Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-08-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 août 1858 25 août 1858
Description : 1858/08/25 (A3,N53). 1858/08/25 (A3,N53).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203099r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
MERCREDI 25 AOUT. JOURNAL DE L'UNION DES MUX MERS. 485
de ces deux entreprises. « Tous les esprits véritablement inté-
ressés aux progrès de l'industrie et de la civilisation, dit
l'Artiere, ne peuvent manquerde favoriser ces deux projets JI.
La Gazette officielle de Milan laisse à peine passer un de
ses numéros sans dire quelques mots à propos de l'entreprise
du canal. Elle en parle notamment les 15, 19, 22 et 31 juillet,
les 3, 4, 7 et 9 août. Les faits dont il s'agit sont déjà connus
à nos lecteurs.
L'Economista dit son mot dans la polémique entre MM. Sté-
phenson et Négrelli, et se range énergiquement du côté de ce
ce dernier. Le même sujet est traité par la Cronaca du 15
juillet.. -
La Gazette piémontaise reproduit ce que le Morning-
Herald a dit au sujet du transport des troupes anglaises aux
Indes.
Il Diario Savonese.consacre un article très-étendu, signé
par M. Luigi Saporiti, à l'isthme de Suez. L'auteur de l'article
termine en disant : À Il est évident que l'ouverture du canal
sera un des plus grands progrès que notre siècle aura faits.
L'utilité qui en résultera pour l'Asie et pour l'Afrique ne
peut être revoquée en doute; les avantages qui en résulteront
pour l'Europe sont, si cela se peut, plus manifestes encore.
Les craintes de l'Angleterre sont mal fondées, et nous espé-
rons que dans ce pays, où la libre discussion existe, l'erreur
ne sera pas de longue durée. »
Parmi le grand nombre-d'autres journaux italiens qui
s'attachent à suivre avec la plus grande attention tout ce qui
regarde la question de l'isthme de Suez, nous signalons :
L'Unione, la Staffetta, l'Indipendente, Il Menitore Tori-
nese,,. (riornale delle Arti et delle Industrie, Il Tempo , Cor-
rige imrcantile , l'Italia del popolo , l'Ichnusa, etc., etc.
Le Courrier de Java du 12 juin reproduit notre troisième
lettre sur la mer Rouge.
Le Courrier de Java du 16 juin traduit un article de l'Ost-
Deutsche-post sur l'occupation de Périm, que nous avons cité
nous-mêmes à son temps.
Le Courrier de Java du 19 juin donne aussi l'article fa-
meux du Times sur l'occupation de Périm et sur le percement
de l'isthme de Suez. Nous avons traduit et réfuté cet article
dans notre numéro du 25 avril 1858, page 185..
On voit, par ces diverses citations, que la sympathie du
Courrier de Java pour notre entreprise ne se refroidit pas.
Nous lui adressons de nouveau nos remercîments.
Un journal hollandais, l'Écho universel de la Haye, publie
ce qui suit :
« A quelque chose malheur est bon. Nous disons ceci à
l'occasion du massacre des consuls français et anglais à Djed-
dah. C'est une insulte faite aux deux nations, qui probable-
ment ne la laisseront pas impunie et commenceront par en-
voyer leurs escadres dans la mer Rouge.
« » Ceci aura l'avantage d'établir une concurrence à l'in-
fluence anglaise dans cette mer intérieure, où les vaisseaux
français ne voudront pas s'exposer à être emprisonnés, grâce
à la possession de l'ile Périm entre les mains des Anglais.
» Il faudra nécessairement que les deux gouvernements
s'entendent sur ce point capital; et ce nouvel incident hâtera
probablement le projet de l'isthme de Suez, de manière à
donner un libre accès à cette mer par les deux extrémités.
