Titre : L'Isthme de Suez : journal de l'union des deux mers / gérant Ernest Desplaces
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1858-01-25
Contributeur : Desplaces, Ernest (1828-1893?). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430392j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4673 Nombre total de vues : 4673
Description : 25 janvier 1858 25 janvier 1858
Description : 1858/01/25 (A3,N39). 1858/01/25 (A3,N39).
Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient Collection numérique : Bibliothèques d'Orient
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Description : Collection numérique : Corpus : canaux, écluses,... Collection numérique : Corpus : canaux, écluses, navigation intérieure
Description : Collection numérique : Corpus : ports et travaux... Collection numérique : Corpus : ports et travaux maritimes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6203085q
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-O3b-240
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
LUNDI 25 Ji\NVIER, JOURNAL -DE L'UNION DES DEUX MERS. 55
son fondateur : un cœur trop peu énergique pour avoir fait
beaucoup de mal, un esprit trop rétrograde pour avoir fait
aucun bien. Abbas-Pacha était faible toutefois dans ses rap-
ports avec les puissances européennes, et ce fut un bonheur
pour l'Egypte, car les représentants de ces puissances tinrent
constamment en échec son hostilité sourde contre la civilisa-
tion occidentale. Tutelle utile quand elle s'exerce sur un prince
tel qu'Abbas-Pacha, mais qui devient tracassière et funeste
quand elle prétend intervenir dans l'administration d'un sou-
verain actif, éclairé et animé. d'intentions libérales et géné-
.reuses comme le Vice-roi aujourd'hui régnant.
Mohammed-Saïd, le-successeur d'Abbas-Pacha, est né en
1822, neuf ans après Abbas, son neveu. Ce prince a été
élevé en Egypte vpar des professeurs français. Un orientaliste
distingué, qui n'a jamais quitté son élève et qui est devenu
son secrétaire des commandements, M. Kœnig, a le mérite
de l'avoir non-seulement instruit dans toutes les branches de
connaissances qui convenaient à son rang, mais d'avoir encore
développé en lui le goût de la civilisation européenne et les
sentiments élevés dont il a fait preuve depuis son avènement.
A l'époque où M. Kœnig a pris la direction des études du jeune
prince, le libéralisme triomphait déjà en Europe. Ce mot, fort
élastique, sans doute, qui a couvert la simple conspiration,
nous l'entendons dans un sens beaucoup plus large. A notre
avis, l'homme vraiment libéral n'est pas celui qui professe
certaines doctrines politiques, mais celui qui (c ayant le vrai
sentiment de la dignité humaine, porte ce sentiment dans tous
ses actes et en fait la règle de ses rapports avec tous ceux de
son espèce, dans quelque rang que le hasard les ait placés. »
L'Europe occidentale est libérale. Mais le libéralisme est
surtout acquis à notre nation, la première par la vivacité de
l'intelligence; il est admis parmi nous comme ces principes
qu'on ne discute pas, à moins de rechercher le paradoxe.
L'enfant y est initié par tout ce qui l'entoure; il grandit et
s'instruit au sein d'une atmosphère de libéralisme, si bien
qu'il s'en pénètre naturellement.
Mais en Orient, le cours des idées est tout différent. Il faut
avoir des facultés peu communes pour parvenir, même avec
les meilleures leçons, à s'élever au-dessus du niveau général
des principes admis dans cette société fataliste, organisée pour
l'immobilité et soumise pendant si longtemps à la tyrannie la
plus dégradante. Par cela seul qu'un souverain de l'Orient se
montre imbu de principes libéraux, il fait preuve d'une grande
supériorité d'esprit. Sous ce rapport, Mohammed-Saïd ne le
cède à aucun prince de l'Europe. En trois années de règne, il
a déjà fait plus que tous ses prédécesseurs, sans exception,
pour rémancipation de ses sujets et pour la civilisation de
l'Égypte: non pas cette civilisation superficielle qui consiste
dans la transplantation d'institutions exotiques et incomprises
par la grande masse de la population, mais dans une amélio-
ration profonde de la condition du peuple!
