin de débarrasser nos héros du poids de leur
appareil militaire? Mais réellement la chose est par trop in-
soutenable, tellement insoutenable, que, la « raison col-
latérale » qui suivait immédiatement mise à part, nous n'au-
rions jamais pensé qu'un homme éminent pût dire autant de
non-sens avec une sérieuse satisfaction. La « raison collaté -
rale » cependant est le nec plus ultra. La cc raison collatérale »
pour ne pas traverser le désert a été celle-ci: « afin qu'aucune
nation ne puisse dire que sans de certaines facilités qu'elle nous
aurait accordées et qu'elle aurait aussi pu refuser, nous n'aurions
jamais été en état d'accomplir notre tâche. » Cervantes avait
une imagination ardente, mais autant que nous nous le rap-
pelons, il n'a jamais atteint ce qui vient d'être dit. Nous ne
nous rappelons pas que même ce généreux fou, le chevalier
de la Triste-Figure, se défit de sa lance ou descendit de sa
Rossinante la veille d'un combat à mort, sous prétexte que
les armes et le cheval étaient des avantages dont il pourrait
bien être privé à une autre occasion. La prochaine fois que
nous aurons besoin de sauver les Indes, la route de Suez pour-
rait bien être fermée : telle est la raison pour ne pas nous en
servir maintenant. Il peut y avoir des moments où des ultra-
absurdités de cette espèce peuvent se dire; mais bien certaine-
ment ce moment-ci n'en est pas un. La lutte que nous avons à
soutenir est trop sérieuse; nous n'avons pas de temps pour les
charmantes vétilles de l'étiquette ou les sensibilités plus roman-
tiques de la diplomatie. Nous aurions mieux fait de nous ser-
vir d'un avantage qui, à l'avenir, aurait pu nous être refusé,
que de courir le risque d'éprouver une humiliation et un mal-
heur qui auraient fait des blessures bien plus profondes que
toutes celles de la vanité nationale. Lord Strattford de Redcliffe,
tout diplomate qu'il est, n'a pas vu la nécessité de cette déli-
cate attention pour CI l'étiquette des nations ,. Comme tout le
monde, excepté le Cabinet, il tenait pour décidé l'envoi de
troupes à travers le désert. Le 30 juin, il fit par le télégraphe
l'offre de ses services pour obtenir le firman indispensable du
Sultan, et le 2 juillet il reçut de lord Palmerston un refus té-
légraphique. Il paraît y avoir peu de raisons pour douter que
lord Elphinstone à Bombay était arrivé à la même conclusion,
et avait envoyé, avec le même succès, une offre semblable à
lord Canning, pour l'envoi de va peurs de Bombay à Suez. Les
raisons alléguées pour faire croire qu'un tel message n'a pas
été envoyé par Sa Seigneurie ne tromperont que ceux qui
veulent être trompés.
