Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1857-07-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 juillet 1857 01 juillet 1857
Description : 1857/07/01 (A3,N7)-1857/07/31. 1857/07/01 (A3,N7)-1857/07/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577510d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
87 NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — JUILLET 1857. . 88
Concessions nouvelles.
Les principales concessions demandées en vue de compléter le ré-
seau du Nord comprennent :
1" Une ligne de Paris à Soissons 102 kilomètres.
2° Une ligne reliant Boulogne à Calais avec em-
branchement sur Marquise 43
3° Une ligne de Rouen à Saint-Quentin, par Amiens,
Ham et Tergnier I 91
4° Une ligne desservant les houillères du Pas-de-
Calais .... 84
5" Un embranchement reliant Chantilly à Senlis. . 9
6° Un embranchement avec gare spéciale pour
Pontoise . . . 3
Total 432 kilomètres.
REVUE AGRICOLE.
Moyens préventifs contre l'engorgement des tuyaux
de drainage.
Nous extrayons ce qui suit de l'excellent journal spécial le Drai-
neur, rédigé par M. VIANNE , et qui est le recueil le plus complet qui
ait été publié sur toutes les questions relatives au drainage.
Obstruction par l'emploi de mauvais tuyaux et par malfaçon.
Nous avons passé en revue, dans un précédent article, les principales
causes d'engorgement, et indiqué les moyens de les prévenir ; mais,
nous le répétons encore, ces causes se présentent rarement, et le
danger est bien moins grand que certains alarmistes ont voulu le faire
croire. Cependant on ne doit négliger aucun des moyens préservatifs
connus : mieux vaut prévenir le mal que d'avoir à le réparer.
Si les racines, les calcaires, les dépôts ferrugineux, etc., n'obstruent
que rarement et qu'accidentellement, il est d'autres causes de destruc-
tion qui sont permanentes, et qui perdent beaucoup de drainages. Nous
voulons parler de l'emploi de mauvais tuyaux et des malfaçons. Ces cas
de destruction ne sont pas accidentels, ils peuvent se produire à chaque
opération. Déjà beaucoup de drainages ont été refaits, même en tota-
lité, et cela faute de précaution.
On doit apporter la plus grande attention à la vérification des tuyaux,
et ne pas oublier qu'il suffit de l'emploi d'un seul mauvais tuyau pour
obstruer un drain, et même annuler l'effet du drainage si l'obstruction
se produit dans le drain collecteur.
On reconnaît le plus souvent la qualité des tuyaux par la simple
inspection de la terre après la cuisson : la couleur indique le degré
de cuite : mais on n'acquiert cependant cette connaissance que par une
certaine pratique. Il est des terres donnant des tuyaux sonores, et qui
néanmoins se délitent par un séjour plus ou moins long dans l'eau ; d'au-
tres ne sonnent pas clairement, et donnent cependant des bons tuyaux
qui résistent à l'action prolongée de l'humidité.
Un moyen facile de s'assurer de leur qualité, c'est d'en faire tremper
pendant quelques jours dans de l'eau. Si au bout de quatre à cinq jours
de séjour dans l'eau ils ne se sont pas ramollis et conservent le même
son que ceux qui n'ont pas été trempés, on peut les employer sans au-
cune crainte.
Il y a quelques mois, nous avons été appelé dans le département du
Loiret pour refaire un drainage qui était exécuté depuis un an, et qui
ne fonctionnait plus. Les tuyaux provenaient d'une fabrique d'Orléans;
pas un seul n'avait résisté. Ils étaient fabriqués avec une terre très-
siliceuse et manquaient de cuisson. Tous les tuyaux relevés s'écra-
saient sous la pression des doigts. Ce fait n'est malheureusement pas
isolé, et beaucoup de drainages se trouvent dans le même cas.
D'autres tuyaux contiennent du calcaire en grande quantité. Ces amas
calcaires se transforment en chaux à la cuisson, et l'humidité, faisant
foisonner la chaux, fait éclater le tuyau. Nous avons connaissance d'un
drainage entièrement perdu par cette cause dans le canton de Limours
(département de Seine-et-Oise).
Il est donc essentiel de n'employer que des tuyaux bien cuits, et de
rejeter tous ceux qui laisseraient le moindre doute.
