Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-07-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 juillet 1858 25 juillet 1858
Description : 1858/07/25 (A3,N51). 1858/07/25 (A3,N51).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203097x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/05/2012
376 : .1 L'ISTHME DE SUEZ,, i, --, DIMANCHE. JUILLET.
vent pas qu'on le croie hostile au canal de Suez, et son silence,
dont il se v-ante, semblerait impliquer une sorte d'impartialité.
C'est fort bien ; mais nous devons dire encore au Journal de
Constantinople que l'école de Chatam (Pitt, sans doute), qu'il
prétend suivre encore aujourd'hui, n'est plus de notre temps.
Sous le ministère de Chatam, l'Angleterre n'a point fait avec
la France la guerre de Crimée. L'Angleterre à cette époque,
Loin d'être l'alliée de la France lui faisait une ,
lein d'être l'alliée de la France, lui faisait une guerre impla-
cable. Il n'est donc pas très-convenable de parler à l'heure
qu'il est de la politique de Chatam ; elle est morte et a été
remplacée par une tout autre. C'est la politique applicable à
cette situation nouvelle qu'il faut comprendre ; et les jalousies
aveugles contre la France doivent être à jamais éteintes. Le
Journal de Constantinople devrait s'efforcer de ne pas les ra-
nimer. Dans l'intérêt des deux grandes nations, dans l'intérêt
de la Turquie, ce rôle serait beaucoup plus utile que de dénon-
cer les projets ambitieux de la France, que le canal de Suez,
dit-on, devrait seconder. Ce sont là des idées fausses et dan-
gereuses que la presse ne doit pas propager.
- La Presse d'Orient du 26 juin reproduit la fin de la dis-
cussion de la Chambre des Communes qu'elle avait commen-
cée dans ses numéros précédents.
Ainsi le public de Constantinople aura sous les yeux ce dé-
bat du Parlement anglais dans toute son étendue; et, pour
notre part, nous sommes persuadés que l'effet produit à Con-
stantinople sera le même que celui que nous avons constaté
dans le reste de l'Europe. La discussion a été tout en faveur
du canal de Suez, quoique le vote, par les motifs qu'on connaît,
n'ait pas été pour nous. On a tellement répété aux hommes
d'État de la Turquie que l'ouverture de l'isthme de Suez était
contraire aux intérêts de l'Angleterre, qu'il est bon qu'ils en-
tendent des hommes comme lord John Russell, MM. Gladstone,
Roebuck, Milner-Gibson, Bright, etc., leur déclarer hautement
le contraire. Quant aux intérêts de l'empire turc, le Divan sait
mieux que personne que le canal de Suez les servirait puis-
samment.
Nous remercions donc sincèrement la Presse d'Orient d'a-
voir donné dans tout leur développement ces longs débats.
C'est une manière parfaitement loyale de s'adresser à nos amis
et à nos adversaires. -
- M. Szarvady, en rendant compte, dans la Gazette de Co-
logne du 18 juillet, de la réception de M. de Lesseps à
Alexandrie, fait les réflexions suivantes :
« M. de Lesseps saura écarter à Constantinople le seul ob-
stacle qui s'oppose encore au commencement des travaux. La
politique que suit le cabinet anglais dans cette question lui a
indique elle-même le chemin qu'il faut prendre. Il semblerait
- que les événements historiques se font expressément de ma-
- nière à démontrer de nouveau, après chaque discussion du
Parlement, ce que l'Europe et la Turquie peuvent attendre de
la prompte exécution du canal. Les incidents de Djeddah doi-
vent faire comprendre jusqu'à l'évidence aux hommes d'Etat
turcs où doit les mener la politique isolante et tutrice de l'An-
gleterre dans la question de Suez. La paix de Paris a imposé
à la Porte Ottomane des devoirs dont l'accomplissement, avec
ses ressources et son démembrement national, sera une im-
possibilité tant que le commerce de l'Europe, dans toutes ses
provinces, ne sera pas devenu assez animé pour que la civili-
sation se protège d'elle-même. Afin que cela ait lieu, il faut
que l'organisme de l'empire turc soit pénétré dans toutes ses
artères de la vie commerciale de l'Europe, ce qui, du côté de
PArhbie, ne peut être effectué complètement et rapidement
que par le canal de Suez. »
La Gazette de Cologne reproduit, dans le même numéro,
notre article sur la politique et le commerce de l'Europe en 1
Chine.