Méhémet-Ali destinait son fils Saïd à la marine. L'éducation
de ce jeune prince comprit donc non-seulement les connais-
sances générales et l'étude des langues, mais aussi les mathé-
matiques et la navigation , qui lui furent enseignés par le
capitaine de vaisseau Houssard. En 1838, un écrivain qui ne
pouvait pas prévoir que Mohammed-Saïd régnerait jamais
sur l'Egypte et opérerait dès le début de son règne des réfor-
mes qui constituent une véritable révolution pacifique accom-
plie par le souverain au profit des sujets, disait en parlant
de ce prince: tc Son éducation s'est faite en mer, destiné qu'il
» est, depuis l'origine, au commandement naval. Ce jeune
J) homme a développé de bonne heure une aptitude singu-
JI lière. Entouré à son bord d'enfants de son âge, tous pris
Il dans la classe du peuple, nourri et élevé comme eux, il
» rappelle sous un rapport le jeune Sésostris, à qui son père
» avait donné pour condisciples des Égyptiens de tout rang,
» nés le même jour que lui, et qui furent pendant toutes ses
» expéditions vaillants et fidèles. »
Mohammed-Saïd n'a pas eu le même avantage que l'illustre
souverain à qui M. Mongin le comparait. Ce qu'il y a de plus
sensible en Egypte, c'est l'insuffisance du nombre des hom-
mes assez éclairés et assez intelligents pour seconder un
prince tel que lui. Déjà Méhémet-Ali avait "feu plus d'une occa-
sion de regretter ce défaut de concours, provenant chez les
uns d'un esprit de résistance au moins passive à toute espèce
de réforme, chez les autres du manque de capacité. Moham-
med-Saïd, à part quelques exceptions remarquables, est'à
peine mieux partagé, et il est obligé, comme son père, non-
seulement de concevoir, mais d'exécuter presque seul le bien
qu'il veut faire. Qtfant aux princes, ils n'ont fait que passer
à divers intervalles dans l'administration du pays. Ce' qu'on
sait, à n'en pas douter, c'est qu'il n'y a qu'une opinion sur
les éminentes facultés d'Achmet-Pacha, le successeur désigné
de Mohammed-Saïd. Ce prince, par des motifs probablement
fort respectables, persiste à se tenir à l'écart; mais il pour-
rait porter avec honneur une partie du fardeau de l'empire.
Il en résulte que Mohammed gouverne seul ou peu s'en faut.
Aussi le verrait-on peut-être succomber à la tâche si son acti-
vité, extraordinaire d'ailleurs, n'avait une rare perspicacité
et une grande promptitude de résolution.
Tous les matins, Mobammed-Saïd travaille avec ses secré-
taires; il lit tous les rapports, tous les documents, tous les
placets qu'on lui adresse. Lorsque la lecture d'une pièce est
achevée, le Vice-roi prend une décision et indique le sens de
la réponse à faire. Dans la journée même cette réponse doit
être préparée. Le soir on en lit le projet au Pacha. Il lui arrive
souvent de modifier le travail, quand la pensée n'a pas été
exactement rendue. La plupart du temps, il donne son appro-
bation et appose son cachet.
Son activité physique est aussi grande que l'activité de son
esprit. On l'a vu tout récemment se transporter de sa per-
sonne dans le Soudan pour y réformer le gouvernement du
pays. Nous aurons occasion de revenir sur ce voyage et d'en
faire connaître les résultats. Ce que nous voulons dire ici,
c'est que le Vice-roi supporte avec plus de facilité et de bonne
humeur que personne les exercices du corps, la fatigue et les
privations, au moins relatives, qui ne peuvent manquer de
se faire sentir dans une longue excursion à travers le désert.
A chaque instant il fait preuve de cette insouciance que donne
la conscience d'une santé robuste et d'une constitution à l'é-
preuve. Soit qu'il navigue sur le Nil, soit qu'il monte à che-
val, le Vice-roi est toujours, au milieu des personnes de son
entourage, celui qui s'aperçoit le moins de la chaleur, de la
fraîcheur, de l'humidité ou de tout autre accident naturel.
Quand il arriva au pouvoir, Saïd-Pacha trouva l'œuvre de
civilisation commencée par son père fort compromise et en
pleine décadence. Il dut la reprendre en sous-œuvre. Les
temps, d'ailleurs, étaient changés. Il ne s'agissait plus de
conquérir un royaume, de fonder une dynastie, mais de con-
tinuer une grande réforme intérieure. Son attention se porta
d'abord sur l'organisation administrative établie par Méhémet-
Aii. Mohammed-Saïd fit mieux. Sans modifier essentiellement
les attributions des fonctionnaires, il s'appliqua à les empê-
cher d'en faire un mauvais usage. Certes, beaucoup d'abus
subsistent en Egypte, mais beaucoup aussi ont été réformés.