Parce que la théorie du drainage est excessivement simple, il ne suit
pas de là qu'il en soit de même de la mise en pratique. Il est vrai qu'au
premier abord rien ne parait plus facile que d'ouvrir une tranchée,
d'y placer un tuyau, et de la combler ensuite. Certes, si l'on opérait
toujours dans des terrains ayant une pente uniforme, suffisamment
humide pour présenter un travail facile, renfermant assez d'eau pour
guider le règlement du fond, ayant assez de consistance pour ne pas
s'ébouler avant l'ouverture et la mise à fond de toute la longueur du
drain, et permettant, par conséquent, de commencer la pose des
tuyaux par la partie supérieure, l'opération serait très-simple, et il
suffirait de prêter une grande attention à la pose des tuyaux, au rem-
plissage et aux croisements pour être assuré d'un bon travail; or
non-seulement toutes ces conditions ne se trouvent pas toujours réu-
nies, mais il arrive le plus souvent que, lorsqu'on les rencontre, les
propriétaires ou fermiers laissent toute latitude aux ouvriers et se dis-
pensent d'un surveillant, qu'ils considèrent comme une dépense inutile
et superflue. Cependant ceux qui ont usé des deux moyens sont bien
vite convaincus qu'une bonne exécution est impossible sans un surveil-
lant, car on ne peut jamais obtenir des ouvriers assez de soins, surtout
pour la pose des tuyaux. Ils n'ont en vue que l'avancement du travail ;
peu leur importe qu'il soit durable.
Selon nous, il est donc impossible de drainer sans une surveillance
active et permanente ; c'est une des premières conditions du succès.
Mais lorsqu'on opère dans des terrains qui ont une faible pente, ou
qui ne présentent pas de consistance, l'opération devient infiniment
plus difficile, et souvent les conducteurs les plus habiles et les plus
patients se trouvent embarrassés.
Nous comptons donner dans un de nos prochains numéros quelques
exemples de drainages exécutés dans les plus mauvaises conditions, en
indiquant les moyens employés pour surmonter les difficultés qui se
sont présentées. ED. VIANNE,
- Directeur du Journal le Draineur
et de la C>e générale du Drainage économique.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Pierre factice dite pierre de Paris.
De MM. A. BARTEAU et O*.
En présence des nombreuses constructions nouvelles qui s'élèvent
chaque jour dans Paris, tout ce qui peut contribuer à rendre plus éco-
nomique la matière première ou la main-d'oeuvre du bâtiment doit être
examiné avec le plus grand soin.
MM. BARTEAU et Cie composent, avec du plâtre, de la chaux et du
sable, auxquels on incorpore des pierrailles ou des scories de toute
provenance, une sorte de béton-ciment qui prend avec une énergie
extrême au bout de très-peu d'heures, et qui se moule avec une
grande facilité suivant les dessins les plus délicats.
Celte matière diffère essentiellement des autres pierres factices
d'un aspect analogue, en ce qu'elle n'exige aucune cuisson.
Elle se consolide à l'air libre, et même à la pluie, avec autant de
facilité que par les temps les plus secs.
De longs murs, fait depuis plus de vingt ans avec cette pierre, sont
encore aujourd'hui dans un parfait état de conservation. Il en est de
même de plusieurs corps de bâtiment construits depuis huit ans sur la
propriété des inventeurs.
La résistance à l'écrasement a été expérimentée par M. BOILEAU, archi-
tecte de l'église Saint-Eugène. Elle a été trouvée supérieure à 70 kilos
pas centimètre quarré d'un bloc cubique fait avec soin, et ayant 1 dé-
cimètre de côté. Cette matière peut servir dans toute espèce de tra-
vaux, ses principales applications paraissent devoir être les revête-
ments extérieurs, le moulage des pierres tombales, et les imitations
de sculptures et d'ornements en pierre.
Les prix des revêtements et pièces dont il s'agit sont les suivants :
PRIX PRIX
ÉPAISSEUR. BÉTAIL. au chantier, dans Paris.
0'" 40 le mètre superficiel 7 50 8 10
0 30 — — 5 75 6 30
0 22 1/2 — — 4 90 5 35
0 16 — — 3 80 4 20
0 10 — — 2 80 3 15
. 0 07 — - 2 20 2 50
0 04 — — 1 95 2 15
Cheminées à consoles et à sculptures 6 00 6 50
On peut exécuter d'ailleurs tous les modèles de pierre suivant les
dessins qui sont demandés par les architectes.
En résumé on peut, au moyen de la pierre factice de MM. BAR-
TEAU et Cie, décorer pour 2 à 300 fr. une façade qui coûterait 10 à
12,000 fr. si les ornements étaient sculptés en pierre.
C. A. OPPERMANN, DIRECTEUR,
11, rue des Beaux-Arts, à Paris.
Taris. — Imprimé par E. THUNOT et G', 26, rue Raciue.
Concessions nouvelles.
Les principales concessions demandées en vue de compléter le ré-
seau du Nord comprennent :
1" Une ligne de Paris à Soissons 102 kilomètres.
2° Une ligne reliant Boulogne à Calais avec em-
branchement sur Marquise 43
3° Une ligne de Rouen à Saint-Quentin, par Amiens,
Ham et Tergnier I 91
4° Une ligne desservant les houillères du Pas-de-
Calais .... 84
5" Un embranchement reliant Chantilly à Senlis. . 9
6° Un embranchement avec gare spéciale pour
Pontoise . . . 3
Total 432 kilomètres.
