Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-09-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 septembre 1858 25 septembre 1858
Description : 1858/09/25 (A3,N55). 1858/09/25 (A3,N55).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203101c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
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474 L'ISTHME DE SUEZ, SAMEDI 25 SEPTEMBRE.
nieur éminent, qui est allé deux fois en Egypte pour étudier
les lieux que traversera le canal; c'est l'Académie impériale
et royale des sciences de Vienne, à qui M. le baron de Czoer-
nig a communiqué un remarquable travail qui avait un ca-
ractère officiel, et qui montre avec une pleine évidence l'intérêt
immense qu@ l'Autriche a dans cette bienfaisante entreprise;
c'est la Société d'économie politique de Madrid, à laquelle
M. Secundo Cypriano Montesino, membre de la Commission
internationale pour l'Espagne, a soumis la question, sur la-
quelle il a fait lui-même un excellent et complet ouvrage au
nom de son gouvernement ; c'est la Société économique de
Barcelone, mettant au concours la question de l'ouverture de
l'isthme de Suez, et pouvant couronner un très-bon mémoire
qui lui a été soumis parmi tant d'autres; c'est l'Institut royal
des ingénieurs de Hollande, 4 la Haye; c'est le Congrès agri-
cole de Voghéra, dans nptre Piémont; c'est encore une foule
de corporations savantes, et notamment les Sociétés de géo-
graphie de Paris et de Saint-Pétersbourg, la Société impériale
d'acclimatation, la Commission nommée par notre saint-père
le Pape, etc., etc., etc. C'est enfin l'Institut impérial de France,
qui 1 pris une seconde fois la parole et qui a réfuté élpquem-
ment et péremptoirement, par l'organe de M. le baron Charles
Dupin, sénateur, les objections techniques qu'on avait essayé
de soulever dans le Parlement anglais, et qui n'ont aucune
valeur, malgré le nom célèbre sous lequel on a prétendu
s'abriter. Je vous en dirai quelques mots tout à l'heure; mais,
avant de parler des critiques, je veux achever ce qui concerne
les adhésions.
n Au moment même où nous délibérions de notre côté,
l'année dernière, tous les Conseils généraux de l'Empire fran-
çais, et tgutes les Chambres de commerce, délibéraient comme
nous; et, comme nous aussi, c'était une approbation unanime
et enthousiaste qu'ils exprimaient. Songez, messieurs, ce que
pèse dans la balance le vote de quatre-vingts Conseils géné-
raux de département et de cinquante-trois Chambres de
commerce. Les meetings anglais, tous également unanimes,
avaient frayé la voie. Les Conseils généraux de France les ont
suivis; et c'est un lien de plus entre deux grandes nations si
bien faites pour se comprendre, et pour rester éternellement
unies.
» Mais en dépit des meetings et de l'opinion publique, les
hommes d'État en très-petit nombre qui, en Angleterre,
combattent, Dieu sait pourquoi, l'ouverture de l'isthme de
Suez, ont voulu continuer leur résistance; et après deux ou
trois interpellations qui n'avaient été que des escarmouches,
la grande bataille a eu lieu le 1er juin dernier dans le sein de
la Chambre des Communes. Lord Palmerston a renouvelé ses
protestations, et il n'a fait que répéter, avec des formes un
peu moins acerbes cette fois, ses arguments de l'année der-
nière. M. Disraeli, qui, dans 1 cabinet Derby, a remplacé
lord Palmerston comme leader de la Chambre des Communes,
a eru devoir se prononcer aussi, du moins pour le moment,
contre le canal de Suez, que personnellement il approuve,
tout en le combattant au nom de prétendues traditions poli-
tiques. Mais à lord Palmerston et à M. Disraeli ont répondu,
avec une écrasante supériorité, lord John Russell, M. Glad-
stone, M. Roebuck, M. Milner Gibson, M. Bright ; et si le vote
du Parlement n'a pas été en faveur de la bonne cause, elle a
eu du moins pour elle tout ce qu'il y a de plus éloquent, de
plus libéral et de plus éclairé dans la Chambre des Communes.