» Telle est donc l'histoire de la route de l'Overland. Lord
Strattford de Redcliffe, à la fin de juin, envoie par le télé-
graphe la permission d'user de cette route; lord Palmerston,
malgré la grandeur bien connue des dangers dans l'Inde, re-
fuse de se servir de cette route, parce que, comme il dit, elle
est difficile et dangereuse, et offre des avantages qui pourraient
être refusés dans une autre occasion. Si M. John Bull se contente
de cette série de raisons et d'arguments , il faut que sa facilité
d'humeur soit réellement bien grande. »
Le Daily-News du 11 décembre 1857 publie l'article sui-
vant : Renforts pour l'Inde, via Suez. « Lord Palmerston et
quelques-uns de ses collègues restent seuls de cette opinion
qu'il aurait été mal à propos d'envoyer des troupes par 1 Over-
land route aussitôt qu'ils avaient reçu les nouvelles de 1 in-
surrection de l'Inde. Lord Canning et son conseil étaient
tellement persuadés que des troupes seraient immédiatement
envoyées via Suez, qu'ils faisaient des arrangements avec la
Compagnie Péninsulaire et Orientale pour le transport de Suez
à Calcutta. Dans une dépêche du gouverneur général au di-
recteur datée du 7 août, et publiée dans les derniers volumes
des documents sur l'Inde présentés au Parlement, on trouve
le passage suivant : CI Nous sommes en négociation avec la
» Compagnie Péninsulaire et Orientale pour le transport des
troupes qui peuvent avoir été expédiées dans l'Inde par
la route de Suez, bientôt après l'arrivée dans l'Inde des
» nouvelles de l'insurrection. Il est certain que le vapeur ordi-
» naire de cette Compagnie peut apporter quatre cents hommes
» de Suez à chaque voyage, et même davantage s'il n'y a que peu
» de passagers. Conformément à ceci, des instructions ont été
» données pour préparer le Bentinck, vapeur qui va trans-
» porter la malle prochaine, pour recevoir à bord autant
» d'hommes qu'il peut en transporter en sus des passagers ordi-
» naires. Les seuls préparatifs nécessaires à bord sont la pré-
» paration de cabines supplémentaires, de vaisselle de cuisine
» pour les hommes, et quelques dispositions pour la propreté
» et la salubrité. Le commissariat a reçu ordre d'approvisionner
» le navire. Des préparatifs semblables pour le transport de
» troupes seront faits, en attendant, à bord de tous les vapeurs
» qui suivront. »
« Ce qui a été fait pour le vapeur de Calcutta aurait pu être
fait pour tous les vapeurs allant régulièrement de Bombay en
Chine et en Australie. Même s'il n'y avait pas eu de prépara-
tifs de faits dans l'Inde, on aurait pu envoyer avec chaque
détachement les provisions, les matériaux pour faire le peu
de changements nécessaires. Mais lord Palmerston et ses
collègues défendirent au directeur de penser à une pareille
chose, parce que cela donnerait trop de peine aux consuls à
Alexandrie. »
Le Daily-News du 14 décembre annonce l'arrivée de M. Ferd.
de Lesseps à Constantinople le 5 décembre; et il analyse le
discours de M. Conrad à l'Académie royale des sciences d'Am-
sterdam.
Le Railway-Times du 5 décembre reproduit la correspon-
dance du Constitutionnel datée de Constantinople et qui
annonce la remise d'une note au gouvernement turc de la part
de M. de Thouvenel, pour lui recommander d'accorder enfin
le firman demandé par M. de Lesseps. Le journal anglais
partage la confiance du Constitutionnel que Réchid-Pacha
saisirait cette occasion pour rétablir ses bons rapports avec
la France. Le Railway-Times signale ensuite la sympathie de
la presse australienne pour l'entreprise du canal de Suez, et
en preuve de ses assertions, il cite les détails de notre entreprise
sur lesquels les journaux de l'Australie insistent particulière-
ment, pour expliquer à leurs lecteurs la nature du projet, et
qui sont tous extraits de l'ouvrage sur les meetings anglais.
Le Shipping and Mercantile Gazette annonçait d'après
une correspondance de Constantinople que M. lhouvenel
avait remis une note à la Porte en faveur du canal de Suez.
Le Morning Star a reproduit la correspondance de Con-
stantinople adressée au Constitutionnel, où l'on annonçait la
note remise par M. Thouvenel.
Le Morning Chronicle a reproduit aussi la même nouvelle,
d'après une lettre qui avait été reçue à Paris d'un correspon-
dant anglais à Constantinople.
On voit donc que cette nouvelle importante, quelle qu'en
fût d'ailleurs l'exactitude à l'époque où on la publiait, était
parvenue aux journaux anglais en même temps qu'à ceux de
France et d'Allemagne, comme le prouvent les extraits que
nous donnons un peu plus bas.
Le Morning Star du 14 décembre annonce la réception de
M. Ferd. de Lesseps à Corfou et à Athènes. Il annonce aussi
son arrivée à Constantinople le 5 décembre. Le Morning Star
répète aussi ce fait que les steamers du Lloyd qui transpor-
taient M de Lesseps avaient arboré le pavillon français.
