Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-06-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 juin 1858 10 juin 1858
Description : 1858/06/10 (A3,N48). 1858/06/10 (A3,N48).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203094p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
270 L'ISTHME DE SUEZ, JEPPI 10 JUIN,
Quelques personnes ont dit que c'était une lubie (crotchet) du
noble lord. Mais est-ce qu'une lubie doit entraver l'exécution
de la plus grande œuvre physique qui ait jamais été entre-
prise depuis qui! y a des hommes sur la terre? Si ce canal
était coupé, non-seulement l'Asie, l'Afrique et l' Australie
seraient rapprochées du reste du monde, mais on aurait
établi une grande route qui serait civilisatrice de l'humanité.
On parle de nos institutions pour civiliser l'humanité, de nos
combinaisons pour christianiser le monde, mais tout cela est
insignifiant en comparaison de ces moyens de répandre la
civilisation. Il a été dit que ce canal pourrait amener la sépa-
ration de l'Egypte de la Turquie ; mais cette pensée est en-
tièrement contraire à tout ce que nous apprend l'histoire.
Des montagnes peuvent séparer des nations, mais des ri-
vières jamais; elles ont constamment été des moyens d'unir
les hommes; j'ai établi au commencement de mon discours
que la construction du canal est dans l'intérêt de l'humanité,
et ce qui est dans l'intérêt de l'humanité ne peut pas être
contraire aux intérêts de l'Angleterre. Le gouvernement actuel
s'est dit lui-même êlre grand partisan dè l'alliance française, et
il trouvera en parlant à son propre ambassadeur ou à quelque
Français intelligent, que cette affaire est d'une grande portée
dans l'alliance. La conduite du noble membre pour Tiverlon
(lord Palmerston) a excité l'attention générale de l'étranger, et
j'espère que le gouvernement actuel ne suivra pas l'exemple
de s'opposer étant au pouvoir à ce qu'il a soutenu lorsqu'il
appartenait à l'autre côté de la Chambre. Le Vice-roi d'E-
gypte, lorsque ce projet fut émis pour la première fois, prit
les mesures les plus impartiales pour s'assurer si les diffi-
cultés physiques étaient insurmontables ou non; il a nommé
une commission d'ingénieurs de France, d'Angleterre, de
Prusse, d'Autriche, d'Espagne, de Sardaigne, pour explorer
la route et faire un rapport .sur le projet, et le concours
de ces hommes éminepls, ne saurait être paralysé par le
simple ipse dixit d'un seul membre de la Chambre des Com-
munes aussi éminent qu'il soit. Le bon sens doit dire à tout
le monde que le percement du canal est dans l'intérêt de
l'humanité, et j'espère donc que la Chambre approuvera ma
résolution. L'honorable et savant gentlemen termine eri pro-
posant cette motion : « La Chambre est d'avis que le pouvoir
» et l'influence de ce pays ne doivent pas être employés pour
» Qbliger : le Sultan à retenir son assenlissement au projet
a du percement d'un canal à travers l'isthme de Suez, » ,
M. MIWEB GIBSON a appuyé la motion.
M. GRIFFITH dit : Je ne comprends pas comment il peut être
dans la politique de l'Angleterre d'entraver un projet qui faci-
literait le commerce du monde entier. Quant au fait, je suis
Irès-disposé à me.joindre aux paroles du noble lord membre
pour Tiverton. Personne ne peut être plus sensible aux dif-
ficultés physiques du projet. Je n'ai pas besoin de rappeler
à la Chambre comment l'année dernière un grand nombre
de gens en Angleterre tremblaient pour leurs amis et parents
dans l'Inde, et combien, à. l'arrivée des, nouvelles de l'insur-
rection , quand il fut résolu d'envoyer une armée, l'anxiété
publique était grande dans tout ,1e .royaume pour que ces
vaillants soldats, fussent transportés le plus vite possible sur
le théâtre de la guerre. Si à cette époque nous avions pu em-
barquer les troupes dans nos grands vapeurs pour les trans-
porter directement dans l'Inde, par la mer Rouge, sans l'inter-
ruption de l'isthme de Suez, combien n'aurait-on pas épar
jjné d'argoisses au pays, tandis qu'on aurait ôté à l'insur-
rection une grande partie de sps horreurs. La Chambre se
rappellera que peu de temps après l'arrrvêe de la nouvelle de
l'insurrection, il fut proposé d'envoyer nos troupes par la
route de l'Overland., et que le noble lord pour Tiverton objecta
à cette occasion l'extrême difficulté d'établir de bons moyens
de transport pour les. troupes de l'autre côté de l'isthme.
