Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-06-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juin 1858 10 juin 1858
Description : 1858/06/10 (A3,N48). 1858/06/10 (A3,N48).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203094p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
JEUDI 10 JUIN. 1. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. ( 1 273
et tout ce que j'en dirai, c'est que ce serait un discours admi-
rable, s'il était adressé à une personne sur le point de prendre
des actions du canal. (Écoutez! écoutez! Rires.) Cependant
ce n'est pas là la question dont la Chambre doit s'occuper,
attendu que l'on ne demande pas à ses membres d'exprimer
une opinion sur les éventualités physiques ou les avantages
commerciaux qui résulteront probablement du projet. Quant
au plan spécial tracé par la Commission internationale, l'ho-
norable membre pour Whitby ne l'a pas, il me semble,
désapprouvé, même par des arguments techniques, sa
désapprobation se rapportant à quelque autre projet que la
Commission a condamné elle-même.
•: M. STEPHENSON. Mes opinions sur la question ont rapport
au plus récent des projets.
� M. GIBSON. Les opinions de mon honorable ami ont sans
doute droit à une grande considération; mais je suis sûr
qu'il ne me contredira pas, quand je dis que les ingénieurs les
plus éminents peuvent se tromper quand il s'agit d'une question
en même temps nouvelle et difficile. (Écoutez! Rires.) Ainsi,
par exemple, l'honorable gentleman a refusé lui-même, si je
ne me trompe, de donner son opinion sur un certain pont
pour le Niagara. Mais qu'il en soit comme il voudra, l'utilité
du plan proposé comme entreprise commerciale n'est pas ce
dont il s'agit. La motion de mon honorable ami dit « que la
puissance et l'influence de l'Angleterre ne devraient pas
n être employées àcontraindre le Sultan de refuser son assenti-
a ment au projet du canal; » et moi, comme défenseur de
l'indépendance de l'Empire ottoman, que je crois être un des
objets les plus chers des hommes d'État d'Angleterre (Ecou-
tez! écoutez! Rires.), j'a ppuierai cette motion. Je désire qu'on
laisse au Sultan l'exercice de sa libre volonté dans cette af-
faire, ét je ne peux m'empêcher de penser que ce serait une
politique plus sage que de le mettre, par une intervention
inopportune dans sa politique, en collision avec les autres
puissances de l'Europe. ( Ecoutez ! écoutez ! )
J'espère que quelque membre du gouvernement répondra
à ma question relativement à la production de la correspon-
dance, tandis qu'il me sera permis de rappeler à mon hono-
rable ami-le sous-secrétaire d'Etat pour les affaires étran-
gères, qu'il est dans l'erreur s'il croit que les classes com-
merciales de l'Angleterre n'ont pas envisagé avec faveur le
plan proposé. A ma propre connaissance, le contraire a eu
lieu ; et, pour prouver mon assertion, je rappelle que des
meetings de Londres, Liverpool, Manchester, Glascow, Leith,
Newcastle, Édimburg, Aberdeen, Belfast, Cork, Birmingham,
Hull et Bristol, ont pris @ des résolutions qui encouragent les
promoteurs du projet. (Écoutez! écoutez !) Le principe qu'un
tel projet était contraire aux intérêts de l'Angleterre n'a pas
trouvé faveur devant ces assemblées, et je ne peux m'empê-
cher de penser, dans ces circonstances, qu'il est fort à désirer
que la Chambre empêche, par une décision, toute interven-
tion secrète et illégitime dans la libre action d'une puissance
étrangère. (Ecoutez! écoutez!) Je ne demande pas à la
Chambre d'encourager le Sultan à donner un firman ou à
dire un mot en faveur du canal, mais simplement de lui lais-
ser l'exercice de son propre jugement dans une affaire qu'il
est mieux que personne en état d'apprécier en ce qui con-
cerne les intérêts de son propre pays.
Quant à la séparation de l'Égypte avec la Turquie, qui se-
rait une conséquence du canal, je me contenterai de dire que
ce serait, à mon avis, la même chose que @ si on voulait parler
de la séparation de l'Angleterre et de l'Ecosse par le canal
Calédonien. (Écoutez! Rires. ) Ainsi je suis prêt à soutenir
que la séparation de l'Égypte de la Turquie est aujourd'hui
plus complète par suite de l'existence d'un désert, qu'elle ne
le serait s'il y avait un canal sur les rives duquel une popula-
tion nombreuse s'établirait certainement, en transformant le
désert en pays cultivé. (Écoutez! écoutez!)