C'est un grand avantage, qui présage une victoire dans les
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.^«mbntt-igrochains que la session nouvelle verra livrer.
t iseussion toute politique dans le sein du Par-
if Mejment, culu mêler des arguments techniques; et, sur
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la provocation de lord Palmerston, M. R. Stéphenson, le fils
du fameux ingénieur de ce nom, est venu déclarer, sans en
donner aucune preuve, que le canal était impraticable Ce
qu'il y ftde plus fort, c'est que M. Stéphenson, qui est ajlê en
Egypte, prétendait appuyer son assertion toute gratuite sur
une exploration qu'il aurait faite personnellement des loca-
lités. Il a été démontré que ce fait n'est pas exact, et que
M. Stéphenson, malgré son dire, n'avait vu ni le lac Menjaleh, ;
ni la rade de Péluse, et qu'il s'était laissé entraîner à cette .,
opinion étrange sur la foi d'ingénieurs qui n'avaient pas vu 4
les lieux plus que lui. C'est le savant M. de Négrelli, ancien 1
collaborateur de M. Stéphenson, et qui, comme membre de |
la Commission internationale, a parcouru tout le terrain du j
canal, qui s'est chargé de réfuter M. Stéphenson ; et je laisse j
cette cause dans des mains aussi habiles. M. Stéphenson, qui
n'a jamais construit que des chemins de fer dans sa vie, 1 et n'a j
jamais entrepris de canal, ne peut pas prétendre assurément
que son autorité l'emporte sur celle des ingénieurs consommés
dont se compose la Commission internationale, qui ont vu ce
dont ils parlent, avantage dont M. Stéphenson ne peut pas se
vanter.
» Mais j'abandonne ces discussions aux ingénieurs, et je pré-
fère vous parler, Messieurs, et des manifestations officielles que
les gouvernements ont tenu à faire en faveur du canal de
Suez, et des conjonctures présentes qui semblent le favoriser si
puissamment, malgré la résistance aveugle qu'un seul gouver-
nement lui oppose, tout en se nuisant à lui-même.
» Au mois de novembre dernier, M. Ferdinand de Lesseps,
pe rendant à Constantinople, a passé par Vienne, pt le gou-
yeruement autrichien a voulu montrer à l'Europe l'ardeur de
ses sympathies. Vous vous rappelez tous encore le banquet
solennel où figuraient trois ministres de l'Empire, MM. de
Bruck, de Toggenburg, de Thun, des aides-de-camp de
l'Empereur, des conseillers de la cour, des généraux, des fonc-
tionnaires de tout ordre, les banquiers les plus considérables,
et toutes les notabilités de la capitale de l'Autriche. C'était là
une manifestation précieuse, et toutes les puissances ont pu
savoir par là où en étaient les sentiments du gouvernement
autrichien, et sa persévérance dans une aussi glorieuse et aussi
pacifique idée poursuivie par lui depuis plus de trente ans.
» Sur la route de Constantinople, les mêmes démonstrations
ont accompagné M. de Lesseps, et l'on sait avec quelle auguste
cordialité il a été reçu à la cour de Grèce.
) Tout récemment, il recevait une ovation enthousiaste en
Egypte; et, ces jours-ci, c'était à Odessa que la grande Com-
pagnie russe de commerce et de navigation à vapeur lui pré-
parait une réception dont les journaux retentissent encore.
» Ce sont là, sans doute, d'excellents symptômes, et je
pourrais en citer bien d'autres encore; mais j'avoue que les
événements qui se passent dans le monde oriental me pa-
« raissent plaider bien plus fortement, s'il est possible, en faveur
de l'ouverture de l'isthme de Suez.