37.
procurer des moyens de transport pour cette courte traversée
de 29 heures, afin de débarrasser nos héros du poids de leur
appareil militaire? Mais réellement la chose est par trop in-
soutenable, tellement insoutenable, que, la « raison col-
latérale » qui suivait immédiatement mise à part, nous n'au-
rions jamais pensé qu'un homme éminent pût dire autant de
non-sens avec une sérieuse satisfaction. La « raison collaté -
rale » cependant est le nec plus ultra. La cc raison collatérale »
pour ne pas traverser le désert a été celle-ci: « afin qu'aucune
nation ne puisse dire que sans de certaines facilités qu'elle nous
aurait accordées et qu'elle aurait aussi pu refuser, nous n'aurions
jamais été en état d'accomplir notre tâche. » Cervantes avait
une imagination ardente, mais autant que nous nous le rap-
pelons, il n'a jamais atteint ce qui vient d'être dit. Nous ne
nous rappelons pas que même ce généreux fou, le chevalier
de la Triste-Figure, se défit de sa lance ou descendit de sa
Rossinante la veille d'un combat à mort, sous prétexte que
les armes et le cheval étaient des avantages dont il pourrait
bien être privé à une autre occasion. La prochaine fois que
nous aurons besoin de sauver les Indes, la route de Suez pour-
rait bien être fermée : telle est la raison pour ne pas nous en
servir maintenant. Il peut y avoir des moments où des ultra-
absurdités de cette espèce peuvent se dire; mais bien certaine-
ment ce moment-ci n'en est pas un. La lutte que nous avons à
soutenir est trop sérieuse; nous n'avons pas de temps pour les
charmantes vétilles de l'étiquette ou les sensibilités plus roman-
tiques de la diplomatie. Nous aurions mieux fait de nous ser-
vir d'un avantage qui, à l'avenir, aurait pu nous être refusé,
que de courir le risque d'éprouver une humiliation et un mal-
heur qui auraient fait des blessures bien plus profondes que
toutes celles de la vanité nationale. Lord Strattford de Redcliffe,
tout diplomate qu'il est, n'a pas vu la nécessité de cette déli-
cate attention pour CI l'étiquette des nations ,. Comme tout le
monde, excepté le Cabinet, il tenait pour décidé l'envoi de
troupes à travers le désert. Le 30 juin, il fit par le télégraphe
l'offre de ses services pour obtenir le firman indispensable du
Sultan, et le 2 juillet il reçut de lord Palmerston un refus té-
légraphique. Il paraît y avoir peu de raisons pour douter que
lord Elphinstone à Bombay était arrivé à la même conclusion,
et avait envoyé, avec le même succès, une offre semblable à
lord Canning, pour l'envoi de va peurs de Bombay à Suez. Les
raisons alléguées pour faire croire qu'un tel message n'a pas
été envoyé par Sa Seigneurie ne tromperont que ceux qui
veulent être trompés.
