Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1857-04-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 avril 1857 01 avril 1857
Description : 1857/04/01 (A3,N4)-1857/04/30. 1857/04/01 (A3,N4)-1857/04/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55775053
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
51 NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — AV.RIL 1857. 52
Prix de revient en province.
8 hectolitres de sable, gravier à 1 fr 0,80
1 hectolitre de terre cuite pilée 1,00
1 hectolitre de cendre de houille pilée 0,50
1 hectolitre et demi de chaux grasse ou hydraulique. . . 1,50
Main-d'oeuvre 1,50
5,30
Avec addition de ciment 1,00
Total. . . 6,30
On ne peut contrôler ces détails, dont presque tous les éléments
sont incertains, et, ainsi qu'on le dit plus haut, il faudrait y ajouter les
faux frais et les bénéfices auxquels aurait droit un entrepreneur.
On remarquera que M. COIGNET indique indifféremment l'emploi de
la chaux grasse ou hydraulique, que, dans sa dernière formule, le
sable, la terre cuite pilée et les cendres de houille broyées entrent simul-
tanément , et, enfin que le sable entre en quantité quatre fois plus
considérable que la terre cuite et les cendres de houille réunies. C'est
à cause de cette quantité plus grande de sable que M. COIGNET a obtenu
des bétons plus durs. Il ajoute que néanmoins la chaux grasse a donné
des résultats excellents. D'une part, le sable qui domine fait mieux corps
avec la chaux hydraulique, et, d'autre part, l'addition de terre cuite
donne un mélange favorable lorsqu'on emploie la chaux grasse. Chacune
des deux chaux a donc trouvé, dans la combinaison de M. COIGNET, un
élément qui lui convenait ; de là la réussite inégale, mais suffisam-
ment satisfaisante dans chacun des deux cas.
En examinant les travaux de M. COIGNET seulement au point de vue
des mélanges, on peut dire que c'est consentir à avoir un produit un
peu moins bon, afin de payer un peu moins cher. La véritable économie
nous semble résulter, nous l'avons déjà dit, de l'emploi de manoeu-
vres pour toutes les parties du travail.
Quelles que soient les observations ou les critiques qu'on puisse faire
sur la composition du béton-pisé, il résulte des travaux exécutés par
M. COIGNET qu'on peut réaliser une assez grande économie par ce mode
de construction. Mais il y a cette importante remarque à faire : c'est
qui devra réunir les connaissances théoriques à l'esprit d'observation,
soit de la probité de l'entrepreneur et du soin des ouvriers ; car les
négligences dans le choix ou dans l'emploi des matériaux entraîneraient
inévitablement la ruine de l'édifice. C'est une pratique qui, suivant la
main qui l'appliquera, sera utile ou dangereuse.
En résumé, si l'on trouve des exemples anciens, même antiques, de
l'emploi du béton pour mouler des édifices ou des parties d'édifices ;
si des constructeurs de nos jours ont renouvelé l'emploi de ce mode de
construction ; si l'addition de la chaux au pisé avait déjà procuré des
améliorations, M. COIGNET n'en a pas moins le mérite d'avoir trouvé
«ne combinaison moyenne qui n'a pas les inconvénients du pisé et qui
se rapproche, pour la solidité, des constructions en maçonnerie.
Sans attribuer à celte combinaison toute la solidité, en'même temps
•que toute l'économie que leur attribue M. COIGNET, la commission
estd'avis qu'on lui doit, ainsi qu'à notre collègue M. LÂCHEZ, des éloges
pour leurs soins et leurs études persévérantes.
C'est certainement un pas considérable fait dans une voie nouvelle,
et ce travail, qui a déjà trouvé son application dans des constructions
aux environs de Lyon, en trouvera dans toutes les campagnes où l'é-
conomie est souvent la première loi.
Depuis la rédaction de ce rapport et à la suite des inondations qui
ontdésolé unepartie de la France, M. leSénateur chargé de l'administra-
tion du département du Rhône a interdit, dans toute l'étendue de l'agglo-
mération lyonnaise y compris la commune de Villeurbane, les construc-
tions en pisé et en béton de chaux grasse et de mâchefer dit pisé
mâchefer.
Il n'autorise cette nature de construction que pour les édifices
ruraux à partir du dessus du plancher du premier étage, pourvu que
cet étage se trouve à 1°\50 au moins en contre-haut du niveau qu'ont
atteint les eaux de la dernière crue.