» Nous le répétons : « A quelque chose malheur est bon. »
Nous recevons une brochure intitulée: Serai d'idee sulle
conseguenze del taglio assoluto dell' istmo di Suez, et dont
l'auteur est M. Villanis, à Beyrouth. M. Villanis est un par-
tisan ardent de l'entreprise du canal; seulement. il a de fortes
inquiétudes sur les conséquences du percement continu de
l'isthme; il est convaincu que le niveau de la Méditerranée
sera tellement exhaussé par l'entrée des eaux de la mer Rouge
à travers Je canal, que (C l'on pourra bientôt pêcher des pais-
sons sur la place de S-aint-Ilare, àVenisen. Pourempêcher ces
funestes conséquences, il coupe le canal en deux, et il établit
au point de séparation un port considérable, avec une longue
file de grues pour transporter les colis d'une-section du canal
dans l'autre. De cette manière, il veut empêcher la communi-
cation directe des eaux des deux mers, ce qui aurait en même
temps l'avantage d'empêcher le passage d'une flotte et d'écar-
ter ainsi la résistance du gouvernement anglais. Comme nous
ne supposons pas qu'il y ait parmi nos lecteurs des personnes
qui partagent les craintes de M. Villanis et veuillent adopter
son plan, nous nous dispensons d'y répondre, tout en le re-
merciant de sa sympathie et de sa bonne volonté.
Le Journal de Seine-et-Marne, 14 août, reproduit notre
article sur le gouvernement et l'industrie du Japon.
Le Nouvelliste de Marseille du 3 août, en achevant "de re-
produire l'article du Journal des Débats sur le livre de
M. Paul Merruau : l'Égypte contemporaine, ajoute les ré-
flexions suivantes :
« Nous passons sur les grands travaux qui ont été exécutés
ou qui sont en voie d'exécution sur toute l'étendue du terri-
toire égyptien, par les ordres de Saïd-Pacha; car, quelque
importants qu'ils soient, ils disparaissent devant le magnifique
projet que ce prince a conçu pour rapprocher l'Asie de l'Eu-
rope. Ce projet, si vivement combattu par ceux-là mêmes qui
y sont le plus intéressés, ne se serait pas présenté à la pensée
d'un souverain méfiant et égoïste; car il doit ouvrir à tous les
peuples les avenues de l'Égypte. Mais S. A. Saïd-Pacha n'est
pas accessible à ces mesquines considérations; il comprend
qu'il n'a rien à craindre du contact des Européens et que la
civilisation doit, au contraire, résulter des rapports de ceux-ci
avec la population qui est soumise à son autorité.
» Le canal de Suez, admis par toutes les nations au pre-
mier rang des entreprises d'utilité générale, triomphera, avant
peu de temps, des derniers efforts qui lui sont opposés, et
Saïd-Pacha sera deux fois heureux; car il aura rendu un im-
mense service à l'humanité et fait avancer dans ses États
l'œuvre de la civilisation. »
Le Moniteur industriel du 5 août publie un premier ar-
ticle sur les assertions a mensongères « de lord Palmerston,
relativement aux 4,000 canons des fortifications des côtes
d'Egypte.
Dans un autre article intitulé : La Puissance turque en
Arabie et l'isthme de Suez, M. P. B-s Darnis rappelle le
grave enseignement que doivent porter les événements affreux
de Djeddah :
« Une frégate française est partie de Toulon pour aller sur-
veiller elle-même, au nom de la France, la complète et loyale
exécution des engagements pris par la Porte. Mais dans quel
espace de temps arrivera-t-elle à sa destination ? Plusieurs
mois se passeront avant qu'elle ait contourné toute l'Afrique,
passé le détroit de Bab-el-Mandeb et franchi une grande por-
tion de la mer Rouge. Quinze jours eussent suffi si l'isthme
de Suez eut été percé, et la France ne serait point malheu-
reusement ainsi isolée de ces parages, où elle à ses sujets à
protéger et son pavillon à faire respecter. Nous en pouvons
dire autant de la Turquie elle-même. Nous publions plus bas
un excellent article du Moniteur de la Flotte, où l'on démontre
les difficultés que va rencontrer le gouvernement ottoman
pour faire parvenir ses forces jusqu'au théâtrç de ces désas-
tres. C'est à Suez que commenceront, pour les troupes du
de ces deux entreprises. « Tous les esprits véritablement inté-
ressés aux progrès de l'industrie et de la civilisation, dit
l'Artiere, ne peuvent manquerde favoriser ces deux projets JI.