» C'est par l'Egypte que l'Angleterre fait désormais passer
tous les renforts qu'elle envoie aux Indes pour réprimer la
formidable insurrection qui les désole. On s'était d'abord en-
têté, et l'on avait voulu continuer à envoyer par le cap de
Bonne-Espérance les troupes nécessaires, au nombre de plus
de 50,000 hommes ; mais bientôt il avait fallu céder à la né-
cessité et à la raison, et l'on a pris la voie de l'isthme de Suez
et de la mer Rouge. Une enquête parlementaire, dirigée par
le général sir de Lacy Evans, a blâmé lord Palmerston de
n'avoir pas adopté cette route dès le début, et c'est désormais
la seule qu'on puisse prendre. , ,
» Mais si le canal de Suez existait, quelle facilité n aurait-on
474 L'ISTHME DE SUEZ, SAMEDI 25 SEPTEMBRE.
nieur éminent, qui est allé deux fois en Egypte pour étudier
les lieux que traversera le canal; c'est l'Académie impériale
et royale des sciences de Vienne, à qui M. le baron de Czoer-
nig a communiqué un remarquable travail qui avait un ca-
ractère officiel, et qui montre avec une pleine évidence l'intérêt
immense qu@ l'Autriche a dans cette bienfaisante entreprise;
c'est la Société d'économie politique de Madrid, à laquelle
M. Secundo Cypriano Montesino, membre de la Commission
internationale pour l'Espagne, a soumis la question, sur la-
quelle il a fait lui-même un excellent et complet ouvrage au
nom de son gouvernement ; c'est la Société économique de
Barcelone, mettant au concours la question de l'ouverture de
l'isthme de Suez, et pouvant couronner un très-bon mémoire
qui lui a été soumis parmi tant d'autres; c'est l'Institut royal
des ingénieurs de Hollande, 4 la Haye; c'est le Congrès agri-
cole de Voghéra, dans nptre Piémont; c'est encore une foule
de corporations savantes, et notamment les Sociétés de géo-
graphie de Paris et de Saint-Pétersbourg, la Société impériale
d'acclimatation, la Commission nommée par notre saint-père
le Pape, etc., etc., etc. C'est enfin l'Institut impérial de France,
qui 1 pris une seconde fois la parole et qui a réfuté élpquem-
ment et péremptoirement, par l'organe de M. le baron Charles
Dupin, sénateur, les objections techniques qu'on avait essayé
de soulever dans le Parlement anglais, et qui n'ont aucune
valeur, malgré le nom célèbre sous lequel on a prétendu
s'abriter. Je vous en dirai quelques mots tout à l'heure; mais,
avant de parler des critiques, je veux achever ce qui concerne
les adhésions.
n Au moment même où nous délibérions de notre côté,
l'année dernière, tous les Conseils généraux de l'Empire fran-
çais, et tgutes les Chambres de commerce, délibéraient comme
nous; et, comme nous aussi, c'était une approbation unanime
et enthousiaste qu'ils exprimaient. Songez, messieurs, ce que
pèse dans la balance le vote de quatre-vingts Conseils géné-
raux de département et de cinquante-trois Chambres de
commerce. Les meetings anglais, tous également unanimes,
avaient frayé la voie. Les Conseils généraux de France les ont
suivis; et c'est un lien de plus entre deux grandes nations si
bien faites pour se comprendre, et pour rester éternellement
unies.
» Mais en dépit des meetings et de l'opinion publique, les
hommes d'État en très-petit nombre qui, en Angleterre,
combattent, Dieu sait pourquoi, l'ouverture de l'isthme de
Suez, ont voulu continuer leur résistance; et après deux ou
trois interpellations qui n'avaient été que des escarmouches,
la grande bataille a eu lieu le 1er juin dernier dans le sein de
la Chambre des Communes. Lord Palmerston a renouvelé ses
protestations, et il n'a fait que répéter, avec des formes un
peu moins acerbes cette fois, ses arguments de l'année der-
nière. M. Disraeli, qui, dans 1 cabinet Derby, a remplacé
lord Palmerston comme leader de la Chambre des Communes,
a eru devoir se prononcer aussi, du moins pour le moment,
contre le canal de Suez, que personnellement il approuve,
tout en le combattant au nom de prétendues traditions poli-
tiques. Mais à lord Palmerston et à M. Disraeli ont répondu,
avec une écrasante supériorité, lord John Russell, M. Glad-
stone, M. Roebuck, M. Milner Gibson, M. Bright ; et si le vote
du Parlement n'a pas été en faveur de la bonne cause, elle a
eu du moins pour elle tout ce qu'il y a de plus éloquent, de
plus libéral et de plus éclairé dans la Chambre des Communes.