Ce fut sans doute une question grave; mais le noble lord,
quand il était à la tête du gouvernement, adopta ce même
mode de transport que dans la Chambre il avait soutenu être'
impraticable. Les difficultés ont été vaincues par la pratique,
et maintenant nous expédions régulièrement des troupes par
cette route. Il est incontestable que si nous l'avions fait de-
puis le commencement de la guerre, le peuple anglais aurait
été délivré de beaucoup d'angoisses, et qu'on aurait obtenu des
avantages incalculables. En effet, soit pour la guerre, soit
pour le commerce, il ne peut y avoir pour l'Angleterre de.
chose plus précieuse que la concession d'un canal à travers
l'isthme. Le noble lord (Palmerston), par quelque raison im-
pénétrable et tirée de loin, a pensé qu'un pareil projet com-
promettrait les intérêts de l'Inde; mais les objections du noble
lord sont tellement contraires à la raison, que je ne puis pas
réellement les com prendre. Le noble lord croit qu'un canal
de cette espèce produira une séparation entre l'Égypte et la
Turquie; mais je voudrais savoir comment c'est possible. Je
prétends qu'une grande entreprise industrielle de cette nature
ne peut jamais faire de tort à la Turquie.
- En passant à l'amendement que j'ai annoncé, je fais remar-
quer que, bien que le Pacha d'Égypte ait, eo nomine, aboli
l'esclavage dans son pays, il n'a pas défendu des corvées qui
sont de fait un esclavage. Pendant longtemps, les travaux pu-
blics en Egypte ont été exécutés par corvées, et à cet égard il
est important que la Chambre prenne garde de sanctionner
l'emploi de la force de la part d'un gouvernement despotique;
pour se procurer des travailleurs à un prix infime. J espère
que la Chambre prendra garde de sanctionner par inadver-
tance un système d'esclavage. Je demande la permission dé
proposer un amendement pour que, « de quelque manière que
la Chambre sanctionne la construction d'un tel canal, il est utile
que l'on veille à ce que le pouvoir despotique du gouvernement
égyptien ne puisse être employé par les promoteurs du projet
pour obtenir du fellah le travail nécessaire à un prix en de-
hors de toute proportion ; à l'aide de ces moyens coercilifs fami-
liers à ce gouvernement, de manière à produire les effets de
l'esclavage sous le nom de travail payé. » ; -
LORD HADDO. J'ai entendu avec surprise ces remarques défavoy
rables sur le gouvernement d'Égypte ; car je pense que, quelle
que soit l'opinion que l'on ait a l'égard du canal de Suez, il ne
peut y avoir de doute que le Vice-roi ait agi d'une manière
très-libérale et éclairée, et qu'il n ait montré une noble arn»
bition d'employer les ressources de son pays, non pas dans son
intérêt personnel, mais pour une œuvre qui a le mérite d'un
• grand avantage permanent et d'une extrême utilité publique.
Le souverain actuel de l'Égypte a sans doute fait plus pour
abolir l'esclavage dans son pays et pour améliorer la condition
de ses sujets que tout autre prince mahométan et même euro-
péen, pendant un égal espace de temps, et quoique nous en":
tendions souvent parler de l'influence française en Egypte,,
pourtant j'ose dire qu'envers aucun pays il n'a été donné plus
de preuves de bonne volonté et d'amitié de la part du gouver-
nement égyptien qu'envers l'Angleterre. J'ai 1 vu moi-même le
passage de deux régiments anglais à travers l'Egypte, se rendant
de Ffnde en Crimée. Ils furent retenus plusieurs semaines au
Caire à cause du manque de transports, et pendant leur séjour
ils-furent entretenus de la manière la plus généreuse dans les
hôtels anglais, avec les facvHes des officiers, au prix de plu-
sieurs milliers de livres sterling.
