Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1857-02-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 février 1857 25 février 1857
Description : 1857/02/25 (A2,N17). 1857/02/25 (A2,N17).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65306165
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/06/2013
60 L'ISTHME DE SUEZ,
sislible. On organise contre eux' une battue générale, et l'on
suppose qu'il ne faudra pas moins de deux campagnes pour
se défaire à peu près complétement de ces formidables en-
nemis. Un journal remarque que depuis les temps d'Hengist
et d'Horsa les Anglais n'ont jamais eu à faire une pareille
expédition; mais il ajoute avec raison que les tigres sont
plus difficiles à détruire que les loups.
— On lit dans une correspondance de Calcutta, 22 dé-
cembre 1856 :
u Le gouvernement de Bengale vient de publier un rapport
sur un nouveau gisement de fer, qui a été examiné par
M. Smith, expert envoyé par la cour des directeurs. Ce gi-
sement se trouve à Barroul, à environ dix milles de Ranie-
gounge, dernière station du chemin de fer actuel. Il touche
aux mines de bouille; et les moyens de transport, tant par
eau que par rails, se trouvent sous la main. M. Smith évalue
la quantité de minerai que ce gisement peut produire à
6,400,000 tonnes par mille carré. Mais il reste encore à éva-
luer la superficie de la mine. Le premier puits, dit M. Smith,
a été creusé à une profondeur- de 32 pieds, en traversant
quatre veines de minerai de fer d'une épaisseur totale de
18 pouces, ce qui, avec celles qui sont déjà connues, donne
un total de 38 pouces de minerai d'une qualité supérieure.
On doit ajouter que l'on a aussi découvert une veine de car-
bonate de minerai de fer, connu en Angleterre sous le nom
de blach-band, dont l'épaisseur n'était pas inférieure à
3 pieds 6 pouces. Elle est loin d'égaler en richesse le black-
band écossais, et on n'estime son rendement en fer qu'à
20 ou 23 p. 100 dans son état brut. Mais après la calcina-
tion., opération que doivent subir tous les minerais de cette
contrée avant d'être introduits dans les hauts fourneaux , elle
produira plus de 40 p. 100 de fer. Un essai plus étendu a été
fait sous la surveillance de M. Biddle, et le puits a été creusé
jusqu'à une profondeur de 51 pieds Il pouces. On y a dé-
couvert une autre veine de 2 pieds 4 pouces, qui, à l'analyse,
a donné 42 p. 100 de fer; de sorte que, dans une profondeur
de 52 pieds, nous trouvons 38 pouces en différents lits d'ex-
cellent minerai, et 52 pouces de minerai carbonifère ou black-
band. Ce qui manque à l'Inde actuellement est du fer in-
digène d'une qualité convenable pour les rails. Le railway
n'avance point rapidement ; mais si les travaux avaient été
poussés comme on le voulait dès l'origine, ils se seraient
trouvés arrêtés, faute d'une voie permanente. Je dois ajou-
ter qu'il existe une grande agglomération de mineurs dans
le voisinage de Barroul ; tandis que le grand centre de
travail, les villages de Dhungour et de Cale, se trouve à une
distance très-rapprochée. La contrée appartient, je crois,
mais je n'en suis pas bien sûr, à la Compagnie houillère du
Bengale, qui va commencer des essais sur la fabrication du
fer. »
— La Compagnie européenne et australienne de la malle
royale, qui a traité pour le transport des malles entre l'An-
gleterre et l'Australie, via Alexandrie, Suez et pointe de
Galles, a fait des arrangements avec la ligne Cunard (malle
transatlantique), en vertu desquels elle devra transporter les
passagers, malles et espèces de cette roule, entre l'Angleterre,
Alexandrie, Malte et Marseille. Pour l'exécution de leur traité,
MM. M'Yver et Comp. se serviront de quelques-uns de leurs
puissants steamers transatlantiques. La compagnie Cunard a
déjà des lignes de steamers de première classe, de Liverpool
à Constanlinople, Gênes, Livourne, Naples, Palerme, Mes-
sine et Trieste. Sous l'empire de ces combinaisons, la Com-
pagnie européenne et australienne sera en mesure de remplir
ses engagements, ce qui lui fera honneur et sera très-avan-
tageux pour ceux qui ont besoin de moyens de communica-
tions rapides avec les colonies australiennes et la métropole.