Après les derniers désastres arrivés à Lyon, on comprend la sollici-
tude de M. le sénateur administrateur du département du Rhône. Mais il
est à croire que si toutes ces constructions en pisé mâchefer avaient été
érigées avec le soin et les combinaisons qu'y a apportés M. COIGNET, cet
arrêté n'aurait pas été nécessaire.
De nouvelles et importantes constructions exécutées récemment par
M. COIGNET, viennent en effet prouver que le soin apporté dans le tra-
vail est une cause certaine de succès. Espérons que ce point si im-
portant sera bien compris par tous ceux qui voudront appliquer les
procédés du béton pisé et qu'ils s'attacheront, surtout, au choix des
matériaux et à la perfection de main-d'oeuvre qui ont assuré la com-
plète réussite de M. COIGNET.
Le rapporteur, GILBERT jeune.
Adopté en assemblée générale, le 25 décembre 1856.
Le président, membre de l'Institut, GILBERT aîné.
Le secrétaire principal, Victor BALTARD.
QUESTIONS A TRAITER.
Résistance des Poutres en tôle et en fers spéciaux.
(Réponses à la Question n° 3, de Décembre 1856.)
Calculer une série de sections de poutres en tôle ou en fers spéciaux,
ayant toutes 10 mètres de portée libre, disposées suivant le profil dit à
double T, et pouvant supporter une charge uniformément répartie,
croissant par degrés de 100 kilogr., depuis 300 kilogr. par mètre cou-
rant jusqu'à 3,000 kilogr. La tôle et le fer laminé devront travailler au
maximum à 6 kilogrammes par millimètre quarré de section.
PREMIÈRE SOLUTION.
Par M. MICHELET, Ingénieur civil à Paris.
« Monsieur,
» Dans votre dernier numéro des Annales de la Construction, vous
avez posé quelques questions qui doivent intéresser un grand nombre
d'ingénieurs. Vous en avez peut-être déjà reçu plusieurs solutions ; je
vous en envoie une nouvelle, relativement à la question de la résistance
des poutres métalliques.
» Les poutres, dont j'ai formé le tableau ci-joint, ont été calculées par
la formule -
» J'ai cherché à former une série de sections semblables, croissant res-
pectivement avec la charge que la poutre doit supporter, et j'ai pris
pour variable la hauteur de la poutre.
» Si d'autres personnes ont calculé les mêmes poutres en prenant une
autre base, eu supposant une hauteur fixe, par exemple, vous pourrez
former un tableau d'ensemble très-intéressant pour tous les ingénieurs
qui ont à s'occuper de constructions où les poutres métalliques sont ap-
pliquées.
t Veuillez agréer, etc. »
POUTRE DOUBLE T COMPOSÉE D'UNE TÔLE VERTICALE
Moment __————■——__ -»v^ ____■—_—.
CHARGE derupture = — • de0,»007 de 0ra.0i0 de 0m.0i0
;=10ra.00. d'épaisseur, avec d'épaisseur, avec d'épaisseur, avec
nap _ 4 cornières de 4 cornières de 4 e°rJ™^ „sn^e
._ ....,., 90X90 100X100 1UUX1U»
(Travail à 6 kd. - 13
mètre courant. par lt> 13 et 2 semelles de
millimètre carré.) (Montataire). (Comnientry). 300X10.
Hauteur totale. Hauteur totale. Hauteur totale.
kilog. m. m. m.
300 3.750 0.245 » »
400 5.000 ' 0.300 » »
500 6.250 0.355 » »
600 7.500 fl.405 » »
700 8.700 » 0.355 »
800 10.000 » 0.390 0.280
900 11.550 » 0.425 0.305
1.000 12.500 » 0.460 0.330
1.100 13.750 » 0.495 0.360
1.200 15.000 » 0.525 0.380
1.300 16.250 » 0.560 0.400
1.400 17.500 n 0.590 0.425
1.500 18.750 » 0.620 0.450
1.600 20.000 » 0.650 0.473
1.700 21.250 » 0.680 0.495
1.800 22.500 » 0.710 0.520
1.900 23.750 >. 0.740 0.545
2.000 25.000 » 0.770 0.570
2.100 ' 26.250 » 0.795 0.590
2.200 27.500 » 0-825 0.610
2.300 28.750 » 0.850 0.633
2.400 30.000 » 0.880 0.655
2.500 31.250 » 0.905 0.675
2.600 32.500 » 0-930 0.695
2.700 33.750 » » 0.715
2.800 35.000 " » » 0.735
2.900 36.250 » » 0.755
3.000 37.500 » » 0.775
DEUXIÈME SOLUTION.
