Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-10-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 octobre 1857 10 octobre 1857
Description : 1857/10/10 (A2,N32). 1857/10/10 (A2,N32).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6530631v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. M
qui du 1er juillet au 24 septembre ont embarqué des troupes
chaque jour pour les Indes orientales. Les navires le James
Baines et le Champion of the sea sont ceux qui ont reçu le
plus d'hommes à bord, le premier 1,035 et le second 1 032.
Le Sarah Sands en a reçu 900. Les autres n'ont guère pu en
recevoir en moyenne que 380; deux bâtiments en partance,
ÏAustria et le Léopold, devaient en prendre chacun 1,256.
— Dans un article très-étudié, le Daily News met en regard
l'état florissant où est l'ile de Ceylan sous le gouvernement
direct de la couronne d'Angleterre, et les désordres affreux où
l'Inde est livrée. Il fait le plus grand éloge de l'administration
bienfaisante et ferme de sir Henry Ward, qui a pu envoyer
sans le moindre danger pour la colonie des renforts con-
sidérables au Bengale; et il propose d'appliquer aux Indes
orientales le régime qui a si bien réussi à Ceylan. Il est très-
probable en effet que l'organisation de la Compagnie des
Indes recevra de grandes modifications après que l'insurrection
aura été apaisée.
— D'après un article très-remarquable de l'Examiner du
19 septembre , il paraît que dans l'armée de Madras les natifs
étaient aux Européens dans la proportion de 10 à 1 ; dans celle
de Bombay de 17 à 1 ; et dans celle du Bengale de 25 à 1. Ce
détail intéressant est extrait des documents officiels publiés par
ordre du Parlement.
— D'après les états publiés par le Board of trade, les ex-
portations anglaises dans le mois d'août dernier ont été de
11,638,805 livres sterling ou près de 300,000,000 francs.
Les huit mois de 1857 se montent déjà à 84,666,718 livres
sterling ou 2 milliards 120 millions. En 1855 ce n'était
que 60,154,178 livres sterling. Ainsi en deux ans, les expor-
tations se sont accrues de 40 pour 100 à peu près.
— Les îles des Cocos dont les Anglais viennent de s'emparer
dans l'archipel Indien sont à 600 milles à peu près de Java ;
et se trouvent directement sur la route d'Angleterre en Aus-
tralie. Le voisinage des Anglais dans ces parages semble in-
quiéter, ainsi que nous l'avons dit, les colonies néerlandaises.
Les journaux anglais de leur côté affirment que la Hollande
n'a pas de droits réels sur ces îles, où le capitaine Fremantle,
à bord de la Junon, vient d'arborer le pavillon britannique.
Il paraît bien certain cependant que la Hollande a sur ces îles
un droit antérieur bien établi.
Nous empruntons au Moniteur de la flotte du 28 septembre
les détails suivants sur les îles des Cocos.
« La presse étrangère annonce que les Anglais viennent de
prendre possession, dans la Polynésie ou Océanie orientale,
d'une terre à laquelle on a donné, dès l'origine, le nom d'île
des Cocos, et que les indigènes appellent Néoulaboulabou.
Cette île a été reconnue en 1616 par Schouter, célèbre na-
vigateur hollandais, qui en prit alors possession au nom de
son gouvernement; et cette circonstance a donné lieu à la ré-
clamation que vient de faire tout récemment le gouverneur
général des Indes néerlandaises, qui la revendique comme
appartenant aux possessions de son pays. Parmi les naviga-
teurs qui l'ont visitée depuis Schouten, on cite Bougainville,
d'Entrecasteaux, et, en dernier lieu, Dumont d'Urville,
Les îles des Cocos forment un petit grou pe d'environ sept
îles ou îlots dont la plus grande a environ onze kilomètres de
long sur une largeur à peu près égale. Elle produit une grande
quantité d'arbres utiles, parmi lesquels le figuier domine. Le
cocotier, d'où elle tire son nom, ne vient qu'après. On y trouve
aussi l'arbre de tek, le muscadier et le sagoyer, ainsi qu'un
grand nombre de végétaux, dont Dumont d'Urville a donné la
description détaillée. Trois seulement des îles du groupe sont
habitées. Les indigènes sont pauvres et indolents. Ils se nour-
rissent de racines grossières, de coquillages et de fruits de
cycas. La quatrième de ces îles a recu le nom d'île des Caï-
mans, parce qu'elle n'est littéralement habitée que par ces
animaux, qui y fourmillent et qui. sont d'une espèce parti-
culière.
