Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1863-09-15
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 15 septembre 1863 15 septembre 1863
Description : 1863/09/15 (A8,N174). 1863/09/15 (A8,N174).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203253f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/11/2012
JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 391
cédés de l'industrie qui transforme les matières premières et vend
ensuite les produits fabriqués. Mais l'industrie du bâtiment néces-
lite à la fois de plus grands capitaux, des moyens de crédit plus
étendus et plus stables que toute autre industrie, parce que la
transformation successive C des terrains en maisons et la mise en
plein rapport de ces maisons sont des opérations de longue ha-
leine. Tandis que l'industrie ordinaire opère généralement son mou-
vement de transformation, sa conversion des produits bruts en
produits manufacturés dans une période de quelques mois, l'indus-
trie du bâtiment doit attendre deux ou trois ans, souvent da-
vantage.
Notre Société possède au plus haut degré la possibilité d'atten-
dre, en raison de l'importance des capitaux et du crédit dont elle
dispose ; c'est là un des grands éléments de son succès, des profits
qu'elle peut réaliser, des services qu'elle est dans le cas de rendre.
En fait de commerce, d'industrie, et principalement dans les opé-
rations immobilières, on le sait, il ne suffit pas de savoir attendre,
il faut le pouvoir ; c'est le crédit seul qui en fournit les moyens.
L'industrie du bâtiment est féconde à tous les points de vue ;
elle est, pour ceux qui s'y livrent avec prudence, avec intelligence ,
et avec des moyens suffisants, une source assurée de profits ;
elle est aussi un des plus grands stimulants de presque toutes
les branches d'industrie.
En regardant autour de soi, en voyant les échelons successifs
que parcourt l'industrie du bâtiment depuis le moment où l'on
creuse les fondations jusqu'au moment où le terrain est devenu
maison , et où la maison est meublée et habitée, on voit de com-
bien de salaires, de profits industriels et commerciaux cette indus-
trie est la source.
A aucune époque, le développement de cette industrie n'a été
plus utile, plus désirable. Le progrès de l'épargne publique , les
transformations qui s'opèrent partout en France, mais plus parti-
culièrement à Paris et à Marseille, ont fait naître des besoins nou-
veaux de bien-être, de confortable, et même de luxe, qui ne peu-
vent que s'accroître ; car plus on aura détruit de maisons malsaines,
sombres, mal distribuées, plus on aura fait disparaître de rues
étroites où l'air et la lumière dispensés avec parcimonie engen-
drent des maladies et diminuent la durée moyenne de la vie, et plus
on recherchera les nouvelles constructions, les boulevards, les pla-
ces, les larges rues dans lesquelles les égouts, les eaux abondam-
ment distribuées, la lumière, la propreté sous tous ses aspects,
concourent à la fois à l'agrément et à la bonne santé des habi-
tants.
Plus cette transformation s'étendra, plus elle devra s'étendre,
car c'est dans cet ordre de faits principalement que le besoin de
l'imitation se fait le plus sentir, parce que les points de compa-
raison sont palpables, permanents et facilement appréciables par
tous. -
C'est le concours donné à cette transformation qui a été un des
principaux éléments du succès du Crédit foncier, et qui a permis à
la Société immobilière de Paris de réaliser, avec des moyens res-
treints, des bénéfices importants.
La longueur des crédits, la durée et la lenteur forcées des réa-
lisations étaient pour l'industrie du bâtiment telle qu'elle était et
telle qu'elle est encore généralement constituée, une cause de
frais accessoires et une source de sacrifices considérables. Entre les
'achats au comptant et les achats à long terme des matériaux de
construction, il y a des différences de prix qui représentent moyen-
nement un intérêt de 12 à 15 0/0 et souvent davantage ; pour la
vente c'est la même chose ; le constructeur, en d'autres termes le
fabricant de maisons, pressé par ses échéances, est, dans la plu-
part des cas , obligé de subir des sacrifices ; il ne peut pas atten-
dre, et l'opération la mieux conçue et souvent réalisée en perte,
par suite des charges, des emprunts hypothécaires ordinaires et
des frais d'enregistrement auxquels donnent lieu les ventes forcées
qui font passer les immeubles dans plusieurs mains avant d'ar-
river dans celles des propriétaires définitifs.
