Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-03-10
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 10 mars 1858 10 mars 1858
Description : 1858/03/10 (A3,N42). 1858/03/10 (A3,N42).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203088z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
MERCREDI ]0 MARS. JOURNAL DE L'UNION DES DEUX MERS. 1J3
évacué, et l'on fut très-ébahi d'y voir tout à coup apparaître
notre pavillon.
Le fort Lyn étant justement placé devant la partie de la
muraille où on voulait donner l'assaut, on y passa la nuit
sans être sérieusement inquiété, bien que l'on n'ait cessé de
tirailler de part et d'autre jusqu'au jour.
Comme il venait des remparts bon nombre de flèches assez
incommodes, les amiraux envoyèrent aux canonniers pendant
la nuit l'ordre de continuer le bombardement jusqu'à neuf
heures de la matinée, en dirigeant tous les feux au nord de la
porte de l'Est. Le tir prit en effet le 29 au matin une grande
vivacité, tout en conservant une excellente direction. Vers
huit heures et demie on était prêt à donner l'assaut. Les Chi-
nois continuaient à tirer des remparts; mais quelques obus
lancés en arrière des parapets avec une remarquable justesse
par lescanonniers anglais à terre, et l'admirable précision dont
fit preuve un bataillon anglais déployé en tirailleurs, firent bien-
tôt disparaître toutes les tètes chinoises et même tous les Braves.
Les amiraux se décidèrent alors à précipiter l'attaque. Se cram-
ponnant aux herbes et aux branchages qui poussaient sur les
murs, quelques gabiers atteignirent le haut des remparts et
hissèrent des échelles de bambou. Le mur a environ trente
pieds de haut. Les premiers montés firent le coup de fusil à
distance avec quelques Chinois embusqués derrière des mai-
sons. Aucun de nos hommes n'eut à en souffrir, tandis qu'ils
tuaient presque à coup sûr tous les ennemis qu'on apercevait;
bientôt les nôtres n'eurent plus personne devant eux. Deux
ou trois cents Tartares accourus pour résister n'attendirent pas
nos coups pour fuir; et dès ce moment, sans avoir à brûler
une cartouche, au pas de course et en parcourant tous les
remparts de l'est, on se porta au nord de la ville, dont on se
trouva maître sans autre contestation.
Le fort Gough essayait toujours de tirer quelques boulets ;
mais il ne fit aucun mal, tandis que nos cannonniers, qui de-
vaient tirer jusqu'à neuf heures et qui ne pouvaient voir l'at-
taque, avaient un si bon tir qu'ils occasionnèrent de terribles
ravages.
Maîtres du sud de la ville, on ne tenta pas d'y descendre ;
car désormais on était réellement maître de tout. On n'eut
qu'à planter le pavillon sur le fort Gough qu'on trouvait aban-
donné de ses défenseurs, et qu'on fit sauter le 1er janvier, en
présence des ambassadeurs descendus à terre solennèllement
pour la première fois.
Mais je reviens à mon récit, et je le continue à partir du 29.
Le lendemain, 30 décembre, les généraux tartares ayant de-
mandé une entrevue, les amiraux allèrent les attendre pen-
dant une heure au lieu fixé, sur la muraille près de la porte
de l'Ouest; ils étaient suivis de 600 hommes. Les Tartares ne
venant pas, la colonne revint au quartier général, à City-Hill,
en faisant le tour complet des remparts et sans tirer un coup
de fusil, constatant ainsi notre irrésistible domination.
La ville semblait abandonnée, les incendies avaient fait de
grands vides; et une odeur fétide indiquait déjà que bien des
cadavres devaient attendre la sépulture. Les amiraux, ne rece-
vant aucune ouverture, auraient pu, s'ils l'eussent voulu, con-
sommer leur œuvre en anéantissant la ville entière; mais les
ambassadeurs pouvaient trouver qu'on l'avait déjà suffisam-
ment maltraitée. Ils avaient reçu une députation des principaux
marchands chinois, les fameux hou-qua. Ils s'interposèrent, et
la ville fut reçue à merci. Tout le côté attaqué autrefois par
le général Gough avait été disposé par les Chinois pour la dé-
fense en cas de nouvelle attaque; et ces pauvres Chinois, j'en
suis sûr, doivent se dire : « Voyez ces lâches de barbares, ils
» sont venus nous attaquer du côté le plus faible. » La pluie
qui survint força les.alliés à rester tranquilles pendant plusieurs
jours; enfin le 5 janvier, trois colonnes, dont une française,
entrèrent dans la ville par les portes de l'Est, de l'Ouest et
du Nord ; et sans brûler une seule cartouche, elles arrivèrent
au milieu de la ville. Yeh avait été vendu par quelques traîtres.