Dans ces circonstances, j'espère que le noble lord membre
pour Tiverton (lord Palmerston) ne continuera pas d'influen-
cer le ministère des affaires étrangères, qu'il sera tenu pour
toujours à distance de ce quartier (Rire), et que les conseillers N
actuels de Sa Majesté seront obligés de suivre une politique
conforme aux intérêts du pays. (Écoutez! écoutez!)
Lord PALMERSTON,' - L'honorable. membre pour Sheffield
(M. Roebuck) ayant plus d'une fois fait allusion à ma per-
sonne dans le discours qu'il a prononcé ce soir, j'espère qu'il
me sera permis d'expliquer de nouveau à la Chambre les
opinions que j'ai sur ce sujet.
L'honorable gentleman a dit qu'il s'était donné beaucoup de
peine pour connaître les raisons de mon opinion sur ce projet,
qu'il a demandé des informations à tout le monde et que
personne n'a pu le renseigner. Or, il me semble, je peux bien
demander à l'honorable gentleman pourquoi il ne s'est pas
adressé à moi. (Écoutez!) Sa manière de faire me rappelle
cette vieille histoire de l'homme qui dit à un autre qu'il l'avait
cherché partout pendant deux ans; la simple réponse fut :
n Pourquoi n'êtes - vous pas venu à Swansea? C'est là où
j'étais pendant toutletemps (Rires). » Si l'honorable gentleman
m'avait consulté, j'aurais été heureux de l'informer pourquoi
je n'ai pu donner mon appui à ce projet, et je peux dire peut-
être que l'année dernière j'ai exposé en détail la raison pour
laquelle j'ai agi ainsi. La plus charitable manière d'envisager
le projet, le point de vue le plus innocent de le considérer,
c'est à mon avis, que ce projet est la plus grande duperie qui
ait jamais été proposée à la crédulité et à la simplicité des
gens de notre pays. (Écoutez! écoutez! et rires.) Ainsi en
mettant de côté toutes les considérations de nature politique
et commerciales, je soutiens que par suite des raisons techni-
niques et géographiques si habilement exposées par mon hono-
rable ami membre pour Whitby, c'est un projet qui ne peut
être exécuté sans un sacrifice énorme d'argent et de vies
humaines (Écoutez ! écoutez !), et qu'en conséquence ce n'est en
réalité qu'une duperie. (Écoutez! écoutez!) Le très-hono-
rable gentlemen qui vient de parler a dit cependant que le
projet a excité un grand intérêt dans tout le pays; il a cité
des villes où des meetings,ont eu lieu et où des résolutions
ont été prises pour approuver le projet. Ceux qui écoutent
ces observations du très-honorable gentleman pourraient très-
naturellement supposer que ces meetings étaient des mouve-
ments spontanés de la part des habitants. Mais en est-il ainsi?
Par le moindrement! (Écoutez!'écoutez!) Ces meetings ont été
réunis par des faiseurs de projets étrangers pour leur propre
but (Écoutez! écoutez!), et quoiqu'ils aient adopté des résolu-
tions, je voudrais bien savoir quelle somme de souscription
a suivi ces résolutions. (Écoutez! écoutez! Rires.)
L'honorable membre pour Whitby, ainsi que l'honorable
membre qui a proposé l'amendement, ont très-clairement
exposé les difficultés physiques qui s'opposent au percement
d'un canal à travers un désert de 80 milles, et tous les ob-
stacles qu'il faut surmonter pour se procurer des travailleurs
et les moyens d'assurer leurs approvisionnements. En tenant
compte aussi du peu de profondeur de la mer aux deux
extrémités, de la nécessité d'avoir recours à de grandes dé-
penses pour établir les entrées nécessaires pour les navires,
je suis persuadé qu'il est impossible que cette œuvre paye les
frais de construction. (Ecoutez! écoutez!) Quant aux avan-
tages commerciaux du projet, l'honorable membre pour
et tout ce que j'en dirai, c'est que ce serait un discours admi-
rable, s'il était adressé à une personne sur le point de prendre
des actions du canal. (Écoutez! écoutez! Rires.) Cependant
ce n'est pas là la question dont la Chambre doit s'occuper,
attendu que l'on ne demande pas à ses membres d'exprimer
une opinion sur les éventualités physiques ou les avantages
commerciaux qui résulteront probablement du projet. Quant
au plan spécial tracé par la Commission internationale, l'ho-
norable membre pour Whitby ne l'a pas, il me semble,
désapprouvé, même par des arguments techniques, sa
désapprobation se rapportant à quelque autre projet que la
Commission a condamné elle-même.