La Gazette officielle de Milan laisse à peine passer un de
ses numéros sans dire quelques mots à propos de l'entreprise
du canal. Elle en parle notamment les 15, 19, 22 et 31 juillet,
les 3, 4, 7 et 9 août. Les faits dont il s'agit sont déjà connus
à nos lecteurs.
L'Economista dit son mot dans la polémique entre MM. Sté-
phenson et Négrelli, et se range énergiquement du côté de ce
ce dernier. Le même sujet est traité par la Cronaca du 15
juillet.. -
La Gazette piémontaise reproduit ce que le Morning-
Herald a dit au sujet du transport des troupes anglaises aux
Indes.
Il Diario Savonese.consacre un article très-étendu, signé
par M. Luigi Saporiti, à l'isthme de Suez. L'auteur de l'article
termine en disant : À Il est évident que l'ouverture du canal
sera un des plus grands progrès que notre siècle aura faits.
L'utilité qui en résultera pour l'Asie et pour l'Afrique ne
peut être revoquée en doute; les avantages qui en résulteront
pour l'Europe sont, si cela se peut, plus manifestes encore.
Les craintes de l'Angleterre sont mal fondées, et nous espé-
rons que dans ce pays, où la libre discussion existe, l'erreur
ne sera pas de longue durée. »
Parmi le grand nombre-d'autres journaux italiens qui
s'attachent à suivre avec la plus grande attention tout ce qui
regarde la question de l'isthme de Suez, nous signalons :
L'Unione, la Staffetta, l'Indipendente, Il Menitore Tori-
nese,,. (riornale delle Arti et delle Industrie, Il Tempo , Cor-
rige imrcantile , l'Italia del popolo , l'Ichnusa, etc., etc.
Le Courrier de Java du 12 juin reproduit notre troisième
lettre sur la mer Rouge.
Le Courrier de Java du 16 juin traduit un article de l'Ost-
Deutsche-post sur l'occupation de Périm, que nous avons cité
nous-mêmes à son temps.
Le Courrier de Java du 19 juin donne aussi l'article fa-
meux du Times sur l'occupation de Périm et sur le percement
de l'isthme de Suez. Nous avons traduit et réfuté cet article
dans notre numéro du 25 avril 1858, page 185..
On voit, par ces diverses citations, que la sympathie du
Courrier de Java pour notre entreprise ne se refroidit pas.
Nous lui adressons de nouveau nos remercîments.
Un journal hollandais, l'Écho universel de la Haye, publie
ce qui suit :
« A quelque chose malheur est bon. Nous disons ceci à
l'occasion du massacre des consuls français et anglais à Djed-
dah. C'est une insulte faite aux deux nations, qui probable-
ment ne la laisseront pas impunie et commenceront par en-
voyer leurs escadres dans la mer Rouge.
« » Ceci aura l'avantage d'établir une concurrence à l'in-
fluence anglaise dans cette mer intérieure, où les vaisseaux
français ne voudront pas s'exposer à être emprisonnés, grâce
à la possession de l'ile Périm entre les mains des Anglais.
» Il faudra nécessairement que les deux gouvernements
s'entendent sur ce point capital; et ce nouvel incident hâtera
probablement le projet de l'isthme de Suez, de manière à
donner un libre accès à cette mer par les deux extrémités.