Le groupe de Néoulaboulabou fait partie d'un petit archipel
auquel plusieurs savants ont donné le nom d'archipel d'Oua-
Horn, qui renferme entre autres terres les îles Ooua, la plus
orientale de toutes ; les îles Varaders ou îles des Traîtres, les
îles Ononafou, l'île Horn, assez bien peuplée et qui obéit à un
chef jouissant dans le pays d'une assez grande autorité, et les
îles Wallis, dont les habitants, devenus catholiques depuis
quelques années, jouissent aujourd'hui d'une civilisation assez
avancée.
Les grandes terres les plus rapprochées de l'île des Cocos
sont les îles Salomon, la Nouvelle-Guinée, la Nouvelle-Bre-
tagne et la Nouvelle-Irlande.
» L. D'HORTIER. »
Le Courrier de Paris, en rapportant les nouvelles ci-dessus,
ajoute :
« N'y aurait-il pas dans cette prise de possession, qui res-
semble assez à celle de Périm, une précaution stratégique? Le
gouvernement anglais, assez éclairé sur la question du perce-
ment de l'isthme de Suez par les manifestations des derniers
meetings, songe dès à présent à s'assurer certaines positions
qui permettent à sa marine d'acquérir une certaine prépondé-
rance dans la nouvelle voie que le Vice-roi d'Egypte veut ou-
vrir au commerce du monde. Rien de mieux ; on ne saurait ,
blâmer la Grande-Bretagne de se préparer à profiter d'une
entreprise utile à ses intérêts ; mais encore faudrait-il, quand
le principe de la neutralité est la condition essentielle de l'ou-
verture du bosphore de Suez, qu'il ne lui fût pas permis d'oc-
cuper des positions inquiétantes pour l'avenir de l'entreprise,
au point de vue général. La neutralité de certains points
découle naturellement de la neutralité du canal égyptien. »
Enfin un journal de Sydney, le Sydney Morning Herald,
enregistre dans son dernier numéro une notification du capi-
taine du navire Juno, de la marine anglaise, portant qu'à par-
tir du 30 mars dernier, les îles appelées îles des Cocos, com-
prenant l'ile du Nord, autrement dite Aorth Keeling Islands,
font partie désormais des possessions britanniques.
Cette notification ne dit pas pour quel objet les îles des
Cocos ont été annexées ainsi à l'empire britannique; mais,
d'après le Sydney Morning Herald, cette nouvelle prise de
possession aurait été opérée en vue d'établir un dépôt pour
les bâtiments à vapeur de la ligne de Ceylan à Suez. Ce journal
aioute : -
« On avait d'abord projeté de faire de ces îles un lieu de
relâche à moitié chemin entre le canal du Roi Georges et la
Pointe de Galles. Elles sont admirablement situées pour cela
par leur position géographique, placées comme elles le sont
à l'entrée de l'océan Indien, sur la route directe entre les deux
ports, et dans une position qui est de nature à faciliter les
communications par cette voie avec l'archipel Indien d'une
part, et avec l'ile Maurice de l'autre. Elles sont également im-
portantes, parce qu'il s'y trouve une bonne rade qui permet d'y
établir une station navale. Les îles elles-mêmes sont petites et
sont de la même nature que les îles basses de corail de la Po-
lynésie centrale. «
- D'après un aperçu nouvellement publié du commerce
des îles de Java et de Madura pendant l'année 1856, l'impor-
tation des produits de l'Europe, de l'Amérique et du cap de
Bonne-Espérance s'est élevée à 24,397,154 florins, celle des
produits de l'ouest de l'Inde et du Bengale à 1,212,901 flo-
qui du 1er juillet au 24 septembre ont embarqué des troupes
chaque jour pour les Indes orientales. Les navires le James
Baines et le Champion of the sea sont ceux qui ont reçu le
plus d'hommes à bord, le premier 1,035 et le second 1 032.
