Presse et revues
4 pages
Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1858-02-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 février 1858 01 février 1858
Description : 1858/02/01 (T4,N2)-1858/02/28. 1858/02/01 (T4,N2)-1858/02/28.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5665765d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
21. NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. —FEVRIER 1858. 22
TRAVAUX DE L'ÉTRANGER.
Boute de Beyroutb à Damas.
Le gouvernement ottoman a conclu un traité avec un ancien lieute-
nant de vaisseau de la marine française, établi à Beyrouth depuis plu-
sieurs années, pour l'établissement d'une route carrossable de cette
yille à Damas, avec embranchements sur différents points tels que Zahlé
et la Bekaa.
Aux termes de ce traité, le concessionnaire s'est chargé d'exécuter à ,
ses frais tous les travaux nécessaires, moyennant la concession, de la
part de la Porte, du privilège exclusif de l'exploitation de cette nou-
velle voie de communication pendant le laps de cinquante années. Il
s'engage, en outre, à transporter par voitures les voyageurs et les
marchandises aux prix déterminés dans le cahier des charges; et ces
prix, inférieurs d'environ 30 p. 100 à ceux qui se payent aujourd'hui,
sont des maxima que le concessionnaire .s'oblige à ne dépasser en au-
cun cas.
Il est question également de la.construction.d'un port à Beyrouth.
Une compagnie anglaise se chargerait, dit-on, de son exécution.
'Percement de l'isthme de Panama.
Le gouvernement des États-Unis a résolu d'envoyer dans la province
du Darien, une expédition chargée de vérifier les études déjà faites
relativement au percement de cet isthme, et de commencer de nouveaux
travaux pour décider s'il est possible d'ouvrir un canal qui, unissant
les eaux de l'Atlantique et du Pacifique, puisse donner passage aux
navires qui se dirigent de l'un de ces océans dans l'autre.
NOTE^ET DOCUMENTS.
Blanchisserie économique
De M. HUGUENY, propriétaire à Saint-Dié.(Vosges).
PL. 9 ET 10.
L'extension que prennent tous les jours dans les villes les établisse-
ments d'utilité générale tels que distributions d'eau et de gaz, bains et
lavoirs publics économiques, abattoirs, halles et marchés couverts, et
l'intérêt qui s'attache en. France aux petites industries pour lesquelles
il faut de moindres capitaux, nous a fait penser que l'on verrait avec
plaisir le croquis coté et annoté d'un établissement de ce genre.
La planche 9-10 représente l'élévation générale, la coupe et les prin-
cipaux détails du bâtiment.
La blanchisserie est située au bord d'une dérivation de la Meurthe.
Elle a 60m.09 de longueur totale sur 21°>.70 de largeur, et com-
prend une grande cour clôturée de 45 mètres sur 16 mètres.
Le prix total de l'immeuble n'étant que de 14,000 francs, grâce à
l'extrême bon marché des bois qu'on va prendre dans les prairies ou
dans les forêts de sapins voisines > le mètre quarré de surface couverte,
ne revient qu'à 11 fr. environ.
Le matériel est composé de 2 chaudières, pour blanchiment de toiles,
fils, etc.; 6 bacs à laver, 1 calandre pour lustrer les toiles, 1 machine à
apprêter, 1 séchoir pour toiles, 1 séchoir pour fils.
Le personnel est formé par un inspecteur et une douzaine d'ouvriers.
En résumé, dans toutes les localités où les bois seront à bon compte,
et la main-d'oeuvre à un prix peu élevé, on pourra construire et ou-
tiller des établissements semblables, dont la création sera toujours un
bienfait d'économie et d'hygiène publique.
C.-A. OPPERMANN.
-■ ' Saint-Dié, le 1" septembre 1853.
Expériences sur la résistance des fers forgés
Par M. FERVEL, commandant du Gé.uie militaire à Meaux.
PL. 11.
L'inégalité de la résistance des fers de diverses provenances, et l'in-
certitude des coefficients théoriques rendent utiles les essais directs faits
sur la matière avant l'exécution de tous les travaux qui exigent un cer-
tain soin.
L'appareil le plus simple que l'on- puisse employer à cet effet, est
celui qui a été construit par M. TIMBERINCK, directeur des ateliers de
Montigny-lès-Metz, pour ses intéressantes recherches sur les propriétés
de l'acier fondu. (Voir le-Portefeuille économique des Machines, au. mois
de marsS-857.)
