Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-12-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 décembre 1857 25 décembre 1857
Description : 1857/12/25 (A2,N37). 1857/12/25 (A2,N37).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6530636x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 543
résultant de 7,500,524 francs à l'importation, et de 0,145,021
à l'exportation seraient à répartir entre l'Egypte et la Turquie.
Le mouvement, entrée et sortie, de la navigation auquel
ont donné lieu les échanges de 1856, est représenté par un
chiffre total de 308,772 tonnes, sur lesquelles 82,708 sous
pavillon français; de ce nombre, 62,760 tonnes appar-
tiennent à l'hélice; et 19,918 tonnes, sont représentées par des
navires à voiles.
En prenant, et cela sans crainte de se tromper, ces pro-
portions pour base du rapport qui existe dans la navigation
générale du commerce de Beyrouth, entre l'hélice, bâtiments
à aube, et les navires à voile, il résulte en faveur de la vapeur
un chiffre de 306,416 tonnes, soit 77 pour 0/0 sur le mou-
vement général, et 91,356 tonnes seulement pour la voile,
soit une proportion de 23 pour 0/0. Ainsi, en ce qui con-
cerne le commerce de Beyrouth, la transformation de la voile
par la vapeur n'est plus à l'état d'hypothèse, mais bien un
fait accompli.
MOUVEMENT DU COMMERCE DE BEYROUTH
ET DE SES ÉCHELLES POUR 1856.
IMPORTATION.
Fr.
Articles divers 1,357,172
Blés, grains et farines. 3,495,747
Bonnets. , , , , 347,400
Café et coloniaux. 1,058,450
CotoB fit¿, , , , , 2,287,953
Draps. -, 1,282,000
DroGucrics, , , , , , 596,964
Etain, enivre, plomb.. 75,470
Faycnces et verreries. 339,325
Fer et acier. 546,580
Matière d'or, d'argent,
groups. 7,597,903
Papier 311,115
Quincaillerie.. , , 638,422
Soies et soieries. « 2,306,812
Sucres et sucreries. 842,220
Tissus île coton et de
laine 10,477,704
Vins et liqueurs. 94,227
Charbon de terfe. 585,750
TalaI. 34,241,214
EXPORTATION.
Fr.
Alizaris et époiiges. 160,175
Articles divers. 1,235,722
Blé, maïs, orGc, co-
mestibles. ,. 4,076,360
Cire, gomme, scammo-
née, galle. 129,255
Coton et laine. 344,150
Cuivre vieux 4,145
Fruits. 415,500
Croups 7.425,440
Huile, savon, sésame. 1,496,322
Manufactures "*,181,977
l'oils de cliameau. 35,500
Soie et cocons. 10,131,825
Soude. , 24,700
Tabac et tombac. 2,617,175
Tissus de soie. 4,722,000
Total. 40,190,246
PROVENANCES DES IMPORTATIONS.
-.- -------- ---
Fr.
Angleterre. 9,997,342
AUlriche, , , , , ., 10,508,524
France. 8,885,018
Grèce. 96,750
Hollande et Belgiquev 93,500
SardaiGne" , , 178,580
Toscane. 105,850
Turquie. 899,750
ECYl'te, , , , 3,475,900
Total. 34,241,214
DESTINATION DES EXPORTATIONS.
Fr.
Amcr!quc. 25,000
Angleterre. 4,030,300
Autriche, , , 13,145,021
France 12,61 i, 260
Grèce 95,900
Sardaigne 481,900
Toscane 332,500
Turquie. 4,958,915
EGJPIC., , , , , 4,406,450
Total. 40,100,246
Ainsi, le commerce, aussi bien que la religion, en
Syrie et en Palestine attendent l'ouverture de l'isthme
de Suez et se préparent à ce grand événement. Il est
évident que quand le commerce du monde passera à
40 ou 50 lieues tout au plus des côtes de Syrie , l'état
de ces contrées changera d'une manière rapide et s a-
méliorera de toutes les manières. On voit que dès à
présent le commerce de Beyrouth n'est pas sans impor-
tance ; mais il s'accroîtra alors dans une proportion
considérable., -
Nous apprenons par la Presse d'Orient du 18 no-
vembre que les travaux de la route de Beyrouth a Damas,
concédée à M. de Perthuis, ont commencé depuis quel-
que temps. C'est un avantage considérable pour les deux
villes que cette route mettra en communication ; et le
commerce de Beyrouth s'en ressentira bientôt. (Voir
notre numéro du 10 novembre dernier.)