•: M. STEPHENSON. Mes opinions sur la question ont rapport
au plus récent des projets.
� M. GIBSON. Les opinions de mon honorable ami ont sans
doute droit à une grande considération; mais je suis sûr
qu'il ne me contredira pas, quand je dis que les ingénieurs les
plus éminents peuvent se tromper quand il s'agit d'une question
en même temps nouvelle et difficile. (Écoutez! Rires.) Ainsi,
par exemple, l'honorable gentleman a refusé lui-même, si je
ne me trompe, de donner son opinion sur un certain pont
pour le Niagara. Mais qu'il en soit comme il voudra, l'utilité
du plan proposé comme entreprise commerciale n'est pas ce
dont il s'agit. La motion de mon honorable ami dit « que la
puissance et l'influence de l'Angleterre ne devraient pas
n être employées àcontraindre le Sultan de refuser son assenti-
a ment au projet du canal; » et moi, comme défenseur de
l'indépendance de l'Empire ottoman, que je crois être un des
objets les plus chers des hommes d'État d'Angleterre (Ecou-
tez! écoutez! Rires.), j'a ppuierai cette motion. Je désire qu'on
laisse au Sultan l'exercice de sa libre volonté dans cette af-
faire, ét je ne peux m'empêcher de penser que ce serait une
politique plus sage que de le mettre, par une intervention
inopportune dans sa politique, en collision avec les autres
puissances de l'Europe. ( Ecoutez ! écoutez ! )
J'espère que quelque membre du gouvernement répondra
à ma question relativement à la production de la correspon-
dance, tandis qu'il me sera permis de rappeler à mon hono-
rable ami-le sous-secrétaire d'Etat pour les affaires étran-
gères, qu'il est dans l'erreur s'il croit que les classes com-
merciales de l'Angleterre n'ont pas envisagé avec faveur le
plan proposé. A ma propre connaissance, le contraire a eu
lieu ; et, pour prouver mon assertion, je rappelle que des
meetings de Londres, Liverpool, Manchester, Glascow, Leith,
Newcastle, Édimburg, Aberdeen, Belfast, Cork, Birmingham,
Hull et Bristol, ont pris @ des résolutions qui encouragent les
promoteurs du projet. (Écoutez! écoutez !) Le principe qu'un
tel projet était contraire aux intérêts de l'Angleterre n'a pas
trouvé faveur devant ces assemblées, et je ne peux m'empê-
cher de penser, dans ces circonstances, qu'il est fort à désirer
que la Chambre empêche, par une décision, toute interven-
tion secrète et illégitime dans la libre action d'une puissance
étrangère. (Ecoutez! écoutez!) Je ne demande pas à la
Chambre d'encourager le Sultan à donner un firman ou à
dire un mot en faveur du canal, mais simplement de lui lais-
ser l'exercice de son propre jugement dans une affaire qu'il
est mieux que personne en état d'apprécier en ce qui con-
cerne les intérêts de son propre pays.
Quant à la séparation de l'Égypte avec la Turquie, qui se-
rait une conséquence du canal, je me contenterai de dire que
ce serait, à mon avis, la même chose que @ si on voulait parler
de la séparation de l'Angleterre et de l'Ecosse par le canal
Calédonien. (Écoutez! Rires. ) Ainsi je suis prêt à soutenir
que la séparation de l'Égypte de la Turquie est aujourd'hui
plus complète par suite de l'existence d'un désert, qu'elle ne
le serait s'il y avait un canal sur les rives duquel une popula-
tion nombreuse s'établirait certainement, en transformant le
désert en pays cultivé. (Écoutez! écoutez!)
Dans ces circonstances, j'espère que le noble lord membre
pour Tiverton (lord Palmerston) ne continuera pas d'influen-
cer le ministère des affaires étrangères, qu'il sera tenu pour
toujours à distance de ce quartier (Rire), et que les conseillers N
actuels de Sa Majesté seront obligés de suivre une politique
conforme aux intérêts du pays. (Écoutez! écoutez!)
Lord PALMERSTON,' - L'honorable. membre pour Sheffield
(M. Roebuck) ayant plus d'une fois fait allusion à ma per-
sonne dans le discours qu'il a prononcé ce soir, j'espère qu'il
me sera permis d'expliquer de nouveau à la Chambre les
opinions que j'ai sur ce sujet.