Les steamers partiront de Liverpool avec escale à Southam-
pton, où ils prendront malle, valeurs, passagers, et feront
ensuite voile pour Alexandrie. 1\1: Ch. M'Yver, de la compa-
gnie Cunard, est parti récemment pour Malte et l'Égypte,
afin de prendre les dernières mesures que nécessite ce service.
Nous apprenons aussi que la Compagnie européenne et aus-
tralienne de la malle royale a l'intention de relier à son ser-
vice australien à la pointe de Galles une ligne sur l'Inde el la
Chine, ce qui augmenterait les facilités actuelles des relations
avec ces pays, et donnerait toute satisfaction aux intérêts
commerciaux engagés dans le trafic avec ces importantes co-
lonies.
— Il paraît que le bombardement de Canton, à peine connu
en Angleterre, a eu pour résultat immédiat de faire hausser le
prix du thé. C'est là un intérêt qui touche toutes les familles
du Royaume-Uni, comme le dit le Timesy mais en même
temps, pour rassurer les esprits, ce journal fait remarquer
que Canton n'est pas le principal marché de thé en Chine.
Voici les chiffres officiels pour 1855 et 1856 (30 juin) :
dans l'année 1855, Canton a exporté pour l'Angleterre
16,123,800 livres de thé; Fou-chou-fou, 19,512,8Q0,
- et Shanghaï, 50,872,400. En 1856, c'est 30,404,400;
26,764,700, et 34,762,700. Canton n'occupait donc que le
second rang en 1856, et le troisième en 1855.
Le Times ajoute que Canton est un lieu fort mal choisi
pour le marché anglais. Cette ville est trop au sud de l'em-
pire ; le climat est malsain ; le peuple est turbulent et cruel.
Le Times demande qu'on change cet état de choses ; et comme
il regrette beaucoup, ainsi que plusieurs autres journaux,
qu'on ait occupé Hong-Kong au lieu de Chou-sang, à l'embou-
chure d'une grande rivière, nous ne serions pas étonnés d'ap-
prendre bientôt qu'à la suite de la dernière collision les Anglais
se sont emparés de Chou-sang, qui leur conviendrait bien
mieux. Cette île, grande comme celle de Wight, commande
le grand canal et toute la navigation de l'empire.
— Les dernières correspondances particulières de la mer
des Indes assurent que M. de Montigny, chargé d'une mission
spéciale dans le royaume de Siam et dans la Cochinchine,
après avoir reçu une réponse favorable de l'empereur, était
parti le 8 septembre pour Hué, et qu'il avait dû arriver dans
cette ville vers le 12 ou le 15 du même mois.
Hué ou Hoé est la capitale de la Cochinchine et la demeure
de l'empereur, qui y posssède un vaste palais. Cette ville est
une des mieux fortifiées de l'Asie et une des plus avantageuse-
ment situées.
Le gouvernement annamite y prépare en ce moment une
expédition maritime qui, à en juger par les apparences, sera
une des plus formidables que l'on ait encore vues dans cette
partie du monde. Ces forces sont, dit-on, destinées à agit
contre la Chine, et doivent servir à opérer une descente sur le
littoral même du Pe-tchi-li. On sait que les relations sont rom-
pues entre les deux cours.
La flotte cochinchinoise a une organisation très-complète,
et comprend environ 200 navires de guerre de tous rangs et
divisés en trois catégories : les bâtiments de guerre de premier
rang, qui ont les dimensions de nos frégates et un armement
de 50 à 60 pièces d'artillerie ; les galères, qui vont à la rame
et à la voile T et qui sont destinées à faire le même service que
nos bâtiments de flotille, et les bâtiments de transport affectés
au transport du matériel et du personnel.