G. WAGENER.
PERSÉCUTIONS RELIGIEUSES AU TOXQUN,
On écrit de Macao, le 8 octobre, au Moniteur uni-
versel :
« Je vous ai annoncé, il y a quelques jours, le martyre de
l'évêque espagnol, Mgr Diaz, exécuté dans la ville de Nann-
ting, au Tonquin. La nouvelle de sa mort a été apportée à
Macao par la corvette française le Catinat, qui revient d'un
voyage d'exploration sur les côtes du royaume d'Annam, en-
trepris de concert avec le vapeur le Lily, affrété par le consul
général d'Espagne, dans le but de sauver la vie et d'obtenir
la liberté de Mgr Diaz. Arrivée malheureusement trop tard
au secours de l'infortuné prélat, cette expédition a recueilli
sur la navigation dans les parages du Tonquin et sur les
mœurs des habitants de cette province des renseignements
que vous lirez sans doute avec intérêt dans le récit suivant
d'une personne qui a fait partie de cette mission.
» Partis de Macao le 3 septembre, nous arrivâmes le 5 à
l'extrémité sud-ouest de l'ile Haï-nann, et nous mouillâmes
pour la nuit dans l'excellente baie de Vou-linn-kalln, Mais
nous n'y apprîmes rien qui fût de nature à nous aider dans
l'accomplissement de notre tache. Nous repartîmes le G, vers
le soir, reconnûmes, le 7, l'île du Tigre, située à quelques
lieues au nord-est du fleuve de Hué, passâmes la nuit sui-
vante à l'ancre en pleine mer ; et, le 8 septembre, en longeant
la côte de la Cochinchine, nous entrâmes dans la baie de
Bouing-quioua, reconnue déjà comme très-sûrc par la Favo-
rite, dans la campagne de cette frégate autour du monde, en
mars 1831.
» Nous nous rendîmes immédiatement à terre, où nous ne
vîmes, ce soir-là, qu'un hameau de pêcheurs. On nous y ap-
prit néanmoins que, le lendemain, nous trouverions, dans un
village voisin, des chrétiens et un prêtre. Aussi le 9, de grand
matin, étions-nous en route. Nous traversâmes d'abord quel-
ques collines assez élevées, couvertes de broussailles, puis
une rivière, heureusement peu profonde, puis des marais et
environ deux milles de bancs de sable. Toutes ces peines fu-
rent à peu près inutiles. Nous rencontrâmes, il est vrai, deux
chrétiens ; mais ils nous dirent que le prêtre que nous cher-
chions pour être renseignés sur le sort de Mgr Diaz, résidait
actuellement à huit jours de marche. Toutefois, cette petite
excursion nous a mis à même d'observer un fait que nous
avons constaté plus tard partout. Pendant que les païens
fuyaient à notre approche, saisis de crainte et de méfiance,
nos deux chrétiens saluaient en nous des frères, nous ser-
vaient de guides et d'interprètes, et n'acceptaient que pres-
que forcés la moindre rémunération de notre part. Nous
eûmes également l'occasion d'examiner en détail les repous-
santes demeures où il arrive si souvent à nos pauvres mission-
naires du royaume annamite de passer deux et trois mois
sans en sortir en plein jour. Les dortoirs de vos bagnes de
France sont des appartements luxueux en comparaison de ces
taudis sales et infects, dont nous visitâmes un grand nombre.
D La baie de Bouing-quioua paraît située à la limite extrême
du royaume proprement dit de Cochinchine. Partis le 10 sep-
tembre au petit jour, le Lily précédant le Catinat, nous nous
mîmes à longer à petite vitesse la côte du Tonquin, et nous
mouillâmes encore le soir même en mer.
résultant de 7,500,524 francs à l'importation, et de 0,145,021
à l'exportation seraient à répartir entre l'Egypte et la Turquie.