Le Sarah Sands en a reçu 900. Les autres n'ont guère pu en
recevoir en moyenne que 380; deux bâtiments en partance,
ÏAustria et le Léopold, devaient en prendre chacun 1,256.
— Dans un article très-étudié, le Daily News met en regard
l'état florissant où est l'ile de Ceylan sous le gouvernement
direct de la couronne d'Angleterre, et les désordres affreux où
l'Inde est livrée. Il fait le plus grand éloge de l'administration
bienfaisante et ferme de sir Henry Ward, qui a pu envoyer
sans le moindre danger pour la colonie des renforts con-
sidérables au Bengale; et il propose d'appliquer aux Indes
orientales le régime qui a si bien réussi à Ceylan. Il est très-
probable en effet que l'organisation de la Compagnie des
Indes recevra de grandes modifications après que l'insurrection
aura été apaisée.
— D'après un article très-remarquable de l'Examiner du
19 septembre , il paraît que dans l'armée de Madras les natifs
étaient aux Européens dans la proportion de 10 à 1 ; dans celle
de Bombay de 17 à 1 ; et dans celle du Bengale de 25 à 1. Ce
détail intéressant est extrait des documents officiels publiés par
ordre du Parlement.
— D'après les états publiés par le Board of trade, les ex-
portations anglaises dans le mois d'août dernier ont été de
11,638,805 livres sterling ou près de 300,000,000 francs.
Les huit mois de 1857 se montent déjà à 84,666,718 livres
sterling ou 2 milliards 120 millions. En 1855 ce n'était
que 60,154,178 livres sterling. Ainsi en deux ans, les expor-
tations se sont accrues de 40 pour 100 à peu près.
— Les îles des Cocos dont les Anglais viennent de s'emparer
dans l'archipel Indien sont à 600 milles à peu près de Java ;
et se trouvent directement sur la route d'Angleterre en Aus-
tralie. Le voisinage des Anglais dans ces parages semble in-
quiéter, ainsi que nous l'avons dit, les colonies néerlandaises.
Les journaux anglais de leur côté affirment que la Hollande
n'a pas de droits réels sur ces îles, où le capitaine Fremantle,
à bord de la Junon, vient d'arborer le pavillon britannique.
Il paraît bien certain cependant que la Hollande a sur ces îles
un droit antérieur bien établi.
Nous empruntons au Moniteur de la flotte du 28 septembre
les détails suivants sur les îles des Cocos.
« La presse étrangère annonce que les Anglais viennent de
prendre possession, dans la Polynésie ou Océanie orientale,
d'une terre à laquelle on a donné, dès l'origine, le nom d'île
des Cocos, et que les indigènes appellent Néoulaboulabou.
Cette île a été reconnue en 1616 par Schouter, célèbre na-
vigateur hollandais, qui en prit alors possession au nom de
son gouvernement; et cette circonstance a donné lieu à la ré-
clamation que vient de faire tout récemment le gouverneur
général des Indes néerlandaises, qui la revendique comme
appartenant aux possessions de son pays. Parmi les naviga-
teurs qui l'ont visitée depuis Schouten, on cite Bougainville,
d'Entrecasteaux, et, en dernier lieu, Dumont d'Urville,
Les îles des Cocos forment un petit grou pe d'environ sept
îles ou îlots dont la plus grande a environ onze kilomètres de
long sur une largeur à peu près égale. Elle produit une grande
quantité d'arbres utiles, parmi lesquels le figuier domine. Le
cocotier, d'où elle tire son nom, ne vient qu'après. On y trouve
aussi l'arbre de tek, le muscadier et le sagoyer, ainsi qu'un
grand nombre de végétaux, dont Dumont d'Urville a donné la
description détaillée. Trois seulement des îles du groupe sont
habitées. Les indigènes sont pauvres et indolents. Ils se nour-
rissent de racines grossières, de coquillages et de fruits de
cycas. La quatrième de ces îles a recu le nom d'île des Caï-
mans, parce qu'elle n'est littéralement habitée que par ces
animaux, qui y fourmillent et qui. sont d'une espèce parti-
culière.