» Telle est donc l'histoire de la route de l'Overland. Lord
Strattford de Redcliffe, à la fin de juin, envoie par le télé-
graphe la permission d'user de cette route; lord Palmerston,
malgré la grandeur bien connue des dangers dans l'Inde, re-
fuse de se servir de cette route, parce que, comme il dit, elle
est difficile et dangereuse, et offre des avantages qui pourraient
être refusés dans une autre occasion. Si M. John Bull se contente
de cette série de raisons et d'arguments , il faut que sa facilité
d'humeur soit réellement bien grande. »
Le Daily-News du 11 décembre 1857 publie l'article sui-
vant : Renforts pour l'Inde, via Suez. « Lord Palmerston et
quelques-uns de ses collègues restent seuls de cette opinion
qu'il aurait été mal à propos d'envoyer des troupes par 1 Over-
land route aussitôt qu'ils avaient reçu les nouvelles de 1 in-
surrection de l'Inde. Lord Canning et son conseil étaient
tellement persuadés que des troupes seraient immédiatement
envoyées via Suez, qu'ils faisaient des arrangements avec la
Compagnie Péninsulaire et Orientale pour le transport de Suez
à Calcutta. Dans une dépêche du gouverneur général au di-
recteur datée du 7 août, et publiée dans les derniers volumes
des documents sur l'Inde présentés au Parlement, on trouve
le passage suivant : CI Nous sommes en négociation avec la
» Compagnie Péninsulaire et Orientale pour le transport des
troupes qui peuvent avoir été expédiées dans l'Inde par
la route de Suez, bientôt après l'arrivée dans l'Inde des
» nouvelles de l'insurrection. Il est certain que le vapeur ordi-
» naire de cette Compagnie peut apporter quatre cents hommes
» de Suez à chaque voyage, et même davantage s'il n'y a que peu
» de passagers. Conformément à ceci, des instructions ont été
» données pour préparer le Bentinck, vapeur qui va trans-
» porter la malle prochaine, pour recevoir à bord autant
» d'hommes qu'il peut en transporter en sus des passagers ordi-
» naires. Les seuls préparatifs nécessaires à bord sont la pré-
» paration de cabines supplémentaires, de vaisselle de cuisine
» pour les hommes, et quelques dispositions pour la propreté
» et la salubrité. Le commissariat a reçu ordre d'approvisionner
» le navire. Des préparatifs semblables pour le transport de
» troupes seront faits, en attendant, à bord de tous les vapeurs
» qui suivront. »
« Ce qui a été fait pour le vapeur de Calcutta aurait pu être
fait pour tous les vapeurs allant régulièrement de Bombay en
Chine et en Australie. Même s'il n'y avait pas eu de prépara-
tifs de faits dans l'Inde, on aurait pu envoyer avec chaque
détachement les provisions, les matériaux pour faire le peu
de changements nécessaires. Mais lord Palmerston et ses
collègues défendirent au directeur de penser à une pareille
chose, parce que cela donnerait trop de peine aux consuls à
Alexandrie. »
Le Daily-News du 14 décembre annonce l'arrivée de M. Ferd.
de Lesseps à Constantinople le 5 décembre; et il analyse le
discours de M. Conrad à l'Académie royale des sciences d'Am-
sterdam.
Le Railway-Times du 5 décembre reproduit la correspon-
dance du Constitutionnel datée de Constantinople et qui
annonce la remise d'une note au gouvernement turc de la part
de M. de Thouvenel, pour lui recommander d'accorder enfin
le firman demandé par M. de Lesseps. Le journal anglais
partage la confiance du Constitutionnel que Réchid-Pacha
saisirait cette occasion pour rétablir ses bons rapports avec
la France. Le Railway-Times signale ensuite la sympathie de
la presse australienne pour l'entreprise du canal de Suez, et
en preuve de ses assertions, il cite les détails de notre entreprise
sur lesquels les journaux de l'Australie insistent particulière-
ment, pour expliquer à leurs lecteurs la nature du projet, et
qui sont tous extraits de l'ouvrage sur les meetings anglais.
Le Shipping and Mercantile Gazette annonçait d'après
une correspondance de Constantinople que M. lhouvenel
avait remis une note à la Porte en faveur du canal de Suez.
Le Morning Star a reproduit la correspondance de Con-
stantinople adressée au Constitutionnel, où l'on annonçait la
note remise par M. Thouvenel.
Le Morning Chronicle a reproduit aussi la même nouvelle,
d'après une lettre qui avait été reçue à Paris d'un correspon-
dant anglais à Constantinople.
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fût d'ailleurs l'exactitude à l'époque où on la publiait, était
parvenue aux journaux anglais en même temps qu'à ceux de
France et d'Allemagne, comme le prouvent les extraits que
nous donnons un peu plus bas.
Le Morning Star du 14 décembre annonce la réception de
M. Ferd. de Lesseps à Corfou et à Athènes. Il annonce aussi
son arrivée à Constantinople le 5 décembre. Le Morning Star
répète aussi ce fait que les steamers du Lloyd qui transpor-
taient M de Lesseps avaient arboré le pavillon français.
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