Le Crédit foncier, en procurant des capitaux aux entrepreneurs
à peu de frais et à des conditions d'intérêt modérées, remédie en
partie à ces inconvénients. Notre Société développe directement par
ses commandes et par ses adjudications le travail de toutes les in-
dustries du bâtiment, et par l'exactitude de ses règlements simpli-
fie leurs opérations de crédit.
Nos moyens d'action ne peuvent que se développer dans la phase
nouvelle dans laquelle nous. allons entrer, car indépendamment du
crédit dont nous jouissons, l'accroissement de notre capital nous
permet d'offrir des garanties nouvelles.
Notre capital est en effet aujourd'hui de 80 millions, représenté
par des actions entièrement libérées; aucune autre société finan-
cière, excepté la Banque de France, n'en possède d'aussi considé-
rable ; il constitue un fonds de garantie au-dessus de toute discus-
sion.
Ce capital est placé en immeubles de premier ordre et en ter-
rains susceptibles d'acquérir directement et promptement une
grande plus-value par le fait des constructions que nous y éle-
vons. La totalité de nos immeubles ou terrains représente un
chiffre de plus de 150 millions, d'après les dernières évaluations,
évaluations au-dessous de la réalité et que nos nouvelles construc-
tions doivent constamment accroître, et nos emprunts au Crédit
foncier ou constitués en obligations et ceux en comptes courants,
ne s'élèvent qu'à la somme totale de 71 millions.
La base sur laquelle nous opérons déjà est donc incontestable-
ment très-large ; elle est de plus susceptible d'extension et de
progrès, en même temps qu'elle est palpable et facilement appré-
ciable par la masse des capitalistes qui ne veulent courir ni les
chances de l'industrie et du commerce, ni l'aléa des spéculations.
Les capitaux que nous serons dans le cas d'appeler par suite
des développements de notre Société ne pouvant être employés
qu'en immeubles, on voit que c'est toujours dans le même ordre
de garanties immobilières que nos opérations doivent s'étendre et
qu'à chaque emprunt nouveau correspondra toujours une garantie
nouvelle.
En raison de la nature de nos opérations, nos moyens de crédit
doivent être de plusieurs sortes :
Nos statuts, article 38, nous permettent de recourir à trois modes
'd'emprunts : les emprunts courants ordinaires, ceux avec affec-
tation hypothécaire, ceux enfin sous forme d'obligations nominati-
ves ou au porteur, et le chiffre de ces derniers ne doit pas dé-
passer 50 millions, à moins d'autorisation spéciale des ministres
des finances et de l'agriculture, du commerce et des travaux pu-
blics.
Ces trois modes peuvent se réaliser de la manière suivante :
18 Par des crédits à court terme ;
2" Par des emprunts au Crédit foncier ;
3" Par des obligations.
La Société immobilière de Paris les a employés tous les trois.
(La suite à un prochain numéro.)
(feuille
LE MONITEUR DES SOIES hebdomadaire).
Abonnement: Lyon, 25 francs; département, 30 francs ;
étranger, 40 francs, Indo-Chine, 50 francs.- S'adresser
à M. K FOUCAULT, Dr (Palais du Commerce), à LYON.
En vente chez DUNOD, quai des Augustins, 49, à Paris.
---
Albums
CONSTRUCTIONS EN FER F. ZORÈS
ou application des fers spéciaux aux planchers, char-
pentes, ponts et viaducs métalliques, navires de guerre
et de commerce, grand in-folio, avec 16 planches
parfaitement imprimées en couleur. Prix : 25 francs,
et rendu franco dans toute la France, 30 francs.
1 Cordons -acous-
SONNETTES ÉLECTRIQUES tiques, fourni-
tures de télégraphie électrique. — Fabrication et pose.
ANDRÉ HEBIHAN
67, rue Sainte-Anne, Paris, anc. 8, rue Neuve St-Augustin.