M. Parkes, ancien consul anglais à Canton, pénétra avec quel-
ques Anglais dans une maison, un couvent, je crois, où, après
avoir rencontré plusieurs Chinois qui en vue de sauver Yeh
essayaient de se donner pour lui, on trouva celui qu'on cher-
chait blotti dans un coin d'une petite chambre et très-peu ras-
suré. M. Parkes le reconnut, et on l'arrêta de suite. Pendant
ce temps, on arrêtait aussi aisément deux généraux tartares,
Peh-Kwe, le gouverneur de la ville, les membres du tribunal
et les bonzes influents. Les Anglais vidèrent les coffres du tré-
sor public, renfermant quelques millions de francs; puis tout
le monde, évacuant la - ville, ramena les prisonniers sans en-
combre au quartier général. On avait enlevé les archives chez
,Yeh, et on y trouva beaucoup de pièces intéressantes et cu-
rieuses, entre autres le traité de M. Lagrenée tout couvert de
toiles d'araignée. Quand Yeh vit qu'on ne le tuait pas, il reprit
de l'assurance, dit qu'on lui manquait d'égards, qu'il n'était
pas convenable de le faire surveiller par des factionnaires, de
l'emmener de chez lui, etc., etc.; et quand il vit enlever
ses archives : « Mais comment alors gouvernerai-je mon peu-
n pie, dit-il, si vous enlevez cela? » — Cette comédie continue
encore, et je présume qu'on pourrait même se demander si
elle n'est pas commencée depuis bien longtemps; car il faut que
ce pauvre homme soit fou, ou du moins il est par trop Chinois.
Jugez-en. On lui annonça qu'on allait le mener à bord. « Je
a n'ai pas besoin d'y aller, dit-il; il faut que je reste à terre
» pour gouverner; que les amiraux aillent à bord, c'est leur
n place à eux. » On le conduisit néanmoins à bord de l'In-
flexible. « Après tout, répliqua-t-il, je ne suis pas fâché d'al-
» 1er sur un navire anglais , je n'en ai jamais vu. 11 Arrivé à
bord, la vue des canons le troubla quelque peu. Il fit appeler
le comprador, et lui dit de s'informer si on allait le tuer; on lui
fit réponse que nous n'étions pas des barbares. et que nous
traitions très-bien nos prisonniers. L'assurance d'avoir la vie
sauve augmenta sur-le-champ sonJnsolence. a C'est sin gu lier,
» disait-il, j'avais donné un rendez-vous à lord Elgin; j'y
» étais venu pour cela, voilà déjà deux jours que je l'attends,
» et il ne vient pas. n
L'Inflexible a porté ce pauvre Vice-roi à Bocca Tigris , et
le steamer y est mouillé entre deux vaisseaux anglais; on va,
dit-on, conduire Yeh à Hong-kong.
Les autorités de la ville étant entre nos mains, la période
des hostilités était naturellement terminée; il fallait maintenant
administrer et établir régulièrement l'occupation. On ne
pouvait songer à appliquer notre système européen; il fallait
donc trouver des Chinois d'un rang assez élevé pour tenir
habilement les rênes du gouvernement sous notre surveillance.
On proposa à l'ancien gouverneur Peh-Kwe et à Mong, le
général tartare, de continuer à administrer la ville et d'y
maintenir l'ordre, en restant d'ailleurs sous notre dépendance,
jusqu'à ce que nous puissions remettre la ville à l'empereur
de Chine, auquel nous voulions la conserver. Ils refusèrent
d'abord et leur refus eût pu nous embarrasser beaucoup; mais
enfin ils se décidèrent à accepter.
La cérémonie d'investiture a eu lieu le 9 au palais de Peh-
Kwe. Les ambassadeurs s'y sont rendus en grande pompe,
avec un cortège et des troupes nombreuses ; puis on y a
amené Peh-Kwei, maintenu prisonnier jusqu'alors. On avait
fixé des places pour chacun d'eux. Mais la susceptibilité chi-
noise souleva dès le début une grave question d'étiquette ; Peh-
évacué, et l'on fut très-ébahi d'y voir tout à coup apparaître
notre pavillon.