Quelques personnes ont dit que c'était une lubie (crotchet) du
noble lord. Mais est-ce qu'une lubie doit entraver l'exécution
de la plus grande œuvre physique qui ait jamais été entre-
prise depuis qui! y a des hommes sur la terre? Si ce canal
était coupé, non-seulement l'Asie, l'Afrique et l' Australie
seraient rapprochées du reste du monde, mais on aurait
établi une grande route qui serait civilisatrice de l'humanité.
On parle de nos institutions pour civiliser l'humanité, de nos
combinaisons pour christianiser le monde, mais tout cela est
insignifiant en comparaison de ces moyens de répandre la
civilisation. Il a été dit que ce canal pourrait amener la sépa-
ration de l'Egypte de la Turquie ; mais cette pensée est en-
tièrement contraire à tout ce que nous apprend l'histoire.
Des montagnes peuvent séparer des nations, mais des ri-
vières jamais; elles ont constamment été des moyens d'unir
les hommes; j'ai établi au commencement de mon discours
que la construction du canal est dans l'intérêt de l'humanité,
et ce qui est dans l'intérêt de l'humanité ne peut pas être
contraire aux intérêts de l'Angleterre. Le gouvernement actuel
s'est dit lui-même êlre grand partisan dè l'alliance française, et
il trouvera en parlant à son propre ambassadeur ou à quelque
Français intelligent, que cette affaire est d'une grande portée
dans l'alliance. La conduite du noble membre pour Tiverlon
(lord Palmerston) a excité l'attention générale de l'étranger, et
j'espère que le gouvernement actuel ne suivra pas l'exemple
de s'opposer étant au pouvoir à ce qu'il a soutenu lorsqu'il
appartenait à l'autre côté de la Chambre. Le Vice-roi d'E-
gypte, lorsque ce projet fut émis pour la première fois, prit
les mesures les plus impartiales pour s'assurer si les diffi-
cultés physiques étaient insurmontables ou non; il a nommé
une commission d'ingénieurs de France, d'Angleterre, de
Prusse, d'Autriche, d'Espagne, de Sardaigne, pour explorer
la route et faire un rapport .sur le projet, et le concours
de ces hommes éminepls, ne saurait être paralysé par le
simple ipse dixit d'un seul membre de la Chambre des Com-
munes aussi éminent qu'il soit. Le bon sens doit dire à tout
le monde que le percement du canal est dans l'intérêt de
l'humanité, et j'espère donc que la Chambre approuvera ma
résolution. L'honorable et savant gentlemen termine eri pro-
posant cette motion : « La Chambre est d'avis que le pouvoir
» et l'influence de ce pays ne doivent pas être employés pour
» Qbliger : le Sultan à retenir son assenlissement au projet
a du percement d'un canal à travers l'isthme de Suez, » ,
M. MIWEB GIBSON a appuyé la motion.
M. GRIFFITH dit : Je ne comprends pas comment il peut être
dans la politique de l'Angleterre d'entraver un projet qui faci-
literait le commerce du monde entier. Quant au fait, je suis
Irès-disposé à me.joindre aux paroles du noble lord membre
pour Tiverton. Personne ne peut être plus sensible aux dif-
ficultés physiques du projet. Je n'ai pas besoin de rappeler
à la Chambre comment l'année dernière un grand nombre
de gens en Angleterre tremblaient pour leurs amis et parents
dans l'Inde, et combien, à. l'arrivée des, nouvelles de l'insur-
rection , quand il fut résolu d'envoyer une armée, l'anxiété
publique était grande dans tout ,1e .royaume pour que ces
vaillants soldats, fussent transportés le plus vite possible sur
le théâtre de la guerre. Si à cette époque nous avions pu em-
barquer les troupes dans nos grands vapeurs pour les trans-
porter directement dans l'Inde, par la mer Rouge, sans l'inter-
ruption de l'isthme de Suez, combien n'aurait-on pas épar
jjné d'argoisses au pays, tandis qu'on aurait ôté à l'insur-
rection une grande partie de sps horreurs. La Chambre se
rappellera que peu de temps après l'arrrvêe de la nouvelle de
l'insurrection, il fut proposé d'envoyer nos troupes par la
route de l'Overland., et que le noble lord pour Tiverton objecta
à cette occasion l'extrême difficulté d'établir de bons moyens
de transport pour les. troupes de l'autre côté de l'isthme.