REVUE AGRICOLE.
Moyens préventifs contre l'engorgement des tuyaux
de drainage.
Nous extrayons ce qui suit de l'excellent journal spécial le Drai-
neur, rédigé par M. VIANNE , et qui est le recueil le plus complet qui
ait été publié sur toutes les questions relatives au drainage.
Obstruction par l'emploi de mauvais tuyaux et par malfaçon.
Nous avons passé en revue, dans un précédent article, les principales
causes d'engorgement, et indiqué les moyens de les prévenir ; mais,
nous le répétons encore, ces causes se présentent rarement, et le
danger est bien moins grand que certains alarmistes ont voulu le faire
croire. Cependant on ne doit négliger aucun des moyens préservatifs
connus : mieux vaut prévenir le mal que d'avoir à le réparer.
Si les racines, les calcaires, les dépôts ferrugineux, etc., n'obstruent
que rarement et qu'accidentellement, il est d'autres causes de destruc-
tion qui sont permanentes, et qui perdent beaucoup de drainages. Nous
voulons parler de l'emploi de mauvais tuyaux et des malfaçons. Ces cas
de destruction ne sont pas accidentels, ils peuvent se produire à chaque
opération. Déjà beaucoup de drainages ont été refaits, même en tota-
lité, et cela faute de précaution.
On doit apporter la plus grande attention à la vérification des tuyaux,
et ne pas oublier qu'il suffit de l'emploi d'un seul mauvais tuyau pour
obstruer un drain, et même annuler l'effet du drainage si l'obstruction
se produit dans le drain collecteur.
On reconnaît le plus souvent la qualité des tuyaux par la simple
inspection de la terre après la cuisson : la couleur indique le degré
de cuite : mais on n'acquiert cependant cette connaissance que par une
certaine pratique. Il est des terres donnant des tuyaux sonores, et qui
néanmoins se délitent par un séjour plus ou moins long dans l'eau ; d'au-
tres ne sonnent pas clairement, et donnent cependant des bons tuyaux
qui résistent à l'action prolongée de l'humidité.
Un moyen facile de s'assurer de leur qualité, c'est d'en faire tremper
pendant quelques jours dans de l'eau. Si au bout de quatre à cinq jours
de séjour dans l'eau ils ne se sont pas ramollis et conservent le même
son que ceux qui n'ont pas été trempés, on peut les employer sans au-
cune crainte.
Il y a quelques mois, nous avons été appelé dans le département du
Loiret pour refaire un drainage qui était exécuté depuis un an, et qui
ne fonctionnait plus. Les tuyaux provenaient d'une fabrique d'Orléans;
pas un seul n'avait résisté. Ils étaient fabriqués avec une terre très-
siliceuse et manquaient de cuisson. Tous les tuyaux relevés s'écra-
saient sous la pression des doigts. Ce fait n'est malheureusement pas
isolé, et beaucoup de drainages se trouvent dans le même cas.
D'autres tuyaux contiennent du calcaire en grande quantité. Ces amas
calcaires se transforment en chaux à la cuisson, et l'humidité, faisant
foisonner la chaux, fait éclater le tuyau. Nous avons connaissance d'un
drainage entièrement perdu par cette cause dans le canton de Limours
(département de Seine-et-Oise).
Il est donc essentiel de n'employer que des tuyaux bien cuits, et de
rejeter tous ceux qui laisseraient le moindre doute.
Parce que la théorie du drainage est excessivement simple, il ne suit
pas de là qu'il en soit de même de la mise en pratique. Il est vrai qu'au
premier abord rien ne parait plus facile que d'ouvrir une tranchée,
d'y placer un tuyau, et de la combler ensuite. Certes, si l'on opérait
toujours dans des terrains ayant une pente uniforme, suffisamment
humide pour présenter un travail facile, renfermant assez d'eau pour
guider le règlement du fond, ayant assez de consistance pour ne pas
s'ébouler avant l'ouverture et la mise à fond de toute la longueur du
drain, et permettant, par conséquent, de commencer la pose des
tuyaux par la partie supérieure, l'opération serait très-simple, et il
suffirait de prêter une grande attention à la pose des tuyaux, au rem-
plissage et aux croisements pour être assuré d'un bon travail; or
non-seulement toutes ces conditions ne se trouvent pas toujours réu-
nies, mais il arrive le plus souvent que, lorsqu'on les rencontre, les
propriétaires ou fermiers laissent toute latitude aux ouvriers et se dis-
pensent d'un surveillant, qu'ils considèrent comme une dépense inutile
et superflue. Cependant ceux qui ont usé des deux moyens sont bien
vite convaincus qu'une bonne exécution est impossible sans un surveil-
lant, car on ne peut jamais obtenir des ouvriers assez de soins, surtout
pour la pose des tuyaux. Ils n'ont en vue que l'avancement du travail ;
peu leur importe qu'il soit durable.