Cet appareil (PI. 2, fig. 1 et 2) consiste essentiellement en un fort
levier droit en fer forgé, dans lequel le rapport des deux bras, mesuré
entre les arêtes vives des couteaux fixes et des couteaux extrêmes est
de là 20. ,
Les échantillons à essayer ont été pris dans des barres de diverses
grosseurs, puis amenés aux diamètres voulus sur le tour, par un mou-
vement assez lent, afin d'altérer le moins possible l'état atonique du
métal.
Un certain nombre d'entre eux ont été achevés à la lime.
Les deux talons extrêmes ont été rapportés par une soudure faite
avec soin, de manière à ne pas influer, par un refoulement trop pro-
longé, sur l'état moléculaire du milieu de la tige à mettre en expé-
rience.
Cela étant, les échantillons, convenablement préparés et numérotés,
furent saisis par les deux chapes supérieure et inférieure, adaptées à
l'extrémité du petit bras du levier, et l'on chargea graduellement et avec
précaution le plateau suspendu à l'autre extrémité, en observant d'abord
la charge à laquelle correspondait le commencement de l'allongement,
puis la charge de rupture, et enfin l'allongement total correspondant.
L'équation des moments qui sert à calculer les charges réelles sup-
portées par la section de la tige mise en expérience est la suivante :
dans laquelle .
X est la charge réelle supportée par la section de l'échantillon ;
x la distance du centre de gravité de cette section an plan vertical des couteaux
= 0m..10;
" p le poids de la chape supérieure qui tient l'échantillon, et delà partie supérieure
de l'échantillon lui-même, somme =3k.70;
p' , le poids du petit bras du levier =3 kilogrammes;
%' . la distance du centre de gravité du petit bras à l'axe" des couteaux fixes
= 0=.05;
P .le poids mis dans le plateau extrême;
y la distance du point d'application de ce poids au plan vertical des couteaux
fixes = 2°.0O;
P' le poids du plateau et de sa chape =9k.50 5
■ P" le poids du grand bras du levier = 85 kilogrammes.
y la distance du centre de gravité de ce bras au plan vertical des couteaux
= 0m.70.
En introduisant ces chiffres dans l'équation, et en ^simplifiant le
plus possible ; elle devient :
Substituant maintenant à P les valeurs trouvées dans seize expé-
riences successives, on trouve les valeurs correspondantes de la charge
réelle, pour toute la section de l'échantillon.
En divisant par la surface de cette section dans chaque cas, on trouve
la charge supportée par millimètre quaTré.
Tableau des 16 expériences.
POIDS P ,„•
™#.<» BIAMETRE didsmt mua g
NUMEROS * Dar . S
et ALLONGEMENT, la rupture rf
d'oraie- . . à l'extrémité mm™'etre :g
DESIGNATION DES PIECES. . a i extrémité |
- . du levier. * • ■ " o ■
millim. - kilog. kilog.
Fer rond de 8 millim. de diamètre, ■'■'''.
< ) tiré d'une barre de 15 millim., ( ot KR ... .„ ' N\
1 de Dupont et Dreyfus (Àrs^( a' 5 bb * 1' 46 - W
' sur-Moselle) ■. . . .
2 8 millimètres. o 20 N 27.60 ■ (2)
3 8 millimètres. . . . 15 69 46.66
4 8 millimètres. .......... 12 79 50.06
Fer rond de ll""^, tiré d'une}
5 \ barre ronde de 39 militai. ( Du- \ 25 169 43.33 (3)
pontet Dreyfus). •'
6 li"»».3 » 162 41.93
«. 7 ll-"^ » 159 41.33
8 11=»».3 » Î45 38.53 (.4)
Q' Fer rond de 8 millim. tiré d'une Y7 „„ ,..,„ y.,
9 barre de 15 millim. ...... .) 1T 86 53^° W)
10 8 millimètres. 20 89 54.60
■ .< Fer rond de 11""".3 de diamètre, se „,•'■ ,, CA
11 tiré d'une barre de 39 millim. - 17à .44.50
12 ll».3.. 32 r90 47.50
ld mètre, pris au magasin. . . dd dis 54.30
14 14 millimètres.. . . ....... 30 302 53.25
15 Hmitlimèlres 30 291 44.30
Î6 14 millimètres 32 305 48.22
. (1). L'allongement commence à la charge de 20 kilogrammes. A l'endroit de la rupture, on
remarque'une paillette noire.
(2) Rupture immédiate. La moitié.de la section est cristallisée à gros grains. .
(3) Grand allongement. .
' . (4) Rupture par suite de paillettes peu apparentes. '
(5) Les huit derniers échantillons corroyés à la liine ont supporté une charge plus grande
que lés huit premiers, parce que le fer, après avoir été tourné-pour être dégrossi seulement,
a'été amené au diamètre voulu par un limage longitudinal.