Le fort Lyn étant justement placé devant la partie de la
muraille où on voulait donner l'assaut, on y passa la nuit
sans être sérieusement inquiété, bien que l'on n'ait cessé de
tirailler de part et d'autre jusqu'au jour.
Comme il venait des remparts bon nombre de flèches assez
incommodes, les amiraux envoyèrent aux canonniers pendant
la nuit l'ordre de continuer le bombardement jusqu'à neuf
heures de la matinée, en dirigeant tous les feux au nord de la
porte de l'Est. Le tir prit en effet le 29 au matin une grande
vivacité, tout en conservant une excellente direction. Vers
huit heures et demie on était prêt à donner l'assaut. Les Chi-
nois continuaient à tirer des remparts; mais quelques obus
lancés en arrière des parapets avec une remarquable justesse
par lescanonniers anglais à terre, et l'admirable précision dont
fit preuve un bataillon anglais déployé en tirailleurs, firent bien-
tôt disparaître toutes les tètes chinoises et même tous les Braves.
Les amiraux se décidèrent alors à précipiter l'attaque. Se cram-
ponnant aux herbes et aux branchages qui poussaient sur les
murs, quelques gabiers atteignirent le haut des remparts et
hissèrent des échelles de bambou. Le mur a environ trente
pieds de haut. Les premiers montés firent le coup de fusil à
distance avec quelques Chinois embusqués derrière des mai-
sons. Aucun de nos hommes n'eut à en souffrir, tandis qu'ils
tuaient presque à coup sûr tous les ennemis qu'on apercevait;
bientôt les nôtres n'eurent plus personne devant eux. Deux
ou trois cents Tartares accourus pour résister n'attendirent pas
nos coups pour fuir; et dès ce moment, sans avoir à brûler
une cartouche, au pas de course et en parcourant tous les
remparts de l'est, on se porta au nord de la ville, dont on se
trouva maître sans autre contestation.
Le fort Gough essayait toujours de tirer quelques boulets ;
mais il ne fit aucun mal, tandis que nos cannonniers, qui de-
vaient tirer jusqu'à neuf heures et qui ne pouvaient voir l'at-
taque, avaient un si bon tir qu'ils occasionnèrent de terribles
ravages.
Maîtres du sud de la ville, on ne tenta pas d'y descendre ;
car désormais on était réellement maître de tout. On n'eut
qu'à planter le pavillon sur le fort Gough qu'on trouvait aban-
donné de ses défenseurs, et qu'on fit sauter le 1er janvier, en
présence des ambassadeurs descendus à terre solennèllement
pour la première fois.
Mais je reviens à mon récit, et je le continue à partir du 29.
Le lendemain, 30 décembre, les généraux tartares ayant de-
mandé une entrevue, les amiraux allèrent les attendre pen-
dant une heure au lieu fixé, sur la muraille près de la porte
de l'Ouest; ils étaient suivis de 600 hommes. Les Tartares ne
venant pas, la colonne revint au quartier général, à City-Hill,
en faisant le tour complet des remparts et sans tirer un coup
de fusil, constatant ainsi notre irrésistible domination.
La ville semblait abandonnée, les incendies avaient fait de
grands vides; et une odeur fétide indiquait déjà que bien des
cadavres devaient attendre la sépulture. Les amiraux, ne rece-
vant aucune ouverture, auraient pu, s'ils l'eussent voulu, con-
sommer leur œuvre en anéantissant la ville entière; mais les
ambassadeurs pouvaient trouver qu'on l'avait déjà suffisam-
ment maltraitée. Ils avaient reçu une députation des principaux
marchands chinois, les fameux hou-qua. Ils s'interposèrent, et
la ville fut reçue à merci. Tout le côté attaqué autrefois par
le général Gough avait été disposé par les Chinois pour la dé-
fense en cas de nouvelle attaque; et ces pauvres Chinois, j'en
suis sûr, doivent se dire : « Voyez ces lâches de barbares, ils
» sont venus nous attaquer du côté le plus faible. » La pluie
qui survint força les.alliés à rester tranquilles pendant plusieurs
jours; enfin le 5 janvier, trois colonnes, dont une française,
entrèrent dans la ville par les portes de l'Est, de l'Ouest et
du Nord ; et sans brûler une seule cartouche, elles arrivèrent
au milieu de la ville. Yeh avait été vendu par quelques traîtres.