La pensée qui a dicté ces modifications a été de mettre, autant
que possible, le gouvernement suprême, c'est-à-dire le sou-
son fondateur : un cœur trop peu énergique pour avoir fait
beaucoup de mal, un esprit trop rétrograde pour avoir fait
aucun bien. Abbas-Pacha était faible toutefois dans ses rap-
ports avec les puissances européennes, et ce fut un bonheur
pour l'Egypte, car les représentants de ces puissances tinrent
constamment en échec son hostilité sourde contre la civilisa-
tion occidentale. Tutelle utile quand elle s'exerce sur un prince
tel qu'Abbas-Pacha, mais qui devient tracassière et funeste
quand elle prétend intervenir dans l'administration d'un sou-
verain actif, éclairé et animé. d'intentions libérales et géné-
.reuses comme le Vice-roi aujourd'hui régnant.
Mohammed-Saïd, le-successeur d'Abbas-Pacha, est né en
1822, neuf ans après Abbas, son neveu. Ce prince a été
élevé en Egypte vpar des professeurs français. Un orientaliste
distingué, qui n'a jamais quitté son élève et qui est devenu
son secrétaire des commandements, M. Kœnig, a le mérite
de l'avoir non-seulement instruit dans toutes les branches de
connaissances qui convenaient à son rang, mais d'avoir encore
développé en lui le goût de la civilisation européenne et les
sentiments élevés dont il a fait preuve depuis son avènement.
A l'époque où M. Kœnig a pris la direction des études du jeune
prince, le libéralisme triomphait déjà en Europe. Ce mot, fort
élastique, sans doute, qui a couvert la simple conspiration,
nous l'entendons dans un sens beaucoup plus large. A notre
avis, l'homme vraiment libéral n'est pas celui qui professe
certaines doctrines politiques, mais celui qui (c ayant le vrai
sentiment de la dignité humaine, porte ce sentiment dans tous
ses actes et en fait la règle de ses rapports avec tous ceux de
son espèce, dans quelque rang que le hasard les ait placés. »
L'Europe occidentale est libérale. Mais le libéralisme est
surtout acquis à notre nation, la première par la vivacité de
l'intelligence; il est admis parmi nous comme ces principes
qu'on ne discute pas, à moins de rechercher le paradoxe.
L'enfant y est initié par tout ce qui l'entoure; il grandit et
s'instruit au sein d'une atmosphère de libéralisme, si bien
qu'il s'en pénètre naturellement.
Mais en Orient, le cours des idées est tout différent. Il faut
avoir des facultés peu communes pour parvenir, même avec
les meilleures leçons, à s'élever au-dessus du niveau général
des principes admis dans cette société fataliste, organisée pour
l'immobilité et soumise pendant si longtemps à la tyrannie la
plus dégradante. Par cela seul qu'un souverain de l'Orient se
montre imbu de principes libéraux, il fait preuve d'une grande
supériorité d'esprit. Sous ce rapport, Mohammed-Saïd ne le
cède à aucun prince de l'Europe. En trois années de règne, il
a déjà fait plus que tous ses prédécesseurs, sans exception,
pour rémancipation de ses sujets et pour la civilisation de
l'Égypte: non pas cette civilisation superficielle qui consiste
dans la transplantation d'institutions exotiques et incomprises
par la grande masse de la population, mais dans une amélio-
ration profonde de la condition du peuple!