TRAVAUX DE L'ÉTRANGER.
Boute de Beyroutb à Damas.
Le gouvernement ottoman a conclu un traité avec un ancien lieute-
nant de vaisseau de la marine française, établi à Beyrouth depuis plu-
sieurs années, pour l'établissement d'une route carrossable de cette
yille à Damas, avec embranchements sur différents points tels que Zahlé
et la Bekaa.
Aux termes de ce traité, le concessionnaire s'est chargé d'exécuter à ,
ses frais tous les travaux nécessaires, moyennant la concession, de la
part de la Porte, du privilège exclusif de l'exploitation de cette nou-
velle voie de communication pendant le laps de cinquante années. Il
s'engage, en outre, à transporter par voitures les voyageurs et les
marchandises aux prix déterminés dans le cahier des charges; et ces
prix, inférieurs d'environ 30 p. 100 à ceux qui se payent aujourd'hui,
sont des maxima que le concessionnaire .s'oblige à ne dépasser en au-
cun cas.
Il est question également de la.construction.d'un port à Beyrouth.
Une compagnie anglaise se chargerait, dit-on, de son exécution.
'Percement de l'isthme de Panama.
Le gouvernement des États-Unis a résolu d'envoyer dans la province
du Darien, une expédition chargée de vérifier les études déjà faites
relativement au percement de cet isthme, et de commencer de nouveaux
travaux pour décider s'il est possible d'ouvrir un canal qui, unissant
les eaux de l'Atlantique et du Pacifique, puisse donner passage aux
navires qui se dirigent de l'un de ces océans dans l'autre.
NOTE^ET DOCUMENTS.
Blanchisserie économique
De M. HUGUENY, propriétaire à Saint-Dié.(Vosges).
PL. 9 ET 10.
L'extension que prennent tous les jours dans les villes les établisse-
ments d'utilité générale tels que distributions d'eau et de gaz, bains et
lavoirs publics économiques, abattoirs, halles et marchés couverts, et
l'intérêt qui s'attache en. France aux petites industries pour lesquelles
il faut de moindres capitaux, nous a fait penser que l'on verrait avec
plaisir le croquis coté et annoté d'un établissement de ce genre.
La planche 9-10 représente l'élévation générale, la coupe et les prin-
cipaux détails du bâtiment.
La blanchisserie est située au bord d'une dérivation de la Meurthe.
Elle a 60m.09 de longueur totale sur 21°>.70 de largeur, et com-
prend une grande cour clôturée de 45 mètres sur 16 mètres.
Le prix total de l'immeuble n'étant que de 14,000 francs, grâce à
l'extrême bon marché des bois qu'on va prendre dans les prairies ou
dans les forêts de sapins voisines > le mètre quarré de surface couverte,
ne revient qu'à 11 fr. environ.
Le matériel est composé de 2 chaudières, pour blanchiment de toiles,
fils, etc.; 6 bacs à laver, 1 calandre pour lustrer les toiles, 1 machine à
apprêter, 1 séchoir pour toiles, 1 séchoir pour fils.
Le personnel est formé par un inspecteur et une douzaine d'ouvriers.
En résumé, dans toutes les localités où les bois seront à bon compte,
et la main-d'oeuvre à un prix peu élevé, on pourra construire et ou-
tiller des établissements semblables, dont la création sera toujours un
bienfait d'économie et d'hygiène publique.
C.-A. OPPERMANN.
-■ ' Saint-Dié, le 1" septembre 1853.
Expériences sur la résistance des fers forgés
Par M. FERVEL, commandant du Gé.uie militaire à Meaux.
PL. 11.
L'inégalité de la résistance des fers de diverses provenances, et l'in-
certitude des coefficients théoriques rendent utiles les essais directs faits
sur la matière avant l'exécution de tous les travaux qui exigent un cer-
tain soin.
L'appareil le plus simple que l'on- puisse employer à cet effet, est
celui qui a été construit par M. TIMBERINCK, directeur des ateliers de
Montigny-lès-Metz, pour ses intéressantes recherches sur les propriétés
de l'acier fondu. (Voir le-Portefeuille économique des Machines, au. mois
de marsS-857.)
Cet appareil (PI. 2, fig. 1 et 2) consiste essentiellement en un fort
levier droit en fer forgé, dans lequel le rapport des deux bras, mesuré
entre les arêtes vives des couteaux fixes et des couteaux extrêmes est
de là 20. ,
Les échantillons à essayer ont été pris dans des barres de diverses
grosseurs, puis amenés aux diamètres voulus sur le tour, par un mou-
vement assez lent, afin d'altérer le moins possible l'état atonique du
métal.