L'honorable gentleman a dit qu'il s'était donné beaucoup de
peine pour connaître les raisons de mon opinion sur ce projet,
qu'il a demandé des informations à tout le monde et que
personne n'a pu le renseigner. Or, il me semble, je peux bien
demander à l'honorable gentleman pourquoi il ne s'est pas
adressé à moi. (Écoutez!) Sa manière de faire me rappelle
cette vieille histoire de l'homme qui dit à un autre qu'il l'avait
cherché partout pendant deux ans; la simple réponse fut :
n Pourquoi n'êtes - vous pas venu à Swansea? C'est là où
j'étais pendant toutletemps (Rires). » Si l'honorable gentleman
m'avait consulté, j'aurais été heureux de l'informer pourquoi
je n'ai pu donner mon appui à ce projet, et je peux dire peut-
être que l'année dernière j'ai exposé en détail la raison pour
laquelle j'ai agi ainsi. La plus charitable manière d'envisager
le projet, le point de vue le plus innocent de le considérer,
c'est à mon avis, que ce projet est la plus grande duperie qui
ait jamais été proposée à la crédulité et à la simplicité des
gens de notre pays. (Écoutez! écoutez! et rires.) Ainsi en
mettant de côté toutes les considérations de nature politique
et commerciales, je soutiens que par suite des raisons techni-
niques et géographiques si habilement exposées par mon hono-
rable ami membre pour Whitby, c'est un projet qui ne peut
être exécuté sans un sacrifice énorme d'argent et de vies
humaines (Écoutez ! écoutez !), et qu'en conséquence ce n'est en
réalité qu'une duperie. (Écoutez! écoutez!) Le très-hono-
rable gentlemen qui vient de parler a dit cependant que le
projet a excité un grand intérêt dans tout le pays; il a cité
des villes où des meetings,ont eu lieu et où des résolutions
ont été prises pour approuver le projet. Ceux qui écoutent
ces observations du très-honorable gentleman pourraient très-
naturellement supposer que ces meetings étaient des mouve-
ments spontanés de la part des habitants. Mais en est-il ainsi?
Par le moindrement! (Écoutez!'écoutez!) Ces meetings ont été
réunis par des faiseurs de projets étrangers pour leur propre
but (Écoutez! écoutez!), et quoiqu'ils aient adopté des résolu-
tions, je voudrais bien savoir quelle somme de souscription
a suivi ces résolutions. (Écoutez! écoutez! Rires.)
L'honorable membre pour Whitby, ainsi que l'honorable
membre qui a proposé l'amendement, ont très-clairement
exposé les difficultés physiques qui s'opposent au percement
d'un canal à travers un désert de 80 milles, et tous les ob-
stacles qu'il faut surmonter pour se procurer des travailleurs
et les moyens d'assurer leurs approvisionnements. En tenant
compte aussi du peu de profondeur de la mer aux deux
extrémités, de la nécessité d'avoir recours à de grandes dé-
penses pour établir les entrées nécessaires pour les navires,
je suis persuadé qu'il est impossible que cette œuvre paye les
frais de construction. (Ecoutez! écoutez!) Quant aux avan-
tages commerciaux du projet, l'honorable membre pour
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.79%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.79%.
- Collections numériques similaires Corpus : de la statistique graphique à la data visualisation Corpus : de la statistique graphique à la data visualisation /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp05"Appendice à la météorolgie de Kaemtz traduite par M Martins. Sur la représentation graphique des tableaux météorologiques et des lois naturelles en général / par L. Lalanne,... /ark:/12148/bd6t546445736.highres Carte de l'importance des ports maritimes de France mesurée par les tonnages des navires entrés et sortis en 1850 / Charles-Joseph Minard /ark:/12148/btv1b10481176j.highresThématique : administration publique, sciences humaines et sociales Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCthèm04"
- Auteurs similaires Corpus : de la statistique graphique à la data visualisation Corpus : de la statistique graphique à la data visualisation /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp05"Appendice à la météorolgie de Kaemtz traduite par M Martins. Sur la représentation graphique des tableaux météorologiques et des lois naturelles en général / par L. Lalanne,... /ark:/12148/bd6t546445736.highres Carte de l'importance des ports maritimes de France mesurée par les tonnages des navires entrés et sortis en 1850 / Charles-Joseph Minard /ark:/12148/btv1b10481176j.highresThématique : administration publique, sciences humaines et sociales Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCthèm04"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 9/32
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6203094p/f9.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6203094p/f9.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6203094p/f9.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6203094p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6203094p
Facebook
Twitter