MACHINES A COUDRE FRANCAISES
Il
système JOURNAUX - LEBLOND , récompensées à
Londres pour leur bonne construction et combinai-
son mécanique ; machines de famille et d'atelier, de
125 à 650 francs. Vente à garantie et facilité de
paiement.
11, rue d'Arcole, Paris.
NOTA. — Pour cause de démolition, les magasins
boulevard de Sébastopol, 42, ont été transférés et
réunis à la maison principale, rue d'Arcole, 11,
cédés de l'industrie qui transforme les matières premières et vend
ensuite les produits fabriqués. Mais l'industrie du bâtiment néces-
lite à la fois de plus grands capitaux, des moyens de crédit plus
étendus et plus stables que toute autre industrie, parce que la
transformation successive C des terrains en maisons et la mise en
plein rapport de ces maisons sont des opérations de longue ha-
leine. Tandis que l'industrie ordinaire opère généralement son mou-
vement de transformation, sa conversion des produits bruts en
produits manufacturés dans une période de quelques mois, l'indus-
trie du bâtiment doit attendre deux ou trois ans, souvent da-
vantage.
Notre Société possède au plus haut degré la possibilité d'atten-
dre, en raison de l'importance des capitaux et du crédit dont elle
dispose ; c'est là un des grands éléments de son succès, des profits
qu'elle peut réaliser, des services qu'elle est dans le cas de rendre.
En fait de commerce, d'industrie, et principalement dans les opé-
rations immobilières, on le sait, il ne suffit pas de savoir attendre,
il faut le pouvoir ; c'est le crédit seul qui en fournit les moyens.
L'industrie du bâtiment est féconde à tous les points de vue ;
elle est, pour ceux qui s'y livrent avec prudence, avec intelligence ,
et avec des moyens suffisants, une source assurée de profits ;
elle est aussi un des plus grands stimulants de presque toutes
les branches d'industrie.
En regardant autour de soi, en voyant les échelons successifs
que parcourt l'industrie du bâtiment depuis le moment où l'on
creuse les fondations jusqu'au moment où le terrain est devenu
maison , et où la maison est meublée et habitée, on voit de com-
bien de salaires, de profits industriels et commerciaux cette indus-
trie est la source.
A aucune époque, le développement de cette industrie n'a été
plus utile, plus désirable. Le progrès de l'épargne publique , les
transformations qui s'opèrent partout en France, mais plus parti-
culièrement à Paris et à Marseille, ont fait naître des besoins nou-
veaux de bien-être, de confortable, et même de luxe, qui ne peu-
vent que s'accroître ; car plus on aura détruit de maisons malsaines,
sombres, mal distribuées, plus on aura fait disparaître de rues
étroites où l'air et la lumière dispensés avec parcimonie engen-
drent des maladies et diminuent la durée moyenne de la vie, et plus
on recherchera les nouvelles constructions, les boulevards, les pla-
ces, les larges rues dans lesquelles les égouts, les eaux abondam-
ment distribuées, la lumière, la propreté sous tous ses aspects,
concourent à la fois à l'agrément et à la bonne santé des habi-
tants.
Plus cette transformation s'étendra, plus elle devra s'étendre,
car c'est dans cet ordre de faits principalement que le besoin de
l'imitation se fait le plus sentir, parce que les points de compa-
raison sont palpables, permanents et facilement appréciables par
tous. -
C'est le concours donné à cette transformation qui a été un des
principaux éléments du succès du Crédit foncier, et qui a permis à
la Société immobilière de Paris de réaliser, avec des moyens res-
treints, des bénéfices importants.