Un certain nombre d'entre eux ont été achevés à la lime.
Les deux talons extrêmes ont été rapportés par une soudure faite
avec soin, de manière à ne pas influer, par un refoulement trop pro-
longé, sur l'état moléculaire du milieu de la tige à mettre en expé-
rience.
Cela étant, les échantillons, convenablement préparés et numérotés,
furent saisis par les deux chapes supérieure et inférieure, adaptées à
l'extrémité du petit bras du levier, et l'on chargea graduellement et avec
précaution le plateau suspendu à l'autre extrémité, en observant d'abord
la charge à laquelle correspondait le commencement de l'allongement,
puis la charge de rupture, et enfin l'allongement total correspondant.
L'équation des moments qui sert à calculer les charges réelles sup-
portées par la section de la tige mise en expérience est la suivante :
dans laquelle .
X est la charge réelle supportée par la section de l'échantillon ;
x la distance du centre de gravité de cette section an plan vertical des couteaux
= 0m..10;
" p le poids de la chape supérieure qui tient l'échantillon, et delà partie supérieure
de l'échantillon lui-même, somme =3k.70;
p' , le poids du petit bras du levier =3 kilogrammes;
%' . la distance du centre de gravité du petit bras à l'axe" des couteaux fixes
= 0=.05;
P .le poids mis dans le plateau extrême;
y la distance du point d'application de ce poids au plan vertical des couteaux
fixes = 2°.0O;
P' le poids du plateau et de sa chape =9k.50 5
■ P" le poids du grand bras du levier = 85 kilogrammes.
y la distance du centre de gravité de ce bras au plan vertical des couteaux
= 0m.70.
En introduisant ces chiffres dans l'équation, et en ^simplifiant le
plus possible ; elle devient :
Substituant maintenant à P les valeurs trouvées dans seize expé-
riences successives, on trouve les valeurs correspondantes de la charge
réelle, pour toute la section de l'échantillon.
En divisant par la surface de cette section dans chaque cas, on trouve
la charge supportée par millimètre quaTré.
Tableau des 16 expériences.
POIDS P ,„•
™#.<» BIAMETRE didsmt mua g
NUMEROS * Dar . S
et ALLONGEMENT, la rupture rf
d'oraie- . . à l'extrémité mm™'etre :g
DESIGNATION DES PIECES. . a i extrémité |
- . du levier. * • ■ " o ■
millim. - kilog. kilog.
Fer rond de 8 millim. de diamètre, ■'■'''.
< ) tiré d'une barre de 15 millim., ( ot KR ... .„ ' N\
1 de Dupont et Dreyfus (Àrs^( a' 5 bb * 1' 46 - W
' sur-Moselle) ■. . . .
2 8 millimètres. o 20 N 27.60 ■ (2)
3 8 millimètres. . . . 15 69 46.66
4 8 millimètres. .......... 12 79 50.06
Fer rond de ll""^, tiré d'une}
5 \ barre ronde de 39 militai. ( Du- \ 25 169 43.33 (3)
pontet Dreyfus). •'
6 li"»».3 » 162 41.93
«. 7 ll-"^ » 159 41.33
8 11=»».3 » Î45 38.53 (.4)
Q' Fer rond de 8 millim. tiré d'une Y7 „„ ,..,„ y.,
9 barre de 15 millim. ...... .) 1T 86 53^° W)
10 8 millimètres. 20 89 54.60
■ .< Fer rond de 11""".3 de diamètre, se „,•'■ ,, CA
11 tiré d'une barre de 39 millim. - 17à .44.50
12 ll».3.. 32 r90 47.50
ld mètre, pris au magasin. . . dd dis 54.30
14 14 millimètres.. . . ....... 30 302 53.25
15 Hmitlimèlres 30 291 44.30
Î6 14 millimètres 32 305 48.22
. (1). L'allongement commence à la charge de 20 kilogrammes. A l'endroit de la rupture, on
remarque'une paillette noire.
(2) Rupture immédiate. La moitié.de la section est cristallisée à gros grains. .
(3) Grand allongement. .
' . (4) Rupture par suite de paillettes peu apparentes. '
(5) Les huit derniers échantillons corroyés à la liine ont supporté une charge plus grande
que lés huit premiers, parce que le fer, après avoir été tourné-pour être dégrossi seulement,
a'été amené au diamètre voulu par un limage longitudinal.
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