M. Parkes, ancien consul anglais à Canton, pénétra avec quel-
ques Anglais dans une maison, un couvent, je crois, où, après
avoir rencontré plusieurs Chinois qui en vue de sauver Yeh
essayaient de se donner pour lui, on trouva celui qu'on cher-
chait blotti dans un coin d'une petite chambre et très-peu ras-
suré. M. Parkes le reconnut, et on l'arrêta de suite. Pendant
ce temps, on arrêtait aussi aisément deux généraux tartares,
Peh-Kwe, le gouverneur de la ville, les membres du tribunal
et les bonzes influents. Les Anglais vidèrent les coffres du tré-
sor public, renfermant quelques millions de francs; puis tout
le monde, évacuant la - ville, ramena les prisonniers sans en-
combre au quartier général. On avait enlevé les archives chez
,Yeh, et on y trouva beaucoup de pièces intéressantes et cu-
rieuses, entre autres le traité de M. Lagrenée tout couvert de
toiles d'araignée. Quand Yeh vit qu'on ne le tuait pas, il reprit
de l'assurance, dit qu'on lui manquait d'égards, qu'il n'était
pas convenable de le faire surveiller par des factionnaires, de
l'emmener de chez lui, etc., etc.; et quand il vit enlever
ses archives : « Mais comment alors gouvernerai-je mon peu-
n pie, dit-il, si vous enlevez cela? » — Cette comédie continue
encore, et je présume qu'on pourrait même se demander si
elle n'est pas commencée depuis bien longtemps; car il faut que
ce pauvre homme soit fou, ou du moins il est par trop Chinois.
Jugez-en. On lui annonça qu'on allait le mener à bord. « Je
a n'ai pas besoin d'y aller, dit-il; il faut que je reste à terre
» pour gouverner; que les amiraux aillent à bord, c'est leur
n place à eux. » On le conduisit néanmoins à bord de l'In-
flexible. « Après tout, répliqua-t-il, je ne suis pas fâché d'al-
» 1er sur un navire anglais , je n'en ai jamais vu. 11 Arrivé à
bord, la vue des canons le troubla quelque peu. Il fit appeler
le comprador, et lui dit de s'informer si on allait le tuer; on lui
fit réponse que nous n'étions pas des barbares. et que nous
traitions très-bien nos prisonniers. L'assurance d'avoir la vie
sauve augmenta sur-le-champ sonJnsolence. a C'est sin gu lier,
» disait-il, j'avais donné un rendez-vous à lord Elgin; j'y
» étais venu pour cela, voilà déjà deux jours que je l'attends,
» et il ne vient pas. n
L'Inflexible a porté ce pauvre Vice-roi à Bocca Tigris , et
le steamer y est mouillé entre deux vaisseaux anglais; on va,
dit-on, conduire Yeh à Hong-kong.
Les autorités de la ville étant entre nos mains, la période
des hostilités était naturellement terminée; il fallait maintenant
administrer et établir régulièrement l'occupation. On ne
pouvait songer à appliquer notre système européen; il fallait
donc trouver des Chinois d'un rang assez élevé pour tenir
habilement les rênes du gouvernement sous notre surveillance.
On proposa à l'ancien gouverneur Peh-Kwe et à Mong, le
général tartare, de continuer à administrer la ville et d'y
maintenir l'ordre, en restant d'ailleurs sous notre dépendance,
jusqu'à ce que nous puissions remettre la ville à l'empereur
de Chine, auquel nous voulions la conserver. Ils refusèrent
d'abord et leur refus eût pu nous embarrasser beaucoup; mais
enfin ils se décidèrent à accepter.
La cérémonie d'investiture a eu lieu le 9 au palais de Peh-
Kwe. Les ambassadeurs s'y sont rendus en grande pompe,
avec un cortège et des troupes nombreuses ; puis on y a
amené Peh-Kwei, maintenu prisonnier jusqu'alors. On avait
fixé des places pour chacun d'eux. Mais la susceptibilité chi-
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