Nous trouvons dans plusieurs journaux allemands, notam-
ment dans la Gazette de Trieste du 13 juillet, la nouvelle
suivante :
« M. de Lesseps est arrivé le 2 juillet à Alexandrie et a été
reçu de la manière la plus solennelle et la plus fiai lieu se par
la colonie Européenne. Les consuls généraux de Hollande,
d'Espagne, de Portugal et de Sardaigne , ainsi qu'un grand -
nombre de personnes de distinction, l'ont salué à son débar-
quement; dans la réponse qu'il a faite au discours de récep-
tion, il a donné l'assurance que les travaux du canal seraient
commencés avant la fin de l'année. M. de Lçsseps pensait
repartir pour Constantinople le 16 du mois de juillet. »
Le Bollettino deiï i4mo Ji'Suez du 16 juillet 1858 rap-
pelle, dans un article spécial, que ce jour est l'anniversaire
de l'avénemeut de Saïd-Pacha, et rend hommage à toutes les
grandes choses qui ont été acctfttipifes en Egypte pendant le
règne de ce prince.
Dans notre dernière revue de la presse, nous avons fait
mention de quelques objections du chevalier Zticchi à Alexan-
drie contre le canal de Suez. L'illustre ingénieur et membre
de la Commission internationale, M. Pierre Paléocapa, s'est
chargé lui-même de la réponse , en démontrant que si les
marchands d'Alexandrie perdent une partie de leur mono-
pole du commerce dans la mer Rouge, ils seront largement
dédommages par la prospérité générale et le commerce crois-
sant de l'Egypte ; que l'objection tirée du mélange des eaux
douces des canaux de dérivation et de l'eau de la mer n'a pas
de sens, le lit de ces canaux étant trop élevé pour que ce mé-
lange puisse s'opérer, et il réfute enfin ces craintes ridicules
sur le sort des fellahs employés au canal, que nous avons
déjà eu à combattre chez M. Griffith. Nous reviendrons sur te
travail de M. Paléocapa; mais nous n'avons pas voulu tarder
à lui adresser nos remercîments sincères.
Le Bollettino rend compte aussi d'un touchant hommage
offert récemment à M. Paléocapa. Ses amis et ses admira-
teurs ont présenté à madame Charlotte Frédérigo, sa sœur, le
buste de son frère, avec cette inscription : « A Pierre Paléo-
capa, faible témoignage d'une grande affection et d'une haute
estime, offert non à l'illustre ingenieur, au ministre sagement
laborieux, au citoyen modèle, mais à l'ami par des amis, pré-
senté à sa sœur Charlotte Fédérigo, qui le console avec piété
dans les douleurs de la cécité, pour l'anniversaire de sa nais-
sance, le 29 juin 1858. »
La Rivista Euganea du 8 juillet, qui donne celte nouvelle,
rend compte de tous les magnifiques travaux exécutés en
Italie sous la direction de M. Paléocapa.
Le Bollettino reproduit en outre une grande partie des ar-
ticles de notre dernier numéro, et l'analyse du mémoire de
M. Conrad sur le canal de Suez. Il fait aussi la revue de la
presse italienne, qui ne se lasse pas de suivre avec attention
toutes les phases de la question du canal de Suez. Ce qui l'a
surtout occupée dans ces derniers trmps , c'est la réponse de
M. Negrelli à M. Stephenson, le voyage de M. de Lesseps, et
ensuite cette question vitale pour l'Italie, l'établissement d'un
réseau de chemins de fer. Le canal de Suez est un des motifs
les plus importants pour lesquels les Italiens demandent avec
instance la construction des voies ferrées; ils comprennent
que, pour en faire profiler le commerce, il faut lui assurer
des communications plus faciles et plus rapides.