C'est un grand avantage, qui présage une victoire dans les
- - - - -
.^«mbntt-igrochains que la session nouvelle verra livrer.
t iseussion toute politique dans le sein du Par-
if Mejment, culu mêler des arguments techniques; et, sur
.>' -~-~:~ \-4
la provocation de lord Palmerston, M. R. Stéphenson, le fils
du fameux ingénieur de ce nom, est venu déclarer, sans en
donner aucune preuve, que le canal était impraticable Ce
qu'il y ftde plus fort, c'est que M. Stéphenson, qui est ajlê en
Egypte, prétendait appuyer son assertion toute gratuite sur
une exploration qu'il aurait faite personnellement des loca-
lités. Il a été démontré que ce fait n'est pas exact, et que
M. Stéphenson, malgré son dire, n'avait vu ni le lac Menjaleh, ;
ni la rade de Péluse, et qu'il s'était laissé entraîner à cette .,
opinion étrange sur la foi d'ingénieurs qui n'avaient pas vu 4
les lieux plus que lui. C'est le savant M. de Négrelli, ancien 1
collaborateur de M. Stéphenson, et qui, comme membre de |
la Commission internationale, a parcouru tout le terrain du j
canal, qui s'est chargé de réfuter M. Stéphenson ; et je laisse j
cette cause dans des mains aussi habiles. M. Stéphenson, qui
n'a jamais construit que des chemins de fer dans sa vie, 1 et n'a j
jamais entrepris de canal, ne peut pas prétendre assurément
que son autorité l'emporte sur celle des ingénieurs consommés
dont se compose la Commission internationale, qui ont vu ce
dont ils parlent, avantage dont M. Stéphenson ne peut pas se
vanter.
» Mais j'abandonne ces discussions aux ingénieurs, et je pré-
fère vous parler, Messieurs, et des manifestations officielles que
les gouvernements ont tenu à faire en faveur du canal de
Suez, et des conjonctures présentes qui semblent le favoriser si
puissamment, malgré la résistance aveugle qu'un seul gouver-
nement lui oppose, tout en se nuisant à lui-même.
» Au mois de novembre dernier, M. Ferdinand de Lesseps,
pe rendant à Constantinople, a passé par Vienne, pt le gou-
yeruement autrichien a voulu montrer à l'Europe l'ardeur de
ses sympathies. Vous vous rappelez tous encore le banquet
solennel où figuraient trois ministres de l'Empire, MM. de
Bruck, de Toggenburg, de Thun, des aides-de-camp de
l'Empereur, des conseillers de la cour, des généraux, des fonc-
tionnaires de tout ordre, les banquiers les plus considérables,
et toutes les notabilités de la capitale de l'Autriche. C'était là
une manifestation précieuse, et toutes les puissances ont pu
savoir par là où en étaient les sentiments du gouvernement
autrichien, et sa persévérance dans une aussi glorieuse et aussi
pacifique idée poursuivie par lui depuis plus de trente ans.
» Sur la route de Constantinople, les mêmes démonstrations
ont accompagné M. de Lesseps, et l'on sait avec quelle auguste
cordialité il a été reçu à la cour de Grèce.
) Tout récemment, il recevait une ovation enthousiaste en
Egypte; et, ces jours-ci, c'était à Odessa que la grande Com-
pagnie russe de commerce et de navigation à vapeur lui pré-
parait une réception dont les journaux retentissent encore.
» Ce sont là, sans doute, d'excellents symptômes, et je
pourrais en citer bien d'autres encore; mais j'avoue que les
événements qui se passent dans le monde oriental me pa-
« raissent plaider bien plus fortement, s'il est possible, en faveur
de l'ouverture de l'isthme de Suez.
» C'est par l'Egypte que l'Angleterre fait désormais passer
tous les renforts qu'elle envoie aux Indes pour réprimer la
formidable insurrection qui les désole. On s'était d'abord en-
têté, et l'on avait voulu continuer à envoyer par le cap de
Bonne-Espérance les troupes nécessaires, au nombre de plus
de 50,000 hommes ; mais bientôt il avait fallu céder à la né-
cessité et à la raison, et l'on a pris la voie de l'isthme de Suez
et de la mer Rouge. Une enquête parlementaire, dirigée par
le général sir de Lacy Evans, a blâmé lord Palmerston de
n'avoir pas adopté cette route dès le début, et c'est désormais
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