Selon nous, il est donc impossible de drainer sans une surveillance
active et permanente ; c'est une des premières conditions du succès.
Mais lorsqu'on opère dans des terrains qui ont une faible pente, ou
qui ne présentent pas de consistance, l'opération devient infiniment
plus difficile, et souvent les conducteurs les plus habiles et les plus
patients se trouvent embarrassés.
Nous comptons donner dans un de nos prochains numéros quelques
exemples de drainages exécutés dans les plus mauvaises conditions, en
indiquant les moyens employés pour surmonter les difficultés qui se
sont présentées. ED. VIANNE,
- Directeur du Journal le Draineur
et de la C>e générale du Drainage économique.
REVUE TECHNOLOGIQUE.
Pierre factice dite pierre de Paris.
De MM. A. BARTEAU et O*.
En présence des nombreuses constructions nouvelles qui s'élèvent
chaque jour dans Paris, tout ce qui peut contribuer à rendre plus éco-
nomique la matière première ou la main-d'oeuvre du bâtiment doit être
examiné avec le plus grand soin.
MM. BARTEAU et Cie composent, avec du plâtre, de la chaux et du
sable, auxquels on incorpore des pierrailles ou des scories de toute
provenance, une sorte de béton-ciment qui prend avec une énergie
extrême au bout de très-peu d'heures, et qui se moule avec une
grande facilité suivant les dessins les plus délicats.
Celte matière diffère essentiellement des autres pierres factices
d'un aspect analogue, en ce qu'elle n'exige aucune cuisson.
Elle se consolide à l'air libre, et même à la pluie, avec autant de
facilité que par les temps les plus secs.
De longs murs, fait depuis plus de vingt ans avec cette pierre, sont
encore aujourd'hui dans un parfait état de conservation. Il en est de
même de plusieurs corps de bâtiment construits depuis huit ans sur la
propriété des inventeurs.
La résistance à l'écrasement a été expérimentée par M. BOILEAU, archi-
tecte de l'église Saint-Eugène. Elle a été trouvée supérieure à 70 kilos
pas centimètre quarré d'un bloc cubique fait avec soin, et ayant 1 dé-
cimètre de côté. Cette matière peut servir dans toute espèce de tra-
vaux, ses principales applications paraissent devoir être les revête-
ments extérieurs, le moulage des pierres tombales, et les imitations
de sculptures et d'ornements en pierre.
Les prix des revêtements et pièces dont il s'agit sont les suivants :
PRIX PRIX
ÉPAISSEUR. BÉTAIL. au chantier, dans Paris.
0'" 40 le mètre superficiel 7 50 8 10
0 30 — — 5 75 6 30
0 22 1/2 — — 4 90 5 35
0 16 — — 3 80 4 20
0 10 — — 2 80 3 15
. 0 07 — - 2 20 2 50
0 04 — — 1 95 2 15
Cheminées à consoles et à sculptures 6 00 6 50
On peut exécuter d'ailleurs tous les modèles de pierre suivant les
dessins qui sont demandés par les architectes.
En résumé on peut, au moyen de la pierre factice de MM. BAR-
TEAU et Cie, décorer pour 2 à 300 fr. une façade qui coûterait 10 à
12,000 fr. si les ornements étaient sculptés en pierre.
C. A. OPPERMANN, DIRECTEUR,
11, rue des Beaux-Arts, à Paris.
Taris. — Imprimé par E. THUNOT et G', 26, rue Raciue.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 97.08%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 97.08%.
- Collections numériques similaires Corpus : Art de l'ingénieur Corpus : Art de l'ingénieur /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCcorp15"Cosmos (1852) /ark:/12148/bd6t51143731d.highres Archives des découvertes et des inventions nouvelles faites dans les sciences, les arts et les manufactures, tant en France que dans les pays étrangers pendant l'année ... : avec l'indication succincte des principaux produits de l'industrie française ; la liste des brevets d'invention, de perfectionnement et d'importation, accordés par le gouvernement pendant la même année, et des notices sur les prix proposés ou décernés par différentes sociétés savantes, françaises et étrangères, pour l'encouragement des sciences et des arts /ark:/12148/bd6t53887780b.highresThématique : ingénierie, génie civil Thématique : ingénierie, génie civil /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPCthèm02"
- Auteurs similaires Oppermann Charles Alfred Oppermann Charles Alfred /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Oppermann Charles Alfred" or dc.contributor adj "Oppermann Charles Alfred")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 8/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k5577510d/f8.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k5577510d/f8.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k5577510d/f8.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k5577510d
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://heritage.ecoledesponts.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k5577510d
Facebook
Twitter