Le Progresso di Egillo du 3 juillet fait le récit de l'ovation
que M. Ferd. de Lesseps avait reçue la veille :
« M. de Lesseps est arrivé hier de Trieste à bord du vapeur
vent pas qu'on le croie hostile au canal de Suez, et son silence,
dont il se v-ante, semblerait impliquer une sorte d'impartialité.
C'est fort bien ; mais nous devons dire encore au Journal de
Constantinople que l'école de Chatam (Pitt, sans doute), qu'il
prétend suivre encore aujourd'hui, n'est plus de notre temps.
Sous le ministère de Chatam, l'Angleterre n'a point fait avec
la France la guerre de Crimée. L'Angleterre à cette époque,
Loin d'être l'alliée de la France lui faisait une ,
lein d'être l'alliée de la France, lui faisait une guerre impla-
cable. Il n'est donc pas très-convenable de parler à l'heure
qu'il est de la politique de Chatam ; elle est morte et a été
remplacée par une tout autre. C'est la politique applicable à
cette situation nouvelle qu'il faut comprendre ; et les jalousies
aveugles contre la France doivent être à jamais éteintes. Le
Journal de Constantinople devrait s'efforcer de ne pas les ra-
nimer. Dans l'intérêt des deux grandes nations, dans l'intérêt
de la Turquie, ce rôle serait beaucoup plus utile que de dénon-
cer les projets ambitieux de la France, que le canal de Suez,
dit-on, devrait seconder. Ce sont là des idées fausses et dan-
gereuses que la presse ne doit pas propager.
- La Presse d'Orient du 26 juin reproduit la fin de la dis-
cussion de la Chambre des Communes qu'elle avait commen-
cée dans ses numéros précédents.
Ainsi le public de Constantinople aura sous les yeux ce dé-
bat du Parlement anglais dans toute son étendue; et, pour
notre part, nous sommes persuadés que l'effet produit à Con-
stantinople sera le même que celui que nous avons constaté
dans le reste de l'Europe. La discussion a été tout en faveur
du canal de Suez, quoique le vote, par les motifs qu'on connaît,
n'ait pas été pour nous. On a tellement répété aux hommes
d'État de la Turquie que l'ouverture de l'isthme de Suez était
contraire aux intérêts de l'Angleterre, qu'il est bon qu'ils en-
tendent des hommes comme lord John Russell, MM. Gladstone,
Roebuck, Milner-Gibson, Bright, etc., leur déclarer hautement
le contraire. Quant aux intérêts de l'empire turc, le Divan sait
mieux que personne que le canal de Suez les servirait puis-
samment.
Nous remercions donc sincèrement la Presse d'Orient d'a-
voir donné dans tout leur développement ces longs débats.
C'est une manière parfaitement loyale de s'adresser à nos amis
et à nos adversaires. -
- M. Szarvady, en rendant compte, dans la Gazette de Co-
logne du 18 juillet, de la réception de M. de Lesseps à
Alexandrie, fait les réflexions suivantes :
« M. de Lesseps saura écarter à Constantinople le seul ob-
stacle qui s'oppose encore au commencement des travaux. La
politique que suit le cabinet anglais dans cette question lui a
indique elle-même le chemin qu'il faut prendre. Il semblerait
- que les événements historiques se font expressément de ma-
- nière à démontrer de nouveau, après chaque discussion du
Parlement, ce que l'Europe et la Turquie peuvent attendre de
la prompte exécution du canal. Les incidents de Djeddah doi-
vent faire comprendre jusqu'à l'évidence aux hommes d'Etat
turcs où doit les mener la politique isolante et tutrice de l'An-
gleterre dans la question de Suez. La paix de Paris a imposé
à la Porte Ottomane des devoirs dont l'accomplissement, avec
ses ressources et son démembrement national, sera une im-
possibilité tant que le commerce de l'Europe, dans toutes ses
provinces, ne sera pas devenu assez animé pour que la civili-
sation se protège d'elle-même. Afin que cela ait lieu, il faut
que l'organisme de l'empire turc soit pénétré dans toutes ses
artères de la vie commerciale de l'Europe, ce qui, du côté de
PArhbie, ne peut être effectué complètement et rapidement
que par le canal de Suez. »
La Gazette de Cologne reproduit, dans le même numéro,
notre article sur la politique et le commerce de l'Europe en 1
Chine.