Par, M. E. ALBARET, Agent principal de la Compagnie du chemin de fer des Ardennes
et de l'Oise, à Mouy-de-1'Oise.
« Monsieur le Directeur,
» Ayant été chargé de quelques calculs relatifs à l'établissement des
Prix de revient en province.
8 hectolitres de sable, gravier à 1 fr 0,80
1 hectolitre de terre cuite pilée 1,00
1 hectolitre de cendre de houille pilée 0,50
1 hectolitre et demi de chaux grasse ou hydraulique. . . 1,50
Main-d'oeuvre 1,50
5,30
Avec addition de ciment 1,00
Total. . . 6,30
On ne peut contrôler ces détails, dont presque tous les éléments
sont incertains, et, ainsi qu'on le dit plus haut, il faudrait y ajouter les
faux frais et les bénéfices auxquels aurait droit un entrepreneur.
On remarquera que M. COIGNET indique indifféremment l'emploi de
la chaux grasse ou hydraulique, que, dans sa dernière formule, le
sable, la terre cuite pilée et les cendres de houille broyées entrent simul-
tanément , et, enfin que le sable entre en quantité quatre fois plus
considérable que la terre cuite et les cendres de houille réunies. C'est
à cause de cette quantité plus grande de sable que M. COIGNET a obtenu
des bétons plus durs. Il ajoute que néanmoins la chaux grasse a donné
des résultats excellents. D'une part, le sable qui domine fait mieux corps
avec la chaux hydraulique, et, d'autre part, l'addition de terre cuite
donne un mélange favorable lorsqu'on emploie la chaux grasse. Chacune
des deux chaux a donc trouvé, dans la combinaison de M. COIGNET, un
élément qui lui convenait ; de là la réussite inégale, mais suffisam-
ment satisfaisante dans chacun des deux cas.
En examinant les travaux de M. COIGNET seulement au point de vue
des mélanges, on peut dire que c'est consentir à avoir un produit un
peu moins bon, afin de payer un peu moins cher. La véritable économie
nous semble résulter, nous l'avons déjà dit, de l'emploi de manoeu-
vres pour toutes les parties du travail.
Quelles que soient les observations ou les critiques qu'on puisse faire
sur la composition du béton-pisé, il résulte des travaux exécutés par
M. COIGNET qu'on peut réaliser une assez grande économie par ce mode
de construction. Mais il y a cette importante remarque à faire : c'est
soit de la probité de l'entrepreneur et du soin des ouvriers ; car les
négligences dans le choix ou dans l'emploi des matériaux entraîneraient
inévitablement la ruine de l'édifice. C'est une pratique qui, suivant la
main qui l'appliquera, sera utile ou dangereuse.
En résumé, si l'on trouve des exemples anciens, même antiques, de
l'emploi du béton pour mouler des édifices ou des parties d'édifices ;
si des constructeurs de nos jours ont renouvelé l'emploi de ce mode de
construction ; si l'addition de la chaux au pisé avait déjà procuré des
améliorations, M. COIGNET n'en a pas moins le mérite d'avoir trouvé
«ne combinaison moyenne qui n'a pas les inconvénients du pisé et qui
se rapproche, pour la solidité, des constructions en maçonnerie.
Sans attribuer à celte combinaison toute la solidité, en'même temps
•que toute l'économie que leur attribue M. COIGNET, la commission
estd'avis qu'on lui doit, ainsi qu'à notre collègue M. LÂCHEZ, des éloges
pour leurs soins et leurs études persévérantes.
C'est certainement un pas considérable fait dans une voie nouvelle,
et ce travail, qui a déjà trouvé son application dans des constructions
aux environs de Lyon, en trouvera dans toutes les campagnes où l'é-
conomie est souvent la première loi.
Depuis la rédaction de ce rapport et à la suite des inondations qui
ontdésolé unepartie de la France, M. leSénateur chargé de l'administra-
tion du département du Rhône a interdit, dans toute l'étendue de l'agglo-
mération lyonnaise y compris la commune de Villeurbane, les construc-
tions en pisé et en béton de chaux grasse et de mâchefer dit pisé
mâchefer.