» Nous le répétons : « A quelque chose malheur est bon. »
Nous recevons une brochure intitulée: Serai d'idee sulle
conseguenze del taglio assoluto dell' istmo di Suez, et dont
l'auteur est M. Villanis, à Beyrouth. M. Villanis est un par-
tisan ardent de l'entreprise du canal; seulement. il a de fortes
inquiétudes sur les conséquences du percement continu de
l'isthme; il est convaincu que le niveau de la Méditerranée
sera tellement exhaussé par l'entrée des eaux de la mer Rouge
à travers Je canal, que (C l'on pourra bientôt pêcher des pais-
sons sur la place de S-aint-Ilare, àVenisen. Pourempêcher ces
funestes conséquences, il coupe le canal en deux, et il établit
au point de séparation un port considérable, avec une longue
file de grues pour transporter les colis d'une-section du canal
dans l'autre. De cette manière, il veut empêcher la communi-
cation directe des eaux des deux mers, ce qui aurait en même
temps l'avantage d'empêcher le passage d'une flotte et d'écar-
ter ainsi la résistance du gouvernement anglais. Comme nous
ne supposons pas qu'il y ait parmi nos lecteurs des personnes
qui partagent les craintes de M. Villanis et veuillent adopter
son plan, nous nous dispensons d'y répondre, tout en le re-
merciant de sa sympathie et de sa bonne volonté.
Le Journal de Seine-et-Marne, 14 août, reproduit notre
article sur le gouvernement et l'industrie du Japon.
Le Nouvelliste de Marseille du 3 août, en achevant "de re-
produire l'article du Journal des Débats sur le livre de
M. Paul Merruau : l'Égypte contemporaine, ajoute les ré-
flexions suivantes :
« Nous passons sur les grands travaux qui ont été exécutés
ou qui sont en voie d'exécution sur toute l'étendue du terri-
toire égyptien, par les ordres de Saïd-Pacha; car, quelque
importants qu'ils soient, ils disparaissent devant le magnifique
projet que ce prince a conçu pour rapprocher l'Asie de l'Eu-
rope. Ce projet, si vivement combattu par ceux-là mêmes qui
y sont le plus intéressés, ne se serait pas présenté à la pensée
d'un souverain méfiant et égoïste; car il doit ouvrir à tous les
peuples les avenues de l'Égypte. Mais S. A. Saïd-Pacha n'est
pas accessible à ces mesquines considérations; il comprend
qu'il n'a rien à craindre du contact des Européens et que la
civilisation doit, au contraire, résulter des rapports de ceux-ci
avec la population qui est soumise à son autorité.
» Le canal de Suez, admis par toutes les nations au pre-
mier rang des entreprises d'utilité générale, triomphera, avant
peu de temps, des derniers efforts qui lui sont opposés, et
Saïd-Pacha sera deux fois heureux; car il aura rendu un im-
mense service à l'humanité et fait avancer dans ses États
l'œuvre de la civilisation. »
Le Moniteur industriel du 5 août publie un premier ar-
ticle sur les assertions a mensongères « de lord Palmerston,
relativement aux 4,000 canons des fortifications des côtes
d'Egypte.
Dans un autre article intitulé : La Puissance turque en
Arabie et l'isthme de Suez, M. P. B-s Darnis rappelle le
grave enseignement que doivent porter les événements affreux
de Djeddah :
« Une frégate française est partie de Toulon pour aller sur-
veiller elle-même, au nom de la France, la complète et loyale
exécution des engagements pris par la Porte. Mais dans quel
espace de temps arrivera-t-elle à sa destination ? Plusieurs
mois se passeront avant qu'elle ait contourné toute l'Afrique,
passé le détroit de Bab-el-Mandeb et franchi une grande por-
tion de la mer Rouge. Quinze jours eussent suffi si l'isthme
de Suez eut été percé, et la France ne serait point malheu-
reusement ainsi isolée de ces parages, où elle à ses sujets à
protéger et son pavillon à faire respecter. Nous en pouvons
dire autant de la Turquie elle-même. Nous publions plus bas
un excellent article du Moniteur de la Flotte, où l'on démontre
les difficultés que va rencontrer le gouvernement ottoman
pour faire parvenir ses forces jusqu'au théâtrç de ces désas-
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