Nous trouvons dans plusieurs journaux allemands, notam-
ment dans la Gazette de Trieste du 13 juillet, la nouvelle
suivante :
« M. de Lesseps est arrivé le 2 juillet à Alexandrie et a été
reçu de la manière la plus solennelle et la plus fiai lieu se par
la colonie Européenne. Les consuls généraux de Hollande,
d'Espagne, de Portugal et de Sardaigne , ainsi qu'un grand -
nombre de personnes de distinction, l'ont salué à son débar-
quement; dans la réponse qu'il a faite au discours de récep-
tion, il a donné l'assurance que les travaux du canal seraient
commencés avant la fin de l'année. M. de Lçsseps pensait
repartir pour Constantinople le 16 du mois de juillet. »
Le Bollettino deiï i4mo Ji'Suez du 16 juillet 1858 rap-
pelle, dans un article spécial, que ce jour est l'anniversaire
de l'avénemeut de Saïd-Pacha, et rend hommage à toutes les
grandes choses qui ont été acctfttipifes en Egypte pendant le
règne de ce prince.
Dans notre dernière revue de la presse, nous avons fait
mention de quelques objections du chevalier Zticchi à Alexan-
drie contre le canal de Suez. L'illustre ingénieur et membre
de la Commission internationale, M. Pierre Paléocapa, s'est
chargé lui-même de la réponse , en démontrant que si les
marchands d'Alexandrie perdent une partie de leur mono-
pole du commerce dans la mer Rouge, ils seront largement
dédommages par la prospérité générale et le commerce crois-
sant de l'Egypte ; que l'objection tirée du mélange des eaux
douces des canaux de dérivation et de l'eau de la mer n'a pas
de sens, le lit de ces canaux étant trop élevé pour que ce mé-
lange puisse s'opérer, et il réfute enfin ces craintes ridicules
sur le sort des fellahs employés au canal, que nous avons
déjà eu à combattre chez M. Griffith. Nous reviendrons sur te
travail de M. Paléocapa; mais nous n'avons pas voulu tarder
à lui adresser nos remercîments sincères.
Le Bollettino rend compte aussi d'un touchant hommage
offert récemment à M. Paléocapa. Ses amis et ses admira-
teurs ont présenté à madame Charlotte Frédérigo, sa sœur, le
buste de son frère, avec cette inscription : « A Pierre Paléo-
capa, faible témoignage d'une grande affection et d'une haute
estime, offert non à l'illustre ingenieur, au ministre sagement
laborieux, au citoyen modèle, mais à l'ami par des amis, pré-
senté à sa sœur Charlotte Fédérigo, qui le console avec piété
dans les douleurs de la cécité, pour l'anniversaire de sa nais-
sance, le 29 juin 1858. »
La Rivista Euganea du 8 juillet, qui donne celte nouvelle,
rend compte de tous les magnifiques travaux exécutés en
Italie sous la direction de M. Paléocapa.
Le Bollettino reproduit en outre une grande partie des ar-
ticles de notre dernier numéro, et l'analyse du mémoire de
M. Conrad sur le canal de Suez. Il fait aussi la revue de la
presse italienne, qui ne se lasse pas de suivre avec attention
toutes les phases de la question du canal de Suez. Ce qui l'a
surtout occupée dans ces derniers trmps , c'est la réponse de
M. Negrelli à M. Stephenson, le voyage de M. de Lesseps, et
ensuite cette question vitale pour l'Italie, l'établissement d'un
réseau de chemins de fer. Le canal de Suez est un des motifs
les plus importants pour lesquels les Italiens demandent avec
instance la construction des voies ferrées; ils comprennent
que, pour en faire profiler le commerce, il faut lui assurer
des communications plus faciles et plus rapides.
Le Progresso di Egillo du 3 juillet fait le récit de l'ovation
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