Méhémet-Ali destinait son fils Saïd à la marine. L'éducation
de ce jeune prince comprit donc non-seulement les connais-
sances générales et l'étude des langues, mais aussi les mathé-
matiques et la navigation , qui lui furent enseignés par le
capitaine de vaisseau Houssard. En 1838, un écrivain qui ne
pouvait pas prévoir que Mohammed-Saïd régnerait jamais
sur l'Egypte et opérerait dès le début de son règne des réfor-
mes qui constituent une véritable révolution pacifique accom-
plie par le souverain au profit des sujets, disait en parlant
de ce prince: tc Son éducation s'est faite en mer, destiné qu'il
» est, depuis l'origine, au commandement naval. Ce jeune
J) homme a développé de bonne heure une aptitude singu-
JI lière. Entouré à son bord d'enfants de son âge, tous pris
Il dans la classe du peuple, nourri et élevé comme eux, il
» rappelle sous un rapport le jeune Sésostris, à qui son père
» avait donné pour condisciples des Égyptiens de tout rang,
» nés le même jour que lui, et qui furent pendant toutes ses
» expéditions vaillants et fidèles. »
Mohammed-Saïd n'a pas eu le même avantage que l'illustre
souverain à qui M. Mongin le comparait. Ce qu'il y a de plus
sensible en Egypte, c'est l'insuffisance du nombre des hom-
mes assez éclairés et assez intelligents pour seconder un
prince tel que lui. Déjà Méhémet-Ali avait "feu plus d'une occa-
sion de regretter ce défaut de concours, provenant chez les
uns d'un esprit de résistance au moins passive à toute espèce
de réforme, chez les autres du manque de capacité. Moham-
med-Saïd, à part quelques exceptions remarquables, est'à
peine mieux partagé, et il est obligé, comme son père, non-
seulement de concevoir, mais d'exécuter presque seul le bien
qu'il veut faire. Qtfant aux princes, ils n'ont fait que passer
à divers intervalles dans l'administration du pays. Ce' qu'on
sait, à n'en pas douter, c'est qu'il n'y a qu'une opinion sur
les éminentes facultés d'Achmet-Pacha, le successeur désigné
de Mohammed-Saïd. Ce prince, par des motifs probablement
fort respectables, persiste à se tenir à l'écart; mais il pour-
rait porter avec honneur une partie du fardeau de l'empire.
Il en résulte que Mohammed gouverne seul ou peu s'en faut.
Aussi le verrait-on peut-être succomber à la tâche si son acti-
vité, extraordinaire d'ailleurs, n'avait une rare perspicacité
et une grande promptitude de résolution.
Tous les matins, Mobammed-Saïd travaille avec ses secré-
taires; il lit tous les rapports, tous les documents, tous les
placets qu'on lui adresse. Lorsque la lecture d'une pièce est
achevée, le Vice-roi prend une décision et indique le sens de
la réponse à faire. Dans la journée même cette réponse doit
être préparée. Le soir on en lit le projet au Pacha. Il lui arrive
souvent de modifier le travail, quand la pensée n'a pas été
exactement rendue. La plupart du temps, il donne son appro-
bation et appose son cachet.
Son activité physique est aussi grande que l'activité de son
esprit. On l'a vu tout récemment se transporter de sa per-
sonne dans le Soudan pour y réformer le gouvernement du
pays. Nous aurons occasion de revenir sur ce voyage et d'en
faire connaître les résultats. Ce que nous voulons dire ici,
c'est que le Vice-roi supporte avec plus de facilité et de bonne
humeur que personne les exercices du corps, la fatigue et les
privations, au moins relatives, qui ne peuvent manquer de
se faire sentir dans une longue excursion à travers le désert.
A chaque instant il fait preuve de cette insouciance que donne
la conscience d'une santé robuste et d'une constitution à l'é-
preuve. Soit qu'il navigue sur le Nil, soit qu'il monte à che-
val, le Vice-roi est toujours, au milieu des personnes de son
entourage, celui qui s'aperçoit le moins de la chaleur, de la
fraîcheur, de l'humidité ou de tout autre accident naturel.
Quand il arriva au pouvoir, Saïd-Pacha trouva l'œuvre de
civilisation commencée par son père fort compromise et en
pleine décadence. Il dut la reprendre en sous-œuvre. Les
temps, d'ailleurs, étaient changés. Il ne s'agissait plus de
conquérir un royaume, de fonder une dynastie, mais de con-
tinuer une grande réforme intérieure. Son attention se porta
d'abord sur l'organisation administrative établie par Méhémet-
Aii. Mohammed-Saïd fit mieux. Sans modifier essentiellement
les attributions des fonctionnaires, il s'appliqua à les empê-
cher d'en faire un mauvais usage. Certes, beaucoup d'abus
subsistent en Egypte, mais beaucoup aussi ont été réformés.
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