Il n'autorise cette nature de construction que pour les édifices
ruraux à partir du dessus du plancher du premier étage, pourvu que
cet étage se trouve à 1°\50 au moins en contre-haut du niveau qu'ont
atteint les eaux de la dernière crue.
Après les derniers désastres arrivés à Lyon, on comprend la sollici-
tude de M. le sénateur administrateur du département du Rhône. Mais il
est à croire que si toutes ces constructions en pisé mâchefer avaient été
érigées avec le soin et les combinaisons qu'y a apportés M. COIGNET, cet
arrêté n'aurait pas été nécessaire.
De nouvelles et importantes constructions exécutées récemment par
M. COIGNET, viennent en effet prouver que le soin apporté dans le tra-
vail est une cause certaine de succès. Espérons que ce point si im-
portant sera bien compris par tous ceux qui voudront appliquer les
procédés du béton pisé et qu'ils s'attacheront, surtout, au choix des
matériaux et à la perfection de main-d'oeuvre qui ont assuré la com-
plète réussite de M. COIGNET.
Le rapporteur, GILBERT jeune.
Adopté en assemblée générale, le 25 décembre 1856.
Le président, membre de l'Institut, GILBERT aîné.
Le secrétaire principal, Victor BALTARD.
QUESTIONS A TRAITER.
Résistance des Poutres en tôle et en fers spéciaux.
(Réponses à la Question n° 3, de Décembre 1856.)
Calculer une série de sections de poutres en tôle ou en fers spéciaux,
ayant toutes 10 mètres de portée libre, disposées suivant le profil dit à
double T, et pouvant supporter une charge uniformément répartie,
croissant par degrés de 100 kilogr., depuis 300 kilogr. par mètre cou-
rant jusqu'à 3,000 kilogr. La tôle et le fer laminé devront travailler au
maximum à 6 kilogrammes par millimètre quarré de section.
PREMIÈRE SOLUTION.
Par M. MICHELET, Ingénieur civil à Paris.
« Monsieur,
» Dans votre dernier numéro des Annales de la Construction, vous
avez posé quelques questions qui doivent intéresser un grand nombre
d'ingénieurs. Vous en avez peut-être déjà reçu plusieurs solutions ; je
vous en envoie une nouvelle, relativement à la question de la résistance
des poutres métalliques.
» Les poutres, dont j'ai formé le tableau ci-joint, ont été calculées par
la formule -
» J'ai cherché à former une série de sections semblables, croissant res-
pectivement avec la charge que la poutre doit supporter, et j'ai pris
pour variable la hauteur de la poutre.
» Si d'autres personnes ont calculé les mêmes poutres en prenant une
autre base, eu supposant une hauteur fixe, par exemple, vous pourrez
former un tableau d'ensemble très-intéressant pour tous les ingénieurs
qui ont à s'occuper de constructions où les poutres métalliques sont ap-
pliquées.
t Veuillez agréer, etc. »
POUTRE DOUBLE T COMPOSÉE D'UNE TÔLE VERTICALE
Moment __————■——__ -»v^ ____■—_—.
CHARGE derupture = — • de0,»007 de 0ra.0i0 de 0m.0i0
;=10ra.00. d'épaisseur, avec d'épaisseur, avec d'épaisseur, avec
nap _ 4 cornières de 4 cornières de 4 e°rJ™^ „sn^e
._ ....,., 90X90 100X100 1UUX1U»
(Travail à 6 kd. - 13
mètre courant. par lt> 13 et 2 semelles de
millimètre carré.) (Montataire). (Comnientry). 300X10.
Hauteur totale. Hauteur totale. Hauteur totale.
kilog. m. m. m.
300 3.750 0.245 » »
400 5.000 ' 0.300 » »
500 6.250 0.355 » »
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1.900 23.750 >. 0.740 0.545
2.000 25.000 » 0.770 0.570
2.100 ' 26.250 » 0.795 0.590
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2.300 28.750 » 0.850 0.633
2.400 30.000 » 0.880 0.655
2.500 31.250 » 0.905 0.675
2.600 32.500 » 0-930 0.695
2.700 33.750 » » 0.715
2.800 35.000 " » » 0.735
2.900 36.250 » » 0.755
3.000 37.500 » » 0.775
DEUXIÈME SOLUTION.
Par, M. E. ALBARET, Agent principal de la Compagnie du chemin de fer des Ardennes
et de l'Oise, à Mouy-de-1'Oise.
« Monsieur le Directeur,
» Ayant été chargé de quelques calculs relatifs à l'établissement des
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