Cette flotte est partagée en trois divisions, dont chacune est
commandée par un amiral, et elle est placée sous le comman-
sislible. On organise contre eux' une battue générale, et l'on
suppose qu'il ne faudra pas moins de deux campagnes pour
se défaire à peu près complétement de ces formidables en-
nemis. Un journal remarque que depuis les temps d'Hengist
et d'Horsa les Anglais n'ont jamais eu à faire une pareille
expédition; mais il ajoute avec raison que les tigres sont
plus difficiles à détruire que les loups.
— On lit dans une correspondance de Calcutta, 22 dé-
cembre 1856 :
u Le gouvernement de Bengale vient de publier un rapport
sur un nouveau gisement de fer, qui a été examiné par
M. Smith, expert envoyé par la cour des directeurs. Ce gi-
sement se trouve à Barroul, à environ dix milles de Ranie-
gounge, dernière station du chemin de fer actuel. Il touche
aux mines de bouille; et les moyens de transport, tant par
eau que par rails, se trouvent sous la main. M. Smith évalue
la quantité de minerai que ce gisement peut produire à
6,400,000 tonnes par mille carré. Mais il reste encore à éva-
luer la superficie de la mine. Le premier puits, dit M. Smith,
a été creusé à une profondeur- de 32 pieds, en traversant
quatre veines de minerai de fer d'une épaisseur totale de
18 pouces, ce qui, avec celles qui sont déjà connues, donne
un total de 38 pouces de minerai d'une qualité supérieure.
On doit ajouter que l'on a aussi découvert une veine de car-
bonate de minerai de fer, connu en Angleterre sous le nom
de blach-band, dont l'épaisseur n'était pas inférieure à
3 pieds 6 pouces. Elle est loin d'égaler en richesse le black-
band écossais, et on n'estime son rendement en fer qu'à
20 ou 23 p. 100 dans son état brut. Mais après la calcina-
tion., opération que doivent subir tous les minerais de cette
contrée avant d'être introduits dans les hauts fourneaux , elle
produira plus de 40 p. 100 de fer. Un essai plus étendu a été
fait sous la surveillance de M. Biddle, et le puits a été creusé
jusqu'à une profondeur de 51 pieds Il pouces. On y a dé-
couvert une autre veine de 2 pieds 4 pouces, qui, à l'analyse,
a donné 42 p. 100 de fer; de sorte que, dans une profondeur
de 52 pieds, nous trouvons 38 pouces en différents lits d'ex-
cellent minerai, et 52 pouces de minerai carbonifère ou black-
band. Ce qui manque à l'Inde actuellement est du fer in-
digène d'une qualité convenable pour les rails. Le railway
n'avance point rapidement ; mais si les travaux avaient été
poussés comme on le voulait dès l'origine, ils se seraient
trouvés arrêtés, faute d'une voie permanente. Je dois ajou-
ter qu'il existe une grande agglomération de mineurs dans
le voisinage de Barroul ; tandis que le grand centre de
travail, les villages de Dhungour et de Cale, se trouve à une
distance très-rapprochée. La contrée appartient, je crois,
mais je n'en suis pas bien sûr, à la Compagnie houillère du
Bengale, qui va commencer des essais sur la fabrication du
fer. »
— La Compagnie européenne et australienne de la malle
royale, qui a traité pour le transport des malles entre l'An-
gleterre et l'Australie, via Alexandrie, Suez et pointe de
Galles, a fait des arrangements avec la ligne Cunard (malle
transatlantique), en vertu desquels elle devra transporter les
passagers, malles et espèces de cette roule, entre l'Angleterre,
Alexandrie, Malte et Marseille. Pour l'exécution de leur traité,
MM. M'Yver et Comp. se serviront de quelques-uns de leurs
puissants steamers transatlantiques. La compagnie Cunard a
déjà des lignes de steamers de première classe, de Liverpool
à Constanlinople, Gênes, Livourne, Naples, Palerme, Mes-
sine et Trieste. Sous l'empire de ces combinaisons, la Com-
pagnie européenne et australienne sera en mesure de remplir
ses engagements, ce qui lui fera honneur et sera très-avan-
tageux pour ceux qui ont besoin de moyens de communica-
tions rapides avec les colonies australiennes et la métropole.