La longueur des crédits, la durée et la lenteur forcées des réa-
lisations étaient pour l'industrie du bâtiment telle qu'elle était et
telle qu'elle est encore généralement constituée, une cause de
frais accessoires et une source de sacrifices considérables. Entre les
'achats au comptant et les achats à long terme des matériaux de
construction, il y a des différences de prix qui représentent moyen-
nement un intérêt de 12 à 15 0/0 et souvent davantage ; pour la
vente c'est la même chose ; le constructeur, en d'autres termes le
fabricant de maisons, pressé par ses échéances, est, dans la plu-
part des cas , obligé de subir des sacrifices ; il ne peut pas atten-
dre, et l'opération la mieux conçue et souvent réalisée en perte,
par suite des charges, des emprunts hypothécaires ordinaires et
des frais d'enregistrement auxquels donnent lieu les ventes forcées
qui font passer les immeubles dans plusieurs mains avant d'ar-
river dans celles des propriétaires définitifs.
Le Crédit foncier, en procurant des capitaux aux entrepreneurs
à peu de frais et à des conditions d'intérêt modérées, remédie en
partie à ces inconvénients. Notre Société développe directement par
ses commandes et par ses adjudications le travail de toutes les in-
dustries du bâtiment, et par l'exactitude de ses règlements simpli-
fie leurs opérations de crédit.
Nos moyens d'action ne peuvent que se développer dans la phase
nouvelle dans laquelle nous. allons entrer, car indépendamment du
crédit dont nous jouissons, l'accroissement de notre capital nous
permet d'offrir des garanties nouvelles.
Notre capital est en effet aujourd'hui de 80 millions, représenté
par des actions entièrement libérées; aucune autre société finan-
cière, excepté la Banque de France, n'en possède d'aussi considé-
rable ; il constitue un fonds de garantie au-dessus de toute discus-
sion.
Ce capital est placé en immeubles de premier ordre et en ter-
rains susceptibles d'acquérir directement et promptement une
grande plus-value par le fait des constructions que nous y éle-
vons. La totalité de nos immeubles ou terrains représente un
chiffre de plus de 150 millions, d'après les dernières évaluations,
évaluations au-dessous de la réalité et que nos nouvelles construc-
tions doivent constamment accroître, et nos emprunts au Crédit
foncier ou constitués en obligations et ceux en comptes courants,
ne s'élèvent qu'à la somme totale de 71 millions.
La base sur laquelle nous opérons déjà est donc incontestable-
ment très-large ; elle est de plus susceptible d'extension et de
progrès, en même temps qu'elle est palpable et facilement appré-
ciable par la masse des capitalistes qui ne veulent courir ni les
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Les capitaux que nous serons dans le cas d'appeler par suite
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qu'en immeubles, on voit que c'est toujours dans le même ordre
de garanties immobilières que nos opérations doivent s'étendre et
qu'à chaque emprunt nouveau correspondra toujours une garantie
nouvelle.
En raison de la nature de nos opérations, nos moyens de crédit
doivent être de plusieurs sortes :
Nos statuts, article 38, nous permettent de recourir à trois modes
'd'emprunts : les emprunts courants ordinaires, ceux avec affec-
tation hypothécaire, ceux enfin sous forme d'obligations nominati-
ves ou au porteur, et le chiffre de ces derniers ne doit pas dé-
passer 50 millions, à moins d'autorisation spéciale des ministres
des finances et de l'agriculture, du commerce et des travaux pu-
blics.
Ces trois modes peuvent se réaliser de la manière suivante :
18 Par des crédits à court terme ;
2" Par des emprunts au Crédit foncier ;
3" Par des obligations.
La Société immobilière de Paris les a employés tous les trois.
(La suite à un prochain numéro.)
(feuille
LE MONITEUR DES SOIES hebdomadaire).
Abonnement: Lyon, 25 francs; département, 30 francs ;
étranger, 40 francs, Indo-Chine, 50 francs.- S'adresser
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et de commerce, grand in-folio, avec 16 planches
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et rendu franco dans toute la France, 30 francs.
1 Cordons -acous-
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ANDRÉ HEBIHAN
67, rue Sainte-Anne, Paris, anc. 8, rue Neuve St-Augustin.
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Il
système JOURNAUX - LEBLOND , récompensées à
Londres pour leur bonne construction et combinai-
son mécanique ; machines de famille et d'atelier, de
125 à 650 francs. Vente à garantie et facilité de
paiement.
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NOTA. — Pour cause de démolition, les magasins
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