Le mouvement, entrée et sortie, de la navigation auquel
ont donné lieu les échanges de 1856, est représenté par un
chiffre total de 308,772 tonnes, sur lesquelles 82,708 sous
pavillon français; de ce nombre, 62,760 tonnes appar-
tiennent à l'hélice; et 19,918 tonnes, sont représentées par des
navires à voiles.
En prenant, et cela sans crainte de se tromper, ces pro-
portions pour base du rapport qui existe dans la navigation
générale du commerce de Beyrouth, entre l'hélice, bâtiments
à aube, et les navires à voile, il résulte en faveur de la vapeur
un chiffre de 306,416 tonnes, soit 77 pour 0/0 sur le mou-
vement général, et 91,356 tonnes seulement pour la voile,
soit une proportion de 23 pour 0/0. Ainsi, en ce qui con-
cerne le commerce de Beyrouth, la transformation de la voile
par la vapeur n'est plus à l'état d'hypothèse, mais bien un
fait accompli.
MOUVEMENT DU COMMERCE DE BEYROUTH
ET DE SES ÉCHELLES POUR 1856.
IMPORTATION.
Fr.
Articles divers 1,357,172
Blés, grains et farines. 3,495,747
Bonnets. , , , , 347,400
Café et coloniaux. 1,058,450
CotoB fit¿, , , , , 2,287,953
Draps. -, 1,282,000
DroGucrics, , , , , , 596,964
Etain, enivre, plomb.. 75,470
Faycnces et verreries. 339,325
Fer et acier. 546,580
Matière d'or, d'argent,
groups. 7,597,903
Papier 311,115
Quincaillerie.. , , 638,422
Soies et soieries. « 2,306,812
Sucres et sucreries. 842,220
Tissus île coton et de
laine 10,477,704
Vins et liqueurs. 94,227
Charbon de terfe. 585,750
TalaI. 34,241,214
EXPORTATION.
Fr.
Alizaris et époiiges. 160,175
Articles divers. 1,235,722
Blé, maïs, orGc, co-
mestibles. ,. 4,076,360
Cire, gomme, scammo-
née, galle. 129,255
Coton et laine. 344,150
Cuivre vieux 4,145
Fruits. 415,500
Croups 7.425,440
Huile, savon, sésame. 1,496,322
Manufactures "*,181,977
l'oils de cliameau. 35,500
Soie et cocons. 10,131,825
Soude. , 24,700
Tabac et tombac. 2,617,175
Tissus de soie. 4,722,000
Total. 40,190,246
PROVENANCES DES IMPORTATIONS.
-.- -------- ---
Fr.
Angleterre. 9,997,342
AUlriche, , , , , ., 10,508,524
France. 8,885,018
Grèce. 96,750
Hollande et Belgiquev 93,500
SardaiGne" , , 178,580
Toscane. 105,850
Turquie. 899,750
ECYl'te, , , , 3,475,900
Total. 34,241,214
DESTINATION DES EXPORTATIONS.
Fr.
Amcr!quc. 25,000
Angleterre. 4,030,300
Autriche, , , 13,145,021
France 12,61 i, 260
Grèce 95,900
Sardaigne 481,900
Toscane 332,500
Turquie. 4,958,915
EGJPIC., , , , , 4,406,450
Total. 40,100,246
Ainsi, le commerce, aussi bien que la religion, en
Syrie et en Palestine attendent l'ouverture de l'isthme
de Suez et se préparent à ce grand événement. Il est
évident que quand le commerce du monde passera à
40 ou 50 lieues tout au plus des côtes de Syrie , l'état
de ces contrées changera d'une manière rapide et s a-
méliorera de toutes les manières. On voit que dès à
présent le commerce de Beyrouth n'est pas sans impor-
tance ; mais il s'accroîtra alors dans une proportion
considérable., -
Nous apprenons par la Presse d'Orient du 18 no-
vembre que les travaux de la route de Beyrouth a Damas,
concédée à M. de Perthuis, ont commencé depuis quel-
que temps. C'est un avantage considérable pour les deux
villes que cette route mettra en communication ; et le
commerce de Beyrouth s'en ressentira bientôt. (Voir
notre numéro du 10 novembre dernier.)