Les steamers partiront de Liverpool avec escale à Southam-
pton, où ils prendront malle, valeurs, passagers, et feront
ensuite voile pour Alexandrie. 1\1: Ch. M'Yver, de la compa-
gnie Cunard, est parti récemment pour Malte et l'Égypte,
afin de prendre les dernières mesures que nécessite ce service.
Nous apprenons aussi que la Compagnie européenne et aus-
tralienne de la malle royale a l'intention de relier à son ser-
vice australien à la pointe de Galles une ligne sur l'Inde el la
Chine, ce qui augmenterait les facilités actuelles des relations
avec ces pays, et donnerait toute satisfaction aux intérêts
commerciaux engagés dans le trafic avec ces importantes co-
lonies.
— Il paraît que le bombardement de Canton, à peine connu
en Angleterre, a eu pour résultat immédiat de faire hausser le
prix du thé. C'est là un intérêt qui touche toutes les familles
du Royaume-Uni, comme le dit le Timesy mais en même
temps, pour rassurer les esprits, ce journal fait remarquer
que Canton n'est pas le principal marché de thé en Chine.
Voici les chiffres officiels pour 1855 et 1856 (30 juin) :
dans l'année 1855, Canton a exporté pour l'Angleterre
16,123,800 livres de thé; Fou-chou-fou, 19,512,8Q0,
- et Shanghaï, 50,872,400. En 1856, c'est 30,404,400;
26,764,700, et 34,762,700. Canton n'occupait donc que le
second rang en 1856, et le troisième en 1855.
Le Times ajoute que Canton est un lieu fort mal choisi
pour le marché anglais. Cette ville est trop au sud de l'em-
pire ; le climat est malsain ; le peuple est turbulent et cruel.
Le Times demande qu'on change cet état de choses ; et comme
il regrette beaucoup, ainsi que plusieurs autres journaux,
qu'on ait occupé Hong-Kong au lieu de Chou-sang, à l'embou-
chure d'une grande rivière, nous ne serions pas étonnés d'ap-
prendre bientôt qu'à la suite de la dernière collision les Anglais
se sont emparés de Chou-sang, qui leur conviendrait bien
mieux. Cette île, grande comme celle de Wight, commande
le grand canal et toute la navigation de l'empire.
— Les dernières correspondances particulières de la mer
des Indes assurent que M. de Montigny, chargé d'une mission
spéciale dans le royaume de Siam et dans la Cochinchine,
après avoir reçu une réponse favorable de l'empereur, était
parti le 8 septembre pour Hué, et qu'il avait dû arriver dans
cette ville vers le 12 ou le 15 du même mois.
Hué ou Hoé est la capitale de la Cochinchine et la demeure
de l'empereur, qui y posssède un vaste palais. Cette ville est
une des mieux fortifiées de l'Asie et une des plus avantageuse-
ment situées.
Le gouvernement annamite y prépare en ce moment une
expédition maritime qui, à en juger par les apparences, sera
une des plus formidables que l'on ait encore vues dans cette
partie du monde. Ces forces sont, dit-on, destinées à agit
contre la Chine, et doivent servir à opérer une descente sur le
littoral même du Pe-tchi-li. On sait que les relations sont rom-
pues entre les deux cours.
La flotte cochinchinoise a une organisation très-complète,
et comprend environ 200 navires de guerre de tous rangs et
divisés en trois catégories : les bâtiments de guerre de premier
rang, qui ont les dimensions de nos frégates et un armement
de 50 à 60 pièces d'artillerie ; les galères, qui vont à la rame
et à la voile T et qui sont destinées à faire le même service que
nos bâtiments de flotille, et les bâtiments de transport affectés
au transport du matériel et du personnel.
Cette flotte est partagée en trois divisions, dont chacune est
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