Le groupe de Néoulaboulabou fait partie d'un petit archipel
auquel plusieurs savants ont donné le nom d'archipel d'Oua-
Horn, qui renferme entre autres terres les îles Ooua, la plus
orientale de toutes ; les îles Varaders ou îles des Traîtres, les
îles Ononafou, l'île Horn, assez bien peuplée et qui obéit à un
chef jouissant dans le pays d'une assez grande autorité, et les
îles Wallis, dont les habitants, devenus catholiques depuis
quelques années, jouissent aujourd'hui d'une civilisation assez
avancée.
Les grandes terres les plus rapprochées de l'île des Cocos
sont les îles Salomon, la Nouvelle-Guinée, la Nouvelle-Bre-
tagne et la Nouvelle-Irlande.
» L. D'HORTIER. »
Le Courrier de Paris, en rapportant les nouvelles ci-dessus,
ajoute :
« N'y aurait-il pas dans cette prise de possession, qui res-
semble assez à celle de Périm, une précaution stratégique? Le
gouvernement anglais, assez éclairé sur la question du perce-
ment de l'isthme de Suez par les manifestations des derniers
meetings, songe dès à présent à s'assurer certaines positions
qui permettent à sa marine d'acquérir une certaine prépondé-
rance dans la nouvelle voie que le Vice-roi d'Egypte veut ou-
vrir au commerce du monde. Rien de mieux ; on ne saurait ,
blâmer la Grande-Bretagne de se préparer à profiter d'une
entreprise utile à ses intérêts ; mais encore faudrait-il, quand
le principe de la neutralité est la condition essentielle de l'ou-
verture du bosphore de Suez, qu'il ne lui fût pas permis d'oc-
cuper des positions inquiétantes pour l'avenir de l'entreprise,
au point de vue général. La neutralité de certains points
découle naturellement de la neutralité du canal égyptien. »
Enfin un journal de Sydney, le Sydney Morning Herald,
enregistre dans son dernier numéro une notification du capi-
taine du navire Juno, de la marine anglaise, portant qu'à par-
tir du 30 mars dernier, les îles appelées îles des Cocos, com-
prenant l'ile du Nord, autrement dite Aorth Keeling Islands,
font partie désormais des possessions britanniques.
Cette notification ne dit pas pour quel objet les îles des
Cocos ont été annexées ainsi à l'empire britannique; mais,
d'après le Sydney Morning Herald, cette nouvelle prise de
possession aurait été opérée en vue d'établir un dépôt pour
les bâtiments à vapeur de la ligne de Ceylan à Suez. Ce journal
aioute : -
« On avait d'abord projeté de faire de ces îles un lieu de
relâche à moitié chemin entre le canal du Roi Georges et la
Pointe de Galles. Elles sont admirablement situées pour cela
par leur position géographique, placées comme elles le sont
à l'entrée de l'océan Indien, sur la route directe entre les deux
ports, et dans une position qui est de nature à faciliter les
communications par cette voie avec l'archipel Indien d'une
part, et avec l'ile Maurice de l'autre. Elles sont également im-
portantes, parce qu'il s'y trouve une bonne rade qui permet d'y
établir une station navale. Les îles elles-mêmes sont petites et
sont de la même nature que les îles basses de corail de la Po-
lynésie centrale. «
- D'après un aperçu nouvellement publié du commerce
des îles de Java et de Madura pendant l'année 1856, l'impor-
tation des produits de l'Europe, de l'Amérique et du cap de
Bonne-Espérance s'est élevée à 24,397,154 florins, celle des
produits de l'ouest de l'Inde et du Bengale à 1,212,901 flo-
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