G. WAGENER.
PERSÉCUTIONS RELIGIEUSES AU TOXQUN,
On écrit de Macao, le 8 octobre, au Moniteur uni-
versel :
« Je vous ai annoncé, il y a quelques jours, le martyre de
l'évêque espagnol, Mgr Diaz, exécuté dans la ville de Nann-
ting, au Tonquin. La nouvelle de sa mort a été apportée à
Macao par la corvette française le Catinat, qui revient d'un
voyage d'exploration sur les côtes du royaume d'Annam, en-
trepris de concert avec le vapeur le Lily, affrété par le consul
général d'Espagne, dans le but de sauver la vie et d'obtenir
la liberté de Mgr Diaz. Arrivée malheureusement trop tard
au secours de l'infortuné prélat, cette expédition a recueilli
sur la navigation dans les parages du Tonquin et sur les
mœurs des habitants de cette province des renseignements
que vous lirez sans doute avec intérêt dans le récit suivant
d'une personne qui a fait partie de cette mission.
» Partis de Macao le 3 septembre, nous arrivâmes le 5 à
l'extrémité sud-ouest de l'ile Haï-nann, et nous mouillâmes
pour la nuit dans l'excellente baie de Vou-linn-kalln, Mais
nous n'y apprîmes rien qui fût de nature à nous aider dans
l'accomplissement de notre tache. Nous repartîmes le G, vers
le soir, reconnûmes, le 7, l'île du Tigre, située à quelques
lieues au nord-est du fleuve de Hué, passâmes la nuit sui-
vante à l'ancre en pleine mer ; et, le 8 septembre, en longeant
la côte de la Cochinchine, nous entrâmes dans la baie de
Bouing-quioua, reconnue déjà comme très-sûrc par la Favo-
rite, dans la campagne de cette frégate autour du monde, en
mars 1831.
» Nous nous rendîmes immédiatement à terre, où nous ne
vîmes, ce soir-là, qu'un hameau de pêcheurs. On nous y ap-
prit néanmoins que, le lendemain, nous trouverions, dans un
village voisin, des chrétiens et un prêtre. Aussi le 9, de grand
matin, étions-nous en route. Nous traversâmes d'abord quel-
ques collines assez élevées, couvertes de broussailles, puis
une rivière, heureusement peu profonde, puis des marais et
environ deux milles de bancs de sable. Toutes ces peines fu-
rent à peu près inutiles. Nous rencontrâmes, il est vrai, deux
chrétiens ; mais ils nous dirent que le prêtre que nous cher-
chions pour être renseignés sur le sort de Mgr Diaz, résidait
actuellement à huit jours de marche. Toutefois, cette petite
excursion nous a mis à même d'observer un fait que nous
avons constaté plus tard partout. Pendant que les païens
fuyaient à notre approche, saisis de crainte et de méfiance,
nos deux chrétiens saluaient en nous des frères, nous ser-
vaient de guides et d'interprètes, et n'acceptaient que pres-
que forcés la moindre rémunération de notre part. Nous
eûmes également l'occasion d'examiner en détail les repous-
santes demeures où il arrive si souvent à nos pauvres mission-
naires du royaume annamite de passer deux et trois mois
sans en sortir en plein jour. Les dortoirs de vos bagnes de
France sont des appartements luxueux en comparaison de ces
taudis sales et infects, dont nous visitâmes un grand nombre.
D La baie de Bouing-quioua paraît située à la limite extrême
du royaume proprement dit de Cochinchine. Partis le 10 sep-
tembre au petit jour, le Lily précédant le Catinat, nous nous
mîmes à longer à petite vitesse la côte du Tonquin, et nous
mouillâmes encore le soir même en mer.
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