Ce fut sans doute une question grave; mais le noble lord,
quand il était à la tête du gouvernement, adopta ce même
mode de transport que dans la Chambre il avait soutenu être'
impraticable. Les difficultés ont été vaincues par la pratique,
et maintenant nous expédions régulièrement des troupes par
cette route. Il est incontestable que si nous l'avions fait de-
puis le commencement de la guerre, le peuple anglais aurait
été délivré de beaucoup d'angoisses, et qu'on aurait obtenu des
avantages incalculables. En effet, soit pour la guerre, soit
pour le commerce, il ne peut y avoir pour l'Angleterre de.
chose plus précieuse que la concession d'un canal à travers
l'isthme. Le noble lord (Palmerston), par quelque raison im-
pénétrable et tirée de loin, a pensé qu'un pareil projet com-
promettrait les intérêts de l'Inde; mais les objections du noble
lord sont tellement contraires à la raison, que je ne puis pas
réellement les com prendre. Le noble lord croit qu'un canal
de cette espèce produira une séparation entre l'Égypte et la
Turquie; mais je voudrais savoir comment c'est possible. Je
prétends qu'une grande entreprise industrielle de cette nature
ne peut jamais faire de tort à la Turquie.
- En passant à l'amendement que j'ai annoncé, je fais remar-
quer que, bien que le Pacha d'Égypte ait, eo nomine, aboli
l'esclavage dans son pays, il n'a pas défendu des corvées qui
sont de fait un esclavage. Pendant longtemps, les travaux pu-
blics en Egypte ont été exécutés par corvées, et à cet égard il
est important que la Chambre prenne garde de sanctionner
l'emploi de la force de la part d'un gouvernement despotique;
pour se procurer des travailleurs à un prix infime. J espère
que la Chambre prendra garde de sanctionner par inadver-
tance un système d'esclavage. Je demande la permission dé
proposer un amendement pour que, « de quelque manière que
la Chambre sanctionne la construction d'un tel canal, il est utile
que l'on veille à ce que le pouvoir despotique du gouvernement
égyptien ne puisse être employé par les promoteurs du projet
pour obtenir du fellah le travail nécessaire à un prix en de-
hors de toute proportion ; à l'aide de ces moyens coercilifs fami-
liers à ce gouvernement, de manière à produire les effets de
l'esclavage sous le nom de travail payé. » ; -
LORD HADDO. J'ai entendu avec surprise ces remarques défavoy
rables sur le gouvernement d'Égypte ; car je pense que, quelle
que soit l'opinion que l'on ait a l'égard du canal de Suez, il ne
peut y avoir de doute que le Vice-roi ait agi d'une manière
très-libérale et éclairée, et qu'il n ait montré une noble arn»
bition d'employer les ressources de son pays, non pas dans son
intérêt personnel, mais pour une œuvre qui a le mérite d'un
• grand avantage permanent et d'une extrême utilité publique.
Le souverain actuel de l'Égypte a sans doute fait plus pour
abolir l'esclavage dans son pays et pour améliorer la condition
de ses sujets que tout autre prince mahométan et même euro-
péen, pendant un égal espace de temps, et quoique nous en":
tendions souvent parler de l'influence française en Egypte,,
pourtant j'ose dire qu'envers aucun pays il n'a été donné plus
de preuves de bonne volonté et d'amitié de la part du gouver-
nement égyptien qu'envers l'Angleterre. J'ai 1 vu moi-même le
passage de deux régiments anglais à travers l'Egypte, se rendant
de Ffnde en Crimée. Ils furent retenus plusieurs semaines au
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